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Journal de Rivesaltes, 1941-1944

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Le refuge et le piège : Les Juifs dans les Alpes : 1938-1945

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Le printemps refleurira - 1er livre

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Pierre Léoutre Pierre Léoutre
“Lectoure, eluctari - L'inéluctable reprise de l'histoire”

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René Nodot René Nodot
Mémoire d'un juste

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Personne ne m'aurait cru, alors je me suis tu

 

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Je hais cette France-là

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J'ai eu douze ans à Bergen-Belsen

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Je vous écris du Vél' d'hiv : Les lettres retrouvées

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Marseille, années 40

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XIe commandement : « Tu n'oublieras point »

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Jean-Noël Jeanneney Jean-Noël Jeanneney
Georges Mandel

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M. Dandel M. Dandel
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E. Lapersonne
Les Victimes Civiles en Haute Normandie

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Caroline Dornstetter Caroline Dornstetter
Les années sombres

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Je n’ai fait que mon devoir. 1941-1945, un Juste dans les rangs de la police

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Berthe Auroy
Anne-Marie Pathé
Jours de guerre. Ma vie sous l'occupation

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Germaine Tillion Germaine Tillion
La traversée du mal

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La France des camps : L'Internement, 1938-1946

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Louis Hochet Louis Hochet
Un enfant du siècle : Albert Pfleger (1900-1999), Frère Mariste

 

Serge Klarsfeld Serge Klarsfeld
La Shoah en France

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Pierre Stolze Pierre Stolze
Georges, Simone et Salomon, histoire d’un réseau de résistance

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9 jours pour sauver 30 000 personnes

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Géraldine Andréo
Claude Collin
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Le train s'est arrêté à Grenoble

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Merci d'avoir survécu

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Chouraqui André Chouraqui André
Ton étoile et ta croix

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Anna Marly Anna Marly
Anna Marly. Troubadour de la Résistance, Avec CD Audio

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Varian Fry Varian Fry
Albert Hirschman
Livrer sur demande... : Quand les artistes, les dissidents et les Juifs fuyaient les nazis (Marseille, 1940-1941)

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Errances de guerre

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Ouvrier et soldat

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Lisette de Brinon, ma mère - une juive dans la tourmente de la Collaboration

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Cédric Gruat Cédric Gruat
Cécile Leblanc
Amis des Juifs

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Fernand Tardy Fernand Tardy
Bonsoir, petite princesse bleue. Secteur de Digne de l'Armee Secrete, sous-secteur de Thoard

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Gérard Gobitz Gérard Gobitz
Les déportations de refugiés de zone libre en 1942 - Récits et documents concernant les régions administratives de Toulouse, Nice, Lyon, Limoges, Clermont-Ferrand, Montpellier (Camp de Rivesaltes)

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Georges Gheldman Georges Gheldman
16 juillet 1942

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Jean-Jacques Bernard Jean-Jacques Bernard
Le camp de la mort lente. Compiègne 1941-1942

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Jean Sagnes Jean Sagnes
Jean Marielle
Le vote des quatre-vingts, le 10 juillet 1940 à vichy

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Stephan Baier Stephan Baier
Eva Demmerle
Otto de Habsbourg. De l'Empire à l'Europe

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Renée Dray-Bensoussan Renée Dray-Bensoussan
Les Juifs à Marseille (1940-1944)

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Alfred Roger Coutarel Alfred Roger Coutarel
Itinéraire d’un résistant des Cévennes à la Libération

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Catherine Lewertowski Catherine Lewertowski
Morts ou juifs : La Maison de Moissac, 1939-1945

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Jean-Yves Guengant Jean-Yves Guengant
Brest et la franc-maçonnerie / Les Amis de Sully. Des origines à nos jours

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André Panczer André Panczer
Je suis né dans l'faubourg Saint-Denis

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Fatima Cavaco
Le consul proscrit

 

Raymond Samuel Aubrac Raymond Samuel Aubrac
Où la mémoire s’attarde

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Françoise Job Françoise Job
Gustave Nordon : 1877-1944

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 Collectif Collectif
Montluc, Antichambre de l’inconnu (1942-1944)

 

Jean-Philippe Thiriet Jean-Philippe Thiriet
Jean-Louis Clade
Philippe Markarian
Les Polonais dans les houillères de Ronchamp, 1919-1939

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Gérard Ferrand Gérard Ferrand
Montoire 1939-1945 - Une ville de province dans l'histoire

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Michel Slitinsky Michel Slitinsky
Bordeaux, indiscrétions des archives de l'occupation

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François Lecomte François Lecomte
Jamais je n'aurai quatorze ans

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François Gauducheau François Gauducheau
16 septembre 1943, les morts oubliés

 

Ida Grinspan Ida Grinspan
Bertrand Poirot-Delpech
J'ai pas pleuré

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Gilbert Martal Gilbert Martal
Un arbre en Israël

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Serge Klarsfeld Serge Klarsfeld
L'étoile des Juifs

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Ilona, ma mère et moi

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Jacques Sigot Jacques Sigot
Ces barbelés oubliés par l’Histoire, Un camp pour les Tsiganes… et les autres, Montreuil-Bellay 1940-1945

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Arlette Lipszyc Arlette Lipszyc
En quête de mon père Jankiel Lipszyc, Skierniewice (1898)-Miremont (1944)

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Yves Belaubre Yves Belaubre
La Protestation

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Martin Randanne Martin Randanne
Marc-Alexis Roquejoffre
Monseigneur Piguet, un évêque discuté

 

Colette Bourrier-Reynaud Colette Bourrier-Reynaud
Villars-sur-Var et la Résistance

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Gilbert Lacan Gilbert Lacan
Figeac en Quercy sous la terreur allemande, avril-mai juin-juillet 1944

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Patrick Cabanel Patrick Cabanel
Chère Mademoiselle... Alice Ferrières, Juste des Nations, et les enfants de Murat, 1941-1944

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Maurice Winnykamen Maurice Winnykamen
Hommage. Récit d'un enfant caché

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Loïc Dauvillier Loïc Dauvillier
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Greg Salsedo
Das versteckte Kind (L'enfant cachée, en allemand)

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Georges Loinger Georges Loinger
Frida Wattenberg
Jean Brauman
Organisation juive de combat : Résistance-sauvetage. France 1940-1945

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 Perthuis-Portheret Perthuis-Portheret
"Aout 1942. Lyon contre Vichy. Le sauvetage de tous les enfants juifs du camp de Vénissieux

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Remember! (Souviens-toi)

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Bernard Briais Bernard Briais
Une ville de Province dans la Guerre : Loches en Touraine (1939-1945)

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Simone Veil Simone Veil
Une vie, une jeunesse au temps de la Shoah

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Serge Klarsfeld Serge Klarsfeld
La Shoah en France. Volume 4, Le mémorial des enfants juifs déportés de France

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Robert Dutriez Robert Dutriez
La Seconde Guerre mondiale en Franche-Comté

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Max Lagarrigue Max Lagarrigue
1940, la France du repli, l'Europe de la défaite

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Philippe Bouchet Philippe Bouchet
Charles Lapicque, le dérangeur

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Paul Estrade Paul Estrade
Mouny Szwarckopf
Un camp de Juifs oublié : Soudeilles, 1941-1942

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Errance en France

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Drôle de guerre

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Rivelastes, un camp en France

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Te parler encore

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Sans fleurs ni couronnes

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Aumônier de la France Libre

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Evadé du Vél'd'Hiv

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Résistance Indre et vallée du Cher

 

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Marc Lizano
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La bambina nascosta (L'enfant cachée, en italien)

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Salomon Malmed Salomon Malmed
Sali

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Journal, Hélène Berr. Livre audio

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Doors to Madame Marie

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Les Prédestinés

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L'Oeuvre de Secours aux Enfants (OSE) sous l'Occupation en France. Du légalisme à la résistance 1940-1944

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Claude Chatelain Claude Chatelain
Claudius Longeray. Un homme de Dieu

 

Guy Perlier Guy Perlier
Camille Senon, aurai-je assez vécu pour tout ceux qui sont morts?

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Claude Lanzmann Claude Lanzmann
Shoah : le miracle oublié de Moissac

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Jean-Claude Moscovici Jean-Claude Moscovici
Voyage à Pitchipoï

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Convictions. 30 ans de combats pour l'assistance médicale à la procréation

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Hautmont sous l'Occupation

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Anise Postel-Vinay
Médecine et crimes contre l'humanité

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Albert Jacquard Albert Jacquard
Dans ma jeunesse

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Orthez sous l’Occupation

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Gilbert Wycke Gilbert Wycke
Le Lycée Paul-Louis Courier - Un établissement centenaire

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Étienne Dejonghe Étienne Dejonghe
Yves Le Maner
Le Nord-Pas-de-Calais dans la main allemande, 1940-1944

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Batailles pour Marseille

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Chemins faisant : Vers la Résistance

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Mes activités pendant la guerre

 

Yvonne Klug Yvonne Klug
Survivre - Souvenirs d'une rescapée d'Auschwitz (1945)

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Ralph Schor Ralph Schor
Un évêque dans le siècle : Monseigneur Paul Rémond (1873-1963)

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Denise Holstein Denise Holstein
"Je ne vous oublierai jamais, mes enfants d'Auschwitz..."

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Serge Gribe Serge Gribe
La révolte d'un rescapé face au silence de l'histoire

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Boris Touaty Boris Touaty
Les Cafés Maurice : Une saga toulonnaise

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Michel Slitinsky Michel Slitinsky
Pouvoir préfectoral lavaliste à Bordeaux

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Louis Aragon et Elsa Triolet en Résistance, Novembre 1942 - septembre 1944

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Michel Slitinsky Michel Slitinsky
Michel Slitinsky : l'affaire de tout un siècle

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Katy Hazan Katy Hazan
Georges Weill
Andrée Salomon, une Femme de Lumière

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Laurent Galandon Laurent Galandon
Hamo
L'envolée sauvage - La boîte aux souvenirs - tome 4

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Serge Klarsfeld Serge Klarsfeld
La Shoah en France. Volume 1, Vichy-Auschwitz : la "solution finale" de la question juive en France

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Josie Lévy Martin Josie Lévy Martin
Ne dis jamais ton nom

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Paul Schaffer Paul Schaffer
Als ich in Auschwitz war - Bericht eines Überlebenden (Le soleil voilé - Auschwitz 1942-1945 ; en langue allemande)

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Dominique Natanson Dominique Natanson
La mémoire juive en soissonnais

 

Pierre Goltman Pierre Goltman
Six mois en enfer

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Laurent Galandon Laurent Galandon
Jeanne Puchol
Laurence Croix
Vivre à en mourir

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Victor Pérahia Victor Pérahia
Mon enfance volée

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Jean-Pierre Guéno
Paroles d'étoiles - Mémoire d'enfants cachés (1939-1945)

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Benoit Klein Benoit Klein
Pétain : Les interrogatoires avant le procès (avril-juin 1945) suivis de L'audition de l'Ile d'Yeu (août 1946-juillet 1947)

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Robert Dutriez Robert Dutriez
La Seconde Guerre mondiale en Franche-Comté

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Monique Novodorsqui Deniau Monique Novodorsqui Deniau
Pithiviers-Auschwitz 17 juillet 1942, 6h15

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Jacqueline Grossman Jacqueline Grossman
Chased by demons

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Michel Slitinsky Michel Slitinsky
La nuit des évasions

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Gisèle Polya-Somogyi Gisèle Polya-Somogyi
Enfants déportés, enfants sauvés. Les petits réfugiés juifs du Gers

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Pierre Boismorand Pierre Boismorand
Magda et André Trocmé : Figures de résistances

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Woda Théodore Woda Théodore
Mille jours de la vie d'un déporté qui a eu de la chance

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Olchitzky-Gaillet Lydia Olchitzky-Gaillet Lydia
Spoliation et enfants cachés

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Pierre Dunoyer de Segonzac Pierre Dunoyer de Segonzac
Le Vieux Chef. Mémoires et pages choisies

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Lotte Schwarz Lotte Schwarz
Je veux vivre jusqu'à ma mort

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Éric Lebreton Éric Lebreton
Des visas pour la vie

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Germaine Tillion Germaine Tillion
Tzvetan Todorov
Fragments de vie

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 Perthuis-Portheret Valérie Perthuis-Portheret Valérie
"Aout 1942. Lyon contre Vichy. Le sauvetage de tous les enfants juifs du camp de Vénissieux

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Simon Jeruchim Simon Jeruchim
Hidden in France: A Boy's Journey Under the Nazi Occupation

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Dominique Missika Dominique Missika
Dominique Veillon
Résistance - Histoires de familles, 1940-1945

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Robert Sigaléa Robert Sigaléa
De Bucarest à Siaugues : ou le chemin des écoliers et les sentiers de la peur

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Anne Beaumanoir Anne Beaumanoir
Le feu de la mémoire : La Résistance, le communisme et l'Algérie, 1940-1965

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Loïc Dauvillier Loïc Dauvillier
Marc Lizano
Greg Salsedo
Dítě s hvězdičkou (L'enfant cachée, en tchèque)

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Yvonne Klug Yvonne Klug
Survivre - Souvenirs d'une rescapée d'Auschwitz (1945)

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Sandra Marc Sandra Marc
Les Juifs de Lacaune sous Vichy (1942-1944)

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André Besson André Besson
Clandestins de la Liberté. Ligne de démarcation et frontière suisse. 1940-1944.

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Georges Frélastre Georges Frélastre
Un vichyssois sous Vichy

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Sabine Zeitoun Sabine Zeitoun
Jean Moulin, unificateur de la Résistance

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Denise Holstein Denise Holstein
Le Manuscrit de Cayeux-sur-Mer

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Paul Arrighi Paul Arrighi
Silvio Trentin, un européen en Résistance 1919-1943

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Jean Henrion Jean Henrion
Ces Justes ont sauvé ma famille

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Loïc Dauvillier Loïc Dauvillier
Marc Lizano
Greg Salsedo
숨어 산 아이 (L'enfant cachée, en coréen)

 

Isaac Pougatch Isaac Pougatch
Charry, vie d’une communauté de jeunesse

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 Fondation pour la Mémoire de la Déportation Fondation pour la Mémoire de la Déportation
Livre-Mémorial des déportés de France arrêtés par mesure de répression et dans certains cas par mesure de persécution 1940-1945 - 4 volumes

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Michel Slitinsky Michel Slitinsky
La Resistance en Gironde

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Patrick Cabanel Patrick Cabanel
Histoires des Justes en France

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Annie Lambert Annie Lambert
Etre juif à Nantes sous Vichy

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Jean-Claude Duclos Jean-Claude Duclos
Fort Barraux : Camps et prisons de la France de Vichy, 1940-1944

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 POLYA-SOMOGYI Gisèle POLYA-SOMOGYI Gisèle
Enfants sauvés, enfants déportés; les petits réfugiés juifs du Gers (1940-1944)

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Jacques Salon Jacques Salon
Trois mois dura notre bonheur

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Claire Busseuil Claire Busseuil
La vie à Thizy pendant la guerre et l'occupation 1939-1945

 

Pascal Plas Pascal Plas
Michel C. Kiener
Enfances Juives. Limousin-Dordogne-Berry - Terres de refuge 1939-1945

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Marcel Goldstein Marcel Goldstein
LE COEUR ET LA RAISON. Autobiographie d'un médecin juif français né à Paris en 1930

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Paulette Abbadie-Douce Paulette Abbadie-Douce
Une institutrice suppléante dans la tourmente de l'occupation. Bordeaux, 1939... 1945

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René Cassin

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Philippe Souleau Philippe Souleau
Jean-Pierre Koscielniak
Vichy en Aquitaine

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Claude Laharie Claude Laharie
Gurs 1939-1945

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Jean-Yves Boursier Jean-Yves Boursier
Un camp d'internement vichyste. Le sanatorium surveillé de La Guiche

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André  Combes André Combes
La Franc Maçonnerie sous l'Occupation: Persécution et résistance (1939-1945)

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Réfugiés au pays des Justes - Araules 1942-1944

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Daniel Farhi Daniel Farhi
Au dernier survivant : Paroles sur la Shoah

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Henri Bartoli Henri Bartoli
La vie, dévoilement de la personne

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Berty

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Tereska Szwarc Torrès-Levin Tereska Szwarc Torrès-Levin
Une française libre, Journal, 1939-1945

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Histoire d'un bambin juif sous l'occupation nazie

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Louis Auger
André Guédé
Bernard Heude
Simon Ostermann
Sologne et Solognots dans la Seconde Guerre mondiale

 

Maurice Cling Maurice Cling
Un enfant à Auschwitz

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Fanny Sauleman
Deux mètres carrés

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Sauvetages et baptêmes. Les religieuses de Notre-Dame de Sion face à la persécution des Juifs en France (1940-1944)

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Le Camp de Jargeau - Juin 1940 - Décembre 1945

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Camille folliet prêtre et resistant

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Désobéir

 

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Quand vient le souvenir

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Thierry Chavant
Alberto Pagliaro
Hervé Duphot
Le combat des Justes - six récits de résistance

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Léon de Rosen Léon de Rosen
Une captivité singulière. A Metz sous l'occupation allemande (1939-1940)

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Georges Clause Georges Clause
Reims autour du 7 Mai 1945

 

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Le passeur

 

Annette Espinas-Nerson Annette Espinas-Nerson
Une âme dépareillée. Tome 2 - Enfer et bonnes intentions

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Août 1944 : la libération de Romans et de Bourg-de-Péage

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Vie de La Joselito selon les paroles de Carmen

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Adolfo Kaminsky, une vie de faussaire

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Jean Gardet
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Jean Viollet et l'apostolat laïc

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L'enfant cachée

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Jeunesse vers l'abîme

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La Shoah en France. Volume 2, Le calendrier de la persécution des Juifs de France

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Sauvés ! Mais à quel prix ? - Récit de deux enfants cachés

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Une mémoire pour le futur - L'Oeuvre de Secours aux Enfants : 90 ans d'histoire; édition bilingue

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Paul Schaffer Paul Schaffer
Le soleil voilé - Auschwitz 1942-1945

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La Libération en Franche-Comté Agents secrets & services spéciaux dans la résistance Tome 2 Jura & Doubs

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La rose et l'edelweiss - Ces ados qui combattaient le nazisme / 1933-1945

 

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La Mémoire déverrouillée

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Texte pour ecartement lateral

Familles hébergées, cachées ou sauvées en 1939-1945 (WWII):

Texte pour ecartement lateral

559 Familles réfugiées à [Compléter]
Famille Adass - Itzki (Marcel), 36 ans, né le 18 octobre 1907 à Beresneyatov (Russie), et son épouse Rose (Roza), 36 ans, née Simon le 5 juin 1907 à Montigny-les-Metz (Moselle), habitaient 11, rue des Bellevues à Villiers-sur-Marne. Arrêtés parce que juifs par la police française le 13 janvier 1943 à l'aube, Itzki sera déporté sans retour de Drancy vers Auschwitz le 11 février 1943 par le convoi n° 47 et Rose le 13 février 1943 par le convoi n° 48.
Leur quatre enfants, Arlette, née en 1930, Monique, née le 1er février 1934, Michel, né en 1936, et le petit Claude, née en 1941, survivront. Les trois aînés cachés à Saint-Christophe-des-Bois et le petit dans la Sarthe.

Famille Ahfeld - Marianne Ahfeld et son mari, qui avaient dû s'enfuir d'Aix-en-Provence lorsque leur cachette fut découverte, arrivèrent à Vialas. Ils avaient trouvé refuge à Aix-en-Provence, puis, découverts par la police, avaient été internés au Camp des Milles. Henri Manen* les sauva alors qu’ils étaient sur le point d’être déportés. Marc* et Françoise Donadille* les hébergèrent dans une petite maison de vacances qu’ils possédaient dans une forêt voisine à Saint-Privat-de-Vallongue.
1943 / 1944
Famille Aisenberg - Bernard, né en 1932, est caché chez Berthe* et Alphonse Vovard*, tandis que son petit frère, Maurice, né en 1941, est accueilli chez Gilberte Benoist à Couterne grâce à Lucienne Clément de L'Épine*.
Famille Ajzensztark - Grina, son frère Simon Konigsberg, et ses filles Frajda et Suzanne sont protégés par Lucie* et Georges Hertaux*.
Famille Akoun - Roland et Maurice, enfants juifs, sont cachés chez M. et Mme Beaugendre à Mecé.
1939 / 1940
Famille Alexander - Heinz Alexander
1943 / 1945
Famille Algazi - Sylvain, né en 1935, enfant juif placé par l'OSE est accueilli à Fougerolles par Victor et Marguerite Paillard à la Longraie. Sylvain sera scolarisé à l'école catholique en 1943. Le père de Sylvain était prisonnier en Allemagne. Quelques mois après son arrivée à La Longraie, sa maman, Mme Algazi, et sa sœur âgée de 17 ans furent arrêtées à Paris et déportées sans retour. Son cousin, Alexandre Hadjès, caché à Lyon, vient lui rendre visite environ tous les trois mois, muni de faux papiers.1
1940 / 1944
Famille Almi - Henri et Lucien Almi sont cachés par Lucienne Deguilhem* dans la ferme de Joseph Van der Poellen à Labarque (Monbahus).
12/1942 / 1944
Famille Amzel - Max et Mathilde Amzel, émigrés juifs d’Europe de l’Est, avaient quitté Paris à la déclaration de guerre et s’étaient réfugiés avec leurs deux enfants à Marseille où ils louaient un appartement. La propriétaire du meublé, consciente du danger encouru par la famille, leur suggéra de placer les enfants en sécurité au pensionnat catholique de Saint-Félicien. Le 12 décembre 1942, Henri, âgé de 10 ans, et Denise, âgée de 6 ans, entrent au couvent Saint-Joseph. Sœur Marie des Anges*. Leurs parents s’installèrent dans le village de sorte que les enfants puissent leur rendre régulièrement visite le dimanche. Ils y resteront jusqu'à la Libération.
05/09/1939 / 05/09/19340
Famille Andel - Maurice Andel, son épouse et leur fille Marie, âgée de 11 ans, sont évacués de Moselle à Availles-Limouzine. Ils trouvent un logement en face de l'hotel Cottineau. (Marie Andel)
1942
Famille Aronowitz - Annie, née le 19/01/1932, Lucienne, Marchella, Geneviève et sa fille Léopoldine, née en 1942, et Emile, né en 1934, juifs, sont placées par l'OSE à Fougerolles. Annie et Lucienne sont accueillies par la famille Guerin au Bourg, Marcella et Germaine vont chez les Jouenne à La Bourdonière, Geneviève et sa fille Léopoldine vont chez les Canet à La Frogerie et Emile est placé chez les Lecoq (à Landivy). Aucun des enfants n'est scolarisé.2
16/07/1944 / 20/08/1944
Famille ARROT - REFUGIER CHEZ LA FERMIERE MADAME HELIE NOUS VENIONS DE CAGNY (LETTRE)
Famille Avrach - Émile, médecin à Saint-Quentin.
1943 / 1944
Famille Badinter - Charlotte née Rosenberg en 1899 à Edivietz et ses deux fils Claude et Robert, né le 30 mars 1928 à Paris, sont réfugiés à Cognin en Savoie où ils sont accueillis par François et Marie-Françoise Charret. Robert Badinter fréquente le lycée Vaugelas à Chambéry. Ils resteront chez les Charret jusqu'à la Libération.
1942 / 1945
Famille Baran - Le 25 juillet 1942, Abraham (Jankiel) Baran né à Raddsyce (Pologne) le 19 avril 1901, commerçant à Dunkerque, installé à Lille, est arrêté en tentant de rejoindre la zone sud pour y trouver un abri pour sa famille. Probablement dénoncé par un "passeur", il est arrêté parce que juif, emprisonné à Loos, puis déporté sans retour vers Auschwitz de Malisnes par le convoi n° 1. Le 11 septembre 1942, à 6 h du matin, la police française se présente au 52 rue de la Vignette à Lille et arrête Fanny Baran, née Yerkowski le 30 octobre 1913 à Spitalfield (Angleterre), et ses deux fils, Maurice, né le 10/07/1933 à Poitiers, et Michel, né le 30/05/1942 à Lille, à leur domicile. Ils sont conduits à la gare de Lille-Five, où Georgette* vient leur apporter quelques vêtements et tente de sauver Maurice. Grâce aux cheminots Lillois, Georgette Franchois*, âgée de 18 ans, employée de maison chez les Baran, passe devant les gardes, tenant le petit garçon par la main. Elle l'emmène tout d'abord dans un café à deux pas de la gare. Maurice a alors la surprise quelques instants plus tard de voir arriver son petit-frère, Michel, soustrait lui aussi à la surveillance des gardes. Georgette Franchois* amène Maurice le soir même chez ses parents, Madeleine* et Marcel Franchois* à Loon-Plage. Les parents de Maurice seront déportés sans retour et le petit orphelin restera chez Madeleine* et Marcel Franchois* jusqu'en 1945.
Éva Durrleman*, qui avait réussit à sauver le petit Michel, l'emmènera au Château de la Huda. Elle retrouvera Maurice et fera adopter les deux enfants par une famille dont le père est juif, les Marszak.

Famille Barbara - Barbara, petite fille juive, est recueillie par Jean Vacher et son épouse Laurence née Chabrillange au Massoutre, sur la commune de Bugeat. Jean et Laurence s'étaient réfugiés de Paris dans leur maison de campagne dès l'exode avec leur fils Antoine. Julie épouse Farges, la sœur de Laurence, était venue les rejoindre. Louis Chabrillange, le frère de Laurence et Julie habitait à Noailles. Sa fille, Denise, venait parfois jouer avec la petite Barbara. A la fin de la guerre, Barbara réalisera un tableau de roses sur une plaque de contreplaquée, qu'elle offrira à ses sauveurs en remerciement. Laurence Chabrillange Vacher gardera toute sa vie cette toile accrochée dans sa salle à manger. (Anne Vacher Robert)
Famille Barouh - Maurice et Roger, enfants juifs, sont cachés à Saint-Christophe-des-Bois chez M. et Mme Lebreton, charbonniers. Ils seront baptisés le 10 juin 1944.
Famille Barouh - Maurice et Roger Barouh sont accueillis à Saint-Christophe-des-Bois dans la famille Lebreton.
1940 / 1944
Famille Barouh - Nissim Menahem Barouh et son épouse, immigrés juifs turcs, marchands de tissus sur les marchés de Levallois-Perret, envoient leurs trois enfants en Vendée, dans trois familles différentes. Élie, rebaptisé Pierre, âgé de 6 ans au début de la guerre, trouve refuge à la Grèlerie à Montournais chez Hilaire et Marie Rocher qui ont deux fils. Son frère, Albert, est caché à la Limouzinière, et sa soeur à Montournais dans des familles qui les protègent. Les enfants et les parents seront saufs.
1943 / 05/1945
Famille Barouh - Judith Barouh et Jacques resteront à Château-Gontier jusqu’en mai 1945, protégés par Marguerite* et Louis Fleuroux* et Azeline-Louise Portier*.
1943 / 1944
Famille Barszcz - Jacques, né en 1934, est caché chez Berthe* et Alphonse Vovard* tandis que sa sœur Germaine est accueillie chez Gilberte Benoist à Couterne grâce à Lucienne Clément de L'Épine*.
Famille Basch - Le docteur Marianne Basch, réfugiée à Bollène, recherchée parce que juive, trouve refuge à Saint-Paul-Trois-Châteaux chez M. Flandrin, et à Clansayes chez Mme Froment, en attendant de pouvoir se réfugier en Suisse avec son fils André âgé de 10 ans.3
Famille Basch - Le docteur Marianne Basch, réfugiée à Bollène, recherchée parce que juive, trouve refuge à Clansayes chez Mme Froment, en attendant de pouvoir se réfugier en Suisse avec son fils André âgé de 10 ans.4
01/12/1943
Famille Basch - Le docteur Marianne Basch, réfugiée à Bollène, recherchée parce que juive, munie de faux papiers fournis par Germaine Bodin du hameau de La Croisière, trouve refuge dans des familles bollénoises notamment chez Robert Buffière, Louis Bignan, ancien maire, M. Farjon, puis à Saint-Paul-Trois-Châteaux chez M. Flandrin, et à Clansayes chez Mme Froment, en attendant de pouvoir se réfugier en Suisse avec son fils André âgé de 10 ans.5
1940
Famille Behr - Jules né le 4/08/1856 à Neuviller, réfugié du Haut-Rhin.
1939 / 1942
Famille Benasra Mathilde -
Famille Benezra, Hiva et Uziel - Henri Malécot*, ingénieur à Nîmes, va aider et sauver Raphaël et Sarah Uziel, Yvonne Benezra et Colette Hiva.
Famille Berenbaum - Abraham, Esther et leurs deux enfants Maurice et Sophie ont été cachés dans le village chez monsieur et madame Jeanblanc qui ont été honorés du titre de "Gardiens de la vie" par l'Association française pour l'hommage aux Justes parmi les nations. (Source familiale)
Famille Berkowich - Lucien et René sont cachés dans deux familles différentes à Savigny-le-Vieux. (Témoignage d'A. Davy)
01/1943 / 1944
Famille Berkowicz - Lucien, né en 1935, et René, né en 1936, sont pris en charge par l'UGIF après l'arrestation de leur parents le 31 juillet 1942. Ils seront déportés sans retour vers Auschwitz. En janvier 1943, René, 6 ans et demi, et son frère Lucien sont placés dans des familles à Savigny-le-Vieux (Manche), près de Saint-Hilaire-du-Harcouët. La première famille où est placé René n'est pas très amicale. Il est alors déplacé chez une dame âgée, Mme Prim qui garde déjà un autre enfant. Simon Jeruchim, 14 ans, né le 25/12/1929, arrive chez Mme Prim en avril 1943. Après la guerre, Lucien et René sont placés dans un orphelinat puis partiront en Israël en décembre 1948. En 1982, René revient pour la première dans le village où il a été caché, mais il n'y connaît personne. Mme Prim est décédée. Lucien et René ont tenté de faire reconnaître le village "Juste parmi les Nations", et furent déçus d'apprendre que les dossiers ne pouvaient être qu'individuels.
07/1941
Famille Berl - Emmanuel Berl et son épouse Mireille, tous deux juifs, s'installent à Argentat en juillet 1941. C'est là qu'Emmanuel Berl rédige une Histoire de l'Europe.
1940 / 1943
Famille Berlin - Inge, née en 1924 et son frère Egon Berlin, né en 1928 arrivent d'Allemagne par la Belgique à Seyre, puis sont envoyés au Château de la Hille. En 1942, les enfants de plus de 16 ans sont arrêtés et internés au Camp du Vernet. Rösli Näf* contacte immédiatement Maurice Dubois* qui demande à René Bousquet de relacher les enfants. Ils reviennent à la Hille en septembre 1942. Inge fait partie d'un groupe de cinq jeunes qui rejoindront l'Espagne, tandis que Egon reste en France et rejoint la résistance. Egon Berlin, meurt en combattant près de Roquefixade à l'âge de 16 ans. Il est enterré dans la cimetière de Pamiers.
Famille Berneman - Jean-Louis et sa soeur sont cachés à Soulitré par Léon et Germaine Grégoire, paysans. (Témoignage Jean-Louis Berneman)
Famille Bernheim Burcez - Paul Bernheim était directeur général des galeries Bumsel de Belfort. Paul, son épouse Marie Eugénie dite Margot née Burcez et le père de celle-ci père, Jules Burcez, originaires de Belfort et Essert, sont réfugiés à Mazamet dans une ferme, au lieu-dit Rigautout, munis de fausses cartes d'identité établies par la mairie de Payrin-Augmontel. (Témoignage de Christian Sardin, 01/02/2014)
1941 / 1944
Famille Bidermanas - Israëlis Bidermanas (Israël Biderman), photographe, se réfugie à Ambazac en 1941 avec son épouse Anna et leur fils Manuel, né en 1938. Israëlis Bidermanas travaille clandestinement comme retoucheur pour des photographes locaux sous le nom d’Izis. Ils sont cachés par Marie-Louise*, Henri Jouanet*, et leurs enfants Germaine* et René*, habitants d'Ambazac et aidés par Henri Delage, employé à la mairie d'Ambazac. Passant de maison en maison, ils échapperont à la traque des Juifs. En 1944, Israël Biderman est arrêté par les Allemands, à Ambazac. Il tient tête et refuse de dénoncer les villageois, malgré les sévices qui lui sont infligés. Finalement relâché en pleine débâcle allemande, il s’engage dans la Résistance aux côtés des Forces Françaises de l’intérieur (FFI). Avec un vieil appareil à plaque, il demande à faire les portraits des maquisards de Grandmont qui viennent de libérer la ville.
juin 1943 / août 1944
Famille BIEDNY - Ida Biedny et sa mère ont été hébergées 14 mois chez Raoul et Louisette PERDRIAL au 124 rue Anatole France au Havre. Elles étaient cachées dans une chambre au grenier. le père a été déporté à Auschwitz. le fils Joseph était alors prisonnier en Allemagne. Je l'ai rencontré au Havre avant son décès. il ma' confirmé cela par écrit, comme me l'avait raconté mes parents et grands parents François PERDRIAL 28 juillet 2011 ( M Biedny Joseph)
JJ/MM/1942 / JJ/MM/1945
Famille Bielouzof (?) - La première fois que je l’ai vue, j’ai été surprise par le fait que son visage soit aussi sérieux. En effet je ne l’ai jamais vue rire et rarement sourire . Malgré mon jeune âge et le mutisme de Maman j’ai compris qu’elle se "cachait". Elle donnait la main à un monsieur qui m’a paru extrêmement vieux, son père, et était accompagnée par une cousine à elle, énergique et déterminée qui les avait pris en charge. Maman a dit : "Tu vas t’appeler Janine et tu seras ma fille aînée. Quant au monsieur, je vais voir ce que je peux faire, mais il ne faut pas qu’ils restent ensemble". Elle est allée tout de suite à la poste (contiguë à notre maison). J’ai su plus tard qu'à Saint-Loup-Cammas (village situé à quelques kilomètres de Pechbonnieu) il y avait une clinique d’aliénés mentaux dirigée par le Docteur Parant. Maman l’a appelé au téléphone sans vraiment le connaître : "Docteur accepteriez-vous immédiatement un malade ? - Son nom, son âge, sa maladie ? - Des deux premiers je ne sais rien... quant à sa maladie C’est celle dont on meurt beaucoup en ce moment ...- Amenez le moi. Je m’en occupe". C’est comme cela que Mr Holzer, dit alsacien, a été caché jusqu’à la libération dans le pavillon des agités. Il faut dire que son air effaré, inquiet et hors du temps se prêtait sans exagération à cette situation. Ce grand musicien avait pour consigne, afin de justifier son état, de dormir avec son violon, seul bagage qu’il ait sauvé au cours de son périple. Le visage de Janine, peau féminine et rides en moins, était la reproduction de celui de son père : yeux étroits vert et gris , menton pointu, lèvres fines, pommettes saillantes et...nez de même. Magnifiques cheveux roux agréablement frisés, qui semblaient se refléter ponctuellement sur son visage. Elle a vécu avec nous jusqu’à la libération : sa cousine est venue les rechercher, elle et son père, et ...je n’ai jamais eu de ses nouvelles depuis. Je comprends qu’à 14 ans, elle a souffert : arrestation de sa maman, fuite avec son papa et séjour chez des inconnus . Mais plus tard, devenue adulte, n’a t-elle pas compris que malgré la rusticité de notre accueil, la frugalité de notre nourriture, la simplicité de notre vie, la sévérité de Maman pour tout son monde c’était "notre vie" qu’elle partageait et cette vie a été son salut. J’ai toujours "la boule" quand je pense à elle. Est-elle encore en vie ? Je crois qu’elle s’appelait Bielouzof ou quelque chose comme cela. (Témoignage de Marguerite née Robène)
04/05/1943 / 08/05/1945
Famille BIGNON - Réfractaire au STO, André Bignon né le 18/11/1924 a été planqué par sa mère,Denise,puis un fermier, et enfin protégé par les voisins et surtout les gendarmes de Loué qui avaient découvert sa planque, sont même un jour tombés sur lui, n'ont rien dit, et n'ont pas inquiété la famille au delà d'interrogatoire de mon arrière grand-mère.
Famille Bize Noël - Le jeune étudiant en médecine Noël Bize a séjourné quelques temps à notre domicile (Jean Casteran) avant de passer en Espagne. (Suzanne Casteran)
1942 / 1945
Famille Blakharj ou Blachartz - Moçeh Blakharj né à Janov (Pologne) le 17 juin 1899, vivait à Freyssinet avec son épouse Malka Podemska née à Turek le 13/06/1904, leur fils né en 1930 et le père de Moçeh, cordonnier. Moçeh, résistant FFI sera tué par les allemands à Frayssinet au lieu dit Pont de Rhodes le 1 juillet 1944.
19/04/1943
Famille Blaustein - Liliane Arlette Blaustein est née le 19 avril 1943 à Clairvivre, fille de Ludovic Blaustein né à Budapest, Juif de Hongrie, et de Friderika Stern, également née à Budapest. Le couple était domicilié à Saint-Pierre-de-Chignac (Dordogne). Le père, Ludovic Blaustein, est recensé parmi les victimes juives de France sous le prénom de Louis. Il fut exécuté le 27 mars 1944. Entré en France en 1938, domicilié à Saint-Pierre-de-Chignac (Dordogne), il avait été engagé volontaire en 1940 mais avait été réformé. Le 7 juin 1941, la commission d’incorporation dans les Groupes de Travailleurs Étrangers (GTE) de la Dordogne avait décidé de son « incorporation » pour travaux légers, au 652e GTE de Mauzac (Dordogne). Le 20 juin de la même année, il avait été transféré de ce GTE, qui servait de centre de triage, au 665e GTE de Soudeilles (Corrèze), réservé aux Juifs. Il y était intégré sous le matricule n° 665.009. Il avait épousé sa femme, Frédérika Stern, couturière, à la mairie de Soudeilles, le 9 novembre 1941. À la date du 1er janvier 1942, il était en détachement à Servières- le-Château (Corrèze). Il avait été hospitalisé à Brive du 7 au 29 janvier 1942. Reconnu inapte, il avait été libéré du camp de Soudeilles le 13 juillet 1942 et il avait alors rejoint sa famille à Saint-Pierre-de-Chignac (Dordogne)24. Il y fut arrêté le 4 mars et il fut exécuté à Sainte-Marie-de-Chignac, au lieu-dit Les Potences, le 27 mars 1944, par des éléments de la division Brehmer, ainsi que 24 autres personnes. Liliane Blaustein a été adoptée comme Pupille de la Nation en 1951 et s’est mariée en 1963 à Hassolelim (Israël) avec Monsieur Asher Cohen.
Famille BLOCH - La famille Bloch aurait été hébergée à Naves-Parmelan. Le père a été arreté lors de la rafle de la milice le vendredi saint 7 avril 1944, et déporté. Il serait mort en déportation. (orale)
Famille Bloch - Alexandre Nicolot*, maire de de Saint-Laurent-sur-Saône de 1941 à 1959, fait admettre, à l’hôpital rural de Saint-Laurent-sur-Saône, Jules et Marthe Bloch, d’origine juive.
1943 / 1944
Famille Bloch - La famille Bloch trouve refuge à Vialas : Rose Bloch et ses deux fils, André et Jacques. André est accompagné de son épouse Yvonne née Dockès, de sa mère Juliette Dockés, et de leurs enfants Anny et Gérard. Jacques est accompagné de son épouse Lise. Toute la famille originaire de l’Est de la France, de Gérardmer, de Remiremont dans les Vosges et de Belfort, comprenant les Dockès, les Simon et les Oestreicher sont arrivés entre octobre et fin décembre 1943 : 14 personnes, 11 adultes et 3 enfants. Ils venaient des Vosges et avaient trouvé, après l’exode, refuge à Nîmes. Ils sont demeurés à Vialas jusqu’à la libération de Nîmes, à la fin septembre 1944.
27/05/1944
Famille Bloch - La famille Bloch est victime de la traque de Sainte-Orse (Dordogne) par la division Brehmer, le 1er avril 1944. Après son expulsion d’Alsace aux environs de Noël, fin 1940, la famille Lehmann s’installe à Sainte-Orse, dans de vieilles maisons insalubres, abandonnées, à l’écart du village, dans un petit hameau du nom de Rosas. La famille est alors composée de Camille Lehmann, le patriarche, agissant en tant que ministre officiant de la petite communauté juive de Sainte-Orse composée de 72 personnes, sur un total de 300 habitants. Ce nombre diminue à 52 personnes au début de l’année 1943. La grand-mère, Fanny Strauss, épouse Lehmann, décède le 19 janvier 1944 à Sainte-Orse. Simone Lehmann, fille des précédents, épouse le 18 juin 1942, à Sainte-Orse, Armand Bloch, de Drachenbronn. Albertine Lehmann, également fille des précédents, épouse le 10 novembre 1942, à Sainte-Orse, Marcel Loeb, de Oberseebach.
La division Brehmer, soutenue par la milice locale, se lance entre le 30 mars et le 1er avril dans des opérations visant à traquer les Juifs de la région de Périgueux. La Bachellerie, le 30 mars : 10 fusillés, 32 déportés, tous Juifs. Saint-Rabier, le 31 mars : 2 fusillés dont une femme abattue dans le dos et brûlée, encore des Juifs. Le 1er avril, c’est au tour de Sainte-Orse d’être investie par la division Brehmer. 200 hommes environ. 30 Juifs de la commune sont arrêtés, battus, fouillés, interrogés et dépouillés puis conduits à la mairie, dont Camille Lehmann. 7 hommes sont abattus, dont Camille. 18 autres sont chargés dans des camions, puis déportés de Drancy par le convoi 71. Parmi ces personnes Albertine Loeb, la fille de Camille Lehmann.
La famille Bloch, alertée par un résistant et sous la conduite d’Armand, se terre dans les bois environnants. Simone est enceinte de sept mois et Henriette est âgée de 11 mois. Pendant de longs jours, la famille erre dans les bois, mais la situation devient particulièrement critique pour Henriette et Simone. On décide alors de déclarer Henriette « enfant trouvée » et on dresse un acte. Des faux papiers sont établis au nom de Marguerite Lavignaud et la petite fille est conduite à l’Assistance publique. Simone est extraite vers fin avril-début mai de la forêt et conduite à la maternité de l’Hôpital des réfugiés de Clairvivre où elle donne naissance, le 27 mai 1944, à Michèle Fanny. Armand Bloch viendra la visiter la nuit alors qu’il rejoint le maquis. À noter que dans l’acte de naissance de Michèle, il est indiqué une adresse des parents à Périgueux, ce qui est probablement volontaire, mais faux. Ils n’ont jamais demeuré à Périgueux, mais à Sainte-Orse jusqu’au 1er avril 44 et dans les bois jusqu’à la Libération. Ils sont revenus à Sainte-Orse et y sont restés jusqu’à la fin de l’année 1945.

1940
Famille Block - Jules, voyageur de commerce, né le 14/10/1936 à Colmar, et Édith née le 19/9/1907 à Breme en Allemagne, réfugiés du Haut-Rhin.
Famille Blum - Étienne Blum, né le 12/12/1926 à Strasbourg, fils de Léon Blum (1878-1930), médecin juif alsacien, et petit-fils du rabbin Félix Blum (1847-1925), est lycéen au lycée Champollion à Grenoble. Il est contraint de fuir et se cache à Annecy en Haute-Savoie sous le nom d’Émile Beaulieu. Il s'engage à partir d'août 1944 dans le bataille Foges des Francs-tireurs et partisans et participe à la libération de la vallée de la Tarentaise. À la Libération, il garde, en le modifiant, ce nom et s'inscrit à la Faculté de médecine de Paris. Il deviendra le grand professeur de médecine et biologiste Étienne-Émile Beaulieu, co-inventeur de la pilule abortive RU 486. Sa sœur, Françoise Blum épouse Peillon, née en 1930, deviendra elle aussi une chercheuse en endocrinologie et sera la mère de Vincent Peillon (ministre de l’Éducation nationale dans le gouvernement Ayrault en 2012).
1940
Famille Blum - Anne, née le 19/01/1869 à Bauxviller, réfugiée du Bas-Rhin.
1944 / 1944
Famille Blumenthal - Hélène* et Victor Buffet* et leur fille Lucienne, recueillent Gérald Blumenthal qui séjournera chez eux 8 mois, jusqu'à la fin de la guerre.
1942 / 1944
Famille Blusztajn - Miriam née Kahan, et sa fille unique, Monique, née en 1929, habitaient à Paris. Après l'arrestation du père parce que juif, elles vont être aidées par Pierre* et Julia Toussaint*, agriculteurs à Beynat et seront sauvées.
1939 / 1940
Famille Bodenheimer - Liselotte Bodenheimer, dite Ilse
Famille Borek - Leyser et Blanche, et leur fils André, originaires de Troyes sont accueillis chez M. et Mme Lapeyre à l'hôtel du Parc de Bon-Encontre. En février 1943, Leyser Borek est arrêté parce que juif, il sera déporté sans retour vers Sobibor. Blanche et son fils André resteront à l'hôtel du Parc jusqu'à la Libération, malgré l'occupation de l'hôtel et du parc. (Témoignage d'André Borek)
07/1942 / 1949
Famille Boros - Nicolas Boros, juif hongrois, international de football, son épouse Hélène, juive originaire de Hongrie, et leurs deux enfants, Charles, né le 28 juin 1938 à Paris et François, né durant leur séjour à Blois sont protégés par René et Anne-Marie Pavot* et Marc Peigné, directeur sportif de l'AJJ Blois.
Famille Brama - Rachel et Jacques, enfants juifs, sont cachés à La Bâtonnais, à Val-d'Izé, et baptisés à Saint-Christophe-des-Bois le 10 juin 1944.
Famille Brama - Rachel et Jacques Brama sont accueillis par la famille Beunel à Val-d'Izé.
1942 / 1945
Famille Braunstein - Le 23 septembre 1942, Renée, née en 1927, Jacques, né en 1931, et Claude Braunstein, né en 1940, assistent à l'arrestation de leurs parents, Itic Braunstein, né le 13 janvier 1897 à Bacau (Roumanie), et Betti née Gold le 27 mai 1904 à Berlad (Roumanie) à leur domicile, 10, rue Saint-Joseph, dans le 2e arrondissement de Paris. Renée et Claude trouvèrent refuge à Romans. Claude est placé dans différentes familles avant d'arriver chez Henriette* et Joseph Venance* sous le nom de "Claude Brottin" où il sera choyé et protégé jusqu'à la Libération.
Famille Breindel -
Famille Brener - Salomon (Julien) Brener, son épouse Sarah (Susanne) née Furstenfeld ainsi que leurs filles Nicole et Fanny se sont cachés dans le village de Saint-Maurice-lès-Châteauneuf durant la guerre. Sauvés, ils y feront après la guerre l'acquisition d'un pavillon. (familiale)
1942 / 1944
Famille Brener - Hélène Brener, 7 ans, est accueillie par Blanche* et Léon Marouzé* et de leur fille unique, Léone. La famille accueillera alors Hélène Brener, 7 ans. Le père d'Hélène, Srul Brener, né le 31/01/1902 à Tarnopol (Pologne) sera arrêté parce que juif et déporté sans retour à Auschwitz le 17/07/1942 par le convoi n° 6. Leur mère, sera arrêtée lors de la rafle du Vél'd'Hiv et déportée sans retour.
1943 / 1944
Famille brunschwicg - Le philosophe Léon BRUNSCHWICG, fuyant Aix-en-Provence, est arrivé à Aix-les-bains, malade à 74 ans. Il a été accueilli à l'hôpital Léon BLANC, sous le om de BRUN, par le Dr Marc CHEVALLIER qui l'a accompagné jusque dans sa mort quelques mois plus tard. Le Docteur SAIDMAN, couvert par le pseudonyme FAVRE, a passé la guerre à Aix où il est décédé en 1949. Dans son solarium tournant, il a pu soigner quelques blessés de l'armée allemande avec la complicité de la Municipalité, du Corps Médical et du médecin colonel allemand commandant al place. (amchevallier2@wanadoo.fr)
1939 / 1940
Famille Buchholz - Helli et Rita Buchholz
Famille BURGER - La famille BURGER comme beaucoup d'autres du village d'Ennery et Charly (57) Moselle furent expulsés à Janaillat pendant la 2nd guerre mondiale.
Famille Cahen - Ferdinand, né à Everlange (Luxembourg) le 26 avril 1888. Marié à Lucie née Kahn, ils habitaient 24 avenue de la Gare à Esch-sur-Alzette (Luxembourg) avec leur fils Jean. Réfugiés à Saint-Léonard-de-Noblat, ils habitaient route du Bragard, près de la ferme Carcy. Ferdinand est arrêté parce que juif au "Raca" le 17/11/1943 et déporté sans retour vers Auschwitz le 17/12/1943 par le convoi n° 64. Lucie et Jean seront protégés.
1940
Famille Cahn - Bernard, tapissier, né le 17/06/1878 a Dauendorf et Mélanie née Ross le 5/06/1870 Romanswiller, réfugiés du Bas-Rhin.
1942 / 1942
Famille Caïn - A la veille de la rafle de Paris, Marc Labouré* eut le temps de prévenir Mireille Caïn, amie juive de son épouse Rosa. Il offrit à Mireille et à sa fille Madline, âgée de 5 ans, le refuge le temps qu’elles trouvent un abri sûr.
Famille Caron - Francette, née le 31 janvier 1936, enfant juive, est accueillie à Saint-Christophe-des-Bois par Jean Pihan, qui habite au bourg.
1942
Famille Cavada - Jean-Marie, né à Mirecourt le 24 février 1940 est recueillie par une famille de paysans de la vallée de la Moselotte (Vosges) après l'arrestation de ses parents, Mario et son épouse, dentelière, en 1942.
1941 / 1942
Famille Chaim - Edgar Chaim
Famille Chenciner - La famille Chenciner et son fils Alain sont cachés par Lucienne Deguilhem* à Monbahus.
Famille Chicheportiche - Jacqueline, née le 30 mars 1935, Claude, né le 15 juin 1936, et Alain, né en octobre 1941, enfants juifs, sont recueillis à Val d'Izé. Jacqueline est prise en charge par la famille Jeuland, au lieu dit La Haute Rallerie, Claude est accueilli par la famille Gardan au lieu dit Le Charbonnelais, et Alain est chez la famille Beunel, au lieu dit La Bâtonnais.
Famille Chicheportiche - Alain, enfants juifs, est caché à La Bâtonnais, à Val-d'Izé, et baptisé à Saint-Christophe-des-Bois le 10 juin 1944. Jacqueline, est cachée à la Haute Rallerie de Val d’izé, dans la famille Jeuland. Jacqueline et Claude, enfants juifs cachés, seront baptisés à Val-d'Izé le 3 juillet 1944.
Famille Choikhit - La famille Choikhit, juifs, et leurs enfants sont réfugiés à Sainte-Fortunade. Suzanne et son plus jeune frère fréquentent l'école catholique de Sainte-Fortunade, se faisant passer pour des enfants catholiques. (Témoignage de S. Choikhit Lieber)
1942 / 1944
Famille claude lisztman - interné dans une sorte d’orphelinat pendant la guerre à Argelouse. 32 enfants étaient rassemblés dans une maison appartenant à la famille Manteau. toute personne susceptible de témoigner sur cet endroit pendant cette période peuvent me contacter.
1942 / 1944
Famille Claus-Walker - A la veille de la rafle de Paris, Marc Labouré* eut le temps de prévenir Jacqueline Claus-Walker, amie juive de son épouse Rosa avec laquelle elle avait fait ses études. Il lui offrit le refuge le temps qu’elles trouvent un abri sûr. En avril 1944, Jacqueline tomba malade et il fallut l’hospitaliser d’urgence. Marc Labouré* la fit admettre par un de ses collègues dans une clinique privée sans la faire enregistrer. Les Labouré lui offrirent à nouveau le gîte pendant sa convalescence, puis une troisième fois pour échapper à une perquisition de la Milice dans son appartement.
Famille Cohen - Jacques, né le 6 mai 1901 à Tunis (Tunisie), et Esther, née Passy en 1908 à Constantinople, sont déclarés domiciliés dans la commune de Pontet le 4 juillet 1941.
1942 / 1944
Famille Cohen - Henri et René Cohen "dit Clavaux", enfants juifs âgés de 8 et 11 ans, sont cachés chez Fortuné et Marguerite Duplan, fermiers au Poët-Laval, avec la complicité du maître d'école, M. Arthaud.
JJ/02/1944 / JJ/09/1944
Famille Cohen - Albert Cohen, son épouse Berthe née Braun et leur fils, Edmond, alors âgé de 7 ans, avons été cachés par Mme Gabrielle Gasset au premier étage de la maison, qu'elle occupait avec sa mère Berthe Salles et son fils René Gasset, et ce de février 1944 jusqu'à la Libération fin août début septembre . En même temps que la famille Cohen, était cachée la famille Danon (Maurice, sa femme Lucie née Levy, et sa mère).. Etant tombé malade (asthme) au bout de 2 mois de claustration, Edmond pu ressortir, munis de faux papiers au nom de Marcel Colin. Il sera alors accueilli par Laetitia Carayol jusqu'à la Libération. Laetitia Carayol cachait, outre son fils André réfractaire au STO, un couple : Sam Schwitza (juif) et sa compagne chrétienne Yvonne Monrobert. (Edmond Cohen)
06/1940 / 05/1941
Famille Cojuc - Marc Labouré*, marié avec Rose née Cojuc, juive, va héberger de juin 1940 à la mi-mai 1941, sa belle-mère Fanny Cojuc et son beau-frère Georges qu’il aidera à passer en zone sud.
JJ/01/1944 / 30/04/45
Famille CORDIER (André) - Pour préciser ma contribution précédente, ce n'est pas une seule famille qui est arrivée de Wizernes mais 3 familles :la famille de Denis Cordier (5personnes) la famille de son frère André Cordier (5 personnes) et La famille Leducq (3 personnes qui deviendrons 4 en juillet 1944.,citée précédemment).Cette précision utile souligne l'aide apportée par des habitants de Surgy à ces familles totalement démunies et isolées. Sans cette aide tant matérielle que morale et dans des circonstances très difficiles,il était impossible de survivre très longtemps. Il fallait d'abord organiser leur séjour et leur installation ,trouver si possible du travail.J'avais juste un an et ma mère était enceinte de ma soeur : l'aide qui nous fut alors dispensée(suivi médical , alimentation) nous a aussi en quelque sorte sauvé la vie. Nous n'avions certes pas besoin de vivre cachés et loin de moi l'idée de comparer notre sort à celui des Juifs, mais cette action ,à un niveau moins dramatique est aussi à mettre à l'actif des habitants de Surgy. (Personnelle)
09/1939
Famille Corriger - Josette Corriger et sa famille sont hébergés par des amis dès leur arrivée, en septembre 1939, à Pineuilh : "Naturellement, nous leur avons payé un loyer dès notre arrivée".6
1941 / 1942
Famille Cosmann - Rosemarie Cosmann
1941 / 1941
Famille Crespi - Henri Crespi, journaliste juif, est hébergé durant plusieurs mois chez Mme Monier, habitant le hameau de La Croisière.7
02/1940 / 26/08/1944
Famille Cukier - En février 1940, M. Cukier, volontaire dans l'armée française, est cantonné à Bollène. Il y est rejoint par son épouse et son fils Jacob. De 1943 au 26 août 1944, Jacob sera caché et protégé par Georges* et Marie-Angèle Charmaison* à Bollène sous un faux nom. A la Libération, il retrouve ses parents. (Jacob Cukier)
1942 / 1950
Famille Cymbalista - Myriam Cymbalista, née en 1935, et son frère Norbert, né en 1939, habitaient à Lens. Arrêtés à Lens parce que juifs, leurs parents Avraham, 46 ans, et Esther Cymbalista, 34 ans, sont déportés sans retour de Lens le 11 septembre 1942, transférés à la Kazerne Dossin à Malines en Belgique puis à Auschwitz le 26 septembre 1942 par le convoi n° 11 avec les numéros 2287 et 2288. Marie et Norbert sont recueillis par Joseph* et Marianna Tysiak* où ils resteront jusqu'en 1950.
1943 / 1944
Famille Czernabroda - La famille Czernabroda, famille Israélite, vivant en région parisienne jusqu’en 1942, est composée de 6 personnes : Le père : Félix qui possède un atelier de tailleur, sa femme, Esther, une fille Madeleine, et 3 fils Jacques, Albert et Michel. Les rafles contre les juifs devenant de plus en plus pressantes, la famille décide de se réfugier en zone non occupée. Les Czernabroda franchissent clandestinement la ligne de démarcation dans la Vienne, dans le secteur de Chasseneuil-du-Poitou. Esther set arrêtée, sera internée à Poitiers et déportée sans retour à Auschwitz. Madeleine trouve un emploi sous le nom de "Marie-Louise Duparc" chez Guilloneau, tailleur à Montmorillon. Elle aura aussi comme fonction d’être gouvernante et professeur de piano des enfants Guilloneau. Albert se fait embaucher comme journalier sur la ferme de Marsat (commune de Lathus), où le secrétaire de mairie Monsieur Nallet lui fournit de faux papiers il se prendra d’amitié avec le fils de ce dernier : François Nallet.
Afin d’échapper à un contrôle des gendarmes, Madeleine, s’enfuit de Montmorillon et sillonne la campagne environnante en bicyclette, et trouve refuge à la ferme du Thoureau chez Valentine et Ernest Martin ou son père, Félix la rejoindra. En 1943 Valentine à 49 ans et Ernest en a 51, ils sont métayers et ont 5 enfants, 5 garçons : Louis 22 ans , Roger 20 ans, Robert 19 ans, Camille 18 ans et Maurice 15 ans. La ferme du Thoureau se trouve sur la commune de Saulgé (Vienne) et se situait au début de l’occupation, à peu prés à 30kms de la ligne de démarcation et donc en zone non occupée. Dans cette commune une petite minorité de personnes sympathisait avec l’ordre nouveau du gouvernement de la collaboration de Vichy. Pendant le passage de Madeleine et Félix au Thoureau, Louis et Roger, effectueront leur période de chantiers de la jeunesse, l’équivalent du service militaire que Vichy imposait aux jeunes gens de la zone non occupée. Dés l’arrivée de Madeleine et Félix, et afin de libérer une chambre, Ernest enverra Roger loger dans la ferme voisine de la Claudaline. Félix sera ouvrier agricole, employé en particulier, à surveiller le bétail et les moutons dans des pâtures, qui à l’époque n’étaient pas clôturées, et tailleur, quand à Madeleine, elle aidait ma Valentine aux tâches domestiques qui étaient le lot des jeunes filles de la campagne de l’époque. Un jour, 2 gendarmes, sont venus chercher la petite juive au Thoureau, et Valentine Martin aurait saisit une hache pour les menacer. Ils ne se sont jamais représentés !
La libération arrivera et les quatre Czernabroda qui avaient trouvé refuge dans le département de la Vienne seront saufs. Cette famille a honoré la mémoire de Valentine et Ernest Martin auprès du Centre Simon Wiesenthal (CSW) et en faisant planter des arbres en Israël par le Keren Kaymeth Lélsraël (KKL).8 (Témoignage de Bernard Martin)

