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UN GRAND CRI D'AMOUR

 

 

Comédie de 1997

 

Réalisation, scénario et dialogues de Josiane BALASKO

Directeur de la photographie Gérard de BATTISTA

Montage de Claudine Merlin

 

avec

Josiane BALASKO

Richard BERRY

Daniel PRÉVOST

Daniel CECCALDI

Jean SARRUS

Claude Berri

Philippe BRUNEAU

Jean-Claude BOUILLON

Nicolas SILBERG

Stéphane BUTET

Yvette PETIT

Nadia BARENTIN

Jean-Michel TINIVELLI

Françoise Gazio

Claude LANGMANN

Michel FIELD

Fabienne BARBEY

Jacques DELAPORTE

 

 Sortie le 07 janvier 1998

 

Résumé

 S'apprêtant à effectuer son retour sur scène après trois ans d'éclipse, Hugo Martial cherche désespérément une partenaire après la défection de celle prévue. Son agent Sylvestre Archimbaud et le directeur du théâtre, Maillard, ont une idée très précise. Mais comment faire accepter à Hugo de remonter sur les planches avec... Gigi Ortega ? Douze ans de vie passionnée et tumultueuse les ont unis, jusqu'à ce qu'un jour elle parte avec un bellâtre italien et tombe à son tour en disgrâce auprès du public, sombrant dans la déprime et l'alcool.

 Hugo n'a jamais pardonné. Depuis, Gigi a subi une cure de désintoxication et ne demande qu'à montrer à tous ce dont elle est toujours capable. