"Chacune blesse, la dernière tue" de Anne Rabinovitch chez Alma éditeur (Paris, France)

"Chacune blesse, la dernière tue" de Anne Rabinovitch chez Alma éditeur (Paris, France)

Chacune blesse, la dernière tue
Chacune blesse, la dernière tue - Le choix des libraires
en partenariat avec 20minutes.fr

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  • Auteur : Anne Rabinovitch
  • Genre : Romans et nouvelles - français
  • Editeur : Alma éditeur, Paris, France
  • Prix : 14.00 €
  • Date de sortie : 06/09/2012
  • GENCOD : 9782362790461

Résumé

En moins d'une seconde, un regard se refuse : c'est le meurtre par omission. En moins d'une seconde, l'amour manque, toute une vie se joue... "Chacune blesse, la dernière tue", dit l'ancienne sagesse. Quand le narrateur a-t-il été frappé ? Alors qu'il travaille sur un film, Alter Rachkess refait le montage des heures de sa vie. Il les visionne comme les revoient, dit-on, ceux qui meurent. Au fil des lumières, des prénoms, il retrouve les femmes aimées, leurs yeux, surtout.
Son histoire s'inscrit dans le destin des Juifs d'Europe : les grands-parents sont venus de Lituanie en France, le père se réfugie dans les Alpes durant l'Occupation. Pour Alter, la vie devient un meurtre sans mobile apparent. Entre Paris, Tel Aviv, Jérusalem, New York, Vilnius, le plateau du Golan ou les canyons du Colorado, cet homme "de partout et de nulle part" cherche la clé de l'énigme.

Anne Rabinovitch a séjourné en Californie, à New York, Jérusalem, Varsovie, Budapest, Vilnius. Elle vit aujourd'hui entre Paris et Briançon. Traductrice renommée - de James Salter, Joyce Carol Oates et Ichiguro -, elle est venue au roman sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Après L'Hiver au coeur, elle a publié Les étangs de Ville d'Avray (Actes Sud, 1987), Pour Budapest il est encore temps (Actes Sud, 1990) et Par-delà les nuages (Léo Scheer, 2004).


Résumé

En moins d'une seconde, un regard se refuse : c'est le meurtre par omission. En moins d'une seconde, l'amour manque, toute une vie se joue... "Chacune blesse, la dernière tue", dit l'ancienne sagesse. Quand le narrateur a-t-il été frappé ? Alors qu'il travaille sur un film, Alter Rachkess refait le montage des heures de sa vie. Il les visionne comme les revoient, dit-on, ceux qui meurent. Au fil des lumières, des prénoms, il retrouve les femmes aimées, leurs yeux, surtout.
Son histoire s'inscrit dans le destin des Juifs d'Europe : les grands-parents sont venus de Lituanie en France, le père se réfugie dans les Alpes durant l'Occupation. Pour Alter, la vie devient un meurtre sans mobile apparent. Entre Paris, Tel Aviv, Jérusalem, New York, Vilnius, le plateau du Golan ou les canyons du Colorado, cet homme "de partout et de nulle part" cherche la clé de l'énigme.

Anne Rabinovitch a séjourné en Californie, à New York, Jérusalem, Varsovie, Budapest, Vilnius. Elle vit aujourd'hui entre Paris et Briançon. Traductrice renommée - de James Salter, Joyce Carol Oates et Ichiguro -, elle est venue au roman sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Après L'Hiver au coeur, elle a publié Les étangs de Ville d'Avray (Actes Sud, 1987), Pour Budapest il est encore temps (Actes Sud, 1990) et Par-delà les nuages (Léo Scheer, 2004).


Résumé

En moins d'une seconde, un regard se refuse : c'est le meurtre par omission. En moins d'une seconde, l'amour manque, toute une vie se joue... "Chacune blesse, la dernière tue", dit l'ancienne sagesse. Quand le narrateur a-t-il été frappé ? Alors qu'il travaille sur un film, Alter Rachkess refait le montage des heures de sa vie. Il les visionne comme les revoient, dit-on, ceux qui meurent. Au fil des lumières, des prénoms, il retrouve les femmes aimées, leurs yeux, surtout.
Son histoire s'inscrit dans le destin des Juifs d'Europe : les grands-parents sont venus de Lituanie en France, le père se réfugie dans les Alpes durant l'Occupation. Pour Alter, la vie devient un meurtre sans mobile apparent. Entre Paris, Tel Aviv, Jérusalem, New York, Vilnius, le plateau du Golan ou les canyons du Colorado, cet homme "de partout et de nulle part" cherche la clé de l'énigme.

Anne Rabinovitch a séjourné en Californie, à New York, Jérusalem, Varsovie, Budapest, Vilnius. Elle vit aujourd'hui entre Paris et Briançon. Traductrice renommée - de James Salter, Joyce Carol Oates et Ichiguro -, elle est venue au roman sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Après L'Hiver au coeur, elle a publié Les étangs de Ville d'Avray (Actes Sud, 1987), Pour Budapest il est encore temps (Actes Sud, 1990) et Par-delà les nuages (Léo Scheer, 2004).


Résumé

En moins d'une seconde, un regard se refuse : c'est le meurtre par omission. En moins d'une seconde, l'amour manque, toute une vie se joue... "Chacune blesse, la dernière tue", dit l'ancienne sagesse. Quand le narrateur a-t-il été frappé ? Alors qu'il travaille sur un film, Alter Rachkess refait le montage des heures de sa vie. Il les visionne comme les revoient, dit-on, ceux qui meurent. Au fil des lumières, des prénoms, il retrouve les femmes aimées, leurs yeux, surtout.
Son histoire s'inscrit dans le destin des Juifs d'Europe : les grands-parents sont venus de Lituanie en France, le père se réfugie dans les Alpes durant l'Occupation. Pour Alter, la vie devient un meurtre sans mobile apparent. Entre Paris, Tel Aviv, Jérusalem, New York, Vilnius, le plateau du Golan ou les canyons du Colorado, cet homme "de partout et de nulle part" cherche la clé de l'énigme.

Anne Rabinovitch a séjourné en Californie, à New York, Jérusalem, Varsovie, Budapest, Vilnius. Elle vit aujourd'hui entre Paris et Briançon. Traductrice renommée - de James Salter, Joyce Carol Oates et Ichiguro -, elle est venue au roman sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Après L'Hiver au coeur, elle a publié Les étangs de Ville d'Avray (Actes Sud, 1987), Pour Budapest il est encore temps (Actes Sud, 1990) et Par-delà les nuages (Léo Scheer, 2004).


Résumé

En moins d'une seconde, un regard se refuse : c'est le meurtre par omission. En moins d'une seconde, l'amour manque, toute une vie se joue... "Chacune blesse, la dernière tue", dit l'ancienne sagesse. Quand le narrateur a-t-il été frappé ? Alors qu'il travaille sur un film, Alter Rachkess refait le montage des heures de sa vie. Il les visionne comme les revoient, dit-on, ceux qui meurent. Au fil des lumières, des prénoms, il retrouve les femmes aimées, leurs yeux, surtout.
Son histoire s'inscrit dans le destin des Juifs d'Europe : les grands-parents sont venus de Lituanie en France, le père se réfugie dans les Alpes durant l'Occupation. Pour Alter, la vie devient un meurtre sans mobile apparent. Entre Paris, Tel Aviv, Jérusalem, New York, Vilnius, le plateau du Golan ou les canyons du Colorado, cet homme "de partout et de nulle part" cherche la clé de l'énigme.

Anne Rabinovitch a séjourné en Californie, à New York, Jérusalem, Varsovie, Budapest, Vilnius. Elle vit aujourd'hui entre Paris et Briançon. Traductrice renommée - de James Salter, Joyce Carol Oates et Ichiguro -, elle est venue au roman sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Après L'Hiver au coeur, elle a publié Les étangs de Ville d'Avray (Actes Sud, 1987), Pour Budapest il est encore temps (Actes Sud, 1990) et Par-delà les nuages (Léo Scheer, 2004).


Résumé

En moins d'une seconde, un regard se refuse : c'est le meurtre par omission. En moins d'une seconde, l'amour manque, toute une vie se joue... "Chacune blesse, la dernière tue", dit l'ancienne sagesse. Quand le narrateur a-t-il été frappé ? Alors qu'il travaille sur un film, Alter Rachkess refait le montage des heures de sa vie. Il les visionne comme les revoient, dit-on, ceux qui meurent. Au fil des lumières, des prénoms, il retrouve les femmes aimées, leurs yeux, surtout.
Son histoire s'inscrit dans le destin des Juifs d'Europe : les grands-parents sont venus de Lituanie en France, le père se réfugie dans les Alpes durant l'Occupation. Pour Alter, la vie devient un meurtre sans mobile apparent. Entre Paris, Tel Aviv, Jérusalem, New York, Vilnius, le plateau du Golan ou les canyons du Colorado, cet homme "de partout et de nulle part" cherche la clé de l'énigme.

Anne Rabinovitch a séjourné en Californie, à New York, Jérusalem, Varsovie, Budapest, Vilnius. Elle vit aujourd'hui entre Paris et Briançon. Traductrice renommée - de James Salter, Joyce Carol Oates et Ichiguro -, elle est venue au roman sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Après L'Hiver au coeur, elle a publié Les étangs de Ville d'Avray (Actes Sud, 1987), Pour Budapest il est encore temps (Actes Sud, 1990) et Par-delà les nuages (Léo Scheer, 2004).

Courier des auteurs le 29/11/2012

1) Qui êtes-vous ? !
Je voyage à travers les lieux et les mots. Je suis venue à l'écriture (à la poésie) avant de traduire (Kazuo Ishiguro, Alexandra Fuller, Norman Mailer, James Salter...), et au roman (Chacune blesse, la dernière tue est le sixième) sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Écrire, c'est ma manière d'être dans cette vie.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
De Vilnius aux Alpes, de San Diego à Tel Aviv défilent les images. Alors qu'il tourne un film, Alter refait le montage des heures de sa vie. Il revoit les visages des femmes aimées, les paysages qu'il a traversés. Sur la porte criblée de balles d'un couvent de Jérusalem, il découvre l'inscription Vulnerant omnes, ultima necat. «Chacune blesse, la dernière tue». Un signe du destin ? «Tu n'as pas peur ?» lui demande sa compagne. «Un jour, tu ne pourras plus fuir.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Une passion, parfois, ne dure que quelques minutes»

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Erik Satie

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
L'importance d'avoir une identité multiple, transhumante.


<div>

Courier des auteurs le 29/11/2012

1) Qui êtes-vous ? !
Je voyage à travers les lieux et les mots. Je suis venue à l'écriture (à la poésie) avant de traduire (Kazuo Ishiguro, Alexandra Fuller, Norman Mailer, James Salter...), et au roman (Chacune blesse, la dernière tue est le sixième) sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Écrire, c'est ma manière d'être dans cette vie.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
De Vilnius aux Alpes, de San Diego à Tel Aviv défilent les images. Alors qu'il tourne un film, Alter refait le montage des heures de sa vie. Il revoit les visages des femmes aimées, les paysages qu'il a traversés. Sur la porte criblée de balles d'un couvent de Jérusalem, il découvre l'inscription Vulnerant omnes, ultima necat. «Chacune blesse, la dernière tue». Un signe du destin ? «Tu n'as pas peur ?» lui demande sa compagne. «Un jour, tu ne pourras plus fuir.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Une passion, parfois, ne dure que quelques minutes»

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Erik Satie

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
L'importance d'avoir une identité multiple, transhumante.


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2) Quel est le thème central de ce livre ?
De Vilnius aux Alpes, de San Diego à Tel Aviv défilent les images. Alors qu'il tourne un film, Alter refait le montage des heures de sa vie. Il revoit les visages des femmes aimées, les paysages qu'il a traversés. Sur la porte criblée de balles d'un couvent de Jérusalem, il découvre l'inscription Vulnerant omnes, ultima necat. «Chacune blesse, la dernière tue». Un signe du destin ? «Tu n'as pas peur ?» lui demande sa compagne. «Un jour, tu ne pourras plus fuir.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Une passion, parfois, ne dure que quelques minutes»

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Erik Satie

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L'importance d'avoir une identité multiple, transhumante.


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Je voyage à travers les lieux et les mots. Je suis venue à l'écriture (à la poésie) avant de traduire (Kazuo Ishiguro, Alexandra Fuller, Norman Mailer, James Salter...), et au roman (Chacune blesse, la dernière tue est le sixième) sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Écrire, c'est ma manière d'être dans cette vie.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
De Vilnius aux Alpes, de San Diego à Tel Aviv défilent les images. Alors qu'il tourne un film, Alter refait le montage des heures de sa vie. Il revoit les visages des femmes aimées, les paysages qu'il a traversés. Sur la porte criblée de balles d'un couvent de Jérusalem, il découvre l'inscription Vulnerant omnes, ultima necat. «Chacune blesse, la dernière tue». Un signe du destin ? «Tu n'as pas peur ?» lui demande sa compagne. «Un jour, tu ne pourras plus fuir.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Une passion, parfois, ne dure que quelques minutes»

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Erik Satie

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1) Qui êtes-vous ? !
Je voyage à travers les lieux et les mots. Je suis venue à l'écriture (à la poésie) avant de traduire (Kazuo Ishiguro, Alexandra Fuller, Norman Mailer, James Salter...), et au roman (Chacune blesse, la dernière tue est le sixième) sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Écrire, c'est ma manière d'être dans cette vie.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
De Vilnius aux Alpes, de San Diego à Tel Aviv défilent les images. Alors qu'il tourne un film, Alter refait le montage des heures de sa vie. Il revoit les visages des femmes aimées, les paysages qu'il a traversés. Sur la porte criblée de balles d'un couvent de Jérusalem, il découvre l'inscription Vulnerant omnes, ultima necat. «Chacune blesse, la dernière tue». Un signe du destin ? «Tu n'as pas peur ?» lui demande sa compagne. «Un jour, tu ne pourras plus fuir.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Une passion, parfois, ne dure que quelques minutes»

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
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Je voyage à travers les lieux et les mots. Je suis venue à l'écriture (à la poésie) avant de traduire (Kazuo Ishiguro, Alexandra Fuller, Norman Mailer, James Salter...), et au roman (Chacune blesse, la dernière tue est le sixième) sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Écrire, c'est ma manière d'être dans cette vie.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
De Vilnius aux Alpes, de San Diego à Tel Aviv défilent les images. Alors qu'il tourne un film, Alter refait le montage des heures de sa vie. Il revoit les visages des femmes aimées, les paysages qu'il a traversés. Sur la porte criblée de balles d'un couvent de Jérusalem, il découvre l'inscription Vulnerant omnes, ultima necat. «Chacune blesse, la dernière tue». Un signe du destin ? «Tu n'as pas peur ?» lui demande sa compagne. «Un jour, tu ne pourras plus fuir.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Une passion, parfois, ne dure que quelques minutes»

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Erik Satie

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
L'importance d'avoir une identité multiple, transhumante.


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1) Qui êtes-vous ? !
Je voyage à travers les lieux et les mots. Je suis venue à l'écriture (à la poésie) avant de traduire (Kazuo Ishiguro, Alexandra Fuller, Norman Mailer, James Salter...), et au roman (Chacune blesse, la dernière tue est le sixième) sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Écrire, c'est ma manière d'être dans cette vie.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
De Vilnius aux Alpes, de San Diego à Tel Aviv défilent les images. Alors qu'il tourne un film, Alter refait le montage des heures de sa vie. Il revoit les visages des femmes aimées, les paysages qu'il a traversés. Sur la porte criblée de balles d'un couvent de Jérusalem, il découvre l'inscription Vulnerant omnes, ultima necat. «Chacune blesse, la dernière tue». Un signe du destin ? «Tu n'as pas peur ?» lui demande sa compagne. «Un jour, tu ne pourras plus fuir.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Une passion, parfois, ne dure que quelques minutes»