Famille Daniel - La famille Daniel est originaire de Lorient. Lors de l'évacuation de cette ville une grande partie de la famille (la grand-mère et 7 ou 8 enfants) ont été évacués sur la commune de Larré (56). Une autre partie de la famille reste sur place à Lorient. (Familiale (Bruno Le Goff))
1942 / 1944
Famille Dassau - Jacqueline et Hélène Dessau, deux petites filles juives, sont accueillies et protégées par Madeleine Davaine* à Saint-Amand-les-Eaux entre 1942 et 1944 qui les hébergea et les éleva comme ses propres nièces.
1939 / 1944
Famille David - Les David sont réfugiés à Sainte-Foy-la-Grande. Il payent un loyer de 1939 à 1944 pour le logement qu'ils occupent, 85 rue Victor Hugo, à Sainte-Foy.9
08/1939 / 1945
Famille david maurice - refugie venant de Forbach.Le pere Jacob David est decede en decembre 1939
07/1942 / 08/1943
Famille Dawny - En juillet 1942, M. et Mme Dawny viennent à Tanus (Tarn) rejoindre leur neveu, Henri Steiner, autrichien. Ils s'installent à avec leurs deux enfants, Odette et Pierre âgés de 7 et 5 ans. Avec l’appui du maire, les Douzals les aidèrent à s’installer. Ils sont logés dans un grenier au dessus d'une étable de cochons. Le 26 août 1942, Henri Steiner est arrêté par la police française. Les Dawny évitent l'arrestation et seront saufs.
1941 / 1943
Famille de Jouvenel - Bertrand de Jouvenel des Ursins, né le 31/10/1903 à Paris, écrivain et journaliste, est le fils d'Henry de Jouvenel (homme politique et journaliste français, rédacteur en chef du journal Le Matin), et de Sarah Claire Boas10, juive. Il se réfugie à Argentat. Menacé d'arrestation par la Gestapo, il s'exile en Suisse en septembre 1943. À son retour en France, à la Libération, il échappe à l'épuration, mais se voit considéré, selon sa propre expression, comme un "pestiféré" en raison de ses penchants collaborationnistes en faveur de la puissance nazie et du fascisme.
Famille Dehem - Jacques, né le 15/04/1929, enfant juif placé par l'OSE est accueilli à Fougerolles par la famille Jouenne. Jacques ne sera pas scolarisé.11
1943 ?
Famille Delrue - Robert Delrue, né en 1921, est caché à Zoteux pour échapper au STO.
1941 / 1942
Famille Deutsch - Kurt Deutsch né à Ash (Tchécoslovaquie)
Famille Diamand - Cette famille juive habitait dans la maison de monsieur Mons qui habitait Meymec. Ils ont été arrêtés par les gendarmes de la brigade de Meymac.J eme rappelle de la tristesse de ma mère ce jour là. Mon pere était absent. petêtre que présent il aurait put " faire quelque chose" car il était généreux et était l'instituteur du village. J'étais enfant et ne peux préciser les dates mais je me souvien trés bien de cette famille dont le pere venait emprunter des livres au mien.Je ne suis pas sur de l'orthographe de leur nom.
1943 / 1944
Famille Dockès - La famille Dockès trouve refuge à Vialas : Juliette Dockès, Yvonne épouse Bloch, Suzanne épouse OEstreicher et Joséphine et Germain Dockès. Toute la famille originaire de l’Est de la France, de Gérardmer, de Remiremont dans les Vosges et de Belfort, comprenant les Dockès, les Simon et les Oestreicher sont arrivés entre octobre et fin décembre 1943 : 14 personnes, 11 adultes et 3 enfants. Ils venaient des Vosges et avaient trouvé, après l’exode, refuge à Nîmes. Ils sont demeurés à Vialas jusqu’à la libération de Nîmes, à la fin septembre 1944.
1942 / january 1945
Famille Dores - Mirelle, Mata and Maurice, born 1/10/1941. (OSE)
1940 environ / 27 06 1944
Famille Dr Reynolds chirurgien et famille - mes parents connaissaient cette famille arrivée probablement en 1940 je jouais parfois avec leur fille françoise et d'autres amies marguerite dite guiguite marie-claire et josette .Cette famille a été certainement avertie la veille de la rafle du 28 juin à Gourdon 46300 | (personnelle)
1941 / 1942
Famille Drab - Egon Drab né à Vienne (Autriche)
Famille Dreyer - Ethy et Jean Dreyer, fourreurs parisiens, réfugiés à Bons, sont cachés par Charles-Cobi, résistant haut savoyard (Vacheresse). (Témoignage de Lucie Charles-Cobi)
14/07/1943
Famille Dreyfus - Gérard Jacques Dreyfus est né le 14 juillet 1943 à Clairvivre, fils de Siegefroy Dreyfus de Altdorf (Allemagne) et d’Yvonne Klein de Mommenheim (Bas-Rhin), réfugiés à Périgueux. Monsieur Dreyfus s’est marié à Mulhouse en 1969 avec Hélène Simone Hassan.
1940 / 1944
Famille Dreyfus - Françoise Judith Sorya Dreyfus, née le 27 avril 1932 à Paris, petite fille juive qui deviendra Anouk Aimée, est cachée chez sa grand-mère maternelle, non juive, à Barbezieux-Saint-Hilaire durant toute l'occupation sous le nom de "Françoise Durand" et échappe au port de l'étoile jaune.
juillet 1943 / decembre 1943
Famille dreyfus Gaston et Jeanne et famille - famille juive: Dreyfus Gaston ne en 1897 son epouse jeanne nee kahn en 1909 les enfants : Gerard ne en 1933 et Huguette nee en 1938, les parents de Gaston Dreyfus: Joseph ne en 1869 et Reine nee en 1872 tous originaires d'Alsace et refugies a Limoges jusqu'en avril 1943 puis a Annecy . La famille a reside a St jorioz chez une famille Brunet, couple de retraites originaires de Paris. Gerard et Huguette on frequente l'ecole du village. A la suite du depart des Italiens et de l'arrivee des Allemands et compte tenu qu'il y avait a la fois des allemands, des miliciens et des resistants dans le village,la situation etait explosive pour des juifs caches. nous avons donc change de nom et nous nous sommes refugies a Naves Parmelan puis avons franchi la frontiere Suisse en Avril 1944. (huguette Dreyfus )
01/07/1943 / 31/10/1943
Famille Dufourg - Daniel Dufourg né en 1932 à Bayonne (64) séjourne à Izieu du 1er juillet au 31 octobre 1943.
Famille Ehelberg - Jacques Ehelberg est caché par Lucienne Deguilhem* dans la ferme de Joseph Van der Poellen à Labarque (Monbahus).
Famille Ehrenreich - Hélène, née en 1931, Jacqueline, née en 1934 et Thérèse, née en 1939, enfants juives placées par l'OSE sont accueillies à Fougerolles par la famille Pasdeloup qui habite Les Gobières. Les enfants ne seront pas scolarisés.12
28/05/1943 / 05/07/1943
Famille Elert - Charles né le 10 octobre 1932, à Belfort, âgé de 10 ans et Léon Elert né le 19 décembre 1936, à Belfort, âgé de 6 ans sont réfugiés à Izieu du 28 mai au 5 juillet 1943 tandis que les jumeaux Michel et Rose Elert nés le 4 décembre 1928, à Belfort, âgé de 14 ans n'arrivent à Izieu que le 10 juin et y restent jusqu'au 5 juillet 1943.
06/1940 / 02/1943
Famille Eljasiewicz - Hezla est engagé par Monsieur Kaladjian, cordonnier d'origine arménienne, dans son échoppe, produisant tous les faux papiers et les attestations nécessaires afin d'embaucher ce juif apatride. Mme Richard les héberge. La famille Eljasiewicz habitait à Lunéville avant la guerre. Elle s'était réfugiée au Puy-en-Velay en juin 1940. Hezla restera travailler 3 ans aux côtés de M. Kaladjian et ainsi subvenir aux besoins de ses proches jusqu'à la rafle de février 1943.13 (Témoignage Jacques Eloit)
1941 / 1942
Famille Elkan - Bertrand Elkan
1943 / 1945
Famille Elkan - Monsieur Elkan, son épouse et ses deux filles, Suzanne, 11 ans en 1943 et Régine, 7 ans en 1943, sont accueillis par Léon Mossuz* qui habite avec son épouse, Olympe, institutrice, et leurs trois enfants dont Gaston* alors âgé de 24 ans.
1940
Famille Elstein - Paul, né le 11/10/1901 à Wintzenheim, réfugié du Haut-Rhin.
1942 / 1944
Famille Engel - Rudy Engel est caché par Lucienne Deguilhem* dans la ferme de Joseph Van der Poellen à Labarque (Monbahus).
1943 / 1945
Famille Erbstein - Roland Erbstein et sa mère, Élisabeth épouse Grunspan, couturière, sont réfugiés à Arpajon-sur-Cère de 1943 à 1945. Roland est scolarisé dans la commune, notamment dans la classe de M. Marlinge. Durant ces deux années, Élisabeth et son fils Roland n'ont jamais été inquiétés par les allemands. Toute la population savait qui ils étaient et une protection solidaire s'était créée autour d'eux. (Témoignage Roland Erbstein)
1943 / 1945
Famille Erlich - M. Erlich, juif né en Pologne en 1897, son épouse, née en 1907, et leurs deux filles, Chancia, née le 5 mars 1929, et Suzanne, née en 1932, vont être aidés par Eloïse* et Gustave Blondet*, cultivateur à Lourdoueix-Saint-Pierre.
09/1941 / 1946
Famille Erlinger - Serge, né en 1938 à Paris, est caché et protégé par Romaine et Eugène Cherouvrier, qui habitent une ferme du hameau des Mardelles à Châtillon-sur-Cher.
Famille Erman - Daniel Erman est né le 5 février 1944 à Clairvivre, fils de Szmul Erman, né à Opatow (Pologne) et Chana Helman, née à Varsovie (Pologne). Domiciliée à Thenon en Dordogne, la famille Erman n’a pas été déportée.
10/1942 / 1945
Famille Ezrati - En octobre 1942, le pasteur Georges Gillier accueille à son domicile au Vigan, M. et Mme Ezrati et leur fils âgé de 11 ans. Le principal du collège fait admettre M. Ezrati comme répétiteur d’anglais. Marguerite Creston* trouve un appartement aux Ezrati où ils vont rester jusque fin 1945.
Famille Fainsilber - La famille Fainsilber est cachée à Barzy chez les Lécoyer.14
Famille Fainsilber - La famille Fainsilber est cachée à Cartignies chez les Gourmez.15
1939 / 1940
Famille Feith - Trautchen Feith
Famille Feldman - M. Feldman, coiffeur, Mme Feldman, couturière, et leurs deux enfants habitaient à Paris. Après la déclaration de guerre, Gisèle est envoyée en camp de vacances dans l'est de la France, tandis que son frère est envoyé en Normandie. Après la défaite de la France, M. Feldman est envoyé à Paulhaguet. Mme Feldman vient le rejoindre avec ses deux enfants. Ils sont aidés par le Dr Boulagnon et le chef de la police qui les aident et les préviennent en cas de rafle. La famille décide alors de partir. Aidés du Dr Boulagnon, Gisèle et son frère seront cachés dans un hôpital pour enfants tandis que leurs parents partiront se cacher dans un village de montagne. En 1944, Gisèle et son frère retrouveront leurs parents et la famille émigrera aux États-Unis en 1948.
Famille Feldman - Jacques, enfant juif, est caché à La Bazouge-du-Désert chez la famille Prime.
Famille Feldman - Les enfants Feldman sont accueillis chez les Prime dans la commune de La Bazouge-du-Désert
1940
Famille Ferstenfeld - Maurice, son épouse Annette et leurs enfants, Yvonne et Renée et la grand-mère, Oma, sont assignés à résidence à Grenade. Aidées par Jean-Geraud Saliège*, Yvonne et Renée seront cachées dans un couvent.
1943 / 1945
Famille Feuerlicht - La famille Feuerlicht est venue de marseille suite à l'arrestation du père de Hentscha Rosa Feuerlicht née Frant . Il y avait outre la mère, deux enfants Charles Feuerlicht ne en 1940 et rosie Feuerlicht née en 1936. Gisele naîtra à vic fFezensac le 26 juillet 1944 grâce en particulier à l' aide du curé Abel Tiard et du docteur Dat. Le père Leizer Feuerlicht participa à la résistance dans le département du Gers dans le cadre des FTP MOI . Une autre partie de la famille, sœur de madame Feuerlicht épouse Kochmann resta également un temps dans la même maison avec son fils René avant de partir pour Limoges. Les résistants qui ont aide cette famille et à qui je dois d'être née a vic fezensac , sont cités dans un ouvrage historique sur la commune édite par la commune. Outre le cure et le docteur , des gendarmes venaient avertir ma mère si danger de rafle il y avait. Celle ci était alors accueillie par le cure Abel avec ses 2 jeunes enfants. Mon frère Charlie Feuerlicht a témoigne de cela dans un mémoire sur les enfants cachés, et mon cousin René Kochmann également. Ma sœur a fréquente l'école de la commune. LEs Feuerlicht figurent dans les registres de la commune. Et j'y suis inscrite à l'état civil . (Famille)
07/1942 / 1944
Famille Fischl - Joseph et Aneska Stacke, catholiques, émigrés de Tchécoslovaquie en 1918, parents de 6 enfants, antiquaires à Salles-d'Angles, accueillent Monsieur et Madame Fischl et leurs deux enfants, Otto, né en 1929, et Lixi (Alex), originaires de Prague. Joseph et Aneska Stacke protégeront toute la famille Fischl durant deux ans.
1942 / 1944
Famille Fluss - Jacky Fluss, 2 ans et demi, est accueilli par les deux propriétaires du moulin, Albert* et Amélie Hulin*, et leurs enfants.
01/08/1943 / 23/09/1943
Famille Frainnet - Michèle est à à Izieu du 1er août au 23 septembre 1943.
1940
Famille Franck - Fanny, née le 03/11/1889 à Hochyelder, réfugié du Bas-Rhin.
JJ/MM/1942
Famille FRANCK Bernard - Raconte une anecdote (dans un de ses livres)où, alors enfant, il chute dans les escaliers extérieurs de l'hôtel, devant des allemands. (Rencontre)
1938 / 1946
Famille Frank - En 1938, la famille de Bernard Frank, né le 11 octobre 1929 à Neuilly, s'installe à Vic-sur-Cère (Auvergne) et ne revient s'installer à Paris qu'en 1946.
1939 / 1945
Famille Freiss - Les trois enfants Freiss sont accueillis à Sainte-Suzanne. Rosine restera de l'âge de 9 ans à l'âge de 14 ans chez Pierre et Julia Flous. Son frère Jacques est accueilli de 1939 à 1945 chez Marguerite Lalanne. Son frère Robert est accueilli dans la famille Laborde-Flous.
1939 / 1945
Famille Freiss - Rosine fut accueillie à Sainte-Suzanne, de l'âge de 9 ans à l'âge de 14 ans, chez Pierre et Julia Flous, avec ses deux frères, Jacques Freiss, accueilli de 1939 à 1945 chez Marguerite Lalanne et Robert Freiss, accueilli chez Laborde-Flous.
24/02/1944 / 1948
Famille Frenk - Jeanne, née Chermann, dactylo et ses enfants, René, né en 1930 et Josette, née en 1942 seront cachés par M. et Mme Millet, propriétaires d'un magasin de confection rue des Oiseaux où son mari, Jacques, était employé, après l'arrestation le 24 février 1942 de Jacques, né le 13/07/1904 à Lenzno (Pologne), tailleur, et de leur fils aîné Daniel, né le 04/10/1929 à Paris. Ils sont ensuite caché par M. et Mme Feray. M. Feray, représentant de commerce, connaissait Jeanne lorsque sa famille travaillait sur le marché. Ils seront saufs. Josette restera chez les Feray jusqu'en 1948.16 (Georges Legras et Roger Marchandeau)
Famille Fresco - Mme Fresco et ses deux enfants, Jacques et Noémie, dix-neuf et quinze ans, habitent à Bordeaux. Le 14 décembre 1943, une rafle a lieu à Bordeaux dans le quartier où habite la famille Fresco. Tout l'immeuble est arrêté mais ils semblent avoir été oubliés momentanément. Sans attendre, ils se mettent à la recherche d’un abri. Noémie Fresco (qui est sourde) a l'idée de s'adresser à sœur Dominique* pour qu'elle les héberge dans l'asile pour orphelines sourdes. La famille a pu rester dans cet asile une quinzaine de jours, le temps de trouver une autre cachette.
Famille Friedel - Ma mère, Emilienne Beaugheon, habitait en 1942-44 à Charmeil ou st Rémy en Rollat et m'a dit avoir sympathisé avec une jeune femme nommée Friedel.Elle mentionnait également des bébés, jumeaux je crois. elle disait qu'ils avaient été arrétés tous, un jour, sauf un qui avait sauté par une fenêtre; et qu'on n'en avait plus eu de nouvelles.... (souvenirs familiaux)
Famille Frydman - Renée Kaluszynski née Rebecca Frydman est protégée par Arthur Sentex*.
1941 / 1945
Famille Frydman - Pierre et Lalie Frydman, d'origine polonaise, et leurs fils Guy, né en 1936, et René, né le 3 novembre 1943 sont protégés par Jean* et Marie Cazenave* et Émilie Hourcade*, la mère de Marie*.
1941 / 1945
Famille Frydman - Pierre et Lalie, d'origine polonaise, et leurs fils Guy, né en 1936, et René, né à Soumoulou le 03/11/1943, sont cachés à Soumoulou durant 4 ans par Jean* et Marie Cazenave* et Émilie Hourcade*.
1942 / 1944
Famille Fuks - En 1942, les Fuks, des Juifs polonais, viennent se réfugier à Mauroux. Abel* et Laure Marès* et leur fille Jeanine, âgée de 13 ans en 1942, accueillirent Régina Fuks, âgée d'1 an, qui restera chez eux jusqu'à la Libération. Régina, son frère Gilbert, 10 ans, et leurs parents seront sauvés.
01/1944 / 1945
Famille Furst - En janvier 1944, le Georges Gillier accueille les Furst, avec deux enfants de 5 ans et 9 mois. Marguerite Creston* met gratuitement à leur disposition une maison qu’elle possède dans un hameau à Mandagout.
Famille Galitzky - Miron, sa femme et sa belle-mère, ainsi que leur fils sont aidés par le docteur Georges Cassan. (Témoignage de Jeannine Cassan-Laborie)
1942 / 1945
Famille Gans - Levi et Branca, deux adolescents juifs hollandais sont sauvés par Armand* et Marie-Thérèse Piel*. Ils placent le garçon dans une famille de confiance, Angèle* et Marcel Bodin* vivant à la campagne, tandis qu'ils gardent gardèrent la fillette, Branca, rebaptisée Bertille.
1941 / 1942
Famille Garfunkel - Hans Garfunkel
11/1942 / 1944
Famille Gebrowicz - Rachel, 2 ans, est confiée André* et Yvonne Berthet*, tandis que sa sœur, Suzanne, 11 ans, est placée chez les Chotin, sous une fausse identité.
1941 / 1944
Famille Gerber - Maurice, 7 ans, est confié à Armand* et à Célestine Vergnes* vivant avec Pierre et Ginette, leurs enfants et un autre petit garçon d'origine polonaise, qu'ils avaient recueilli. Armand* et à Célestine Vergnes* le protégera de 1941 à 1944, le considérant comme un enfant de la famille. De 7 à 10 ans, il fréquentera l'école voisine.
1940
Famille Gindzburger - Léonie, née le 14/03/1897 à Haguenau, réfugié du Bas-Rhin.
Famille Giniewski - Toto Giniewski installe une "usine de faux papiers" à son domicile à Seyssins
Famille Giniewski -
Paul Giniewski, résistant juif.

Famille Giwatowski - Maurice, enfant juif, est caché à Saint-Christophe-des-Bois et baptisé le 10 juin 1944.
06/04/1943
Famille Gladstein - Mariette Gladstein est née le 6 avril 1943 à Clairvivre, fille de Pinkas Gladstein né à Rowno (Pologne) et de Berthe Blum, née à Erstein. Ses parents se sont mariés à Erstein en 1931. Ils étaient réfugiés à Paussac-et-Saint-Vivien (Dordogne). Madame Blum est décédée en 1975 à Metz. Mariette Gladstein s’est mariée à Dunkerque en 1965.
1939 / 1942
Famille Glanzberg - La famille Glanzberg, les parents et leurs quatre enfants, sont évacués de Metz en 1939 et vont résider à Aytré jusqu'en 1942.
18/07/1942
Famille Glas - Pinches Glas, né le 4 janvier 1894 à Szydlo - Wiez et son épouse Handler, née Brogowska, habitent 37, rue des Cordeliers où ils ont leur commerce. Lors de l'arrestation des Juifs étrangers, en juillet 1942, ils sont cachés à Charles Letoffe, ancien gardien de la Paix, qui les garde chez lui du 18 au 26 juillet 1942. Par la suite, le même Charles Letoffe les prévient dès qu'une rafle est imminente, et leur sauvera ainsi la vie.
01/1944 / 1945
Famille Glass - En janvier 1944, le Georges Gillier accueille les Glass. Marguerite Creston* met gratuitement à leur disposition une maison qu’elle possède dans un hameau à Mandagout.
Famille Gluck-Feuerwerker - Antoinette Feuerwerker fut cachée à Lyon par Germaine Goblot, enseignante au Lycée des Pontonniers (aujourd'hui appelé Lycée International des Pontonniers à Strasbourg, spécialiste de l'Allemagne, et biographe de l'écrivain autrichien Karl Kraus (1874-1936). Germaine Goblot était la fille d'Edmond Goblot (1858-1935), le célèbre philosophe des sciences, et dreyfusard (Affaire Dreyfus). Elle risqua, pour elle, sa vie et celle de sa mère et de son fils, le professeur de philosophie François Goblot (1904-1974).
1943 / 1944
Famille Golberg - Maurice Goldberg "dit Bernard", enfant juif, est placé chez Marie* et Sully Amblard* et leur fils Samuel.
1941 / 1942
Famille Goldapper - Édith Goldapper, née le 12/11/1924 à Vienne (Autriche)
Famille Goldberger - Bonjour, voici un texte que m'avait envoyé feu mon père Léon Goldberger dont les parents étaient cachés à Objat. Son père Max Goldberger, était caché à Objat. Je connais l'isitoire de mon père enfant, caché dans l'Yonne chez une dame qui a reçu le titre de Juste à titre posthume. mais j'ignore à quel réseau de résistance mon grand-pèreMax à appartenu à Objat (Moi?) le témoignage de mon père: Je suis né en 1933 à Paris. J'étais fils unique de parents immigrés juifs polonais et hongrois. J'ai porté enfant l'étoile jaune dès le début. J'avais 9 ans en 1942 au moment des grandes rafles de juifs à Paris. Voici mon histoire : Nous avons été raflés, mes parents et moi, en pleine nuit par la police française et emmenés au commissariat du 3ème arrondissement dans une cohue indeSCRLPTible. PREMIER MIRACLE : les femmes non juives, mariées à un juif, avaient le droit d'accompagner leurs maris au commissariat. Voyant l'une d'elles, ma mère lui demande de me prendre par la main, comme si j'étais son fils et de sortir libre du commissariat. Cette femme accepte et nous sortons dans la cohue. Sitôt dehors, je la quitte et dans la nuit, je me précipite chez ma tante Frida (soeur de ma mère) épouse d'un prisonnier de guerre et dont le statut était donc protégé à l'époque. Je passe le reste de la nuit, assis sur le palier devant sa porte. DEUXIEME MIRACLE : mes parents sont emmenés à Drancy, de sinistre mémoire. A cette époque, ils travaillaient tous deux chez un fourreur qui fabriquaient des gilets en peau pour l'armée allemande. En une nuit, le patron perd ses 50 ouvriers tous raflés et va se plaindre aux autorités. Les 50 personnes sont libérées (cas rarissime) et ramenées à Paris. TROISIEME MIRACLE : raconté par mes parents. En consultant ses listes, le commissaire s'aperçoit qu'il lui manque un enfant. Il frappe mes parents pour les faire avouer et lance une escouade de policiers pour me rattraper en criant "trouvez-moi le petit youpin ! ". Ils ne me trouvent pas. QUATRIEME MIRACLE : dès leur retour de Drancy, mes parents me trouvent une nourrice, grâce probablement à un réseau juif clandestin, et je me retrouve à AVROLLES dans l'Yonne en zone occupée, un village de 413 habitants. Nous étions 3 enfants juifs Toute la population savait et nous a protégés (maire, institutrice, curé etc...)jusqu'au bout dans une longue suite de miracles. Mes parents ont quitté immédiatement Paris et se sont réfugiés en Correze. Pendant que j’étais caché à Avrolles depuis le début 1942 mes parents ont trouvé refuge à OBJAT en Corrèze (à l'époque zone libre) depuis fin 1942 . Mes parents sont partis en catastrophe à OBJAT, sans pouvoir m'emmener avec eux. Ils y ont vécu 2 ans en vivotant de travaux de couture pour les gens du coin. Mon père était dans la résistance avec les communistes et les réfugiés espagnols qui avaient fui Franco. (Comme il faisait partie des anciens combattants juifs (il avait fait la guerre de 1939-1940) et d'une organisation de résistants, les 2 organisations sont venues à son enterrement en délégation avec leurs drapeaux tricolores.) (Corine Goldberger)
1942 / 1944
Famille Goldberszt - Moshe et Rivka et leurs deux filles Jeanne et Charlotte arrivent de Belgique le 11 mai 1940. La famille est arrêtée en 1942 et les deux fillettes âgées de 10 et 13 ans sont placées à Albas. Jeanne, âgée de 13 ans, décide d'aller à Cahors rencontrer le Commissariat aux Affaires Juives et faire valoir le fait que ses parents sont de nationalité belge (les belges sont encore protégés jusqu'en septembre 1943 grâce à l'intervention de la Reine Élisabeth de Belgique). Elle obtient de M. Paolo la libération de sa mère de Gurs ! Celle-ci viendra les rejoindre à Albas. Leur père, Moshe parvient à s'échapper de Gurs, se réfugie en Haute-Savoie puis est caché à Nice chez une coiffeuse. C'est à Nice, en allant poster une lettre pour sa femme et ses enfants qu'il sera arrêté et envoyé au Camp de Drancy d'où il sera déporté sans retour en octobre 1943. Grâce à la protection de la population d'Albas, le facteur, M. Balay (le boucher), les châtelains de Rouffignac chez qui Rivka faisait de la couture et où Jeanne et Charlotte allaient faire les vendanges, Mme Bach (institutrice et bibliothécaire) et la famille de Paul Bergogne (prévenu des dangers par les gendarmes de Luzech) que Rivka et ses deux filles parviendront sauves jusqu’à la libération. (Témoignage Ch. Goldberszt)
14/07/1942 / 1944
Famille Goldnadel - Jacques Goldnadel, âgé de 8 ans ½ au moment de l'arrestation de sa mère, Rivka, née Konstabler en 1907 à Varsovie (Pologne), s'échappe grâce à Madeleine Lacroix*, employée par le couple Goldnadel. La jeune femme (âgée de 31 ans) prend la fuite, se fait passer pour sa mère et parvient à placer le petit garçon en lieu sûr dans la Creuse.
Pour en savoir plus : Mémoire vir(e)tuelle.

14/07/1942 / 1944
Famille Goldnadel - Bernard Goldnadel est confié par Madeleine Lacroix* à sa soeur Léontine née Lacroix et à son mari, M. Papillon après l'arrestation par les gendarmes de Vire accompagnés de la Gestapo de sa mère, Régine Goldnadel, à Vire en juillet 1942. Il va y rester deux ans, sans nouvelles de ses parents. En 1944, suite à une dénonciation, Madeleine Lacroix* revient le chercher pour le conduire en train en zone sud, à Guéret (Creuse).
22/06/1940 / 06/1942
Famille Goldsand - Perla Goldsand arrive de la Nièvre à Varenne avec David Roth et son épouse Zette, née Goldsand et Amalia Tettelès née Golsand.
Depuis le 22 juin 1940, tous les membres de cette famille sont logés dans la maison appartenant à Mlle Maury, modiste à Paris, située rue del Miech, qui correspond aujourd’hui au N° 54. En partance pour les USA à la date du 20 septembre 1940, le départ n’aura pas lieu faute d’autorisation.
Perla Goldsand quitte Varennes en juin 1942. (Régis Pinson)

1944 / 1945
Famille Goldstein - Armand, enfant juif placé par l'OSE, est accueilli par la famille Triguel à La Croix des Gardes. Armand est scolarisé à Fougerolles le 11/12/1944.17
1942 / 1944
Famille Goldsztajn - Joseph Goldsztajn et son épouse Liba, Juifs habitant Paris, trouvent une famille d'accueil pour leurs deux enfants âgés de 11 ans et 2 ans après avoir échappé la rafle du Vel d'Hiv. Ils les amènent à Villepinte chez Mr et Mme Bruno, une famille catholique qui baptisera Hélène. Elle restera chez les Bruno jusqu'à la Libération. Henri n'y restera que quelques semaines avant de repartir avec ses parents. Les Goldsztajn retrouveront Hélène, sauve, à la Libération.
1943
Famille Gonse-Boas - Fin décembre 1943, Jeanne Reynaud* emmène Gisèle Gonse-Boas en zone libre à Sainte-Maxime, cachée dans un wagon lit. Mais Gisèle tombe gravement malade et Jeanne Reynaud* la ramène dans une clinique parisienne.
4juillet 1944 / non connue
Famille GOSSELIN - COUSIN - Je suis à la recherche de renseignements concernant la famille GOSSELIN - COUSIN réfugié à Saint Andelain et éventuellement la famille chez qui ils furent accueillit (fiche d'évacuation numéro 323 en date du 18 juillet 1944 que j'ai en ma Possession) et qui demeurait à Etaples dans le Pas de Calais. Je parle ici de ma grand-mère ainsi que de ma mère....J'ai d'ailleurs une photo prise devant l'école....Toute la famille furent évacué dans la Nièvre (Pouilly – sur Loire au Château de Nozet (Egalement photos et documents) D’avance merci (Document personnel)
05/1940 / 10/1944
Famille Grimberg orthographe incertain - De 1940 à 1944, ma famille a caché la famille Grimberg (voir orthographe) pharmaciens à Saint Quentin 02 ceci à Saint Gaultier Indre. J'ai des photos, avec la maison et ma famille seulement. Cependant y figure un petit garçon de + ou - 6 ans, qui ne peut être de ma famille. J'ai vu sur votre site, un Bernard Grimberg, caché par le boulanger de Pau, Mr Lucien LIROU. Y a t'il moyen de le contacter Cette recherche est rendue difficile par le fait qu'il semble que la pharmacie ne soit pas à leur nom, et que je n'ai aucun écrit. Mais ils ont surement ré-exploité cette pharmacie après 1944, puisque tous les ans jusqu'aux environs de 1970, ils invitaient mes parents à dîner à Saint Quentin. Hervé Smagghe 06.15.06.36.45 (mes parents)
1943 / 1945
Famille Grinberg - Jeannette, Berthe, Simon et Daniel Grinberg ont été placés par des sœurs et le réseau du père Devaux à Amanlis, dans 2 familles. Ils furent amenés par leur sœur ainée Renée/Rebecca. Ils ont été sauvés; Rebecca est revenue les chercher après son retour de camp, en mai juin 1945. Je cherche les noms de ces familles, dont Rebecca ne se souvient plus.
18/11/1943 / 31/12/1943
Famille Grinblatt - Marcel né en France le 04/12/1936 - Placé au home d'enfants d'Izieu du 18 novembre à décembre 1943. - Emigre au Canada en 1958. - Fils de Regine et Albert Grinblat, adopté par Ruth et Howard Himel
Famille Grinfas - Daniel et Simon, enfants juifs placés par l'OSE sont accueillis à Fougerolles. Daniel et Simon ne seront pas scolarisés.18
Famille Grinsztajn - Les enfants Grinsztajn sont réfugiés chez les Hamard, à Saint Georges-de-Reintembault.
Décembre 1941 / 13/01/1945
Famille Grobla - En vacances, l'été 39, à Vollore-Montagne, plusieurs membres du YASC (club FSGT) ainsi que leurs familles dont les Grobla ont lié amitié avec quelques habitants de Noirétable et décidé de s'y mettre à l'abri quand les choses tourneraient mal. Nous y serons d'ailleurs (très bien) accueillis par une famille sur les pentes du "champ de foire". Mon père (qui se fera appeler Léon), démobilisé, s'y rend d'abord. Ma mère (qui se fera appeler Berthe) et moi, âgé de 5 ans, tentons de traverser la ligne de démarcation pour l'y rejoindre. Lâchés par le passeur, nous sommes arrêtés par les gendarmes qui acceptent que mon père vienne nous chercher. Mon frère, René, naîtra en novembre 1942. Par moments, avertis de l'imminence d'un danger, nos parents nous cachent, mon frère et moi, chez les uns ou les autres. Je suis même placé, interne, au pensionnat-externat (catholique) "des Familles" - alors que mes parents doivent se réfugier dans les bois. En fait, je fréquente surtout l'école publique du bourg.19 (Jean Grobla (JG))
été 1943 / fin 1944-début 1945
Famille Grosbart - La famille juive de Jacques Grosbart, composée de M. et Mme et de leur quatre fils, Paul, Albert, Charles et Félix s'est cachée à Lyon puis dans la commune de Anse (69480) avec l'aide de plusieurs Ansois, pendant près de 3 années. (Jacques Sperber)
1942 / 1944
Famille Grosman - Louis Grosman, son épouse Paulette et leurs enfants Henri, 10 ans, et Ginette, 5 ans, sont réfugiés à Châtillon-sur-Indre. Aidés par le docteur René Cluzeau, maire de Châtillon, les enfants sont accueillis par Fernande* et Paul Lecomte*, métayers à "La Gavaudière", une ferme isolée à 3 km de Châtillon, où ils habitent avec leurs enfants Raymonde et son époux Rolland Bourdeau, Germaine née en 1925, et Guy né en 1929. Paul, le fils aîné, est prisonnier de guerre, Maxime a rejoint le maquis.
1941 / 1942
Famille Grossmann - Arié Grossmann
01/06/1940 / 31/12/1945
Famille guillou - albertine, ses enfants denise, Raymonde et madeleine, ainsi que 2 petits enfants. famille alliée de la famille le morvan (familiale)
01/08/1941 / 24/08/1944
Famille Guitelman - Saint-Pierre-les-Nemours Pierre Noël, industriel parisien, et son épouse Charlotte, qui possédaient une résidence secondaire à Saint-Pierre-les-Nemours, route de Larchant, ont caché, en les faisant passer pour leurs jardiniers, Nouchem et Sima Guitelman, et deux de leurs jeunes enfants, Jeannette, 21 ans, et Maurice, 18 ans. Jeannette, née le 11 juin 1920 à Paris 18e, s'est mariée le 1er mars 1941 avec André Noël, le fils de Pierre Noël. Employée aux Galeries Lafayette à Paris, comme sténo-dactylo, repliée à Limoges en juin 1940, elle y travaille jusqu'à fin juillet 1941. Maurice, né le 23 juillet 1923, jeune mécanicien auto, est également caché. Jeannette accouchera le 6 juillet 1944 d'un fils, Gérard. Ils resteront à Nemours jusqu'à la Libération de Paris. Les Guitelman, venus de Russie, puis de Turquie en 1913, naturalisés français en 1927, ont pu échapper aux rafles, aux arrestations et à la déportation, grâce à l'action de Emile Seurat, le mari de Ida, troisième fille de la famille, née à Paris en 1915. Agent à la préfecture de police, il obtiendra le concours d'un collègue alsacien, Alfred Jurgens, interprète à l'état-major, qui récupèrera toutes les fiches de recensement de la famille, domiciliée dans le 18e arrondissement.
Famille Gurencajg - Lucien, né le 5 mai 1934, et Charles, né en 1938, enfants juifs, sont accueillis à Saint-Christophe-des-Bois. Lucien est chez Isidore Jeuland, tandis que Charles est dans la famille Barbot au lieu dit La Bouvetterie.
Famille Gurenkajc - Lucien et Charles, enfants juifs, sont cachés à Saint-Christophe-des-Bois.
1941
Famille Gutholc - David Gutholc, 11 ans, né le 29/09/1930 à Bruxelles (Belgique), est interné au Camp Joffre à Rivesaltes. Pris en charge par l'OSE, il est sorti du camp et sera accueilli, sous le nom de "Denis Girard" chez Madame Rudelle à Saint-Jean-de-Védas (Hérault).
1943 / 1944
Famille Gutman - Georges, âgé de 12 ans, est accueilli à Landivy chez Constant et Reine Chevris*, agriculteurs à l'Auguinière, et leurs enfants André, né le 14/03/1927, et Germaine, née le 14/03/1928. Georges fréquentait l'école du village dirigée par Louis Derennes*, qui le protégera également des rafles. Son petit frère, Roland, âgé de 5 ans, est pris en charge par la famille Louis Colin, à Landivy.
1943 / 1945
Famille Haas - Paul Haas, né le 1er avril 1941 à Brive-la-Gaillarde, juif, est caché et protégé par Marcel* et Emma Bleynie* (nommés Justes parmi les Nations en 2013) et leur fille Paulette Bleynie, de début 1943 à début 1945.
1943 / 1945
Famille Haas - Anna Haas, juive, confie son fils, Paul, né en 1941, à Marcel* et Emma Bleynie*, qui habitent à Saint-Louis-en-l'Isle, un petit village situé à quelques kilomètres de Mussidan. Marcel Bleynie est gardien de nuit dans l’entreprise des frères Gilfriche à Mussidan. Anna Haas réfugiée à Mussidan, trouve un travail de coupeuse de vêtements à l’entreprise Gilfriche. Elle vient rendre discrètement visite à son fils de temps en temps. Anna Haas, militante communiste rentrée dans la Résistance locale est en lien régulier avec les FTP pour qui elle assure des liaisons avec d’autres groupes de la région. A l’automne 1944, Anna Haas fait partie du Comité de libération de Mussidan. Elle devient également présidente de l’Union des femmes françaises (UFF) au mois de septembre 1944 jusqu’à son départ de Mussidan.
1940
Famille Hallel - Frédérique, né le 2/10/1885 à Reguisheim, réfugié du Haut-Rhin.
1942
Famille Halpern - Le Docteur Bernard Halpern loue au printemps 1942 une maison à Aiguebelette pour sortir les deux enfants Georges, 7 ans et Françoise, 5 ans de Lyon. Une jeune femme veille sur eux pendant que les parents sont à Lyon. La famille Halpern réussit à passer la frontière et à ne pas être refoulé par les autorités Suisse. [Suite] (Exil ordinaire)
1943 / 1945
Famille Hartstein - En 1943, André Hartstein, enfant juif âgé de 8 ans, rentre chez lui un soir après l’école, il trouve porte close. Se rappelant de la recommandation de ses parents devant une telle situation, il part trouver refuge chez des amis à Nanterre. Il ne sait pas, à l’époque, que ses parents, victimes des persécutions nazies, ont été déportés et exterminés. Il doit sa survie à Marguerite Roure, qui l’hébergea et le cacha chez elle pendant près de deux ans, consciente des risques qu’elle prenait.
16/06/1943 / 30/06/1943
Famille Haug - Miquette Haug est notée sur les listes de la colonie d'Izieu du 16 au 30 juin 1943.
1939 / 1940
Famille Heiberg - Berty Heiberg
1941 / 1942
Famille Helft - Inge Helft
Famille Hemmendinger - Claude, né le 7 avril 1923 à Strasbourg.
1942 / 05/12/1942
Famille Henlé - Hans Henlé, son épouse Laure Weiler, Claude Henle, âgé de huit mois, et sa grand-mère, Méta Weiler sont des Juifs arrivés de Belgique. Assignés à résidence à Aulus, ils demeurent tous les quatre chez les Cabaillé. Dans la nuit du 4 au 5 décembre 1942, ils sont convoyés par Jean-Pierre Agouau* et sa fille Jeanne* et parviennent en Espagne où ils seront saufs.
17 juin 1942 / 29 juillet 1944
Famille Hennequin Moise et Lecuyer Fernande Rachel - nés en 1898 et 1927, sans emploi, et demeurant 18 rue Florimond à Saint-Quentin et cachées pendant l'occupation dans une famille en Bretagne. Leur frère Fernand, déporté et emprisonné dans les camps où il a pu s'échapper.
1940 / 11/09/1942
Famille Herschbaum - Irma Herschbaum, réfugiée à Montauban, concubine d’Otto Saffir, a rejoint Varennes par la suite.
Elle échappe à la rafle du 26/08/1942 et du 11/09/1942.
Dans la nuit même, la famille Roth, Otto Saffir et d’Irma Herschbaum, fuient à bord d’un camion. (Régis Pinson)

23/06/1940 / 03/1942
Famille Herskovic - La famille Herskovic, de nationalité tchèque, venant d’Anvers,
- le père Émile, né le 11/10/1884 à Senne (Tchécoslovaquie), fromager,
- la mère Emma, née Hoffman le 27 mars 1893 à Vienne (Autriche),
- David né le 05/10/1920 à Fisar (Tchécoslovaquie), rejoindra sa famille à Varennes le 22 septembre 1941. David, 21 ans, est arrêté par les gendarmes de Villebrumier parce que juif et conduit au camp de Septfond, où il est affecté à une compagnie de travailleurs étrangers. Il sera déporté sans retour de la gare du Bourget-Drancy pour Auschwitz le 28 août 1942 par le convoi n° 25.
- Armin dit Armand né le 06/10/1924 en Tchécoslovaquie, rejoindra sa famille à Varennes le 26 avril 1941. Durant l’automne 1941, à peine âgé de 17 ans, il franchit les Pyrénées et rejoint Madrid puis Barcelone où il embarque sur le bateau portugais baptisé Nyassa à destination du port d’Haïfa en Palestine. Plus tard, il s’engagera dans la brigade juive, placée sous commandement anglais, et participera avec cette unité à la campagne d'Égypte puis à celle d’Italie, jusqu’à Udine au nord de ce pays.
- Hilda née le 31/05/1928 en Tchécoslovaquie. Part en mars 1942 au Château des Morelles et embarque pour les États-Unis le 30/07/1942.
- Otto né le 11/10/1931 à Anvers, Belgique. Part en mars 1942 au Château des Morelles et embarque pour les États-Unis le 30/07/1942.
A partir du 23 juin, ils sont logés au rez-de-chaussée d’une maison appartenant à Germain Gaubil, située dans la Grand’rue, remplacée de nos jours par la boulangerie-épicerie. Ce logement possédait une ouverture dans la rue del Miech, correspondant aujourd’hui au n° 53.
La famille quitte Varennes en mars 1942. Émile et Emma Herskovic seront arrêtés, fin juin ou début juillet 1942, et conduits au camp du Récébédou où Hilda et Otto ont pu leur rendre une dernière visite avant de s’embarquer pour l’Amérique. Le couple sera ensuite interné au camp de Gurs et libéré le 06/03/1943. Ils reviennent à Varennes, avant d'aller s'installer à Montauban, rue de la République. (Régis Pinson)

Famille Herszkowicz/Herscovitz - Aron (Avrom), né le 21/07/1922 à Berlin (Allemagne), apatride, apprenti fourreur, se fait remettre une carte d'alimentation à Meillon, en présentant sa pièce d'identité : C.I.40 AA 40099 AA 43612 délivrée le 07/06/1940 à Paris. Il parvient à rejoindre Lacaune où il arrive le 24/09/1942 et dont il repartira le 20/02/1943. (Dossier d'étranger 896 W 1358) (Fichier de Lacaune)
05/1943 / 1945
Famille Hertz - La famille de Paul et Suzanne Hertz, réfugiée depuis 1940 à Coirac est informée en mai 1943 d'une rafle prochaine grâce à Jacques Ellul* et fuit dans les Deux-Sèvres pour rejoindre le pasteur Pierre Fouchier*. Ils sont munis de faux papiers d'identité réalisés par Hélène Schweitzer* au nom de Henrion pour les Hertz et de Sambot pour Alice Samuel, la mère de Suzanne. Alice Samuel née Katz, sa fille Suzanne Hertz et ses petits-enfants Anne et Jean seront rejoint au printemps 1944 par Paul Hertz, cachés d'abord à Lyon puis à Toulouse. Ils seront protégés à Lezay jusqu'à la Libération.
Famille Heymann - Michel, est réfugié avec sa famille à Brives et habite au 4 de la rue Montesquieu à partir de 1940. Michel sera caché quelques mois chez des paysans à La Querie à Sainte-Féréole. (Témoignage M. Heymann)
26/08/1942 / 1943
Famille Hillinger - Mozes Hillinger, né en 1914, son épouse Léa et leurs trois enfants : David-Léon, Suzy et Éva, grâce à l'aide d'un laissez-passer obtenu auprès de l'adjoint au maire de Lavazan, arrivent à Castillonnès (Lot et Garonne). Le 26 août 1942, quelques heures après le départ de Mozes et de sa famille, ses parents, Aron et Hinda Mirel Hillinger sont arrêtés parce que juifs. Ils seront déportés sans retour du Camp de Drancy vers Auschwitz par le convoi n° 30 du 9 septembre 1942. Mozes Hillinger, Léa et leurs trois enfants, David-Léon, Suzy et Éva, survivront grâce à l'aide d'une grande partie de la population.
1940
Famille Hinderze - Auguste, charretier, né le 14/10/1902 à Epinal (Vosges).
Famille Hirsch - Robert Hirsch est caché à Jumilhac. Son cousin germain, Alfred Kann, sera arrêté puis déporté sans retour. (Témoignage R. Hirsch)
1940
Famille Hirsch - Charles, né le 21/10/1861 à Hattstatt (68420), réfugié du Haut-Rhin. Il décèdera en 1946 à Hattstatt.20 (Témoignage de Jean-Daniel Greub-Hirsch)
1941 / 1945
Famille Hirsch - Joseph, Suzanne, Marlyse, âgée de 12 ans et Robert, âgé de 12 ans, originaires de Belfort.
Famille Hirsch Meyer - Max Meyer ainsi que Robert Hirsch, son épouse Adeline née Meyer et leur fille Michèle sont réfugiés à Châteauneuf-la-Forêt. Ils seront protégés et sauvés par Louis Becette*, forgeron, et son épouse Germaine*, coiffeuse, aidés de leur fille Renée.
1943 / 1944
Famille Hirsch Przepiorka - Catherine* et Jean Arripe*, des exploitants agricoles qui vivent dans une ferme retirée du hameau Lembeye à Lasseube recueillent Jules-Pierre, 12 ans, et Charles, quatre ans. Les deux enfants que Catherine* et Jean Arripe* font passer pour des neveux venus de la ville où le ravitaillement est déplorable, resteront jusqu’à fin 1944 chez leurs sauveurs.
vers 1940 / vers 1944
Famille Hirschowitz - Mordha et Golda Hirschowitz ont fui Strasbourg en septembre 39 avec leur fille Eliane (3 ans). Ils ont fini par atterrir à Bollène où ils ont été cachés par la famille de Célestin Raynaud jusqu'en 43 ou 44. (fils des réfugiés)
08/11/1943 / 31/12/1943
Famille Hirtz - Georges Hirtz né à Paris 15e le 09/05/1937. Placé au home d'enfants d'Izieu du 8 novembre à décembre 1943. - Réfugié en Suisse. Il vit en France après la guerre.
1941 / 1942
Famille Hochberger - Adèle Hochberger, dite Dela, née en 1927 à Vienne (Autriche)
1942 / 1944
Famille Hoffnung - Roman et Hélène Fronzy, demeurant aux Porrots (Blanzy-Montceau-les-Mines), membres de la résistance polonaise POWN Monica 21 parviennent à soustraire la petite Hoffnung âgée de 9 mois à la rafle dans laquelle sa mère est arrêtée et sera déportée sans retour vers Auschwitz. Ils élèverons la petite jusqu'à la fin de la guerre, avant de la rendre à son père.22 (La tragédie des juifs Montcelliens)
1943 / 1943
Famille Holzel - Yehudit, non présente lors de la rafle.
Fin 1942 / Fin 1944
Famille Horwitz - Gérard, né le 23 novembre 1940 à Montpellier, dans une famille originaire de Metz, est caché chez Mme Rampignon, gardienne d'une fabrique de Porcelaine à Bourganeuf. (Gérard Horwitz)
1943 / 09:1944
Famille ichbiah - Peyrin, c’est là que nous sommes partis, je ne sais ni comment, ni même ou précisément cela se trouve, je ne me rappelle que du nom de Madame Toussaint, nom qui dans la bouche de mes parents, a longtemps été synonyme de délivrance. Dans son château de Condillac, elle nous a hébergé, donné un emploi de jardinier à mon père, qui grâce à cela a pu nous nourrir. Lors d’une visite d’officiers Allemands, Madame Toussaint nous déclara comme des réfugiés belges; voir plus bas il y en avait deja au château La famille de 5 personnes citée plus pas par la famille Nias c'était la notre, mon père Salvator ma mère Flore Ichbiah et mes deux frères, et peut être mes grands parents ? Jusqu‘en septembre 1944, mon père n’était pas malheureux de nous savoir à l’abri dans les communs du château. Des années plus tard, nous sommes repassés par Condillac devenu centre de rééducation pour enfants handicapés. Seul Michel, le fils de Madame Toussaint était encore la, mais l’évocation de ces souvenirs nous a tous envahis, et à défaut de sa présence, sa mémoire a été remerciée. (Famille)
JJ/MM/1943 / JJ/MM/1944
Famille ichbiah - Mes grands parents avaient trouvé refuge à Peyrins dans la Drome. C’est là que nous sommes partis, je ne me rappelle du nom de Madame Toussaint, nom qui dans la bouche de mes parents, a longtemps été synonyme de sauvetage Dans son château de Condillac, elle nous a hébergé, mon père, ma mère et mes deux frères ainés soit 5 personnes pendant plus d'un an, donné un emploi de jardinier à mon père, qui grâce à cela a pu nous nourrir. nous y sommes resté jusqu‘en septembre 1944, avec les nouvelles du front, de la libération de la Normandie, et des premières déroutes des armées Allemandes, mon père qui n’était pas malheureux de nous savoir à l’abri dans les communs du château a décider de remonter a Paris. Lors d’une visite d’officiers Allemands, Madame Toussaint nous déclara comme des réfugiés belges. Ils s’en contentèrent, (FAMILLE)
Famille Ickowicz - Après l'arrestation de son mari, Ben Tzion Ickowicz, qui sera déporté sans retour vers Auschwitz le 23/07/1942, Isabel confie ses enfants Georgette et Bernard, né le 2 août 1941, à une famille chrétienne à Vitry-sur-Seine. Ils y resteront jusqu'à la Libération.
24/06/1943 / 31/10/1943
Famille Ittah - Jacqueline et Josiane nées le 29 mai 1937, à Saint-Fons, âgées de 6 ans sont placées à Izieu, du 24 juin au 31 octobre 1943.
22/09/1943
Famille Izrael - Léon Izrael est né le 22 septembre 1943 à Clairvivre, fils de Samuel Izrael né à Velika-Kopana (Pologne) et de Malka Pickel également née en Pologne à Vonikova. Réfugiés à Hautefort (Dordogne).
06/09/1939 / 1944
Famille Jacob - Jules, Jean et Pierre Jacob tenaient un bazar à Mont-Saint-Martin, près de Longwy. Ils arrivent à Sainte-Foy-la-Grande le 6 septembre 1939. Jules et Jean Jacob sont membres du Stade Foyen. Pierre, engagé dans l'Armée Secrète fut fusillé à Sarrazac, en Dordogne, le 29 mars 1944.23
Famille Jacob, Lévi, Rosa et sa soeur - Louis Honner (?), ami de mes grand-parents d'origine alsacienne et donc parlant allemand comme eux mangeait au restaurant "Chez Ferrié"(?) à Montmoreau, quand il a entendu des officiers allemands évoquer la rafle qui allait avoir lieu le soir même. Il a averti tous les juifs de Montmoreau. Ma mère a (alors ?) vu arriver chez elle ("chez Ballans" Courgeac) 4 personnes juives (1 couple avec le frère du monsieur et la soeur de la dame), dont elle ne se souvient plus du nom de famille, mais l'homme marié se prénommait Jacob. son frère Lévi. l'une des deux femmes s'appelait Rosa. Mes grands parents qui les connaissaient déjà les ont hébergés plusieurs mois (6 environ). C'était des gens très débrouillards, qui troquaient leurs ouvrages (chaussons en peau de lapin, aquarelles naïves) contre de la nourriture auprès du voisinage, ce qui améliorait l'ordinaire...Les gens ne les dénonçaient pas, mais mon grand-père se méfiait quand-même et il avait donné des consignes de fuite à sa famille au cas où les allemands seraient arrivés. Il était bûcheron à l'époque et connaissait un chauffeur livreur de bois (Georges Fouquet de Juignac ?) qui a accepté de les aider à partir (en zone libre ?), cachés au milieu de deux tas de bois dans son camion. Ils avaient emporté avec eux un pigeon de mon oncle, avec la consigne de le lâcher quand ils seraient arrivés à destination. Malgré les conseils de mon grand-père de partir tout de suite avec les autres,Jacob a souhaité retarder son départ car il espérait récupérer une pension à Montmoreau, où il a dû être arrêté. Mes grands-parents n'ont plus jamais eu de nouvelles de lui, ni des 3 autres (le pigeon était néanmoins revenu dans les temps). J'ai raconté ces faits selon la chronologie racontée par ma mère Hilda Bernhardt (10 ans à l'époque), Mais peut-être que les 4 personnes ont été hébergées par mes grand-parents les 6 mois avant la rafle et que Jacob a été arrêté lors de la rafle...
1943
Famille Jaklimovitch - Après l'arrestation de leurs parents, Jankel et Dora Jaklimovitch à Paris, leurs trois enfants, Ida, Jacques et Georges, né le 14 mars 1936, quittent Paris pour Seignelay avec l'aide de Marcelle Robineau*. Fernand Poulet*, secrétaire de la mairie, accepte de les prendre en charge et leur fait de faux papiers. Jacques et Ida deviennent Jean et Janine Mesmin, nés à Vico en Corse dont les parents étaient morts sous les bombardements. Jacques est alors séparé de sa sœur, tandis que Georges est confié à une autre famille.
Georges quitte ensuite cette famille et sera placé dans un centre juif de l’UGIF avenue Secrétan (Paris 19ème). Âgé de 8 ans, il sera arrêté par les nazis et déporté sans retour le 31 juillet 1944 de Drancy vers Auschwitz par le convoi n° 77.
A la Libération, Ida et Jacques, seuls survivants, sont recueillis par deux de leurs tantes.

Famille Jakobson - La famille Jakobson et leurs deux enfants, Sabine et Bernard sont cachés par Lucienne Deguilhem* à Monbahus.
06/1940 / 20/09/1940
Famille Janover - La famille Janover, de nationalité française, naturalisée par décret du 6 décembre 1932, venant de Paris,
- le père Maurice né le 29/12/1897 à Varsovie (Pologne), maroquinier
- la mère Perla née le 08/08/1901 à Varsovie (Pologne), maroquinière
- Hélène née le 20/10/1923 à Paris 12e,
- Félix né le 08/08/1925 à Paris 12e,
- Reine née le 25/11/1928 à Paris 10e,
- Roger né le 17/09/1931 à Paris 18e,
- Germaine née le 08/09/1934 à Paris 18e,
- Louis né le 07/12/1937 à Paris 18e.
Ils sont logés dans une maison, aujourd’hui détruite, de la vallée du Tescou.
Toute la famille quittera Varennes le 20 septembre 1940 pour s’installer à Avignon, ville dans laquelle la maman mettra au monde des jumeaux, le 25 janvier 1941. Félix et Germaine reviendront à Varennes au printemps 1944, ils seront alors hébergés au hameau de Tendet, à Puylauron, par la famille d’André Ordize. Félix s’engage au 3e régiment de Hussards, le 28 août 1944 à Montauban. Il meurt au combat le 20/10/1944. (Régis Pinson)

1942 / 1945
Famille Jastreb - Félix Jastreb, un petit garçon juif âgé de 11 ans, muni de faux papiers, est accueilli par Raymonde Roger*, et fréquente l'école de la commune. Orphelin de père, sa mère Golda, 38 ans, sera déportée sans retour de Drancy vers Auschwitz le 9 février 1943 par le convoi n° 46. Félix restera à Droué, chez Raymonde Roger* jusqu'à l'été 1945.
1940 / 1944
Famille Jeanmaire-Wolf - Georges Jeanmaire-Wolf (dit Jojo) est caché par Lucienne Deguilhem* dans la ferme de Joseph Van der Poellen à Labarque (Monbahus).
04/1943 / 1945
Famille Jeruchim - Simon Jeruchim, 14 ans, fils d'émigrés juifs de Hongrie arrive chez Madame Prim, à Savigny en avril 1943. Sa soeur est accueillie par M. et Mme Ledauphin. Sauvés, ils partiront vivre à New York après la guerre.
04/1943 / 08/1944
Famille Jeruchim - Simon, 14 ans, né le 25/12/1929, arrive chez Mme Prim en avril 1943. Il repartira après quelques mois se réfugier au hameau de La Renaudière, chez les Geslins. Lorsque le village sera libéré par les Américains en juin 1944, Simon rejoindre Paris à pieds, déterminé à commencer une nouvelle vie.24
1942 / 1943
Famille Joinovici - Henri parviendra seul à échapper à la rafle du 12/10/1942 à Château-du-Loir durant laquelle sont arrêtés parce que juifs sa mère Brajna, 41 ans, née Lipka à Ostrow (Pologne) en 1901, sa soeur Anna, 12 ans, née en 1930 à Paris (14e) et son frère Albert, 11 ans, né le 22 janvier 1931, ainsi que ses oncles, tantes et cousins. Ils seront déportés sans retour à Auschwitz par le convoi n° 42 du 6 novembre 1942. Henri sera sauvé par Édouard Cartier* et son épouse Louise*, habitant au lieu dit La Goupillière avec leurs cinq enfants.
1940 / 1944
Famille Juliard - Louis Juliard, ses deux fils André et Alex, ses deux belles-filles, Denise et Andrée, et leurs enfants seront réfugiés à Vialas, aidés et protégés par Françoise* et Marc Donadille*, les Guibal du Vilaret, Léon* et Yvonne Guin* qui habitaient une ferme à Tronc (commune de Saint-Maurice-de-Ventalon), et bien d’autres membres de la Résistance, des gendarmes tels que le brigadier Salager et le gendarme Pellet, Yvette Brignand Rota qui est montée en courant de Soleyrols pour les avertir de partir à Lafont, le Tonton Brignand qui les emmène avec sa charrette... Durant quatre ans, entre 1940 et 1944, les Cévennes sont devenues le refuge de cette famille composée de 10 personnes.
Famille Kac - Fanny est cachée à la Gandonnière, à La Chapelle-Erbrée, chez Mme Deshay.
1941 / 1945
Famille Kahn - Max et Yvonne Kahn, et leur fils Freddy, âgé de 17 ans, originaires de Belfort
1943 / 1944
Famille Kahn - Marie Charles*, secrétaire de mairie fait des faux papiers à la famille de Bertrand Kahn. Son mari, Pierre Charles*, instituteur, reçoit le jeune garçon, sans en informer l'administration, pendant l'hiver 1943-1944 dans la classe unique de l'école de garçons d'Allemont (38). (Témoignage de Bertrand Kahn)
Famille Kahn Edgar - J'ai plusieurs rectificatifs à faire . Mon père, edgar kahn n'était pas engagé volontaire mais fut interné en tant qu'étranger ( il y a peu de temps que je sais cela) d'abord au mans,(il habitait à alençon) puis à albi . De là,il rejoint son épouse et leur fille à lavelanet. A alençon,à ma connaissance, il n'y a pas de rue qui porte son nom ; il y en a une, ainsi qu'un centre social, qui portent le nom de sa nièce edith bonnem (fille)
Famille Kahn Edgar - J'ai plusieurs rectificatifs à faire . Mon père, edgar kahn n'était pas engagé volontaire mais fut interné en tant qu'étranger ( il y a peu de temps que je sais cela) d'abord au mans,(il habitait à alençon) puis à albi . De là,il rejoint son épouse et leur fille à lavelanet. A alençon,à ma connaissance, il n'y a pas de rue qui porte son nom ; il y en a une, ainsi qu'un centre social, qui portent le nom de sa nièce edith bonnem (fille)
JJ/11/1943 / JJ/08/1944
Famille KALISZ Abraham - Mes grands-parents TROUILLET Jules et Germaine ont hébergé les époux KALISZ et leurs deux filles à MEZIERES SOUS LAVARDIN dans la forêt de Sainte Sabine pendant la période 43-44. Mes grands-parents ne devraient il pas faire partie des justes ? (archives sarthe)
1944
Famille Kamelgarn - Salomon (Shlomo), grossiste en bonneterie, son épouse et leurs trois enfants, Charly, Claire et Rachel, âgés de 10, 9 et 4 ans, sont protégés par Adèle et Jean Olivier*, résistant et maire de la commune.
1939 / 1940
Famille Kamil - Marcel Kamil
JJ/Octobre/1939 / JJ//1941
Famille Kaminski - Famille évacuée d'office de Paris . couple avec 4 enfants (Lilli, Raymond, Berthe, Eliane) D'après la mémoire de ma tante : logés au lieu-dit Bardouillan - Mon grand-père Charles (Chil) Kaminski travaille à Bordeaux dans une fabrique d'uniformes. (quelqu'un peut-il me renseigner + on me parle aussi d'un Mtre Martin Bouquet , Maire (?)... Merci de vos renseignements
16/07/1942
Famille Kaminsky - Sacha, son épouse Rachel et leur fille Hélène, née à Paris le 01/07/1939, sont juifs et habitait 19, rue Vincent dans le 19e arrondissement de Paris. Le 16 juillet 1942, ils reçoivent la visite d'un policier mandaté pour emmener sa femme Rachel et la petite Hélène. Sacha, aveugle, n'est pas sur la liste, mais supplie le policier de l'emmener. Ce dernier leur donne une heure pour se préparer... La famille trouve alors refuge à l'étage du dessus, chez leurs voisins, M. et Mme Maillard. Mme Maillard propose alors aux Kaminsky de cacher Hélène dans sa famille à Champagné (Sarthe) où elle restera un an chez Augustine Papin. Rachel viendra de temps en temps visiter sa fille, munie de faux papiers signés et tamponnés par M. Chateau, le maire de Champagné. (Témoignage H. Kaminsky)
16/07/1942 / 1944
Famille Kaminsky - Hélène, 3 ans, arrive à Champagné après la rafle du Vel d'Hiv.
1942 / 1943
Famille Kaminsky - Sacha, son épouse Rachel et leur fille Hélène, née à Paris le 01/07/1939, sont juifs et habitait 19, rue Vincent dans le 19e arrondissement de Paris. Le 16 juillet 1942, ils reçoivent la visite d'un policier mandaté pour emmener sa femme Rachel et la petite Hélène. Sacha, aveugle, n'est pas sur la liste, mais supplie le policier de l'emmener. Ce dernier leur donne une heure pour se préparer... La famille trouve alors refuge à l'étage du dessus, chez leurs voisins, M. et Mme Maillard. Mme Maillard propose alors aux Kaminsky de cacher Hélène dans sa famille à Champagné (Sarthe) où elle restera un an chez Augustine Papin. Rachel viendra de temps en temps visiter sa fille, munie de faux papiers signés et tamponnés par M. Chateau, le maire de Champagné. (Témoignage H. Kaminsky)
18/10/1943 / 06/11/1943
Famille Kaufmann - Henri ou Henry Kaufman) : à Izieu, du 18 octobre au 6 novembre 1943 avec ses cousins Henri et Roger Wolman.
Famille Keller - Pauline, enfant juive placée par l'OSE est accueillie à Fougerolles par la famille de Victor Boittin qui habite rue de l'Hospice. Pauline ne sera pas scolarisée.25
1941 / 1942
Famille Kemlet - Manfred Kemlet
1941 / 1942
Famille Kemlet - Manfred Kemlet
1941 / 1942
Famille Kern - Margot Kern, petite réfugiée juive allemande, fut confiée à Maurice Dubois* et envoyée au château de La Hille dans l'Ariège.
1942 / 1945
Famille Kirchheimer - Gunther Kirchheimer, 10 ans, est recueilli par l'OSE (œuvre de secours aux enfants) après l'arrestation de ses parents, Sally, né le 3 décembre 1894, et de Flora Kirchheimer, qui seront déportés sans retour par le convoi 20 vers Auschwitz le 17 août 1942. Gunther Kirchheimer est confié à la famille Buffet*. Hélène* et Victor Buffet* et leur fille Lucienne, à la fin de l'année 1942. Ils accueillent ce garçonnet de 10 ans comme leur propre enfant.
1941 / 1942
Famille Klein - Kurt et Helga Klein.
1942 / 1944
Famille klein - Je m'appelle Herman Klein, connu alors comme Henri. J'ai ete cache par la famille Reveyron depuis 1942 jusqu'a la fin de la guerre. J'ai eu le plaisir de pouvoir leur donner le titre de Justes parmi les Nations, et leur nom est inscrit dans votre liste generale, mais pas dans celle de l'Ain. Il y aura une ceremonie a la Mairie de Belley le 18 Octobre, pendant laquelle le fils, Andre recevra une medaille et je m'apprette a y aller.
07/12/1940 / 07/1942
Famille Knoblauch - La famille Knoblauch, de nationalité polonaise, a quitté Bruxelles le 14/05/1940 avec Ernestine Rosenthal. Ils passent la frontière à Lille et se réfugient à Terrebasse, dans le canton d’Aurignac, ils arrivent à Varennes le 7 décembre 1940.
- le père Tinkus (Pinkus), dit Paul né le 13/12/1882, professeur de langue,
- la mère Gittel, née Isack le 05/01/1891, tailleuse d’habits,
- Rosalia, probablement la fille, née le 10/08/1916 à Wisnyez, tailleuse-coupeuse d’habits.
Ils sont logés à la même adresse que la famille Herskovic. Le premier étage de la maison est occupé par Jean-Maurice et Jeanne Esquié, et leurs quatre enfants, Odette, Roger, René et Marcel.
En juin 1942, Tinkus est interrogé par les gendarmes de Villebrumier en vue de l'internement de la famille, considérée en surnombre dans l’économie nationale et entrée en France depuis le 1er janvier 1936. Avant la mi-juillet 1942, les trois membres de la famille Knoblauch et Ernestine Rosenthal s’enfuient.
Leur cavale se terminera par l'arrestation de Gittel Knoblauch et Ernestine Rosenthal. Gittel sera internée au camp des Milles puis à celui de Rivesaltes, tandis qu'Ernestine est internée à Septfonds.
Paul et Rosalia Knoblauch échapperont à la rafle.
Ernestine Rosenthal sera déportée sans retour le 4 septembre 1942, par le convoi n° 28 du Bourget-Drancy pour Auschwitz. Gittel sera déportée sans retour le 16 septembre 1942, par le convoi n° 33 du Bourget-Drancy pour Auschwitz. (Régis Pinson) (Régis Pinson)