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Erik Satie

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
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1)

Qui êtes-vous ? !
Je voyage à travers les lieux et les mots. Je suis venue à l'écriture (à la poésie) avant de traduire (Kazuo Ishiguro, Alexandra Fuller, Norman Mailer, James Salter...), et au roman (Chacune blesse, la dernière tue est le sixième) sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Écrire, c'est ma manière d'être dans cette vie.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
De Vilnius aux Alpes, de San Diego à Tel Aviv défilent les images. Alors qu'il tourne un film, Alter refait le montage des heures de sa vie. Il revoit les visages des femmes aimées, les paysages qu'il a traversés. Sur la porte criblée de balles d'un couvent de Jérusalem, il découvre l'inscription Vulnerant omnes, ultima necat. «Chacune blesse, la dernière tue». Un signe du destin ? «Tu n'as pas peur ?» lui demande sa compagne. «Un jour, tu ne pourras plus fuir.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Une passion, parfois, ne dure que quelques minutes»

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Erik Satie

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
L'importance d'avoir une identité multiple, transhumante.


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1) Qui êtes-vous ? !
Je voyage à travers les lieux et les mots. Je suis venue à l'écriture (à la poésie) avant de traduire (Kazuo Ishiguro, Alexandra Fuller, Norman Mailer, James Salter...), et au roman (Chacune blesse, la dernière tue est le sixième) sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Écrire, c'est ma manière d'être dans cette vie.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
De Vilnius aux Alpes, de San Diego à Tel Aviv défilent les images. Alors qu'il tourne un film, Alter refait le montage des heures de sa vie. Il revoit les visages des femmes aimées, les paysages qu'il a traversés. Sur la porte criblée de balles d'un couvent de Jérusalem, il découvre l'inscription Vulnerant omnes, ultima necat. «Chacune blesse, la dernière tue». Un signe du destin ? «Tu n'as pas peur ?» lui demande sa compagne. «Un jour, tu ne pourras plus fuir.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Une passion, parfois, ne dure que quelques minutes»

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
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2) Quel est le thème central de ce livre ?
De Vilnius aux Alpes, de San Diego à Tel Aviv défilent les images. Alors qu'il tourne un film, Alter refait le montage des heures de sa vie. Il revoit les visages des femmes aimées, les paysages qu'il a traversés. Sur la porte criblée de balles d'un couvent de Jérusalem, il découvre l'inscription Vulnerant omnes, ultima necat. «Chacune blesse, la dernière tue». Un signe du destin ? «Tu n'as pas peur ?» lui demande sa compagne. «Un jour, tu ne pourras plus fuir.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Une passion, parfois, ne dure que quelques minutes»

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le 29/11/2012

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Je voyage à travers les lieux et les mots. Je suis venue à l'écriture (à la poésie) avant de traduire (Kazuo Ishiguro, Alexandra Fuller, Norman Mailer, James Salter...), et au roman (Chacune blesse, la dernière tue est le sixième) sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Écrire, c'est ma manière d'être dans cette vie.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
De Vilnius aux Alpes, de San Diego à Tel Aviv défilent les images. Alors qu'il tourne un film, Alter refait le montage des heures de sa vie. Il revoit les visages des femmes aimées, les paysages qu'il a traversés. Sur la porte criblée de balles d'un couvent de Jérusalem, il découvre l'inscription Vulnerant omnes, ultima necat. «Chacune blesse, la dernière tue». Un signe du destin ? «Tu n'as pas peur ?» lui demande sa compagne. «Un jour, tu ne pourras plus fuir.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Une passion, parfois, ne dure que quelques minutes»

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
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1) Qui êtes-vous ? !
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2) Quel est le thème central de ce livre ?
De Vilnius aux Alpes, de San Diego à Tel Aviv défilent les images. Alors qu'il tourne un film, Alter refait le montage des heures de sa vie. Il revoit les visages des femmes aimées, les paysages qu'il a traversés. Sur la porte criblée de balles d'un couvent de Jérusalem, il découvre l'inscription Vulnerant omnes, ultima necat. «Chacune blesse, la dernière tue». Un signe du destin ? «Tu n'as pas peur ?» lui demande sa compagne. «Un jour, tu ne pourras plus fuir.»