15/02/42 / 5/12//44
Famille Knoll - Réfugiés à Coarraze entre 1942 et 1945 (témoignage)
Famille Kogan - Après l'arrestation de sa famille et de ses parents, Isaac et Frieda Kogan qui seront déportés sans retour vers Auschwitz, Jacques, 8 ans, né au Vaudoué en 1934, est mis à l'abri chez les Delattre, des amis de la famille. En 1949, le couple Delattre adoptera l’orphelin.
04/1944
Famille Kogan - Maria* et René Fromentin* cachèrent chez eux Liliane et Jackie Kogan et leurs enfants Pierre Kogan et Alice en avril 1944 puis leur trouvèrent un refuge dans un village de Corrèze.
Famille Kokh, Goltzmann, Grimberg et Mass - Lucien Lirou*, boulanger à Pau, va protéger et sauver Benjamin Kokh, Rosa, Esther, Maurice et Simone Goltzmann, Bernard Grimberg et Debora Mass. Après la guerre, Lucien Lirou* épousera Esther Goltzmann.
Famille Koniepcol - Armand, né en 1934, et Léon, enfants juifs placés par l'OSE, sont accueillis par la famille Therault qui habite Gérouard. Les enfants ne sont pas scolarisés.26
1939 / 1944
Famille Koplewicz - Élysée* et Léontine Artiguenave*, cultivateurs et agriculteurs à Oraàs recueillent Fanny Koplewicz et vont la garder jusqu'à la Libération.
1940 / 1944
Famille Kotlarewski - Jacques (Jacob), né en 1908 à Stare Brody (Pologne), médecin juif, épouse Marie-Anne Couliou, née en 1908 à Elliant (Finistère). Durant l'occupation, Jacques et leur fils Jean-Pierre se réfugient dans le Finistère, à Rosporden, où Marie-Anne et sa mère Anne Troalen, vont les protéger jusqu'à la fin de la guerre.
Famille Kranowski - Nathan, enfant juif, est caché à la Maufelière de Bais chez M. et Mme Fouchet.
Famille Krishmar - La famille Krishmar est réfugiée et cachée pendant la guerre, au hameau de "La Garde", sur la commune de Eybouleuf. M. Leylavergne, receveur des PTT à La Geneytouse, aidé de son fils Gabriel âgé de 10 ans, leur avait établi de fausses cartes d'identité.27 (Témoignage de Gabriel Leylavergne)
16/07/1942
Famille Kronenberg - Szepsel (Simon), 15 ans, qui était parti faire une course au moment de l'arrestation de ses parents, Frajda et Pejsak, et de ses soeurs, Hélène et Rose, sera sauvé par une voisine, Mme Poitevin qui l'empêchera avec le fils de voisins d'aller rejoindre sa famille. (http://www.shoahmemoire.com)
1943 / 1945
Famille Krystal - La famille Krysztal était venue se réfugier à Châteauroux, en 1940. Arrêté lors de la grande rafle du 24 février 1943, M. Krystal fut déporté à Maïdanek, en Pologne. Avant de prendre la fuite à son tour, Mme Krystal confie son fils, Pierre, à une nourrice, Lydie Gravez, "Maman Didi" qui habitait avec ses frères célibataires, Henri et Léon Rouault, au 43, rue de Scrouze. Pierre Krysztal fréquente l'école maternelle des Capucins et sera choyé. Il retrouvera sa mère après la guerre. (Témoignage de Pierre Krysztal)
Famille Kukawka - Joseph (Chaïm Juszek Jucbk), né à Zarnbrow, en Pologne, le 15 novembre 1896, coiffeur, et son épouse Esther (Estera Stella) née Kestenbaum à Varsovie le 21 août 1901, commerçante, habitaient Paris. Mariés le 27 mars 1928 à Paris, ils avaient quatre enfants : Ginette (née le 13 février 1928, décédée en 1936), Roger (né le 28 mai 1930), Jacques, né le 10 mars 1939 et Pierre, né le 3 avril 1943. Ils sont assignés à résidence dans le village de Saint-Maurice- de Gourdans. Joseph arrêté à Chamberry sera déporté sans retour par le convoi 73 le 15 mai 1944.
1941 / 1942
Famille Kwaczkowski - Gérard Kwaczkowski
01/08/1943 / 31/12/1943
Famille Lamiche - Jacqueline née en 1934 et Suzanne née en 1933 sont placées au home d'enfants d'Izieu du 1er août au 31 octobre 1943 et en décembre 1943.
1942 / 1944
Famille Landau - Majer Landau, son épouse, et leur fille, Sylvie, sont accueillis par Paul* et Amie Tinel*.
1943 / 1944
Famille Lang - Antoine, né en 1938, et Béatrice, née en 1943, sont confiés à Hélène Brieff* qui les emmène chez sa mère, Mme Duval, au Saillant de Voutezac. Hélène* s'occupera d'Antoine et Béatrice jusqu'à la Libération, comme elle l'aurait fait pour ses propres enfants.28
1940 / 1947
Famille Lanoux - Victor Robert Nataf, né le 18/06/1936 à Paris, fils d’un Juif tunisien, originaire de Sfax, est envoyé par ses parents à l'abri à La Chapelle-Taillefert où il vit jusqu'à l'âge de onze ans sous le nom de "Victor Lanoux".
Famille Laska - Marie-Claude, médecin du travail à Toulouse, juive, munie de faux papiers, est hébergée chez Marinette Diu*.
01/06/1940 / 31/12/1945
Famille le morvan - famille le morvan : Théophile et françoise, leurs enfants augustine, Yvonne, lucienne, belle fille Georgette et leurs petits enfants annick et michelle (familiale)
Printemps 43 / idem
Famille Ledoux - Pierre Ledoux explique comment "des amis de Pau" ont été le premier maillon d'une filière de passage en Espagne. Le deuxième maillon était le gardien du musée de Pau. (voir page 15 et suivantes du livre cité) (Pierre Ledoux "Journal. Editions Odile Jacob 2001))
JJ/011944 / 3??4/1945
Famille Leducq - ma famille habitait Wizernes, en"zone interdite" (Pas de Calais)en 1943 .Les Allemands y construisaient à cette époqueune base de lancement de V2 en utilisant les travailleurs de l'organisation Todt .Nous avons appris par l'un d'eux qui llogeait chez un oncle que les américains allaient bombarder cette installation et qu'il fallait évacuer. C'est ainsi que nous nous sommes trouvé réfugiés à Surgy dans la Nièvre.Ma soeur y est née le 26 juillet 1944 . La sage femme qui a assisté à sa naissance était Madame Lescalier( orthographe incertaine) 2 de ses fils faisaient partie d'un maquis local . Ma tante Virginie Murray née Cordier avait à l'époque 18 ans et a bien connu ces jeunes hommes. Elle est prête à témoigner de ce qu'elle a vécu sur place. Cependant elle a 87 ans et son témoignage ne peut se faire que par téléphone (03 21 93 22 01) ou par écrit:lui communiquer l'adresse le cas échéant) Me rapeler si nécéssaire au 02 54 81 14 61 ou par mail Daniel Leducq (personnelle)
1942 / 15/02/1945
Famille Lefranc - Serge Lefranc, 10 ans, Josette, 8 ans, et André, 5 ans, envoyés chez Mme Chereau à Ronchères (Yonne) par le Centre d'accueil du sauvetage de l’Enfance de Cachan. Ils sont enfermés à Cachan, libérés par le Centre d'accueil du sauvetage de l’Enfance prévenus grâce à la fille de Mme Chereau puis envoyés dans trois fermes différentes à Saint-Jean-le-Vieux (Pyrénées-Atlantiques), où ils seront baptisés. Le 15 février 1945, ils seront envoyés à Saint-Sever (Landes). Leur père ne prendra pas de leurs nouvelles et ils ne reverront jamais leur mère, Sarah Lefranc, née Radaz, morte à Paris en 1944.
04/1943 / 1944
Famille Leibovici - Joseph, son épouse Gola et leur fille Claire sont protégés par Vincent* et Ursule Dallian*. (CFYV, dossier Dalian, n° 6668.)
1941 / 1942
Famille Leistner - Rita Leistner
18/05/1943 / 17/06/1943
Famille Lekmaaker - Jules est placé au home d'enfants d'Izieu du 18 mai au 17 juin 1943.
1942 / 1943
Famille Lerner - Eva, née à Berlin en 1933, et Rosa, née à Berlin en 1936, arrivent de Lavault-Sainte-Anne où elles étaient cachées à la communauté de Sœurs de l'ordre de la présentation de Tours à La Charité. Prises en charge par l'OSE, elles sont envoyées au Château de Chabannes à la fin de l'été 1942 et y restent jusqu'en avril 1943.
1943 / 16/04/1944
Famille Lerner - Léon Lerner, son épouse Sarah et leurs trois enfants, Max, Louis et Hélène, quittent Reims et arrivent à Lyon, en zone non occupée par les allemands. Aidés par Hélène Robin* qui loue pour eux une maison à Roissiat, elle leur fourni de faux papiers fournis par le curé du village. La famille restera installée tranquillement à Roissiat jusqu'au 16 avril 1944, quand une unité de la Wehrmacht fouille chaque maison de la commune.
Famille Leszczynski - Édouard Leszczynski, 20 ans, arrivait du camp de La Lande et avait été scolarisé à l’école primaire supérieure Paul-Louis Courier de Tours. Il a pu se cacher et échapper à la déportation.29 Sa soeur, Flore, née en 1928, est accueillie chez Alexis* et Augustine Lignoux* à à Perrusson (Indre-et-Loire). Elle sera sauvée. (AREHSVAL)
1942 / 1944
Famille Leszczynski - Flore, née en 1928, est accueillie chez Alexis* et Augustine Lignoux* à à Perrusson (Indre-et-Loire). Elle sera sauvée. Son frère Édouard, 20 ans, arrivait du camp de La Lande et avait été scolarisé à l’école primaire supérieure Paul-Louis Courier de Tours. Il a pu se cacher et échapper à la déportation.30
Famille Leuchtmann - Charles est caché par Jeanne* et Louis Bieber*.
Famille Levy - La famille Levy, Robert et Anne et leurs enfants Pierre et René, originaires de Strasbourg, ont habité à Argenton. Ils étaient amis et/ou hébergés par la famille Garnier. (Témoignage de M. Levy)
1940
Famille Levy - Rosalie, née 20/10/1852 à Horburg, Florence, née le 25/12/1887 à Reguisheim, et Renée, née le 23/06/1916 à Ellerich-Thuringe, réfugiées du Haut-Rhin. Rosalie décède à Chaumergy le 09/01/1944.
1940
Famille Levy - Lippmann né le 19/03/1859 à Monmenheim, Samuel né le 22/12/1867 à Wingersheim, Mélanie née le 16 /1/1878 à Mertswiller, Babette née le 13/08/1880 à Shuth, Alice née le 26/01/1901 à Kuttolsheim, Lucien né le 11/10/1903 à Wingersheim (qui épouse Suzanne Roueff durant son séjour à Chaumergy), Robert (employé de commerce) né le 8/09/1915 à Strasbourg et Simone née le 12/02/1929 à Haguenau, sont réfugiés du Bas-Rhin. Simone (aujourd'hui épouse Griffel) est cachée chez Louise Prost, restauratrice à Chaumergy, où elle passera toute son adolescence. Lippmann décède à Chaumergy le 29/01/1943.
1942 / 28/08/1944
Famille Lewicka - Hana Lewicka, juive, est réfugiée à Anse. Le 28 août 1944, lors du bombardement de la commune (nœuds ferroviaire et routier stratégiques pour la retraite des allemands), 22 personnes moururent sous les décombres dont Sura Sperber, 31 ans, Henri Max, 10 ans, et Hana Lewicka, 48 ans. (Jacques Sperber)
1941 / 1942
Famille Lewin - Léo Lewin
03/1943 / 03/1944
Famille Lewkowicz - Nacha, française par mariage et ses deux enfants, un fils et une fille, Helena, née le 24 mai 1933 à Nancy, réfugiés à Lyon, arrivent à Saint-Léonard-de-Noblat, après l'arrestation de son mari Rafael Lewkowicz. Au printemps 1944, les Allemands occupent le village, Hélène, sa mère et son frère retournent alors à Lyon.
1943 / 1944
Famille Lewkowicz - Après l'arrestation à Lyon de Rafael Lewkowicz, émigré polonais naturalisé français dans les années vingt, son épouse Nacha et ses deux enfants, un fils et une fille, Helena, née le 24 mai 1933 à Nancy, se réfugient à Saint-Léonard-de-Noblat, en Haute-Vienne, où Hélène Akierman est scolarisée. Au printemps 1944, les Allemands occupent le village, Hélène Akierman, sa mère et son frère retournent alors à Lyon.
1944 / 1944
Famille Lewkowicz - Antoinette Richon dirige l'internat du Vernay-Ombrosa, où de nombreuses enfants juives seront cachées. À l'été 1944, le pensionnat est investi par les Allemands. La directrice qui, durant les grandes vacances, avait gardé un certain nombre d’enfants dont Hélène Lewkowicz, décide de les mettre en lieu sûr. Dans un premier temps, Hélène Lewkowicz et ses camarades trouvent refuge chez un médecin de Caluire, puis dans un monastère qui sert d’hôpital à des soldats britanniques.
12/1942 / 1944
Famille Léon - La famille de Jean-Paul Léon, alors âgé de 6 ans, arrive à Vialas. Jean-Paul Léon, sa soeur Simone, ses parents et sa grand-mère, parisiens réfugiés à Nîmes, arrivent en décembre 1942 et vont passer 22 mois à l'abri au Grenier de Nojaret avant de partir à la Libération, en octobre 1944, à Génolhac. C'est à Vialas que le petit Jean-Paul apprendra à lire, à écrire et à compter avec Mme Sansonetti, institutrice à l'école de Nojaret.
Famille Lévy - Henriette, couturière, de Niederbronn-les-Bains a été cachée par Jean-Jules Boyon, qui était secrétaire à la mairie d'Eymoutiers pour les évacués alsaciens et par son épouse Marie-Marguerite née Mougin. Marie-Marguerite et Jean-Jules Boyon, aidés de M. Fantouillet, président de la délégation spéciale à la mairie d'Eymoutiers, démissionnaire, ont caché au premier étage de leur maison, le 6 avril 1944, Henriette Lévy. Faisant preuve de sang froid et se tenant aux côtés de l'épouse du maire très apeurée, elle fit entrer les jeunes soldats allemands affamés, pour leur faire manger un pâté sorti du four. Cela épargna la fouille de la maison . Marie-Marguerite Boyon a aussi participé avec son frère Paul Mougin de Mulhouse au sauvetage d'autres juifs. Mais elle a regretté de ne pas avoir pu sauver d'autres personnes embarquées dans un camion étant arrivée trop tard. Je crois qu'il s'agissait d'un jeune garçon. Elle a raconté aussi qu'elle s'était promenée avec une dame juive âgée, pendant la rafle et la faisant passer pour sa mère. Il pourrait s'agir d'Henriette Lévy. (Témoignage du petit-fils de Marie-Marguerite et Je)
01/1944 / 1944
Famille Lévy - Lors de la grande rafle de 1944, Madeleine Ladevèze* cache chez elle durant plusieurs mois les membres de la famille de Léon Lévy : sa grand-mère paternelle Léa, Zaphira sa mère, et Rébecca sa sœur jusqu'à ce qu'elles parviennent à passer en zone libre.
Eté 1942 / Eté 1944
Famille Liber - Le grand rabbin Moché Meir Maurice Liber et sa femme Rose ont habité Aubenas de l'été 1942 à l'été 1944.
1942 / 1944
Famille Liberman - Élise Liberman et ses deux enfants Edmond et Jacques, juifs, sont cachés à Miremont chez les parents de Marinette Diu*, P. et Mme Sentenac. Munis de faux papiers au nom de Lemoine, ils y resteront pendant 3 ans. Les enfants fréquentent l'école de M. Magné.
après 05/1940 / 10/10/1942
Famille Licht - http://www.memoire-vive.net/spip.php?article1418 (http://www.memoire-vive.net/spip.php?article1418)
1940 / 1945
Famille Lichtman - René, né à Paris en 1937, fils de parents juifs polonais émigrés en France depuis 1936, est caché au Vert-Galant de 1940 à 1945 par une famille catholique, qui prendra soin de lui. Le père de René a été tué au combat en 1940. René retrouvera sa mère après la guerre. Ils partirons vivre aux États-Unis.
28/02/1941
Famille Lindt - Hélène Lindt née Lewald, est internée au camp de Gurs dans les Basses-Pyrénées. Elle est autorisée à transférer sa résidence à Varennes pour y rejoindre Bernard Lewald, le 28 février 1941. Elle ne restera pas à Varennes.
01/03/1944
Famille Lippmann - Alain Édouard Lippmann est né le 1er mars 1944 à Clairvivre où il est décédé trois jours plus tard et inhumé dans le Carré israélite du cimetière de Clairvivre. Son père, Pierre Martin Lippmann de Horbourg (Haut-Rhin) et sa mère, Paulette Lang, de Nancy (Meurthe et Moselle) étaient réfugiés à Saint-Léonard- de-Noblat (Haute-Vienne) à quelques kilomètres de Limoges. Pierre Lippmann a été déporté à Kaunas en Lituanie par le convoi n° 73 de Drancy, le 15 mai 1944. Il est mort en déportation. En 1943, il avait été nommé délégué de la 5e direction de l’Union Générale des Israélites de France à Brive. C’est dans ce cadre qu’il est arrêté et déporté. Madame Lippmann Paulette a échappé à la déportation.
22/06/1943 / 30/06/1943
Famille Loeb - Marcel est placé au home d'enfants d'Izieu du 22 au 30 juin 1943.
1942 / 1945
Famille Lohmar - Heinz Lohmar (1900-1976), peintre, allemand, communiste et anti-nazi fuit l'Allemagne en 1933 après l'arrivée des nazis au pouvoir. Après la Suisse, il se réfugie à Paris, où il rencontre fin 1933 Hilde Feldstein, juive allemande, réfugiée elle aussi à Paris. Ils se marient deux ans plus tard. Leur fils André naît en 1939 à Paris. Hilde et André se réfugient à Carcassonne puis rejoignent Heinz Lohmar à Allanche dès la rentrée 1942-1943. Hilde travaille à Allanche comme couturière à domicile. Ils y resteront jusqu'en 1945.
1944 / 1945
Famille London - Albert London, né le 07/07/1937, enfant juif placé par l'OSE, a séjourné à Fougerolles pendant la guerre, accueilli par Joseph et Marie Triguel à la Croix des Gardes. Il est inscrit à l'école de Fougerolles le 15/12/1944.31
09/1942 / 11/1944
Famille Luel - La famille Luel est protégée au Got grâce à la bienveillance et à l'aide du maire, Paul Delpech, le fermier, M. Vigié, l'instituteur et sa femme, M. et Mme Lalbat, la postière, le boulanger, leurs voisins et tous les habitants du Got-Mazeyrolles, de septembre 1942 à novembre 1944.
1940 / 11/1944
Famille Luel - Entre 1940 et 1943, la famille Luel trouve refuge à Mazeyrolles et dans ses environs. Le maire Paul Delpech et tous les habitants du village Le Got-Mazeyrolles, y compris l'instituteur et sa femme, M. et Mme Lalbat, la postière, le boulanger et tous leurs voisins vont les protéger de septembre 1942 jusqu'en novembre 1944.
Famille Mac - Gisèle Mac et Esther Mac sont réfugiées à Valréas. Gisèle Mac est cachée par M. Coste et son épouse née Brigaudet qui habitent avec leur fils Maurice. (A.M. Bertrand-Coste)
1943 ? / automne ? 1944
Famille Mac Gisèle enfant de 9ans# - chez Emile,Eva Coste et Joséphine Brigaudet décédés depuis longtemps sans laisser de renseignements. Par quel réseau ,Gisèle est-elle arrivée du chateau de Masgelier dans la Creuse à Valréas : peut-être Mme Basch ? Avec sa fille Michelle, nous recherchons des témoignages.Qui l'a connue ? Elle allait à l'ecole J.Ferry,faisait partie des scouts avec Mademoiselle Roche comme cheftaine . (familiale)
1942 / 1945
Famille Malamout - Suzanne, 8 ans, et deux de ses frères jumeaux, âgés de 6 ans, habitaient 36, rue des Rosiers dans le 4e arrondissement de Paris avec leur père, Joseph, ouvrier boulanger, originaire de Russie, leur mère Malka, née en Roumanie, et leurs cinq frères et soeurs, tous nés à Paris : Micheline, née le 29/03/1925, Salomon, né le 19/05/1927, Georges, né le 16/10/1929, Lucien, né le 09/08/1939, et Hélène, née le 29/03/1942. Après l'arrestation de leurs parents et de leurs cinq frères et soeurs, Suzanne et deux de ses frères jumeaux, qui ont échappé à l'arrestation, sont placés par l'UGIF en octobre 1942 chez de modestes fermiers, M. et Mme Robert Romain à Bosgouet (Eure). Ils y resteront jusqu'en 1945. Après la guerre, les trois enfants seront placés dans un orphelinat juif jusqu'à leur majorité.
1942 / 1944
Famille Maliniak - Simone née Château*, l’épouse de Raymond Perrier, fils de Pierre* et Mélanie Perrier* vont sauver Max Maliniak, avec son épouse Hélène ainsi que leurs enfants André, né en 1933, et Micheline, née en 1935 et leurs neveux Lucien, né en 1931, Monique Maliniak, née en 1934.
Famille Mallet-Stevens - Robert Mallet-Stevens, architecte et designer né à Paris le 24 mars 1886, fait partie du mouvement moderne. Pendant l'occupation, il est réfugié avec sa famille à Penne-d'Agenais, pour protéger sa femme qui était juive. Il meurt à Paris le 8 février 1945.
1943
Famille Malraux - André Malraux, né le 03/11/1901 à Paris (18e), et sa compagne Josette Clotis sont réfugiés à Argentat. C'est là qu'André Malraux écrit Psychologie de l'art.
Famille Malraux Clara et Florence - Témoignage de Clara Malraux : " ...une trentaine [de gosses] est déjà casée. J'en ai déposé un à Pechbonnieu. Pech-Bonnieu, avec la maîtresse-femme qu'était madame Robène, se montrait un relais sûr. Plus tard, Jean et Edgar [Morin] y trouvèrent abri. [...] Dominatrice, comme le peuple juif selon de Gaulle, Madame Robène jouait là-bas les bonnes hôtesses : dans sa ferme, trouvaient pêle-mêle refuge des enfants juifs, des réfractaires, des réfugiés, des résistants, petit monde qu'elle menait à la baguette, mais qui chez elle vivait dans une relative sécurité, tout le temps qu'il s'y tenait tranquille - ce qui ne fut le cas ni d' Edgar, ni de Jean qui continuèrent leur travail."32 (... Et pourtant j'étais libre, Clara Malraux)
1942 / 1944
Famille Mangel - Simon Mangel et son frère Jacques, petits Parisiens juifs, sont cachés dans une famille non-juive, la famille Friard, à Montigny-sur-Loing. Leur sœur Paulette viendra les y rejoindre en 1943.
1939 / 1940
Famille Mann - Hilde Mann
24/06/1943 / 25/11/1943
Famille Markielewiecz - Bernard né le 08/05/1934 est placé au home d'enfants d'Izieu du 24 juin au 30 septembre 1943 et du 6 au 25 novembre 1943.
1942 / 1944
Famille Markscheid - Rose Markscheid s'était fixé en Belgique avec son mari en 1928. Trois jours après l’invasion allemande du 10 mai 1940, ils ont fui en France et trouvé refuge aux environs de Toulouse. Assignés à résidence à Lacaune, Meïr Markscheid, né le 4 novembre 1903 à Stanislavov (Pologne), négociant en machines alimentaires, originaire de Pologne, est arrêté parce que juif le 26 août 1942, et déporté par le convoi n° 30 du 9 septembre 1942. Rose Markscheid et sa fille Léa, née en 1936, continueront à loger chez la famille Bru et seront sauves. Elles rentreront en Belgique après la guerre.
1940
Famille Marx - Clarisse, née le 7/11/1859 à Hermoncourt dans le Doubs (veuve) et René né le 21/10/1897 à Pellering, réfugiés du Haut-Rhin.
1943 / 1944
Famille Marx - Jeanne Duc* et Hélène Duc* s’attachent au sauvetage de la famille Marx. Jeanne Duc* trouve un refuge pour Monsieur et Madame Marx et leur fille, Annette, dans un hameau isolé à quinze kilomètres de Bergerac, Saint-Georges-Blancaneix. Elle s’occupe d’organiser leur existence clandestine avec un dévouement exemplaire. Le village devient au bout de quelques mois, un centre du maquis et la maison où logeaient les Marx, une infirmerie de fortune, tandis que les parents et leur fille se transforment en infirmiers.
À deux reprises, les troupes allemandes entreprennent des expéditions punitives contre le village. Les Marx étaient en danger, mais la chance fut avec eux et ils purent bénéficier de ce refuge jusqu’à la Libération.

07/06/1943 / 30/06/1943
Famille Mathieu-Daudé - Jacques né en 1932 à Montpellier (34) et son frère Pierre sont placés au home d'enfants d'Izieu du 7 au 30 juin 1943.
JJ/MM/1943 / JJ/MM/1944
Famille MATHON René Eugène - Mon père,Charles MIQUEL,était dans les JM au groupement Vignemale lorsqu'il a était envoyé pour le STO chez Siemmens en Allemagne, à l'aide d'une fausse excuse il a réussi à revenir en France, a été pris en charge par la "résistance" de Toulouse et s'est retrouvé à Lourdes sous une fausse identité,il était infirmier à l’hôpital de lourdes, je ne connais pas exactement ses dates d'arrivé ni de départ. C'est là que mes parents se sont connus, ma mère était monitrice pour la Croix Rouge, on les retrouve dans le texte de Gérard Piqué ainsi que sur des photos. (familiale)
1940
Famille May - Gustave, né le 16/10/1871 à Kuttolsheiam et Jeanne née le 7/11/1875 à Gerotheim, réfugiés du Bas-Rhin.
1943 / 1944
Famille May-Levin - Françoise May, qui faisait partie des éclaireuses unionistes, devant quitter dans l’urgence sa résidence à Romans, elle est accueillie par Madeleine* et Marcel Abeille*, les parents de sa camarade éclaireuse Aline*. Elle partagea la petite chambre d’Aline* pendant plus d'un an, jusqu’à la Libération, et fut traitée comme leur fille avec grande affection.
1940
Famille Mayer - Rachel, née le 3/12/1868 à Wintzenheim, réfugiée du Haut-Rhin.
1942 / 1943
Famille MELKI - Famille MELKI, cachée à Saint-Pourçain-Sur-Sioule. Entre 1942 et 1943, la famille a fuit alors que Lyon fût occupée par les nazis, et cachée par des Justes. Nous recherchons ces Justes, ou leurs descendants. Merci par avance. (Enfants Cachés)
09/1942 / 11/1944
Famille Mendels - La famille Mendels trouve refuge à Mazeyrolles et dans ses environs. Marcel Vigié, fermier, possédait une cabane dans laquelle se cachait M. Mendels en cas de danger. Le maire Paul Delpech et tous les habitants du village Le Got-Mazeyrolles, y compris l'instituteur et sa femme, M. et Mme Lalbat, la postière, le boulanger et tous leurs voisins vont les protéger de septembre 1942 jusqu'en novembre 1944.
09/1942 / 11/1944
Famille Mendels - Frits Mendels, son épouse Ellen, leurs deux filles Jacqueline et Manuela, et le petit Franklin qui va naître en août 1943 à la clinique installée dans le Château de Salomon à Montayral, seront protégés au Got grâce à la bienveillance et à l'aide du maire, Paul Delpech, le fermier, Marcel Vigié, l'instituteur et sa femme, M. et Mme Lalbat, la postière, le boulanger, leurs voisins et tous les habitants du Got-Mazeyrolles, de septembre 1942 à novembre 1944. En cas de danger, Marcel Vigié cachait Frits Mendels dans une cabane. (Témoignage Jacqueline Mendels Birn)
xx/12/1943
Famille MENDES - En décembre 1943,Marcel Mendes (astronome)réfugié à Toulouse doit fuir la ville, étant convoqué au commissariat de police.Il rejoint de la famille de son épouse (Fernande née Oppenheimer) réfugiée à Lalevade (Famille MEYER sa soeur)et le Docteur Max Oppenheimer(son frère) réfugié et installé à Jaujac. La famille Mendes trouve un point de chute à Meyras où le Maire Monsieur Nicolas et son fils résistant leur établissent de fausse-vrai cartes d'identité. Ils omettent de mettre le tampon juif ou juive.Ils logeront dans un logement loué par la famille Delorme . (Etienne MENDES)
??/??/1939 / ??/??/1945
Famille merlin - je suis le petit fils de Mireille Merlin enseignante à st Jean durant l occupation Allemande.elle avait quittéé Aniche (Nord).beaucoup de photos,cartes postales et differents nom de famille reviennent dans ses ecrits ( Mr Percepied qui je pense ete Maire du village à l'époque). Je me rendrais à st Jean ce mois de juillet afin de retrouver trace de son passage (famille)
Famille Metzger - Colette (8 ans en 1944) et Janine (10 ans en 1944) Metzger sont aidées par Andréa* et Marius Bertin* qui leur trouvent des refuges puis les aident à passer en Suisse.
1940
Famille Meyer - Max, né le 16/01/1882 à Weitersveiller, réfugié du Bas-Rhin.
1942 / 1945
Famille Meyer - Vers la fin de l'année 1942, alors que les Allemands occupent la zone libre, Auguste* et Mathilde Eisenreich* accueillent Inge Klara Meyer, une petite fille juive allemande de six ans. Ils la présentent comme leur filleule et la protégeront jusqu'à la Libération.
1940
Famille Meyer-Levy - Henriette, née le 11/02/1877 à Wingersheim, réfugiée du Bas-Rhin
Famille Médecin - A Lagrand, M. et Mme Martin hébergent un docteur juif et sa compagne, venus de Grenoble (Andrée Vercueil née Martin)
1943 / 1944
Famille Milgram - Les Milgram, deux enfants juifs sont placés au Chambon par l'OSE : Claude, 3 ans, est caché chez Jean* et Nancy Ollivier*, fermiers à La Bâtie de Chêne, hameau isolé dans la montagne sur la commune du Chambon-sur-Lignon, tandis que son frère Daniel est caché dans la ferme de Berthe* et Charles-André Kittler* au Chambon. (YV/4193)
1943 / 08/1944
Famille Minkowski - Léon Minkowski, enfant juif placé par l'OSE, arriva chez Madame* et Monsieur Jouve*, fermiers au Chambon, tandis que sa sœur Hélène est cachée chez Jean* et Nancy Ollivier* fermiers à La Bâtie de Chêne, hameau isolé dans la montagne sur la commune du Chambon-sur-Lignon. Ils y resteront protégés du printemps 1943 jusqu'en août 1944. (YV/4193)
12?/mai/1940 / ?/?/1940
Famille MORBACH - Réfugiés luxembourgeois (famille)
Famille Moré - Louis Gasiglia et son épouse Charlotte, née Boffa, cachent Charles Moré “Charly” et son jeune frère Albert, qui sont dénoncés par un milicien. Charly, s'étant échappé, fera partie du groupe Combat. Albert sera assassiné à Auschwitz. Nini Ciais descend à Nice, avec la carte d'identité de son Jeannot, des garçonnets juifs. (Danielle Baudot-Laksine)
Famille Morin Edgar - Témoignage d'Edgar Morin : "Je vivais avec lui, et deux autres Allemands communistes, chez un ménage ouvrier, à Pechbonnieu, dans la banlieue de Toulouse. Ces heimatloss venaient s'ajouter aux cinq ou six enfants des époux Robène...".33 (E. Morin, Autocritique)
1941 / 1942
Famille Moser - Édith et Kurt Moser
1939 / 1940
Famille Moses - Kurt, son frère Werner Moses et Edith Moses
1942 / 1944
Famille Moszkowichz - Sarah, née le 23/06/1930, et Jacques, né le 05/11/1937, enfants juifs placés par l'OSE, ont séjourné à Fougerolles pendant la guerre, accueillis par Rosalie Beucher au Rondliège. Sarah a été inscrite à l'école de Fougerolles le 16/10/1942, tandis que Jacques a été inscrit le 11/10/1943.34
Famille Mouchel - Maurice et Hana Mouchel et leur deux enfants, Abraham David et Emmanuel habitaient 93, rue d'Avron à Paris, dans le 20e arrondissement. Réfugiés à Saint-André-d'Apchon, Abraham David, 22 ans, né le 23/12/1921 à Nîmes (Gard), sera arrêté le 10 août 1944 parce que juif et déporté sans retour. Maurice, Hana et Emmanuel parviendront à échapper à la rafle.
Famille Mozis - Louis*, agriculteur et membre du conseil municipal de Grane, et Lucie Lermine* vont accueillir et sauver Silvio, Marthe, Claude et Nicole.
Famille Muller - Denise née Muller est cachée à La Châtre. (Témoignage R. Hirsch)
1942 / 1944
Famille Nahoum - Samuel Nahoum arrive au Perréon fin 1942. Il sera accueilli par Benoîte* et Claudius Beroujon*, et leurs enfants, Jeanne*, Suzanne et Georges jusqu'en 1944.
10/1942 / 14/02/1945
Famille Nathan - Siegfried, né le 10/09/1910 à Zorn (Allemagne), son épouse Marie, née Eibing le 03/04/1912 à Wiesbaden (Allemagne) et leur fille Doris , née le 02/09/1935 à Barcelone, sont hébergés par Paul Vieilleribière. Les Nathan resteront protégés jusqu'à la fin de la guerre. Un abri camouflé avec des niches pour une réserve de boisson et de nourriture, avait été creusé dans le jardin. Il n'a pas eu à être utilisé. Le 14/02/1945, ils partent pour Limoges et s'installent 5, rue Montalembert.
06/1940 / 09/10/1942
Famille Nathan-Bonem - Samuel, né à Dippach (Luxembourg) le 02/02/1891, et son épouse Juliette, née Bonem, à Grevenmacher (Luxembourg) le 21/06/1895, sont réfugiés à Verteuil-sur-Charente depuis juin 1940. (Archives familiales et Serge Klarsfeld/Mémorial)
06/1940 / 09/10/1942
Famille Nathan-Moïse - Léopold, né à Dippach (Luxembourg) le 05/09/1884, son épouse Agathe, née Moïse, à Verny (Moselle) le 02/06/1895, et leur fille Camille, née à Esch-sur-Alzette (Luxembourg) le 10/10/1921, sont réfugiés à Verteuil-sur-Charente depuis juin 1940. (Archives familiales et Serge Klarsfeld/Mémorial)
06/1940 / 09/10/1942
Famille Nathan-Moïse - Eugène, né à Dippach (Luxembourg) le 05/06/1896, son épouse Fanny, née Moïse, à Verny (Moselle), le 29/08/1896, et leurs deux enfants, Sylvain, né à Esch-sur-Alzette (Luxembourg) le 17/10/1921, et Germaine, née à Esch-sur-Alzette (Luxembourg) le 30/11/1925, sont réfugiés à Verteuil-sur-Charente depuis juin 1940. (Archives familiales et Serge Klarsfeld/Mémorial)
1939 ou 1940 / 1945
Famille Netter - Mme Schwob,avait quitté l'Alsace et se dirigeait vers le sud,accompagnée de sa mère, Mme Netter, et de ses 3 enfants. Médecin, elle a été dirigée sur Doyet où elle a exercé jusqu'au retour de médecin de Doyet qui avait été mobilisé. Le frère de Mme Schwob, Jacques Netter, est venu à Doyet après sa démobilisation en 1940. Fin 1943 ou début 1944, il est entré au maquis (compagnie Michel).Le 21 août 1944, il est grièvement blessé lors des combats sur la côte de Châtelard. Les Allemands arrivent à Doyet à la recherche de Juifs dans le village. Le maire, M Déchery leur répond qu'il y en avait, mais qu'ils sont partis en entendant que les Allemands approchaient. (Familliale)
1939 / 1940
Famille Neuberger - Werner Neuberger
07/09/1940 / 12/1941
Famille Nias - Élie Nias (18547-1941) et ses filles Julie (1890-1977) et Lydie (1891-1966), juifs de nationalité belge, réfugiés en France dès le début de la guerre 40-45, ont été hébergées par Madame Argod (née de Maulmont), dans son château La Parisière à Bourg-de-Péage, du 7 septembre 1940 à la fin décembre 1941. Depuis Domme (Dordogne), Lydie avait écrit à cette personne, rencontrée deux années de suite à Aix-les-Bains, puis une fois à Cannes, pour donner des nouvelles. A sa grande surprise, elle me répond par une lettre charmante, lui disant qu’elle serait enchantée, si cela leur convient, si nous voulions venir chez elle en partageant les frais du ménage. L’accueil est chaleureux : nous vivons en ce moment dans une atmosphère familiale charmante : Mme, femme exquise, aux petits soins, surtout pour Père, les deux fils, également très sympathiques et distingués, écrit Julie en septembre 1940.35
Au début de 1941, la santé d’Élie se détériore : il est admis à la mi-mars à la petite clinique de Bourg-de-Péage et y décède le 4 avril. Une visite de leurs cousins Roost, réfugiés à Aix-en-Provence, réconforte Julie et Lydie. Mais elles souhaitent pouvoir quitter la France pour rejoindre le Portugal, ou bien le Congo belge où se trouve leur sœur Claire : il apparaît rapidement qu’aucune de ces solutions n’est réalisable.
A l’approche de l’hiver, le chauffage fait défaut à La Parisière, ce qui incite Julie et Lydie à chercher un autre logement. Elles le trouveront à 5 kilomètres de là, à Peyrins. (Robert De Bauw 12/04/2012)

07/09/1940 / 28/1291941
Famille Nias - La famille Nias à Bourg-de-Péage (Drôme) Mon grand-père Elie Nias (18547-1941) et mes tantes Julie Nias (1890-1977) et Lydie Nias (1891-1966), israélites de nationalité belge, réfugiés en France dès le début de la guerre 40-45, ont été hébergées par Madame Argod (née de Maulmont), dans son château La Parisière à Bourg-de-Péage, du 7 septembre 1940 à la fin décembre 1941. Depuis Domme (Dordogne) (voir cette localité), Lydie avait écrit à cette personne, rencontrée deux années de suite à Aix-les-Bains, puis une fois à Cannes, pour donner de nos nouvelles. A ma grande surprise, elle me répond par une lettre charmante, me disant qu’elle serait enchantée, si cela nous convient, si nous voulions venir chez elle en partageant les frais du ménage. L’accueil est chaleureux : nous vivons en ce moment dans une atmosphère familiale charmante : Mme, femme exquise, aux petits soins, surtout pour Père, les deux fils, également très sympathiques et distingués, écrit Julie en septembre 1940. J’ai retrouvé dans les archives de la Commune de Bourg-de-Péage, aux Archives départementales de la Drôme à Valence, la « liste des réfugiés de Belgique se trouvant dans la commune, rentrant dans les catégories suivantes : … 2° israélites, de quelque nationalité que ce soit, domiciliés en Belgique avant le 6-5-40 ». Cette liste a été dressée en application d’une circulaire préfectorale du 26 septembre 1940. Une note du 23 octobre ajoute que doivent être indiquées « les raisons détaillées qui s’opposent à leur retour en Belgique. » Une demi-feuille de papier, épinglée à d’autres documents joints à la liste, porte, de l’écriture de Lydie, son nom, celui de son père (avec la mention père cardiaque intransportable) et celui de Julie. Une autre main a ajouté « Is » pour israélite. Les archives contiennent également trace de réfugiés provenant d’Alsace, logés dans les dépendances de La Parisière. Au début de 1941, la santé d’Elie se détériore : il est admis à la mi-mars à la petite clinique de Bourg-de-Péage et y décède le 4 avril. Une visite de leurs cousins Roost, réfugiés à Aix-en-Provence, réconforte Julie et Lydie. Mais elles souhaitent pouvoir quitter la France pour rejoindre le Portugal, ou bien le Congo belge où se trouve leur sœur Claire : il apparaît rapidement qu’aucune de ces solutions n’est réalisable. A l’approche de l’hiver, le chauffage fait défaut à La Parisière, ce qui incite Julie et Lydie à chercher un autre logement. Elles le trouveront à 5 kilomètres de là, à Peyrins (voir cette localité). Robert De Bauw 12/04/2012 (archives familiales)
20/06/1940 / 18/08/1940
Famille Nias - La famille Nias, à Domme (Dordogne) Mon grand-père Elie Nias (18547-1941) et mes tantes Julie Nias (1890-1977) et Lydie Nias (1891-1966), israélites de nationalité belge, réfugiés en France dès le début de la guerre 40-45, ont été hébergées à Domme du 20 juin au 18 août 1940. Un cousin d’Elie, Fernand Lazard, avait une propriété L’Abbaye dans cette ville. Sa fille accueillit les Nias et leur procura du logement : dans la propriété pour Elie et Julie, chez l’habitant pour Lydie. Celle-ci raconte, dans une lettre du 29 juillet à sa sœur Claire (1893-1951) qu’elle habite dans un vieille maison habitée et appartenant à un savant M. Reclus Paul, fils de Elie Reclus et neveu du fameux géographe Elysée. Nos hôtes sont très intéressants, tous intellectuels. Le vieux, 82 ans, cerveau encore extraordinaire, sa belle-fille et son petit-fils avec sa femme. Ils me prêtent des livres, et le soir, nous faisons de temps en temps de l’astronomie, car nous explorons les cratères de la lune au télescope. Après le séjour à Domme, les Nias trouvèrent refuge à Bourg-de-Péage (Drôme) et ensuite à Peyrins (Drôme) (voir ces localités). Robert De Bauw 12/04/2012 (archives familiales)
20/06/1940 / 18/08/1940
Famille Nias - Élie Nias (1854-1941) et ses filles Julie (1890-1977) et Lydie (1891-1966), juifs de nationalité belge, réfugiés en France dès le début de la guerre 40-45, ont été hébergées à Domme du 20 juin au 18 août 1940. Un cousin d’Élie, Fernand Lazard, avait une propriété L’Abbaye dans cette ville. Sa fille accueillit les Nias et leur procura du logement : dans la propriété pour Élie et Julie, chez l’habitant pour Lydie. Celle-ci raconte, dans une lettre du 29 juillet à sa sœur Claire (1893-1951) qu’elle habite "dans une vieille maison habitée et appartenant à un savant M. Paul Reclus36, fils de Élie Reclus37 et neveu du fameux géographe Elysée38. Nos hôtes sont très intéressants, tous intellectuels. Le vieux, 82 ans, cerveau encore extraordinaire, sa belle-fille et son petit-fils avec sa femme. Ils me prêtent des livres, et le soir, nous faisons de temps en temps de l’astronomie, car nous explorons les cratères de la lune au télescope."
Après le séjour à Domme, les Nias trouvent refuge à Bourg-de-Péage (Drôme) et ensuite à Peyrins (Drôme). (Robert De Bauw 12/04/2012)

29/12/1941 / 05/1945
Famille Nias - Julie Nias (1890-1977) et sa soeur Lydie (1891-1966), juives de nationalité belge, réfugiées en France dès le début de la guerre 40-45, ont été hébergées successivement à Domme (Dordogne) et à Bourg-de-Péage (Drôme) avant d’être accueillies par Monsieur et Madame Toussaint et leur fils Michel, au château Condillac à Peyrins (Drôme). Elles y ont séjourné du 29 décembre 1941 jusqu’à la fin mai 1945.
La correspondance qu’elles adressaient à leur famille montre qu’elles étaient informées du renforcement des mesures prises à l’encontre des juifs au cours de l’été 1942, et qu’elles ont craint d’en être victimes. Grâce à la vigilance de leurs hôtes et probablement aussi grâce à l’attitude des autorités locales, elles n’ont cependant pas été directement menacées. Le 22 septembre 1942, Julie écrit à sa sœur Claire (1893-1951) qui résidait au Congo belge : "Actuellement les difficultés sont bien accrues, comme vous le pensez ? On se déplace de plus en plus difficilement, surtout en ce moment. Vu nos soucis actuels nous ne quittons guère la propriété ces derniers jours. Heureusement nos hôtes sont très gentils et dévoués." Le 21 septembre 1942 elle écrit à son frère Paul (1889-1964) qui était resté en Belgique : "Vers la mi-septembre, la maladie de notre ami Guinal nous a fait passer par de terribles inquiétudes. Pendant 8 jours, nous n’avons pas quitté la propriété et pas la localité pendant 5 semaines. Et ces périodes d’anxiété ne sont pas encore passées, car il y a encore des hauts et des bas."
L’allusion à l’ami Guinal demande explication : il s’agit d’un langage codé dont usait la famille Nias pour désigner tout ce qui est juif ou israélite. La maladie désigne certainement les mesures qui s’abattaient sur les juifs depuis le mois de juin. On en trouve confirmation dans d’autres lettres de Julie.39 (Robert De Bauw 12/04/2012)

29/12/1941 / ??/05/1945
Famille Nias - La famille Nias, à Peyrins (Drôme) Mes tantes Julie NIAS (1890-1977) et Lydie NIAS (1891-1966), israélites de nationalité belge, réfugiées en France dès le début de la guerre 40-45, ont été hébergées successivement à Domme (Dordogne) et à Bourg-de-Péage (Drôme) (voir ces localités) avant d’être accueillies par Monsieur et Madame TOUSSAINT et leur fils Michel, au château Condillac à Peyrins (Drôme). Elles y ont séjourné du 29 décembre 1941 jusqu’à la fin mai 1945. La correspondance qu’elles adressaient à leur famille montre qu’elles étaient informées du renforcement des mesures prises à l’encontre des juifs au cours de l’été 1942, et qu’elles ont craint d’en être victimes. Grâce à la vigilance de leurs hôtes et probablement aussi grâce à l’attitude des autorités locales, elles n’ont cependant pas été directement menacées. Le 22 septembre 1942, Julie écrit à sa sœur Claire (1893-1951) qui résidait au Congo belge (voir témoignage de Robert De Bauw) : Actuellement les difficultés sont bien accrues, comme vous le pensez ? On se déplace de plus en plus difficilement, surtout en ce moment. Vu nos soucis actuels nous ne quittons guère la propriété ces derniers jours. Heureusement nos hôtes sont très gentils et dévoués. Le 21 septembre 1942 elle écrit à son frère Paul (1889-1964) qui était resté en Belgique : Vers la mi-septembre, la maladie de notre ami Guinal nous a fait passer par de terribles inquiétudes. Pendant 8 jours, nous n’avons pas quitté la propriété et pas la localité pendant 5 semaines. Et ces périodes d’anxiété ne sont pas encore passées, car il y a encore des hauts et des bas. L’allusion à l’ami Guinal demande explication : il s’agit d’un langage codé dont usait la famille Nias pour désigner tout ce qui est juif ou israélite. La maladie désigne certainement les mesures qui s’abattaient sur les juifs depuis le mois de juin. On en trouve confirmation dans d’autres lettres de Julie. En 2000, j’ai fait visite au fils de M. et Mme Toussaint, qui avait bien connu mes tantes et je lui ai apporté un témoignage de la vive reconnaissance de ma famille pour la sécurité que ses parents et lui leur avait garantie. M. Michel Toussaint m’a raconté qu’un policier (ou un membre de la milice ?) s’était un jour présenté pour enquêter sur les personnes hébergées au château. Sa mère le renvoya avec quelques bonnes paroles sur le sort malheureux de ces réfugiées belges qui ne faisaient de mal à personne. Et elles ne furent pas inquiétées. Or il est quasi certain que Julie et Lydie étaient enregistrées comme « juives » à la Commune de Peyrins, comme elles l’avaient été à Bourg-de-Péage (Drôme) (voir cette localité). Les archives de la commune n’étant pas accessible, je n’ai malheureusement pas pu les consulter. Autre preuve de l’attention de la famille Toussaint pour ses hôtes juifs. Un jour de l’été 1944, alors que des combats opposaient les troupes allemandes et des maquisards dans le Vercors, Mme Toussaint enjoint à son fils de se cacher au fond du jardin avec les demoiselles Nias et une famille juive parisienne de 5 personnes qui était également hébergée à Condillac. Ils restèrent quatre heures tapis dans un ruisseau, observant les soldats allemands qui s’approchaient de la maison … pour s’en écarter ensuite, sans incident. Robert De Bauw 12/04/2012 (archives familiales)
03/1943 / 09/1945
Famille Nizard - La famille d'Armand Nizard s'est réfugiée de Marseille à Fay-sur-Lignon après les grandes rafles de 1943.
Armand, sa femme Bella, ses enfants André, Maurice, Suzanne, Marthoune, Mireille, Gilbert, Robert et Henri y ont trouvé refuge. Leur fille Blanchette était partie en Argentine en 1939 avec son époux.
Le 8 juin 1943, Armand et son fils André ont été arrêtés par des supplétifs français de la Gestapo. Après être passés par la Prison Saint-Pierre et le Camp de Drancy, ils ont été déportés à Auschwitz par le convoi 58 du 30 juillet 1943, d'où ils ne reviendront pas. (familiale)

Famille Nussbaum - La famille Nussbaum est cachée par Lucienne Deguilhem* à Monbahus.
1943 / 1944
Famille Oestreicher - Armand Oestreicher, son épouse Suzanne et leur fils Gabriel, âgé de 12 ans, trouvent refuge à Vialas. Toute la famille originaire de l’Est de la France, de Gérardmer, de Remiremont dans les Vosges et de Belfort, comprenant les Dockès, les Simon et les Oestreicher sont arrivés entre octobre et fin décembre 1943 : 14 personnes, 11 adultes et 3 enfants. Ils venaient des Vosges et avaient trouvé, après l’exode, refuge à Nîmes. Ils sont demeurés à Vialas jusqu’à la libération de Nîmes, à la fin septembre 1944.
Famille Oppenheimer - Louis Eyrignoux, professeur d'anglais et d'allemand au collège d'Uzerche, protège Marcel Oppenheimer en le faisant passer pour le frère de son épouse, professeur de mathématiques à Uzerche. Lorsque la zone sud est occupée, il l'aide à se cacher au Petit séminaire d'Ussel. Après la guerre, Louis Eyrignoux aide Marcel Oppenheimer en le faire entrer après la libération au collège de Juilly ou Louis avait été pion dans les années 1932-1933. Marcel Oppenheimer part ensuite vivre en Angleterre d'abord comme violonniste à l'orchestre de la BBC - mais étant juif,il n'a pas pu y rester - et est devenu professeur de musique au sud de Croydon. Il se marie, et à la naissance de son fils, Pascal, il demande à Louis Eyrignoux d'être le parrain de l'enfant.
Famille Ostrow - La famille Ostrow et leur fille Nadine sont cachés par Lucienne Deguilhem* à Monbahus.
Aout ou Septembre 1940 / Hiver ou Printemps 1941
Famille Otto Schrag - Le maire de Les Martys, M.Ilhe aidait mon pere apres mon pere avait echappe du camp Saint-Cyprien. (Je suis Americain et je parle le francais seulement avec grandes difficultes. En anglais: Thanks to the then mayor of Les Martys,M. Paul Ilhe my father and some friends found refuge in Les Martys from late summer of 1940 to late winter or early spring 1941. The mayor also helped them get a permis de sejour from the prefect in Carcassonne. If anyone has any knowledge of that I would very much like to to hear from them. petersch@sonic.net
Aout ou Septembre 1940 / Hiver ou Printemps 1941
Famille Otto Schrag - Le maire de Les Martys, M.Ilhe aidait mon pere apres mon pere avait echappe du camp Saint-Cyprien. (Je suis Americain et je parle le francais seulement avec grandes difficultes. En anglais: Thanks to the then mayor of Les Martys,M. Paul Ilhe my father and some friends found refuge in Les Martys from late summer of 1940 to late winter or early spring 1941. The mayor also helped them get a permis de sejour from the prefect in Carcassonne. If anyone has any knowledge of that I would very much like to to hear from them. petersch@sonic.net
??/??/1942 / 23/08/1944
Famille Pachter - J'ai été enfant caché à Meyssac en Corrèze dans la famille de Monsieur et Madame Petiti et j'ai retrouvé par un site Facebook de Meyssac Joëlle Petiti, de 4 ans plus jeune que moi, que j'accompagnai à l'école à l'poque. Mon père qui était dans le maquis est venu me rechercher en Août 1944 avec plusieurs jeunes maquisards dans une camionnette marquée du V et de la Croix de Lorraine!
Famille Paul Valery - Paul VALERY, né au lendemain du désastre de Sedan, ayant traversé les quatre années de feu et de sang de la Grande-Guerre, Valéry, vint se réfugier à Dinard 8, rue des Marettes. Il est décédé le vendredi 20 juillet 1945. Le Général de Gaulle décréta des Obsèques Nationales. Pour détails, voir le site web : http://paul.amargier.free.fr/Paul%20Valery/avec_paul_valery_chap_6_les_annees_noires_.htm (http://paul.amargier.free.fr/Paul%20Valery/avec_pa)
Automne 1942 / Printemps 1946
Famille Pauly-Vankerkhoven - Au debut de l'automne 1942, Julien Pauly, né le 22 octobre 1906, fuit la Belgique avec sa femme, Marie Vankerkhoven, née le 18 juillet 1910, et sa petite fille, Louise Antoinette, âgée de 4 ans, née le 19 octobre 1938, afin d'échapper aux allemands. Ils sont recueillis par des fermiers dans le village dHautot-Saint-Sulpice et y restent jusqu'à la fin de la guerre, lorsque leur fille Ghislaine, née prématurément en décembre 1944, est suffisamment forte pour supporter le voyage. (Témoignage Anne-Béatrice Use, petite fille)
Famille Peiffer - La famille Peiffer est aidée par la famille Séjourné de Doudeauville. Les Peiffer logeaient en face du café-épicerie et à côté d'une ferme. Les deux familles ont entretenus des relations après la guerre. (Témoignage Jean-Marie Séjourné)
avant 16 juin 1939 / 1945 ?
Famille Peiffer Joseph,Marie ,Paul - 40 (Famille ,documents ,mairie )
05/02/1944 / 09/1944
Famille Pelta - Gersh Pelta, né en 1895 à Vielun (Pologne), son épouse Jenta née Liftziz à Sarny (Ukraine) et leur fille Édith, née en 1929, sont emmené à Athis-Mons par Armandine Langlais* craignant pour la vie de ses amis. Elle confie Édith à sa sœur et à son beau-frère Renée* et André Charpentier*. Gersh et Jenta Pelta sont logés dans la maison mitoyenne dont Armandine Langlais* est propriétaire rue Georges-Fournier. Édith et ses parents vont demeurer à Athis-Mons jusqu'en septembre 1944.
1942 / 1944
Famille Perstunski - Édith Perstunski est cachée par Lucienne Deguilhem* dans la ferme de Joseph Van der Poellen à Labarque (Monbahus).
1940
Famille Peter - Joseph, conducteur de tramway né le 1/01/10907 à Mulhouse, réfugié du Haut-Rhin.
Famille petit garçon prénommé Serge - mon arrière grand mère a recueilli un enfant juif du prénom de Serge à Luneville; elle s'appelait Marie; Elle avait trois autres enfants, les siens, qui s'appellent : Geneviève, François et Jacqueline; Cette dernière est ma grand mère. Elle se souvient bien de Serge et de la joie de sa mère de le retrouver vivant!! Malheureusement, je n'ai pas d'autres informations, pour le moment,cette période est un sujet douloureux... et Serge est - il là aujourd'hui? (grand mère)
1940
Famille Peyrot des Gachons - Jean Peyrot des Gachons (1899-1991), est réfugié à Varennes avec sa femme et ses deux enfants.
15/04/1943 / 30/08/1945
Famille PICARD - Nous étions hébergés chez Mr Chrétien (père) et Mr & Mme Le Damoiseau, actuellement "Rue des Forgerons". Nous étions scolarisés à l'école communale du Thieulin. (Robert Picard)
1942 / 1944
Famille Picard - André Picard, son épouse Marcelle et leur fils Daniel, ainsi que Denise Lévy, née Picard en 1909, la soeur d'André Picard vont être protégés par René* et Germaine Bastide*. Leur ferme des Trois Croix servira à cacher plusieurs familles juives.
??/05/1940 / ??/??/1942
Famille Picard - La famille Picard-Nathan quitte la Belgique (Athus) et le Luxembourg (famille Nathan-Picard, Esch-sur-Alzette) le 10 mai 1940. Ils rejoignent la partie de la famille originaire de Longwy (évacué dès 1939) en un lieu (???) de rassemblement convenu. Mais ils sont rattrapés par l'invasion allemande. Descendent jusqu'en Dordogne (Vélines) où Marthe Lévy (belle-soeur) a évacué l'orphelinat juif de Strasbourg. Fretty Picard et sa femme Caroline Nathan, leurs filles Coco et Didy, Cerf Nathan et sa femme Rosalie Picard, leur fils Josy, Léon Picard, sa femme Jeanne Salomon, sa soeur Anna Salomon, leur fils Roger Picard, habiteront le lieu dit "Guerre", route des Rivets, voisine de la propriété Berjon appartenant à la famille Coste. La famille Coste leur sera d'une aide inestimable. Madeleine Picard-Lévy (soeur de Marthe Lévy) et sa fille Denise Picard habiteront Vélines même. Fretty, Caroline, Coco et Didy, quitteront la Dordogne à l'été 1942 pour Argenton-sur-Creuse avec des faux papiers d'identité (nom Ricard). Josy Nathan reste sur place et s'engage dans la Résistance. Tous reviendront saufs dans leur région d'origine, Lorraine, Luxembourg, Belgique. La famille Worms-Picard sera hébergée au château de Saint-Aulay (René Worms et sa femme Constance, leur fille Michèle (Mémoire familiale)
Famille Piernikarz - Denise Piernikarz, enfant juive placée par l'OSE, a séjourné à Fougerolles pendant la guerre, accueillie par la famille Barbé à Les Landes.41
18/11/194 / 31/01//1944
Famille Pintel - Samuel né en 1937, à Paris, âgé de 7 ans. Placé au home d'enfants d'Izieu du 18 novembre 1943 à janvier 1944. Vit en France après la guerre.
04/1943 / 1944
Famille Pizon - Les 4 garçons Pizon âgés de 8 à 17 ans sont protégés par Vincent* et Ursule Dallian*. Leurs parents arrêtés en septembre 1942 seront déportés sans retour. (CFYV, dossier Dalian, n° 6668.)
1942
Famille Popioleck - M. Popioleck est recueilli en 1942 par Marie-Eugénie Pacteau*.
03/07/1943 / 09/09/1943
Famille Popowski - Diane Internée au camp d'Agde en mai 1942. - Domicilié dans la commune de Prades-le-Lez sur la liste : Enfants de la région d'Agde dont les parents sont partis [été 1942]. - Sa famille est réfugiée à Prades-le-Lez
Famille Potack - Fanny et David, enfants juifs placés par l'OSE sont accueillis à Fougerolles par la famille Blanchetière qui habite Les Landes. Fanny et David ne seront pas scolarisés.42
1944 / 1944
Famille Prajs - Kiwa, ingénieur Juif polonais, né en 1916, est caché par Alice Laroche-Ficher* après la grande rafle de janvier 1944. Il restera deux mois dans le grenier aménagé pour lui avant de rejoindre la résistance dans le Jura.
07/06/1943 / 30/09/1943
Famille Pruede - Jean né en 1931 et Marie-Louise née en 1933 sont placée au home d'enfants d'Izieu du 7 juin au 30 septembre 1943.
1939 / 1945
Famille Prymak - Mireille Prymak, juive immigrée de Pologne en 1933, et sa petite fille, Édith, née en 1939, vont être aidées et protégées par Henriette Launay* et sa mère, Madame Launay*.
Famille Pryszkulnik - Sarah et Ber Pryszkulnik et leur fils Alfred, âgé de 6 ans, ont été caché dans une ruine de Roquebillière-le-Vieux et aidés par deux familles.
Famille Pryszkulnik - Madame Blanchard accepte de garder dans sa pension une quinzaine d'enfants pour lesquels Eugénie Raiberti obtient des faux papiers par la Croix Rouge. Dénoncés, ils sont raflés. Un seul bambin juif, Alfred Pryszkulnik, ayant fui à temps à la vue des camions bâchés, sera sauvé. (Danielle Baudot-Laksine)
JJ/06/1940
Famille QUINZIN - MMe Quinzin, réfugiée belge, est arrivée en juin 1940 avec son fils Yves. Après la guerre, elle vivra jusqu'à sa mort sur l'île de Ré. (Connaissance personnelle)
Famille Rabinovich - M. et Mme Arnault Brule, boulangers de Villedieu-sur-Indre cachent chez eux Michelle, une petite fille d'environ huit ou neuf ans confiée par le curé de Villedieu, le Père Lacouture. Elle est inscrite à l'école primaire sous le nom de Michelle Brule, nom de jeune fille de Mme Arnault. (Témoignage d'Annabelle Arnault)
06/1943 / 06/1944
Famille Ramstein - Samuel devenu "Marcel Rameau" et Jacqueline, "Jacqueline Rameau", "ne sont plus juifs". Après l'arrestation de leur père, leur mère tente de les cacher. De juin 1943 à juin 1944, Samuel et Jacqueline , munis de faux papiers, sont convoyés par Dr Rita Breton* médecin de l'OSE (Œuvre de secours aux enfants) chez Henriette Duchemin*, institutrice à l'école primaire de La Chapelle-du-Bois-des-Faulx et secrétaire de mairie qui les confie à l'épicière de La Chapelle-du-Bois qui protégera 7 enfants juifs. Ils resteront chez elle jusqu'à la Libération. En juin 1944, après le débarquement, leur mère, Chaja viendra chercher ses enfants.
Fin 1942 / Juin 1943
Famille Rappaport - Raphaël Rappaport, enfant juif, était scolarisé au Lycée de Roanne. Après l’invasion de la zone sud en novembre 1942, il est déplacé et accueilli par la famille Deroubaix, marchands d’étoffes près de l’église. Il est scolarisé en en demie pension à l’école du Séminaire de Charlieu, sous le nom de "Raphaël Rondet". (Personnel)
1940
Famille Raueff - Suzanne, née le 7/05/1900 à Morteau (Doubs).
1942 / 1944
Famille Reiman - Malka Reiman, née Zolkwer, en Pologne, et ses filles, Madeleine, née en 1931 à Paris et Arlette, née le 30 mars 1933 à Paris, sont arrêtée à Paris le 16 juillet 1942 par deux agents de la police française.43 Entassées dans un autobus, elles sont conduites au vélodrome d’hiver. Le 19 juillet 1942, Malka Reiman et ses deux filles sont transportées en bus jusqu’à la gare d’Austerlitz et arrivent à Beaune-la-Rolande, dans le Loiret. Malka Reiman fait valoir qu’elle travaille pour l’armée allemande et elles sont renvoyées à Paris le 24 juillet dans la catégorie des "Juifs utiles". Comme elles n’ont pas d’escorte militaire, elles s’échappent du train. Toutes trois rentrent à Paris à pied, sans papiers, leurs cartes d’identité, avec le tampon juif étant restées à Beaune. Malka Reiman brise les scellés sur la porte de l’appartement, récupère un peu d’argent et se met à la recherche d’une cachette pour ses filles. Par l'intermédiaire d'une amie, elles partent se cacher en Touraine. Madeleine et Arlette sont ainsi cachées par Jean et Jeanne Philippeau à Vendôme. Lui est savetier, elle s’occupe des cinq enfants qu’ils hébergent, dont quatre enfants juifs, et les prennent en affection. Chaque enfant, qui sait qu’il doit se taire, ignore que les autres enfants sont juifs. Dénoncées, elles vivront la fin de l’occupation dans des champignonnières.
1943
Famille Reiss - Albert Reiss, enfant juif, est placé chez les Maurin au Bleymard à la fin de l'hiver 1943. Les Maurin ont une ferme et tiennent en plus une petite épicerie attenante. Il y garde les vaches et travaille aux champs. Il est présenté comme un enfant réfugiés de Marseille pour fuir les bombardements.
1943 / 1944
Famille RESNIKOFF - Mes parents , grands parents et oncles et cousins se sont réfugiés à Jouac durant la Guerre. (MOI)
Famille Reznik - Polak est protégé par Arthur Sentex*.
1941 / 1941
Famille Rindsberg - Walter Rindsberg (Werner), né le 27/02/1924 à Mainstockheim (Allemagne).
1941 / 1941
Famille Rindsberg - Walter Rindsberg (Werner), né le 27/02/1924 à Mainstockheim (Allemagne).
01/03/1942 / 26/08/1942
Famille Rochtzajd - Chana Leska et Matys Rochtzajd, leurs deux enfants Paula et Maurice, domiciliés à Lyon 31 rue Malesherbes sont assignés à résidence à Aiguebelette par le préfet de Lyon le 1er mars 1942. Le 26 août 1942, Chana est arrêtée par les gendarmes de Pont de Beauvoisin. Matys et ses enfants parviendront à rejoindre la Suisse. [Suite] (Exil ordinaire)
05/03/1944
Famille Roos - Patrick Alain Georges Alfred Roos est né le 5 mars 1944 à Clairvivre. Fils de Georges Roos, né en 1893 à Benfeld (Bas- Rhin) et Marie Louise Rey, née en 1909 à Strasbourg. Ils étaient réfugiés à Périgueux où ils se sont mariés le 25 février 1940. Aucun des membres de la famille Roos n’a été déporté et Patrick s’est marié pour la seconde fois en mairie de Hœnheim (Bas- Rhin) en 1993.
1941 / 1945
Famille Rosenbach - Léopold et Alice et leurs enfants, Rolf, âgé de 16 ans, et Jean, âgé de 12 ans
01/12/1943
Famille Rosenbaum - Le docteur Yvonne Rosenbaum, réfugiée à Bollène, et qui habitait boulevard Victor-Hugo chez Melle Eynard, recherchée parce que juive, est accueillie par la famille Ickovicz.44
Famille Rosenberg - La famille Rosenberg est réfugiée au château de Gourdon à Bollène. Jacqueline, 12 ans, et son frère Michel sont placés en pension chez Mme Touratier à Saint-Pierre-de-Vassols. Le 02/03/1944, leur père, Szlama, né le 07/03/1901 à Shipia, et sa fille Marceline, 16 ans, née le 19/05/1928 à Épinal (Vosges), dénoncés, sont arrêtés à Bollène par les Allemands parce que juifs. Jacqueline et Michel seront saufs.
Famille Rosenberg - Sylvain et Adèle sont réfugiés à Villamblard avec leur fille Renée. (Témoignage Gérard Reh)
1941 / 1942
Famille Rosenblatt - Else Rosenblatt
Famille Rosenfeld - A plusieurs reprises, nos parents et nous avons été hébergés par la famille Zwolakowski à Hautefage Latour.
Famille Rosenthal - Zalmon, né le 06/12/1902 à Lodz ; arrêté à Avranches le 14/07/1942 et conduit le lendemain au train de 6 h 47. Son épouse Rose a été arrêtée le 11/10/1942 et conduite avec son fils Jacques (né le 23/05/1934) à la Kommandantur de Granville le 12/10/1942.
06/1940 / 07/1942
Famille Rosenthal - Ernestine Rosenthal, née le 03/12/1903 à Tarnow (Pologne), comptable, cousine de la famille Knoblauch, de nationalité polonaise, venant de Bruxelles.
Elle est logée à la même adresse que les familles Herskovic et Knoblauch. Le premier étage de la maison est occupé par Jean-Maurice et Jeanne Esquié, et leurs quatre enfants, Odette, Roger, René et Marcel.
En juin 1942, Tinkus Knoblauch est interrogé par les gendarmes de Villebrumier en vue de l'internement de la famille, considérée en surnombre dans l’économie nationale et entrée en France depuis le 1er janvier 1936. Avant la mi-juillet 1942, les trois membres de la famille Knoblauch et Ernestine Rosenthal s’enfuient.
Leur cavale se terminera par l'arrestation de Gittel Knoblauch et Ernestine Rosenthal. Gittel sera internée au camp des Milles puis à celui de Rivesaltes, tandis qu'Ernestine est internée à Septfonds.
Paul et Rosalia Knoblauch échapperont à la rafle.
Ernestine Rosenthal sera déportée sans retour le 4 septembre 1942, par le convoi n° 28 du Bourget-Drancy pour Auschwitz.
Gittel sera déportée sans retour le 16 septembre 1942, par le convoi n° 33 du Bourget-Drancy pour Auschwitz. (Régis Pinson)

25/08/1942
Famille Rosenthal - Claude Michel Rosenthal est né le 25 août 1942 à l’Hôpital des réfugiés de Clairvivre. Il est le fils de Joseph né à Varsovie (Pologne) le 30 avril 1910 et de Amélie Herschkovicova de Novy Blenavy (Tchécoslovaquie), mariés en Dordogne le 10 mars 1942, réfugiés de Strasbourg à Coulounieix-Chamiers. Le jour de la naissance de Claude Michel, son père est interné à Soudeilles (Corrèze), au 665e GTE (Groupement de Travailleurs Étrangers), un camp de travail forcé pour Juifs étrangers.
1941 / 1942
Famille Rosenzweig - Joszi et Egon Rosenzweig, nés à Vienne (Autriche)
06/1940 / 11/09/1942
Famille Roth - La famille Roth, de nationalité autrichienne, venant de la Nièvre,
- David né le 10/06/1880 à Lemberg (Ukraine), commerçant.
- Zette, née Goldsand le 07/08/1882 à Vienne (Autriche).
Depuis le 22 juin 1940, tous les membres de cette famille sont logés dans la maison appartenant à Mlle Maury, modiste à Paris, située rue del Miech, qui correspond aujourd’hui au n° 54. En partance pour les USA à la date du 20 septembre 1940, le départ n’aura pas lieu faute d’autorisation.
La famille Roth échappe à la rafle du 26/08/1942 et du 11/09/1942.
Dans la nuit même, les trois membres de la famille Roth, accompagnés d’Otto Saffir et d’Irma Herschbaum, fuient à bord d’un camion.
La famille Roth à certainement réussi à émigrer vers les USA, car David Roth est connu de la Sécurité sociale américaine. Il serait décédé dans ce pays en août 1968. (Régis Pinson)

1941 / 1944
Famille Rothschild - La famille Rothschild, protégée par le mutisme des habitants de Vicq, restera dans le village de 1941 à 1944, résidant au Château de Dacq, construit au 19e siècle.
1942 / 1944
Famille Rotman - Jean Audoin*, patron de la Tuilerie Perrrusson de Fontafie et maire de Genouillac, emploie comme contrôleur le Dr Michel Rotman, sous un faux nom alsacien. Il le logera, ainsi que son épouse Luce, jusqu'à la Libération.
1942 / 1943
Famille Rowek et Rozner - Albert Rowek et ses petits-cousins Armand et Hélène sont envoyés à Loudun après l'arrestation de leur famille et accueillis par Alphonse* et Anne-Marie Gaboriaud* par l’intermédiaire du RP Jean Fleury* et du Grand Rabbin Élie Bloch.
1942 / 1944
Famille Rozenwurcel - Janette, née le 06/08/1938, enfant juive, est placée par l'OSE à Fougerolles, chez la famille Guerin qui habitent Le Bourg. Elle est inscrite à l'école de Fougerolles le 03/11/1942.45
1942 / 1943
Famille Ruben - Albert Ruben, le beau-frère d'Emmanuel Wohl, juif, brigadier sapeur pompier a du fuir précipitamment Paris après avoir refusé d’éteindre l’incendie d’un hangar dans lequel se trouvait des automitrailleuses allemandes et après maintes péripéties a trouvé refuge à Canari. Dès la libération de la Corse en 1943 il s’engage dans l’armée, traverse la Méditerranée et fera partie de la 4ème division des tabors marocains. Sa citation à l’ordre du régiment mentionne : "Jeune gradé discipliné et dévoué. Au cours des campagnes d’Italie, de France et d’Allemagne s’est toujours dépensé sans compter pour remplir les tâches qui lui étaient confiées. Du 1er au 16 décembre 1944, à Mulhouse a donné la mesure de ses moyens et a contribué pour une large part à la remise en état d’une partie du matériel de harnachement de la division". La présente citation comporte l’attribution de la croix de guerre avec étoile de bronze.46 (Hommage aux villages de France)
Famille Rubin - La famille Rubin, la mère, la fille et le fils, Simon, sont réfugié dans le hameau de Cargo et seront protégés par des habitants du village. (Témoignage de Simon Rubin)
10/1941 / 08/1945
Famille RUBIN - Ma mère, léjà Lew femme RUBIN, mon Père adalbert RUBIN, mon frère Georges RUBIN, moi-même Claude RUBIN,étions réfugiés à Bénévent l'abbaye. Les habitants du village ont eu à notre égard un comportement exemplaire, notamment en nous protégeant lors de la présence d'une colonne allemande restée stationnée pendant plusieurs jours sur l'esplanade de l'abbaye. Même si j'étais nommé le petit juif, mon frère le gros juif,par les copains de l'école que nous fréquentions, nous avons vécu la période de la guerre dans des conditions de sécurité et d'humanité irréprochable. Que de très beaux et émouvants souvenirs. (Claude RUBIN)
Famille Ruchenstain - André, médecin, et son épouse Ginette ont été protégés par Camille Thébaud (01/11/1911-04/03/1994) et son épouse Madeleine (23/06/1915-15/05/2007) qui habitaient à Vitry-sur-Seine, 110, avenue Paul-Vaillant-Couturier. Camille, cheminot et Madeleine aident également aidé la résistance et les Juifs, passant notamment des colis et des messages et des biens appartenant à des Juifs vers la zone sud. (Témoignage Brigitte Vilanova)
04/1944 / 1945
Famille Rutin - Claude Henri, enfant juif réfugié à Saint-Alban-les-Eaux, sera protégé par Paul* et Yvonne Frédric*.
06/1940 / 11/09/1942
Famille Saffir - Otto Saffir, né le 27/02/1907 à Vienne, Autriche, célibataire, de nationalité autrichienne, venant de la Nièvre, chauffeur. Arrive à Varennes le 1er novembre 1940 et loge chez Mlle Maury, sous le même toit que la famille Roth.
Il échappe à la rafle du 26/08/1942 et du 11/09/1942.
Dans la nuit même, la famille Roth, Otto Saffir et d’Irma Herschbaum, fuient à bord d’un camion. (Régis Pinson)

Famille Sahr - La famille Sahr est réfugiée à Auga.
03/08/1944 / 24/08/1944
Famille Sallaberry - Membre du réseau Alliance à saint Jean de Luz, dénoncé mais prévenu par un soldat allemand M. Sallaberry a pu se réfugier avec sa famille à Onard grâce à des requis landais. Mais à l'occasion d'un attentat fait par Léon des Landes. le village a été investi par les SS qui ont pris des otages. M. Sallaberry s'est échappé dans la forêt et son épouse et son fils, Jean-Michel, ont été cachés par les habitants d'Onard. (Témoignage de Jean-Michel Sallaberry, 02/07/2011)
08/1943 / 23/08/1944
Famille SALLABERRY - Mon père Jean-Raymond SALLABERRY membre d’un réseau d'évasion et de renseignements à Saint Jean de luz, dénoncé en mai 1943, s'était échappé avec sa femme et son fils(moi) pour se cacher à Onard. Il y rejoindra le professeur TSASSAS de la Sorbone et sa femme cachés au moulin d'Onard
Famille Salz - Peter Salz, petit réfugié juif allemand, fut confié à Maurice Dubois* et envoyé au château de La Hille dans l'Ariège.
Famille Sauleman - David, fils de Jacob Soulema, né le 24/09/1892 à Salonique, et de Loutcha (Lucie, Léah) née Benforado en 1908 à Salonique, habitent à Paris. Jacob est arrêté parce que juif le 20 août 1941, lors du la rafle dite "du XIe arrondissement". Interné à la cité de la Muette inachevée (camp d’internement de Drancy), il sera déporté sans retour treize mois plus tard par le convoi n° 36 de Drancy vers Auschwitz le 23/09/1942. Le petit frère de David, Claude naît le 15 septembre 1941. Loutcha, David et le petit Claude sont arrêtés parce que juifs la nuit du 4 au 5 novembre 1942. Elle met dans les bras de David son petit frère Claude et les pousser sous une porte cochère pour les soustraire à la déportation. Loutcha sera déportée de Drancy vers Auschwitz par le convoi n° 44 le 09/11/1942. Les deux frères, orphelins, sont aidés par la voisine, amie de leur mère, Luise Tabak, qui travaillait dans un marché tous les matins. Elle les place à Montreuil, chez la veuve d'un ébéniste meilleur ouvrier de France. David va à l'école et garde de très bons souvenirs du directeur de l'école. Les enfants sont ensuite envoyés à Oudan puis David est envoyé à Renazé, caché sous le prénom d'André par Stéphane et Marie-Antoinette Fouchet. Les deux enfants seront saufs.
Famille Sauleman - David, né le 17 juillet 1931 dans le 12e arrondissement de Paris est le fils de Jacob Soulema, né le 24/09/1892 à Thessalonique et Loutcha (Lucie, Léah) Benforado, née en 1908 à Thessalonique (Grèce) et installés à Paris dans le 11e arrondissement.
Le 20 août 1941, lors du la rafle dite "du XIe arrondissement", Loutcha est enceinte de Maurice qui naîtra le 15 septembre 1941, quelques semaines après l'arrestation de son père, Jacob, arrêté parce que juif. Jacob est interné à la cité de la Muette inachevée qui devient le camp d’internement de Drancy. Il sera déporté sans retour treize mois plus tard par le convoi n° 36 de Drancy vers Auschwitz le 23/09/1942. La nuit du 4 au 5 novembre 1942, Loutcha et ses deux enfants, David et Maurice sont arrêtés parce que juifs. Loutcha met alors dans les bras de David son petit frère Maurice et les pousse sous une porte cochère pour les soustraire à la déportation dont elle-même ne reviendra pas. Elle sera déportée de Drancy vers Auschwitz par le convoi n° 44 le 09/11/1942.
Aidés par la voisine, amie de leur mère, Luise Tabak, ils sont placés à Montreuil chez la veuve d'un ébéniste meilleur ouvrier de France. Les enfants sont ensuite envoyés à Oudan puis David, est caché sous le prénom de "Guy" chez les Carpentier et envoyé à Renazé, caché sous le prénom d'André, chez Stéphane et Marie-Antoinette Fouchet.