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2) Quel est le thème central de ce livre ?
De Vilnius aux Alpes, de San Diego à Tel Aviv défilent les images. Alors qu'il tourne un film, Alter refait le montage des heures de sa vie. Il revoit les visages des femmes aimées, les paysages qu'il a traversés. Sur la porte criblée de balles d'un couvent de Jérusalem, il découvre l'inscription Vulnerant omnes, ultima necat. «Chacune blesse, la dernière tue». Un signe du destin ? «Tu n'as pas peur ?» lui demande sa compagne. «Un jour, tu ne pourras plus fuir.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Une passion, parfois, ne dure que quelques minutes»

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2012

1) Qui êtes-vous ? !
Je voyage à travers les lieux et les mots. Je suis venue à l'écriture (à la poésie) avant de traduire (Kazuo Ishiguro, Alexandra Fuller, Norman Mailer, James Salter...), et au roman (Chacune blesse, la dernière tue est le sixième) sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Écrire, c'est ma manière d'être dans cette vie.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
De Vilnius aux Alpes, de San Diego à Tel Aviv défilent les images. Alors qu'il tourne un film, Alter refait le montage des heures de sa vie. Il revoit les visages des femmes aimées, les paysages qu'il a traversés. Sur la porte criblée de balles d'un couvent de Jérusalem, il découvre l'inscription Vulnerant omnes, ultima necat. «Chacune blesse, la dernière tue». Un signe du destin ? «Tu n'as pas peur ?» lui demande sa compagne. «Un jour, tu ne pourras plus fuir.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Une passion, parfois, ne dure que quelques minutes»

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
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1) Qui êtes-vous ? !
Je voyage à travers les lieux et les mots. Je suis venue à l'écriture (à la poésie) avant de traduire (Kazuo Ishiguro, Alexandra Fuller, Norman Mailer, James Salter...), et au roman (Chacune blesse, la dernière tue est le sixième) sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Écrire, c'est ma manière d'être dans cette vie.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
De Vilnius aux Alpes, de San Diego à Tel Aviv défilent les images. Alors qu'il tourne un film, Alter refait le montage des heures de sa vie. Il revoit les visages des femmes aimées, les paysages qu'il a traversés. Sur la porte criblée de balles d'un couvent de Jérusalem, il découvre l'inscription Vulnerant omnes, ultima necat. «Chacune blesse, la dernière tue». Un signe du destin ? «Tu n'as pas peur ?» lui demande sa compagne. «Un jour, tu ne pourras plus fuir.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
«Une passion, parfois, ne dure que quelques minutes»

4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
Erik Satie

5) Qu'aimeriez-vous partager avec vos lecteurs en priorité ?
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1) Qui êtes-vous ? !
Je voyage à travers les lieux et les mots. Je suis venue à l'écriture (à la poésie) avant de traduire (Kazuo Ishiguro, Alexandra Fuller, Norman Mailer, James Salter...), et au roman (Chacune blesse, la dernière tue est le sixième) sous le choc des événements de 1981 à Gdansk. Écrire, c'est ma manière d'être dans cette vie.

2) Quel est le thème central de ce livre ?
De Vilnius aux Alpes, de San Diego à Tel Aviv défilent les images. Alors qu'il tourne un film, Alter refait le montage des heures de sa vie. Il revoit les visages des femmes aimées, les paysages qu'il a traversés. Sur la porte criblée de balles d'un couvent de Jérusalem, il découvre l'inscription Vulnerant omnes, ultima necat. «Chacune blesse, la dernière tue». Un signe du destin ? «Tu n'as pas peur ?» lui demande sa compagne. «Un jour, tu ne pourras plus fuir.»

3) Si vous deviez mettre en avant une phrase de ce livre, laquelle choisiriez-vous ?
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4) Si ce livre était une musique, quelle serait-elle ?
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