Famille Sauleman - David, né le 17 juillet 1931 dans le 12e arrondissement de Paris est le fils de Jacob Soulema, né le 24/09/1892 à Thessalonique et Loutcha (Lucie, Léah) Benforado, née en 1908 à Thessalonique (Grèce) et installés à Paris dans le 11e arrondissement.
Le 20 août 1941, lors du la rafle dite "du XIe arrondissement", Loutcha est enceinte de Maurice qui naîtra le 15 septembre 1941, quelques semaines après l'arrestation de son père, Jacob, arrêté parce que juif. Jacob est interné à la cité de la Muette inachevée qui devient le camp d’internement de Drancy. Il sera déporté sans retour treize mois plus tard par le convoi n° 36 de Drancy vers Auschwitz le 23/09/1942. La nuit du 4 au 5 novembre 1942, Loutcha et ses deux enfants, David et Maurice sont arrêtés parce que juifs. Loutcha met alors dans les bras de David son petit frère Maurice et les pousse sous une porte cochère pour les soustraire à la déportation dont elle-même ne reviendra pas. Elle sera déportée de Drancy vers Auschwitz par le convoi n° 44 le 09/11/1942.
Aidés par la voisine, amie de leur mère, Luise Tabak, ils sont placés à Montreuil chez la veuve d'un ébéniste meilleur ouvrier de France. Les enfants sont ensuite envoyés à Oudan puis David, est caché sous le prénom de "Guy" chez les Carpentier et envoyé à Renazé, caché sous le prénom d'André, chez Stéphane et Marie-Antoinette Fouchet.

Famille Sauleman - David, né le 17 juillet 1931 dans le 12e arrondissement de Paris est le fils de Jacob Soulema, né le 24/09/1892 à Thessalonique et Loutcha (Lucie, Léah) Benforado, née en 1908 à Thessalonique (Grèce) et installés à Paris dans le 11e arrondissement.
Le 20 août 1941, lors du la rafle dite "du XIe arrondissement", Loutcha est enceinte de Maurice qui naîtra le 15 septembre 1941, quelques semaines après l'arrestation de son père, Jacob, arrêté parce que juif. Jacob est interné à la cité de la Muette inachevée qui devient le camp d’internement de Drancy. Il sera déporté sans retour treize mois plus tard par le convoi n° 36 de Drancy vers Auschwitz le 23/09/1942. La nuit du 4 au 5 novembre 1942, Loutcha et ses deux enfants, David et Maurice sont arrêtés parce que juifs. Loutcha met alors dans les bras de David son petit frère Maurice et les pousse sous une porte cochère pour les soustraire à la déportation dont elle-même ne reviendra pas. Elle sera déportée de Drancy vers Auschwitz par le convoi n° 44 le 09/11/1942.
Aidés par la voisine, amie de leur mère, Luise Tabak, ils sont placés à Montreuil chez la veuve d'un ébéniste meilleur ouvrier de France. Les enfants sont ensuite envoyés à Oudan puis David, est caché sous le prénom de "Guy" chez les Carpentier et envoyé à Renazé, caché sous le prénom d'André, chez Stéphane et Marie-Antoinette Fouchet.

29/02/1944 / 07/1945
Famille Sauleman - David Sauleman, né en 1931 à Paris, est réfugié à Renazé du 29/02/1944 à juillet 1945. (D. Sauleman)
1941 / 1942
Famille Schaechtele - Max Schaechtele
Famille Schmouiewitz - Mireille, née en 1932, enfant juive placée par l'OSE est accueillie à Fougerolles par la famille Fourreau qui habite Les Landes. Mireille ne sera pas scolarisée.47
1939 / 1940
Famille Schoenfrank - Hans Schoenfrank
26/04/1945
Famille Schonberg - Marcel Schonberg est né le 26 avril 1945 à Clairvivre. Son père, Nephtalie Hirsch Schonberg, de Colmar et sa mère, Breina Babad, de Mikulince (Pologne) étaient réfugiés à Ribérac (Dordogne). Marcel Schoenberg est décédé le 9 mai 1945 à Périgueux. Les deux parents ont survécu à la guerre.
1941 / 1942
Famille Schragenheim - Inge Schragenheim
1944 / 1944
Famille Schwarz - Raoul et Denise Hyvernaud et leur 4 filles, Éliane, Claude, Janine et Danielle, habitaient pendant la guerre à Saint-Martin-d'Hères (Isère), quartier de la Galochère, en banlieue de Grenoble. Ils ont recueilli dans leur maison, durant 3 ou 4 semaines environ, au printemps 1944, une famille juive d'origine polonaise : les Schwarz (ou Schwartz ou Szwarc). Le père, fourreur à Paris, sa femme, et leur fils, Armand, né vers 1927. La maison n'étant pas très grande, et ils installent une literie de fortune à la salle à manger. Raoul et Denise Hyvernaud ont refusé avec beaucoup de dignité tout dédommagement de la part de Monsieur Schwarz, lui disant que très certainement celui-ci en ferait autant si les "rôles" étaient inversés. Après la guerre, alors que la famille Schwarz était retournée à Paris, Raoul et Denise Hyvernaud ont reçu de leur part une fourrure en remerciement. (Témoignage Denis Plaussu)
1944 / 1944
Famille Schwarz ou Schwartz ou Szwarc - Les Schwarz, juifs d'origine polonaise, étaient réfugiés dans la région de Grenoble, à l'époque où la ville était encore en zone dite "libre". Le père, fourreur à Paris, sa femme, et leur fils, Armand, né vers 1927. Ils sont hébergés par Madame Bobby Scrittori qui louait des chambres au "café Viola". En septembre 1942, Madame Bobby Scrittori, fait savoir à Raoul et Denise Hyvernaud qu'un jeune réfugié Juif logeant chez elle s'ennuyait. Denise Hyvernaud et ses filles, Éliane, Claude, Janine et Danielle, l'ont alors invité à des balades à vélo. En 1944, le Café Viola n'est plus assez sûr et un jour des Allemands sont venus frapper à leur porte. Raoul et Denise Hyvernaud accueillent alors la famille Schwarz. La maison n'étant pas très grande, ils installent une literie de fortune à la salle à manger. Raoul et Denise Hyvernaud, conscients du risque encouru par leurs hôtes et par leur propre famille, n'envoie pas leur plus jeune fille, Danielle (âgée de 10 ans), à l'école, durant leur séjour, de peur qu'elle commette une indiscrétion. Raoul et Denise Hyvernaud ont refusé avec beaucoup de dignité tout dédommagement de la part de Monsieur Schwarz, lui disant que très certainement celui-ci en ferait autant si les "rôles" étaient inversés. Après la guerre, alors que la famille Schwarz était retournée à Paris, Raoul et Denise Hyvernaud ont reçu de leur part une fourrure en remerciement. (Témoignage E. Hhyvernaud Plaussu)
1939 / 1940
Famille Schwerin - Ellen Schwerin
1941 / 1942
Famille Seelenfreund - Irma Seelenfreund
1943 / 1945
Famille Seidenberg - Leiser Seidenberg, né en Pologne, son épouse Udes et leurs enfants, Esther, née en 1930 à Paris, et Jacques, né en 1937 à Paris, habitaient 22, rue Rambuteau dans le 3e arrondissement de Paris. Après l'arrestation de son père à Paris durant l'été 1942, Jacques et sa mère, Udes, sont arrêtés au début de l'année 1943 et conduits au commissariat du 3e arrondissement. Josha Garélick, âgée de 18 ans, parvient à faire sortir Jacques et le conduit chez elle. Leiser sera déporté sans retour de Drancy à Auschwitz le 19/08/1942 par le convoi n° 21 et Udes le 02/03/1943. Esther qui se trouvait en Corrèze y restera jusqu'à la fin de la guerre, tandis que Jacques est placé chez Constant* et Henriette Martin* à Renazé où il sera sauvé.
1941 / 1944
Famille Serra - Antoine Serra, né en 1908 dans l'Ile de la Maddalena en Sardaigne, peintre, communiste, résistant, est arrêté le 31 août 1941 à Marseille et s’évade lors de son arrestation. Il entre dans la clandestinité, se cache à Allauch. Il prend contact avec des résistants et continue à fabriquer des tracts sur nardigraphe.
1942 / 1944
Famille Ségal - Francine et Rachel Ségal échappent à la rafle du Vel d'Hiv. La fille de M. Vaur, institutrice, jeune maman, les cache chez elle aux Lilas. Son père, directeur de l'école de Lussant vient les chercher. Avec la complicité du maire, M. Beauvois, il les confie à la famille Moi. Avec leur fille Mado, Victor et Adrienne Moi tiennent un café - salon de coiffure. M. Vaur procure des faux papiers à Mme Ségal, qui rejoint alors ses enfants. Pour subvenir aux besoins, elle fait des travaux de couture à domicile, dans les fermes des environs. Elles y resteront protégées jusqu'à la Libération.
Famille Shikawski - La famille Shikawski est réfugiée et cachée pendant la guerre, au hameau de "La Garde", sur la commune de Eybouleuf. M. Leylavergne, receveur des PTT à La Geneytouse, aidé de son fils Gabriel âgé de 10 ans, leur avait établi de fausses cartes d'identité.48 (Témoignage de Gabriel Leylavergne)
Famille Sichel - La Famille de ma mère originaire de Strasbourg,a été hébergée chez les Mizaudri (orthographe incertaine) Les Sichel: Louis, Rose et leurs enfants Micheline et Monique
Famille Sichem - Renée, née le 12/12/1932, enfant juive placée par l'OSE est accueillie à Fougerolles par la famille Savaris qui habite Les Landes. Renée n'est pas scolarisée.49
Famille Silbert - Henri Silbert, juif d'Autriche qui avait fait ses études à l'École polytechnique de Zurich est caché par Suzanne Rémond, institutrice à Saverne.
01/1940 / 05/1940
Famille Simon - Steven, né le 22 janvier 1932 à Francfort (Allemagne) est placé à Nocé dans la résidence d'une famille de Quakers, au Moulin de la Ferrière, durant l'exode, ainsi qu'un autre enfant juif50. (Témoignage de Steven Simon)
1943 / 1944
Famille Simon - Lucien Simon et sa soeur Jeanine trouvent refuge à Vialas. Toute la famille originaire de l’Est de la France, de Gérardmer, de Remiremont dans les Vosges et de Belfort, comprenant les Dockès, les Simon et les Oestreicher sont arrivés entre octobre et fin décembre 1943 : 14 personnes, 11 adultes et 3 enfants. Ils venaient des Vosges et avaient trouvé, après l’exode, refuge à Nîmes. Ils sont demeurés à Vialas jusqu’à la libération de Nîmes, à la fin septembre 1944.
06/1940 / 08/1944
Famille Sin Blima - Huna Sin Blima, tailleur pour hommes et dames à Paris, d'origine roumaine, son épouse Olga Silberman, et leurs deux enfants, Hélène et Gilbert, seront protégés de juin 1940 à août 1944 à Lacapelle-Biron par le docteur Louis Baud*, Alida Lachoux et Henriette et Louis Balse et à Gavaudun par Gabriel* et Léonie Magimel*.
06/1940 / 08/1944
Famille Sin Blima - Huna Sin Blima, tailleur pour hommes et dames à Paris, d'origine roumaine, son épouse Olga Silberman, et leurs deux enfants, Hélène et Gilbert, seront protégés de juin 1940 à août 1944 à Lacapelle-Biron par le docteur Louis Baud*, Alida Lachoux et Henriette et Louis Balse et à Gavaudun par Gabriel* et Léonie Magimel*.
06/1940 / 1941
Famille Singer - Hans Wilhem, né le 09/04/1929 à Francfort-sur-le-Main, est accueilli dans une famille à Eaubonne, avant d'être envoyé au Château de Montintin, maison d'enfants prise en charge par l'OSE.
1940
Famille Skurnik - Samuel, né le 21/08/1859 à Kalisz en Pologne, Perla Née Fuss sans profession née le 24/07/1896 à Kaliz en Pologne, et Rosalie née le 28/07/1929 à Hattstatt, réfugiés du Haut-Rhin. Samuel décède à Chaumergy le 29/01/1944.
1944 / 1944
Famille Slomovitz - Édith
09/1943 / 08/1944
Famille Smrodyni - Shmuel, menuisier-ébéniste, et Noami Smrodyni, Juifs Polonais, et leurs deux enfants, Judith (dite Odette), née en 1927 à Paris, et Charles, né en 1936 à Tel Aviv, arrivent à Saint-Romans en septembre 1943. Prévenus par le maire, M. Roux, ils ont pu échapper aux rafles grâce à Marie-Louise* et Auguste Idelon*, Catterina* et Marius Ageron* et Joséphine Boucher*.
1941 / 04/1943
Famille Smrodyni - Shmuel, menuisier-ébéniste, et son épouse Noami Smrodyni juifs polonais, et leurs deux enfants, Judith (dite Odette), née en 1927 à Paris, et Charles, né en 1936 à Tel Aviv se réfugient à Francescas. Ils partiront en avril 1943, prévenu par un gendarme d'un risque de dénonciation.
1940 / 1945
Famille Soletchnik - Jules et ses parents sont réfugiés à Revel en 1940. Son père, Nicolas, 45 ans, né en février 1899, sera arrêté parce que juif à Toulouse, le 25/07/1944 et déporté sans retour, et sa mère Maria, 44 ans, née Gherchanoc en 1900, décèdera des suites d'une maladie à Revel le 24/11/1944 où elle sera enterrée. Jules sera sauvé.
Famille Solin - Monsieur et Madame Solin et leur fils Jean sont accueillis par Henriette du Manoir*, qui le confiera à son régisseur Daniel Baranger* et à son épouse Lucienne*. Il y restera pendant près d’un an tandis que ses parents de Jean sont cachés dans une cabane au fond des bois attenants au château.
Famille SONKIN - Émile, Albert SONKIN et leur mère, originaire de Lithuanie étaient déjà domiciliés à Pavillons sous bois lorsqu'éclata la deuxième guerre mondiale. Ils ont survécu à la persécution des juifs grâce à la solidarité d'un fonctionnaire de police qui les avertissait lors des rafles, et de leurs voisins leur permettant de dormir dans les combles d'un immeuble voisin de leur domicile. A Gien où ils étaient eux-mêmes réfugiés, Lucienne et Marcel Gardianot amis de Madame Sonkin ont accueilli les deux adolescents . (Mr Emile Sonkin, Mme Henry née Gardianot )
19/01/1945
Famille Sonnenblick - Jeannette Sonnenblick est née le 19 janvier 1945 à Clairvivre, fille de Moïse Sonnenblick, de Majdan (Pologne) et de Malia Polland née à Kupiatycze (Pologne). Réfugiés à Barnabé, commune de Trélissac (Dordogne). Aucun membre de la famille Sonnenblick ne fut déporté.
22/02/1941
Famille Sorge - Rosa Sorge, née le 23/12/1882 à Dresde (Allemagne), célibataire, de nationalité allemande, ex-gouvernante, arrive en France le 15 avril 1939 par la gare frontière de Kehl (Bas Rhin), venant de Vienne, Autriche, pour habiter à Hadigny (Vosges) où elle réside 4 mois. De là, elle part à Argenteuil (Seine) où va rester 6 mois. Ensuite, elle rejoint Nevers (Nièvre) où elle séjourne 11 mois, pour venir ensuite à Varennes le 27 janvier 1941. A Varennes, elle loge depuis le 22 février 1941 chez François Laval sous le même toit que la famille Lewald. Plus tard, elle déménagera pour occuper le logement des soeurs Galanty. Elle sera la seule à nier son appartenance à la confession juive et déclarera toujours être de religion catholique.
Elle échappe à la rafle du 26/08/1942.
Elle est interrogée le 17/03/1943 par les gendarmes, mais relâchée. (Régis Pinson)

1942 / 1944
Famille Sotenberg - Léon Sotenberg qui s'était enfui de Paris après la rafle du Vel d'Hiv durant l'été 1942, sa belle soeur, Mathilde née Geller et le fils de celle-ci sont hébergé dans une bâtisse appartenant à Louis* et Rolande Pottier*.
15/09/1943 / 14/10/1943
Famille Souriant - Henri placé au home d'enfants d'Izieu du 15 septembre au 14 octobre 1943. - Part vivre aux USA. - Cousin de Zajdman-Bliscaux, Pauline (1929-2010, Bernard, Paulette)
08/1942 / 04/1945
Famille Sperber - Sura Sperber, née Szulc, son fils Jacques et son neveu Henri Max Rozenberg-Szulc, juifs, rejoignent en août 1942, les familles Rozenberg-Zelig et Grosbart réfugiées à Anse. Le 28 août 1944, lors du bombardement de la commune (nœuds ferroviaire et routier stratégiques pour la retraite des allemands), 22 personnes moururent sous les décombres dont Sura Sperber, 31 ans, Henri Max, 10 ans, et Hana Lewicka, 48 ans. Jacques restera à Anse jusqu'en avril 1945. (Sperber)
1941 / 1942
Famille Spiro - Spiro et Max Spiro, nés à Hamm (Allemagne)
01/08/1943 / 31/12/1943
Famille Spitz - Madame Spitz et ses deux fils Claude et Jacques étaient domiciliés à Belley (Ain). Jacques était employé à la sous-préfecture de Belley. Claude a été scolarisé au home d'enfants d'Izieu du 1er août à décembre 1943
Famille Spodheim - Le 5 juin 1942, Bernhard Spodheim, né le 09/03/1902 en Roumanie, fils d'Israël et d'Henriette née Roos, demeurant à Mennetou-sur-Cher, présente une carte d'identité délivrée par la préfecture de Seine-et-Oise, pour retirer l'insigne des Juifs... Trois étoiles lui sont remises par la gendarmerie de Romorantin-Lanthenay en échange d'un point prélevé sur sa carte de textile. (Lecointre Basoge (Rapport de gendarmerie))
1943 / 1943
Famille Stagzman - Suzanne, enfant juive, âgée de 13 ans, va être cachée par les Filles de la charité du Sacré-Coeur de Jésus au Pensionnat du Sacré-Coeur replié à Chemillé.
1943 / 1943
Famille Stagzman - Suzanne, enfant juive, âgée de 13 ans, va être cachée par les Filles de la charité du Sacré-Coeur de Jésus au Pensionnat du Sacré-Coeur puis à l'École Sainte-Anne repliée à Plessé.
1941 / 1942
Famille Steinberg - Frieda Steinberg
1940 / 08/1942
Famille Steiner - En 1940, Henri Steiner, autrichien, s'installe à Tanus (Tarn) où il trouve une place de domestique dans une ferme chez les Douzals, agriculteurs. Henri Steiner sera arrêté par la police française en août 1942.
05/06/1943 / 31/10/1943
Famille Stern - Samuel Stern est le Frère de Emmanuel (Manny) et Esther . - Domicilié dans les communes de Graissessac (34) et Le Bousquet-d'Orb sur la liste : Enfants de la région d'Agde dont les parents sont partis [été 1942], [Collection de Sabine Zlatin], 92. - Placé au home d'enfants d'Izieu du 5 juin à octobre 1943. - La liste des Archives d'Etat de Genève, Personnes enregistrées à la frontière genevoise durant la Deuxième Guerre mondiale, indique une entrée sur le territoire suisse pour Stern, Samuel, né le 22-12-1937, en Pologne. - Emigre aux Etat-Unis
09/1943 / 1945
Famille Sternberg - Ernest resté seul après l'arrestation de ses parents à Costaros est accueilli chez Mélanie* et Régis Brenas* qui le sauveront et le considéreront comme leur quatrième enfant. Il y restera jusqu'à la Libération.
09/1943 / 06/1944
Famille Sternheimer - Joël Sternheimer est caché, de septembre 1943 à juin 1944, avec sa famille - son frère Daniel, sa mère Renée Lévy-Sternheimer, sa tante Alice Lévy et sa cousine Ruth Gottshalk - dans la maison de l'abbé Leleu à Valezan, où ils sont hébergés, après que son père ait été arrêté par la Gestapo - il sera déporté puis gazé à Auschwitz le 23 novembre 1943. (Témoignage Joël Sternheimer)
Famille Strauss - La famille Strauss, la mère, 2 filles et 1 fils, sont hébergés à L'hôtel de France à Maubourguet en 1942 ou 1943. Ils seront tous arrêtés. (Témoignage Anne-Marie Boisson)
1939 / 1940
Famille Strauss - Ruth Strauss, née le 14/09/1926.
09/1943 / 1944
Famille Straussman - Jean-Claude, âgé de 4 ans, est envoyé par le docteur Alexandre Nemeth chez Liliane* et son mari Jacques Bloch-Morhange, réfugiés à Assit.
13/06/1940 / 09/10/1941
Famille Suarès André - Marie-Thérèse Audoux-Desmaisons (1887-1970) directrice des Cours Maintenon, 82, boulevard du Montparnasse à Paris a organisé le 11 juin 1940 l'évacuation vers la Creuse des élèves juives de son pensionnat, de l'écrivain André Suarès et de sa femme Betty. Elle a caché et hébergé ces deux derniers pendant un an dans sa propriété de la Roseraie à Bonnat. L'écrivain y a rédigé sa chronique des 101 jours. (Robert Parienté, in Suarès l'insurgé)
1941 / 1942
Famille Szajn - Après l'arrestation de Luzer Jocef Szajn, né le 10 mai 1905 en Pologne, qui sera déporté sans retour par le convoi n° 5 de Beaune-la-Rolande vers Auschwitz le 28/06/1942, son épouse Ita née Groswurcel, originaire de Pologne, et ses filles Marguerite et Charlotte se réfugient d'abord à Montauban, puis arrivent à Golfech à la fin de l'année 1942. En 1943, Marguerite et Charlotte seront accueillies à Valence où elles resteront jusqu'à la Libération, tandis que leur mère restera à Golfech.
1942 / 1944
Famille Szajn - Après l'arrestation de Luzer Jocef Szajn, né le 10 mai 1905 en Pologne, qui sera déporté sans retour par le convoi n° 5 de Beaune-la-Rolande vers Auschwitz le 28/06/1942, son épouse Ita née Groswurcel, originaire de Pologne, et ses filles Marguerite et Charlotte se réfugient d'abord à Montauban, puis arrivent à Golfech à la fin de l'année 1942. En 1943, Marguerite et Charlotte seront accueillies à Valence où elles resteront jusqu'à la Libération, tandis que leur mère restera à Golfech.
1943 / 1944
Famille Szajn - Après l'arrestation de Luzer Jocef Szajn, né le 10 mai 1905 en Pologne, qui sera déporté sans retour par le convoi n° 5 de Beaune-la-Rolande vers Auschwitz le 28/06/1942, son épouse Ita née Groswurcel, originaire de Pologne, et ses filles Marguerite et Charlotte se réfugient d'abord à Montauban, puis arrivent à Golfech à la fin de l'année 1942. En 1943, Marguerite et Charlotte seront accueillies à Valence où elles resteront jusqu'à la Libération, tandis que leur mère restera à Golfech.
01/08/1943 / 06/09/1943
Famille Szarf - Emile, né en 1931 à Saint-Quentin comme sa soeur et son frère Sarah et Simon nés en 1936, sont placés au home d'enfants d'Izieu du 1er août au 6 septembre 1943. - Réfugié en Suisse le 19 septembre 1943
Famille Szmajser - Jean, né le 22/04/1936 à Paris, et Marcel, né le 25/07/1931 à Paris
19/07/1941 / 30/09/1944
Famille SZPIRO - MR ET Mme SZPIRO ont été cachées par la famille Rachel et Daniel NETZER boulangerie-épicerie à VILLAINES SOUS LUCE de 1941 à 1944. Leur fils Isidore fut caché du 5/10/1943 à juillet 1944 par Mr et Mme ROUIN 155 rue Henri Delagénière au MANS (attest. de mr Szpiro valid. par autorités)
1942 / 1945
Famille Szpizajzen - Bernard, 8 ans et demi, Mariette, 7 ans et demi, et Simon, 4 ans et demi, placés par l'OSE, sont accueillis à Fougerolles-du-Plessis par Victor* et Germaine Lefèvre*, modestes agriculteurs qui les prennent en pension. Bernard est inscrit à l'école le 03/11/1942, Marie et Simon sont quant à eux inscrits à l'école le 02/10/1944.51
Famille Szyferman - Henri et Sophie, à la demande du maire du village, Émile Prêtre, sont cachés et protégés par Suzanne Glasser*. Elle cachera tour à tour huit enfants juifs.
1943 / 1944
Famille Szyfman - Jankiel Szyfman est né en Pologne en 1909, communiste, écrivain et journaliste, son épouse Chawa et leurs fils Albert, né en 1941, arrivent début 1943 à l'hôtel Beauséjour à Aiguebelette. Jankiel est arrêté le 13 novembre 1943 à Chambéry et sera déporté sans retour vers Auschwitz par le convoi n° 62 le 20 novembre 1943. Chawa Szyfman reste à Aiguebelette jusqu'à la libération puis retourne à Paris avec Albert. [Suite] (Exil ordinaire)
Famille Tamir - Ruth Tamir, réfugiée juive allemande, fut confiée à Maurice Dubois* et envoyée château de La Hille dans l'Ariège.
Famille TANCER - La famille TANCER a été cachée et sauvée dans ce village durant toute la période de l'occupation. Ginette TANCER (ma cousine) qui était enfant à l'époque s'apprête à constituer un dossier afin que la générosité et le courage de FOSSEMAGNE et de ses habitants soient connus et reconnus.
1940 / 1944
Famille Teablum - Durant l'exode, en 1940, Abraham Teablum et son épouse Sura, des Juifs qui s'étaient enfuis de Paris avant l'entrée des Allemands dans la capitale, arrivent à Ambazac. Sur la grande place, ils font la connaissance d'Henri Jouanet* qui leur offre l'hospitalité dans sa ferme. Durant les 4 années suivantes, Marie-Louise*, Henri Jouanet*, et leurs enfants Germaine* et René* s'occuperont du couple et de leur fils Simon né à Ambazac. Abraham Teablum trouvera du travail et Henri Delage*, jeune employé de la mairie de la commune, lui procure des faux papiers au nom de "Simon".
04/08/1943 / 30/11/1943
Famille Teboul - Jacqueline est placée au home d'enfants d'Izieu du 4 août au 30 novembre 1943.
1943 / 1944
Famille Teicher - Fernand* et Hélène Court* accueillirent des Juifs de Strasbourg : Hechel et Stéfanie Teicher et leurs deux filles Mollie et Claire, de la fin de l'année 1943 à la Libération. (YV/7659)
22/06/1940
Famille Tettelès - Amalia, née Golsand le 11/05/1880 à Vienne (Autriche), veuve Tettelès, sans profession, arrive de la Nièvre à Varenne avec David Roth et son épouse Zette, née Goldsand.
Depuis le 22 juin 1940, tous les membres de cette famille sont logés dans la maison appartenant à Mlle Maury, modiste à Paris, située rue del Miech, qui correspond aujourd’hui au N° 54. En partance pour les USA à la date du 20 septembre 1940, le départ n’aura pas lieu faute d’autorisation. (Régis Pinson)

15/12/1943
Famille Toporkoff - Denise est accueillie par Madame Henriette Le Pelley du Manoir* au château de Saint-Pierre-de-Lamps.
1943 / 1944
Famille Traube - Georges Traube est né le 17 janvier 1928 à Kalish (Pologne). Evacué de Paris en train avec son jeune petit frère Maurice né en 1935, ils sont placés au Château Le Masgelier, au Grand-Bourg, puis transféré au Château de Chabannes, à Saint-Pierre-de-Fursac (23) avec les enfants qui ont passé leur certificat d'études. Il y reste jusqu'à la rafle, à la fin de l'été 1942. Sa mère rejoint ses deux fils et se réfugie à La Courtine (23), un village des environs jusqu'en 1945. Elle n'a jamais été inquiétée. Les deux enfants viennent souvent la voir avant de regagner le château. Georges est placé ensuite dans une famille de paysans, avant d'être évacué vers la zone italienne à La Chaumière, maison d'enfants à Saint-Paul-en-Chablais (74) où il reste 8 mois. Après la fermeture de la maison fin 1943, il est envoyé à la Maison d'Enfants d'Izieu d'où il a la chance d'être transféré par le circuit Garel, quelques semaines avant la rafle, vers un centre d'apprentissage de Lyon, le centre Fourvière, sous le faux nom de Traubet. Il y reste jusqu'à la libération de le ville. La guerre terminée, il retrouve sa mère et ses frères, mais pas son père, déporté sans retour.
22/06/1940 / 1942
Famille Traubenberg - Heinrich Traubenberg, né le 02/02/1894 à Chernowitz (Roumanie), célibataire, de nationalité autrichienne, serrurier. Venant de la Nièvre, il arrive à Varennes le 22 juin 1940, loge dans la maison de Gabriel Brassier, à côté de la mairie. Cette maison n’existe plus aujourd’hui, elle était située sur l’emplacement de l’école primaire actuelle. Le puits, de nos jours recouvert d’une plaque, est situé dans la cour de récréation. Fumeur de pipe, Heinrich Traubenberg était surnommé "Pipette" par les enfants.
Au printemps 1942 il passe en Espagne, gagne Lisbonne où il embarque à destination des États-Unis d’Amérique, le 1er juillet 1943. (Régis Pinson)

01/03/1944 / 1945
Famille Trevgoda - En mars 1944, Simone Trevgoda trouva un abri avec ses deux enfants, Michel et Jenny auprès de Blanche Coudray* et Paul* et Léontine Baillon*, qui habitent à Rueil-la-Gadelière. Ils y resteront jusqu'à la Libération.
1943 / 1944
Famille Trèves - Jean Audoin*, patron de la Tuilerie Perrrusson de Fontafie et maire de Genouillac fourni des faux papiers à Raymond Trèves, conjoint d'une "aryenne", réfugié du Nord de la France, et vendeur de textile à Lyon au moment de son arrestation par la Gestapo en mars 1943. Il fait partie de ceux qui creuseront le tunnel à Drancy. Découverts le 09/11/1943, ils sont déportés. Après avoir arraché les lucarnes d'aération du 6e wagon, profitant de l'obscurité et du brouillard, il parvient à s'évader, avec 18 autres, dans la montée avant le village de Lérouville (Meuse). Raymond Trèves sera hébergé quelque temps par Cécile* et Jean Audoin*. Jean Audoin* l’emmènera ensuite en zone libre.
1942 / 1943
Famille Tropper - David né en 1934 à Lodz et sa soeur Rachel née 22/01/1939 à Paris 12e sont placés par l'OSE à la Maison de Poulouzat de 1942 à 1943.
1940
Famille Troxler - René, né le 5/12/1905 à Chatenois (territoire de Belfort).
/ 28/08/1944
Famille Tsassas - Professeur à la Sorbonne , d'origine Grecque marié à une Italienne, M. et Mme Tsassas sont réfugiés au moulin d'Onard chez les De Gavardy (?). (Témoignage de Jean-Michel Sallaberry, 02/07/2011)
Famille Tuchband - Jean, né en 1931, enfant juif placé par l'OSE est accueilli à Fougerolles par la famille Paillard qui habite la Croix des Gardes. Jean ne sera pas scolarisé.52
Famille Tuzinsky - Charlotte, enfant juive placée par l'OSE est accueillie à Fougerolles par la famille Foisnet qui habite Les Landes. Charlotte ne sera pas scolarisé.53
04/1943 / 1944
Famille Vaisenberg - Jacques, né en 1934 de parents d'origine roumaine et naturalisés français, a 8 ans et demi lorsque son père est arrêté par la police française pour défaut du port de l'étoile en novembre 1942. Il sera déportés sans retour vers Auschwitz en février 1943. Le petit garçon est alors placé par La Maison du Prisonnier, organisme dépendant du Secours national, dans une famille de Sabres dans les Landes. Il sera ensuite envoyé dans une autre famille à Gouts et sera sauf à la fin de la guerre. Il retrouvera alors sa mère et son frère.
1944 / 1944
Famille Vaisenberg - Jacques, né en 1934 de parents d'origine roumaine et naturalisés français, a 8 ans et demi lorsque son père est arrêté par la police française pour défaut du port de l'étoile en novembre 1942. Il sera déportés sans retour vers Auschwitz en février 1943. Le petit garçon est alors placé par La Maison du Prisonnier, organisme dépendant du Secours national, dans une famille de Sabres dans les Landes. Il sera ensuite envoyé dans une autre famille à Gouts où il devient enfant de choeur. Il sera sauf à la fin de la guerre. Il retrouvera alors sa mère et son frère.
17/05/1940 / 03/09/1940
Famille Van Bouwel - institutrice (REGISTRE COMMUNE)
Septembre1942 / 1945
Famille Ventura - Mon père , maurice Ventura , engagé volontaire , s'est retrouvé stationné en 1940 avec son regiment ( 5ème Génie )à Montagnac sur Auvignon . Il a sympathisé avec la directrice de l'école , Mme Courties , qui était la femme du maire ." Si un jour vous et votre famille avez des ennuis , vous pourrez venir chez nous " En 42 ,nous avons échappé à la raffle du Vel'd'hiv et mon père s'est souvenu de la proposition de la famille Courties . Nous avons réussi à passer clandestinement la ligne de démarcation pour rejoindre Montagnac , ou les Courties nous ont accueillis et cachés j'usqu'à la fin de la guerre. J'allais avoir quatre ans , à mon arrivée , je me souviens bien de la grande maison , avec sa vieille tour et le jardin donnant sur les ramparts. Mr Courties était invalide de guerre , il avait perdu une jambe en 14 , et son pilon en bois me faisait un peu peur . C'était un riche paysan propriétaire de grandes parcelles de vigne ( du Chasselas) .Les Courties avaient 4 enfants . Pierre le plus agé qui a rejoint Londres , Etienne , Linette 16 ans , et Jean-Michel ( Nana ) qui n'avait que 3 ans de plus que moi et qui était mon grand copain . Mes parents sont rentrés à Paris en 45 et je suis resté un an de plus chez les Courties .... On est resté longtemps en contact avec les Courties .Il y a 2 ans , je suis retourné à Montagnac et j'ai revu la grande maison , le jardin et la vieille tour . Rien n'avait changé ...La maison ,encore habitée par la veuve de jean- michel, était momentanément deserte , mais j'ai poussé le portail et je me suis promené dans le jardin envahi par le lilas et les glycines . Je pense souvent à la famille Courties ,.les parents et Pierre , Etienne , linette et Nana, mon copain de jeux Ils nous ont sauvés la vie (claude Ventura)
oct 1942 / 1946
Famille VENTURA - Mon père , engagé volontaire s'est retrouve en 40 avec son régiment à Montagnac ou il a sympathisé avec Mme COURTIES , la femme du maire et directrice de l'école qui (prémonition ) lui a dit sachant que nous étions juifs " si vous avez des ennuis , venez , nous vous accueillerons En 42 ( J'avais 4 ans ) après avoir echappé a la rafle du vel d'hiv nous avons passé la ligne de démarcation et rejoint Montagnac sur Auvignon ou les COURTIES nous ont accueillis et cachés jusqu'à la fin de la guerre. La famille COURTIES nous à sauvé la vie , pour dire les choses simplement (claude Ventura)
01/08/1943 / 09/09/1943
Famille Verdier - Henri est placé au home d'enfants d'Izieu du 1er août au 9 septembre 1943.
06/07/1942 / 06/08/1945
Famille Vermeersch - Originaire de Dunkerque 59240 dans le nord de la France, assiégé par l'armée allemande, la famille Vermeersch se réfugie à Vanvey. (Paulette Vermeersch)
1942 / 09/1943
Famille Vexler - Claude-Renée et Marie-Anne furent confiées par leur père, le Dr Vexler à une nourrice, Madame Cauturon, au Mauroy par Doue. Madame Cauturon a assuré la garde des enfants après l’arrestation de leurs parents. Leur oncle, Sam Elbaum, leur rendait visite tous les 15 jours environ.
1942 / 1944
Famille Vexler - Hélène Sarah, née en 1940, et Jeanne Marie, née en en 1941, deux petites filles juives sont confiées par Szlama Elbaum, frère de leur mère, Faïga Vexler, au couple Clément, à la Croix Verte, petit hameau sur la route de La Ferté-sous-Jouarre. Sam Elbaum mit en pension ces enfants en prévoyant de les reprendre dès qu’il pourrait trouver une maison à louer et se cacher avec elles. Cette famille réussit ainsi, durant toute l’occupation, échapper à l’arrestation, grâce à la complicité du Maire et de la population locale. A la fin de la Guerre, le Dr Jancu Vexler, rentrant d’Auschwitz, a retrouvé son beau-frère et ses deux dernières filles. Son épouse et ses filles aînées ont été déportées sans retour vers Auschwitz.
1942 / 1944
Famille Vexler - Hélène-Sarah et Jeanne-Marie Vexler, confié par Szlama Elbaum, frère de Faïga Vexler, au couple Clément, à la Croix Verte, petit hameau sur la route de La Ferté-sous-Jouarre après l'arrestation le 22 juillet 1942 de leurs parents, Iancu, né le 29 juillet 1907, médecin, et Faïga, 36 ans, née Elbaum, arrêtés parce que juifs La Ferté-sous-Jouarre le 21/10/1942 avec leurs deux soeurs aînées, Claude-Renée, 7 ans, née le 05/12/1936 à Saint-Cyr-sur-Morin, et Marie-Anne, 5 ans, née le 17/10/1938 à Saint-Cyr-sur-Morin. Iancu, né le 29 juillet 1907, médecin, et Faïga sont déportés par le convoi n° 42 vers Auschwitz, le 6 novembre 1942. Claude-Renée et Marie-Anne sont placées au Centre Lamarck de l'UGIF puis à l'orphelinat agricole de Voisins et seront déportées sans retour vers Auschwitz par le convoi n° 77 du 31 juillet 1944. Seul Iancu rentrera de déportation et retrouvera ses deux plus jeunes filles et son beau-frère. (Frédéric Viey)
04/08/1943 / 04/10/1943
Famille Vien - Francis né en 1937 et Jean-Louis, né en 1936, tous les deux à Montpellier étaient voisins de Berthe Weber à Montpellier en 1943. Ils sont placés au home d'enfants d'Izieu du 4 août au 4 octobre 1943
Famille Vintrop - La famille Vintrop est cachée par Lucienne Deguilhem* à Monbahus.
Famille Wachspress - La famille Wachspress et leur fils Wladimir, dit Dédé, sont cachés par Lucienne Deguilhem* à Monbahus.
1940
Famille Wahl - Marie née le 11/07/1876 à Yssenheim, réfugiée du Haut-Rhin.
Famille Wajnberg - Simon Wajnberg et ses sœurs, Liliane et Alice, sont hébergés à Saint-Christophe-des-Bois par la famille Boutros.
1943 / 1946
Famille Wajnberg - Simon pris en charge par Madame Lifchitz, assistante sociale, et emmené par Mme Henry, rejoint ses sœurs cachées à Saint-Christophe-des-Bois chez un couple de fermiers, M. et Mme Boutros, après l'arrestation de leur mère. M. et Mme Wajnberg étaient arrivés de Pologne à Paris un peu avant 1930. Ils se sont rencontrés en France et se sont mariés. M. Wajnberg a été arrêté lors de la rafle dite du billet vert à Paris le 14 mai 1941, 3 mois avant la naissance de Simon, et déporté sans retour. Mme Wajnberg a été arrêtée le 4 février 1944 et déportée sans retour. Ses deux sœurs, Alice et Liliane seront sauvées également. Simon, Alice et Liliane, enfants juifs cachés, seront baptisé à Saint-Christophe-des-Bois le 10 juin 1944. Après la guerre, Simon sera adopté par un couple vivant aux États-Unis.
1944 / 1944
Famille Wajnberg - Alice, née le 3 mars 1934, Liliane, née le 19 novembre 1938, et Simon, né le 4 avril 1941, sont envoyés à Saint-Christophe-des-Bois après l'arrestation de leurs parents. Ils sont recueillis tous les trois par la famille Boutros à la Cour Verte. Après la guerre, leur tante Rose, la sœur de leur père, survivante, viendra les chercher et s'occupera d'eux.
21/09/1943 / 30/11/1943
Famille Waysenson - Adolphe né en 1933, Hélène née en 1935 et Bernard né en 1936, originaires du Luxembourg, sont internés au camp de Rivesaltes jusqu'au 24 octobre 1941. Enregistrés pour un lacement au home d'enfants de l'OSE de la Villa Mariana à Saint-Raphaël. Placés au home d'enfants de l'OSE de La Feuilleraie à Boulouris-sur-Mer. Placés au home d'enfants la Maison d'Enfants d'Izieu du 21 septembre au 30 novembre 1943. Ils vivent en France après la guerre.
Famille Weichselbaum - Abraham, né le 24/10/1922 à Francfort (Allemagne), et Lia, née le 18/05/1924 à Francfort (Allemagne)
1939 / 1940
Famille Weihsman - True Weihsman
1942 / 1944
Famille Weil - Robert, né à Paris en 1923, habitait avec ses parents et sa soeur dans le 11e arrondissement de paris. Georges Weil sera été arrêté à Paris le 16 août 1941. Il restera plus de deux ans à Drancy avant d'être déporté sans retour à Auschwitz par le convoi n° 62 du 20 novembre 1943. Tandis que Suzanne Weil et sa fille Denyse sont réfugiées au Puy, Robert intègre les Chantiers de la Jeunesse en mars 1942, et travaille dans la région jusqu’en septembre ou octobre 1942 quand il est exclu en tant que juif. Il contacte Louis* et Hortense Vergnes* chez qui il avait travaillé avec les Chantiers de jeunesse et leur demande de l’accueillir. Ils acceptent sans hésiter et il restera chez eux jusqu’à la libération, considéré comme un enfant de la famille, travaillant au champ, labourant, et faisant les vendanges. Il était copain avec les jeunes du village. Grâce à Louis* et Hortense Vergnes*, le secrétaire de mairie lui avait procuré des papiers au nom de "Robert Well", fils de Georges Well et de Suzanne Blanc.
1940
Famille Weill - Moisen né le 28 Juin 1875 à Kuttolsheim, Hermence née le 9/12/1881 à Winttersheim, Hélène née le 15/02/1913 à Wingersheim et Renée, réfugiés du Haut-Rhin.
08/05/1944
Famille Weille - Violette Ève Lina Weille est née le 8 mai 1944 à Clairvivre, fille de Pierre Weille de Mutzig (Bas-Rhin) et de Hortense Hermine Uhry de Ingwiller (Bas-Rhin), réfugiés à Clermont- d’Excideuil (Dordogne). Aucun membre de la famille Weille ne fut déporté. Madame Violette Weille est décédée en 2009 à Jérusalem.
1942 / 1945
Famille Weinsweg - Andrée Weinsweg dite "Évelyne", jeune juive, est accueillie de 1942 à la Libération par Ida* et Pierre Darricau*, agriculteurs à Sévignacq et leurs enfants : Jeanne-Marie, née le 11/12/1927, Alexis, né le 28/11/1931, et Omer, né le 05/09/1935.
1942
Famille Weinsweg - La jeune juive Andrée Weinsweg dite "Évelyne" est accueillie par Ida* et Pierre Darricau*, couple d'agriculteurs, qui vivaient à Sévignacq avec leurs enfants (Jeanne-Marie, née le 11/12/1927, Alexis, né le 28/11/1931, et Omer, né le 05/09/1935). Elle y restera jusqu'à la Libération.
Famille Weiser - Sophie et son mari, Belges, Juifs, sont réfugiés à Arinthod chez un Pharmacien où ils vont passer quelques mois, grâce à l'aide de l'>Abbé Glasberg*.
05/1940
Famille Weiser - Sophie et son mari arrivent de Liège (Belgique) et se réfugient à Cazères en mai 1940.
21/09/1943
Famille Weiss - Le 21 septembre Otto Weiss se réfugie chez son employeur de l'été, l'épicier de la Place du Marché Joseph Raibaut, F.T. Vésubie comme ses frères Louis, Pierre et Baptistin. Joseph le cache, puis, comme ses frères, aide d'autres Juifs et des réfractaires. Dénoncé, arrêté le 22 juillet 1944, déporté à Dachau le 24 août il survit mais pèse 29 kilos à la libération du camp le 29 mai 1945. (Danielle Baudot-Laksine)
29/08/1939 / 12/10/1939
Famille Weiss - Yvonne Weiss, veuve américaine, en séjour en France depuis le 2 juin 1939 avec son jeune fils Carl, est hébergée pendant quelques mois à Longué dans la résidence d'été d'une Parisienne de Neuilly, Marthe Roy (issue des Bazille, des Roy, des Bertin et des Bigot) épouse Sanger (un dentiste Américain) dont la fille aînée, Yvonne, hébergeait aussi cette même Américaine chez elle à Neuilly. La maisonnée fait l'objet d'un contrôle de police en septembre 1939. L'Américaine et son fils parviennent à rentrer aux Etats-Unis via Bordeaux le 12 octobre 1939. Puis, la maison sera endommagée par fait de guerre (Allemands en déroute, etc.). Cette maison était occupée l'été seulement (sauf en 14-18 où Marthe et ses 3 jeunes enfants, Yvonne, Ginette et Jack y résidèrent en permanence). Elle était en zone urbaine à proximité (presque en face) d'un bistrot dont la porte comptait quelques marches (peut-être le commerce d'un parent Roy, sauf erreur). Cette maison, que la famille a vendue peu après la guerre car les indemnités versées couvraient mal le coût des réparations envisagées, existerait toujours : avec étage, grandes fenêtres, vue sur un long jardin avec potager, aboutissant à un lavoir sur un cours d'eau. Qui en connaîtrait l'adresse exacte, svp ? (Automne 2013, commentaire) La maison a été retrouvée, au 16, rue de l'Aumônerie. Elle est maintenant la propriété de la commune et abrite les bureaux de la Perception des Impôts. Le jardin a été transformé en square public (le Pré des Grilles), mais le lavoir existe toujours et fait l'objet d'une animation particulière chaque premier dimanche de juillet lors de la Fête des lavoirs. Le sol du rdc de la maison aurait conservé son beau carrelage d'origine. Le bistrot devant a été rasé dans les années 60 pour faire place à un parking. (correspondance)
Famille Weissman - Israël Weissman, d'abord réfugié à Metz, rejoint Lectoure en se cachant, grâce à des cheminots, dans une cuve d'une locomotive. Quand il a su que son nom était inscrit sur la liste d'une rafle, il a trouvé refuge en l'église Saint-Esprit, caché par Arthur Sentex* dans le clocher.
1940 / 1944
Famille wertenschlag - Famille en provenance de Bruxelles.Le pere Luicen,Jeanne née Levy et le fils Raymond qui va s'engager dans l'armée du general de lattre de tassigny.
1944 / 1944
Famille wertenschlag - j'avais 5 ans quand mes parents ont quitté Lyon où nous etions refugiés pour aller à Balanod jusqu'à la fin de la guerre. Il y avait aussi des enfants Baiersdorf.
1940 / 1944
Famille wertenschlag yvon - refugie sous un autre nom.travaille dans une freme
13/07/1942
Famille Westreich - André Proudhon, résistant, fondateur du maquis "Serge", ami de la famille Westreich, fait passer les jeunes Mina et Netty pour ses sœurs alors qu'elles viennent d'échapper aux rafles de 1942.54 (Georges Legras et Roger Marchandeau)
02/1943
Famille Widermann - Lucie et Georges Boisgontier accueillent huit enfants dont sept sont Juifs : Cécile et Betty Widermann, deux petites filles Juives raflées avec leurs parents à Paris le 12 juillet 1943 sont extraites de Drancy. Lucie, ancienne concierge à Paris travaille pour l'OSE (Œuvre de Secours aux Enfants) vient les chercher en février 1943. Après la guerre, les deux fillettes devenues orphelines seront adoptées par une famille américaine. (Shoah en Normandie, Yves Lecouturier, Cheminements, mai 2004)
/ 1944
Famille Wielblad - Après l'arrestation de ses parents, Rosette est réfugiée avec son oncle, sa tante et ses cousins à Saint-Pierre-de-Chartreuse. En 1944, prévenue d'une rafle, Rosette, 10 ans, quitte Sainte-Pierre-de-Chartreuse avec ses cousins. Aidés d'un passeur, ils parviendront à rejoindre la Suisse. Les parents de Rosette seront déportés sans retour.
1941 / 1942
Famille Winter - Norbert Winter
1942 / 1945
Famille Wisniewski - Jacques et Renée, nés en 1938 et 1940 à Paris, vont rester chez Francine Bompis* qui vit avec son père, Jean-Marie Bompis* de 1942 à 1945.
1942 / 1946
Famille Wohl - Dès 1939, Emmanuel Wohl, originaire d’une famille juive de Hongrie qui vivait à Paris, s’est engagé pour lutter contre l’assaillant Allemand. De retour à Paris, après la débâcle et la déportation de sa grand-mère au camp d’Auschwitz d’où elle ne reviendra pas, la famille Wohl fuit la capitale avec l’aide d’amis résistants et de républicains espagnols qui, connaissant l’existence de la mine d’amiante, aident Emmanuel Wohl à venir à Canari. Son épouse et son fils Jean l’ont suivi après qu’il eut été embauché à la mine. Ils resteront à Canari jusqu’en 1946 où Jean Wohl fréquente l’école de Marinca, avec Mlle Orsini, sa première institutrice.55 (Hommage aux villages de France)
18/03/1942
Famille Wolf - Hélène Fanny Wolf est née le 18 mars 1942 à Clairvivre, fille de Nephtalie, de Strasbourg et de Nelly Lina Goldflam, de Paris. Réfugiés de Saint-Maur (Seine) à Périgueux. La famille Wolf n’a pas été déportée et ne figure pas dans la liste des victimes du Mémorial de la Shoah. Hélène Fanny est décédée à l’âge de 8 ans à Saint-Maur (Seine).
18/05/1943 / 05/07/1943
Famille Wolf - Helga née en Allemagne en 1933, est la fille de Emanuel et Elza Wolf (Volf). Internée au camp de Gurs. Internée au camp de Rivesaltes du 6 ou 7 octobre 1942 au 11 novembre 1942. Placée au home d'enfants d'Izieu du 18 mai au 5 juillet 1943.
1944
Famille Wolf - Helga Wolf, placée au château de Montéléone est accueillie en 1944 par Gabriel* et Marie-Louise Lanoux*.
1941 / 1942
Famille Wolfgang - Luzian Wolfgang
Famille Wollner - La famille Wollner et leurs filles Annelise et Gertrud sont cachés par Lucienne Deguilhem* à Monbahus. Richard Wollner et ses 2 filles Annelise et Gertrud, sont malheureusement été pris lors d'une rafle en 1942 et seront déportés.
18/10/1943 / 06/11/1943
Famille Wolman - Henri né le 29/07/1931 et son frère Roger sont placé au home d'enfants d'Izieu du 18 octobre au 6 novembre 1943 avec leur cousin Henri Kaufmann. Henri Wolman est dans la classe de Gabrielle Perrier à Izieu.
1940 / 1945
Famille Wroblewski - Maurice, né en 1935, et sa mère, épouse Wroblewski, arrivent de Paris pour se réfugier à Sainte-Foy-la-Grande avec l'oncle de Maurice, Léon. Ils vont y rester toute la guerre. Le 4 août 1944, un détachement de volontaires français sous les ordres d'André Besson-Rapp arrête six Juifs, Aron Alemrik, René Dreyfus, Maurice Ourkevitch, Saül Rappaport, Charles Rosemblum et Léon Wroblewski et les massacrent sauvagement dans le bois de Souléiou, sur la commune du Fleix, le lendemain. Maurice et sa mère seront saufs. (Témoignage de Maurice Wroblewski, 13/06/2011). (Témoignage de Maurice Wroblewski )
1941 / 1942
Famille Wulff - Ilse Wulff
1942 / 1944
Famille Zajde - Pendant la Seconde Guerre mondiale, Charles Zajde, petit garçon juif né à Paris le 13 mai 1934 à Paris de parents polonais juifs, est envoyé à Passais-la-Conception dont tous les habitants, qu'ils aient apporté une aide active ou gardèrent le silence, ont permis de sauver plusieurs enfants Juifs pendant la guerre.
Il y est recueilli par les Lucienne* et Gustave Richard*, un couple de villageois qui cachent plusieurs enfants juifs. Cette histoire, son histoire, Charles Zajde la raconte dans un livre.

18/07/1942
Famille Zaks - La famille Zaks habite à Paris, 15 rue Eugène Jumin, dans le 19e arrondissement. Tailleur, il arrive à Paris au mois de janvier 1920 et rencontre Hélène (Brucha Nechuma) née Rozenberg, en 1898. Le 5 mai 1926, il épouse Brucha. Ils auront une fille, Fanny, née en 1920, et deux fils Simon, né le 30/08/1926 à Paris 12e, et Raymond, né le 21/08/1929 à Paris.
Joseph Zaks est arrêté parce que juif lors de la rafle du Vel´ d’hiv le 16 juillet 1942 vers 8 h 30. Son épouse, Brucha, et son fils Simon étaient cachés, tandis que Raymond venait de sortir. Ils ne seront pas arrêtés. La police revient au domicile de la famille Zaks le soir même afin d'arrêter le reste de la famille. Brucha s’était fait faire un faux certificat de maladie par le Dr Niel déclarant que Brucha Zaks a une méningite très contagieuse. Les agents repartent avec l’intention de revenir. Joseph Zaks sera déporté sans retour de Drancy vers Auschwite par le convoi n° 7 le 19/07/1942.
La mère et ses deux fils s’enfuient de Paris dès le 18 juillet. Après une courte halte dans un village près d’Auxerre, ils arrivent à La Foncouverte, à Chantenay-Saint-Imbert dans la Nièvre avec un couple d'amis des Zaks et leur fils Benjamin. Ils rencontrent la famille Fassier à qui ils racontent leur situation et leur demandent s'ils peuvent les héberger pour la nuit. Ils sont accueillis à bras ouvert et vont rester plusieurs jours. L’autre famille est hébergée par leur nièce Suzanne, mère d'une petite fille. Avec l’aide d’amis de la région, les Fassier organisent ensuite le départ des six Juifs vers Moulins dans l’allier. Ils les hébergent dans un grand hôtel à Moulins et leur font passer l’Allier et la ligne de démarcation.
Simon, âgé de 16 ans, est arrêté et sera interné à la prison de Bourges, puis à Beaune-la-Rolande, à Pithiviers, et à Drancy, avant d'être déporté sans retour vers Auschwitz par le convoi n° 36 le 23/09/1942.
Brucha, son fils Raymond et leurs amis arrivent à Carcassonne. Au bout de quelques jours, les miliciens frappent à la porte et les attendent devant leur porte durant toute la nuit jusqu’au lendemain midi. La concierge de l’immeuble réussit à les convaincre qu’il n’y a plus personne depuis plusieurs jours et de ne pas enfoncer la porte de l’appartement. Grâce à elle, les miliciens ne trouvent aucun des Juifs. Brucha et Raymond quittent ensuite Carcassonne à l’aide de cheminots pour rejoindre la Suisse. Ils passeront par Marseille, Cavalière, de nouveau Marseille, Thenon, Anthy-sur-Léman et traversent le lac. Arrivés en Suisse le 14/10/1942, ils sont internés au camp de la Ramée. En décembre 1944, ils vont rentrer à Paris en passant par La Ferrière-sous-Jougne et Pontarlier, et retrouver Fanny.

21/12/1943 / 1945
Famille Zalamansky - Rosalie Zalamansky, Sylvie, 8 ans, et Henry, 3 ans, arrivent à Dieulefit, accompagnés par l'abbé Georges Magnet*, après l'arrestation de Simon Zalamansky à La Tronche le 20/12/1943. Protégés par l’Abbé Georges Magnet*, Rosalie Zalamansky et ses deux enfants trouvent refuge à l’Ecole de Beauvallon. Rosalie y sera cuisinière jusqu’à la fin de la guerre.
Famille Zalc - La famille Zalc (ou Zalz), le père, la mère et les trois enfants, dont Lucie, ont été protégés et sauvés par Mme Laville, la propriétaire de l'Hôtel de France à Trets.
1941 / 1942
Famille Zang - Henri Zang, né en Allemagne.
Famille Zilberstein - Gita, éducatrice, vivait là avec son mari et son fils Anatole.
1942 / 1943
Famille Zimero Oukrate - Camille Zimero née Oukrate qui habitait 1, avenue du Général Dodds Paris 12e, est cachée dans une institution religieuse de Saint-Seine-l'Abbaye en 1941-1942, peut-être 43. En 1944 elle change de nom, et s'appelle "Louise Marie Véronneau" grâce au mari d'une cousine, Maurice Legay résistant et policier (réseau Béarn) qui fit des faux papiers à toute la famille, elle se cache à Surgit Alleuze dans le Cantal. (Sources : Informations dans le dossier de carrière de Suzanne Hublin, née Zimero, à la Caisse des Dépôts et consignations et grâce aux souvenirs de jacques Salomon).
Une autre de ses filles, Jouar Yvonne Zimero (épouse Salomon), est cachée avec son fils jacques Salomon de 1940 à 1945 par une amie dans la Sarthe, Marcelle Alché et son mari André au Mans, puis par Émile Landais un de leurs amis. Il devient "Jacques Landais" et Émile procure des faux papiers à sa mère. Ils se cachent à Sillé-le-Philippe, à 20 km du Mans, mais sont dénoncés par des voisins et s'enfuient dans les champs, restent toute une nuit dans un étang derrière la maison et puis marchent jusqu'à Connerré où ils sont recueillis dans la ferme des Barrié (boucher au Mans). Ils ont tous survécu à la guerre (Camille, Suzanne, Jouar, son fils Jacques et une autre sœur Marie sultana)et après la guerre, Jouar épousa Émile Landais.
Maurice Legay, le couple Marcelle et André Alché, le couple Barrié et les religieuses de Saint-Seine-l'Abbaye, ainsi que ceux qui ont aidé Camille à Surgit Alleuze ont permis à cette famille de ne pas être déportée. (Martine Hublin)

1944
Famille Zimero Oukrate - Camille Zimero née Oukrate qui habitait 1, avenue du Général Dodds Paris 12e, est cachée dans une institution religieuse de Saint-Seine-l'Abbaye en 1941-1942, peut-être 43. En 1944, munie de faux papiers au nom de "Louise Marie Véronneau" obtenus grâce au mari d'une cousine, Maurice Legay résistant et policier (réseau Béarn) qui fit des faux papiers à toute la famille, elle se cache à Surgit Alleuze dans le Cantal. (Sources : Informations dans le dossier de carrière de Suzanne Hublin, née Zimero, à la Caisse des Dépôts et consignations et grâce aux souvenirs de jacques Salomon).
Maurice Legay, les religieuses de Saint-Seine-l'Abbaye, ainsi que ceux qui ont aidé Camille à Surgit Alleuze ont permis à cette famille de ne pas être déportée. (Martine Hublin)

1944
Famille Zimero Salomon - Jouar Yvonne Zimero (épouse Salomon), est cachée avec son fils Jacques Salomon de 1940 à 1945 par une amie dans la Sarthe, Marcelle Alché et son mari André au Mans, puis par Émile Landais un de leurs amis. Il devient "Jacques Landais" et Émile procure des faux papiers à sa mère. Ils se cachent à Sillé-le-Philippe, à 20 km du Mans, mais sont dénoncés par des voisins et s'enfuient dans les champs, restent toute une nuit dans un étang derrière la maison et puis marchent jusqu'à Connerré où ils sont recueillis dans la ferme des Barrié (boucher au Mans). Toute la famille va survivre à la guerre et après la guerre, Jouar épousera Émile Landais. (Martine Hublin)
1944
Famille Zimero Salomon - Jouar Yvonne Zimero (épouse Salomon), est cachée avec son fils Jacques Salomon de 1940 à 1945 par une amie dans la Sarthe, Marcelle Alché et son mari André au Mans, puis par Émile Landais un de leurs amis. Il devient "Jacques Landais" et Émile procure des faux papiers à sa mère. Ils se cachent à Sillé-le-Philippe, à 20 km du Mans, mais sont dénoncés par des voisins et s'enfuient dans les champs, restent toute une nuit dans un étang derrière la maison et puis marchent jusqu'à Connerré où ils sont recueillis dans la ferme des Barrié (boucher au Mans). Toute la famille va survivre à la guerre et après la guerre, Jouar épousera Émile Landais. (Martine Hublin)
1939 / 1945
Famille Zimet - Colette Zimet est placée à Marsat, chez une religieuse, Sœur Valérie, ancienne directrice d'un Pensionnat de Jeunes Filles à Lyon, à laquelle on a donné pour sa retraite, une petite classe unique à Marsat. En 1941, ses parents Henoch et Lucie Zimet viennent la rejoindre et louent une petite maison dans le village. (Témoignage de Colette Arvers)
Famille Ziotogorski - Georges, né en 1936, enfant juif placé par l'OSE est accueilli à Fougerolles par la famille Chemin qui habite Gérouard. Georges ne sera pas scolarisé.56
Famille Zouvi - Lucienne, enfant juive placée par l'OSE est accueillie à Fougerolles par la famille Foisnet qui habite Les Landes. Lucienne ne sera pas scolarisé.57
Famille Zyngier-Zlotowski - M. et Mme Fajardo à Lectoure cachent Lisette Zyngier-Zlotowski.
1942 / 1944
Famille Zysman - David (Jacques), né le 10/10/1932, et Léon, né le 20/12/1934, enfants juifs, sont placés par l'OSE à Fougerolles et accueillis par la famille Huard à l'Azerie et Joseph et Marie Rubillon. Ils sont scolairés à partir du 08/06/1942.58

Notes

- 1 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 2 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 3 - Charles Monier, "Les Juifs persécutés, pourchassés et déportés" in Les chemins de la Résistance à Bollène et dans le canton (1939-1944).
- 4 - Charles Monier, "Les Juifs persécutés, pourchassés et déportés" in Les chemins de la Résistance à Bollène et dans le canton (1939-1944).
- 5 - Charles Monier, "Les Juifs persécutés, pourchassés et déportés" in Les chemins de la Résistance à Bollène et dans le canton (1939-1944).
- 6 - Les réfugiés "Juifs" à Sainte-Foy, de 1939 à 1945.
- 7 - Charles Monier, "Les Juifs persécutés, pourchassés et déportés" in Les chemins de la Résistance à Bollène et dans le canton (1939-1944).
- 8 - Témoignage de Bernard Martin, le petit-fils de Valentine et Ernest Martin, in Vienne Résistance Internement Déportation.
- 9 - Les réfugiés "Juifs" à Sainte-Foy, de 1939 à 1945.
- 10 - Bertrand de Jouvenel, Un voyageur dans le siècle. 1903-1945, éd. Robert Laffont, 1979, p. 31.
- 11 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 12 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 13 - Témoignage de Jacques Eloit, fils d'Hezla Eljasiewicz, Parev, Nice, 3e trim 2008, p. 49.
- 14 - Exposition de la ville de Bondues : "Une solidarité spontanée".
- 15 - Exposition de la ville de Bondues : "Une solidarité spontanée".
- 16 - La tragédie des juifs Montcelliens de Georges Legras et Roger Marchandeau, in La Physiophile, 2010.
- 17 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 18 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 19 - Témoignage de Jean Grobla, le 30/11/2013.
- 20 - Jean-Daniel Greub-Hirsch, Généalogie.
- 21 - Organisation polonaise de la lutte pour l'indépendance en France, Belgique et Hollande. Formée d'émigrés, la résistance polonaise en France a été créée à partir de 1941 par Alexandre Kawalkowski, ancien consul de Pologne à Lille. Elle se réclame du gouvernement du général Sikorski en exil à Londres.
- 22 - La tragédie des juifs Montcelliens de Georges Legras et Roger Marchandeau, in La Physiophile, 2010.
- 23 - Registre d'état civil de Sarrazac et archives du Consistoire du Bas-Rhin - Liste des victimes israélites dans le département de la Dordogne.
- 24 - Simon Jeruchim a témoigné dans un livre A Boy’s Journey under the Nazi Occupation, Fithian Press, USA, 2001.
- 25 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 26 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 27 - Témoignage de Gabriel Leylavergne à l'AJPN, le 09/06/2013.
- 28 - Texte établi en accord avec le témoignage de la famille Lang, 26/11/2012.
- 29 - Le Lycée Paul-Louis Courier.
- 30 - Le Lycée Paul-Louis Courier.
- 31 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 32 - Clara Malraux, Et pourtant j'étais libre, Edition Grasset, 2006.
- 33 - E. Morin, Autocritique, Seuil, 1970.
- 34 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 35 - Robert De Bauw a retrouvé dans les archives de la Commune de Bourg-de-Péage, aux Archives départementales de la Drôme à Valence, la "liste des réfugiés de Belgique se trouvant dans la commune, rentrant dans les catégories suivantes : … 2° israélites, de quelque nationalité que ce soit, domiciliés en Belgique avant le 6-5-40". Cette liste a été dressée en application d’une circulaire préfectorale du 26 septembre 1940. Une note du 23 octobre ajoute que doivent être indiquées "les raisons détaillées qui s’opposent à leur retour en Belgique." Une demi-feuille de papier, épinglée à d’autres documents joints à la liste, porte, de l’écriture de Lydie, son nom, celui de son père (avec la mention père cardiaque intransportable) et celui de Julie. Une autre main a ajouté "Is" pour israélite. Les archives contiennent également trace de réfugiés provenant d’Alsace, logés dans les dépendances de La Parisière.
- 36 - Élie Reclus eut deux fils : Paul Reclus (1858-1941) et Jacques Reclus (1894–1984) qui vécut une grande partie de sa vie en Chine.
- 37 - Élie Reclus, de son vrai nom Jean-Pierre Michel Reclus, né à Sainte-Foy-la-Grande (Gironde) le 16 juin 1827 et mort à Bruxelles le 11 février 1904, est un journaliste, ethnologue et militant anarchiste de la fin du XIXe siècle. Élie Reclus est le frère, entre autres, des géographes Élisée Reclus et Onésime Reclus.
- 38 - Élisée Reclus, de son nom complet Jacques Élisée Reclus, né à Sainte-Foy-la-Grande (Gironde) le 15 mars 1830 et mort à Torhout en Belgique le 4 juillet 1905, est un géographe, militant et penseur de l’anarchisme français.
- 39 - En 2000, Robert De Bauw fait visite au fils de M. et Mme Toussaint, qui avait bien connu ses tantes et il a apporté un témoignage de la vive reconnaissance de sa famille pour la sécurité que ses parents et lui leur avait garantie.
M. Michel Toussaint lui a raconté qu’un policier (ou un membre de la milice ?) s’était un jour présenté pour enquêter sur les personnes hébergées au château. Sa mère le renvoya avec quelques bonnes paroles sur le sort malheureux de ces réfugiées belges qui ne faisaient de mal à personne. Et elles ne furent pas inquiétées. Or il est quasi certain que Julie et Lydie étaient enregistrées comme "juives" à la Commune de Peyrins, comme elles l’avaient été à Bourg-de-Péage (Drôme). Les archives de la commune n’étant pas accessible, Robert De Bauw n’a malheureusement pas pu les consulter.
Autre preuve de l’attention de la famille Toussaint pour ses hôtes juifs. Un jour de l’été 1944, alors que des combats opposaient les troupes allemandes et des maquisards dans le Vercors, Mme Toussaint enjoint à son fils de se cacher au fond du jardin avec les demoiselles Nias et une famille juive parisienne de 5 personnes qui était également hébergée à Condillac. Ils restèrent quatre heures tapis dans un ruisseau, observant les soldats allemands qui s’approchaient de la maison … pour s’en écarter ensuite, sans incident.
- 40 - Une famille Peiffer s'est réfugiée dans cette commune de Doudeauviile 76 parce qu'elle était inquiétée . Elle a logé dans le centre du village.Leur fils est décédé le 16 juin 1939 à l'age de 24 ans .Une carte postale de Villiers le Bel datée de Sarcelles Seine et Oise du 14 juillet 1948 remercie mes parents et mes grands parents .Une personne encore vivante dans la commune dit les avoir connus .Lui Joseph Peiffer ouvrier peintre &Marie Herminie Gourny ont eu un fils Paul né en 1915 à Sarcelles +16 juin 1939 Doudeauville 76 à 24 ans monteur en chauffage à Sarcelles & Raymonde Boury .
- 41 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 42 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 43 - Les 16 et 17 juillet, la rafle du Vel d’Hiv touche les Juifs étrangers de Paris et de la banlieue. 13 152 Juifs arrêtés dont plus de 4000 enfants.
- 44 - Charles Monier, "Les Juifs persécutés, pourchassés et déportés" in Les chemins de la Résistance à Bollène et dans le canton (1939-1944).
- 45 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 46 - Hommage aux villages de France.
- 47 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 48 - Témoignage de Gabriel Leylavergne à l'AJPN, le 09/06/2013.
- 49 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 50 - Témoignage de Steven Simon, in USHMM (United States Holocaust Memorial Museum).
- 51 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 52 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 53 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 54 - La tragédie des juifs Montcelliens de Georges Legras et Roger Marchandeau, in La Physiophile, 2010.
- 55 - Hommage aux villages de France.
- 56 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 57 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.
- 58 - La liste établie par l'association Mémoire et Patrimoine, grâce aux travaux de Valérie Balluais, permet d'établir que 33 enfants juifs ont été accueillis dans 19 familles.



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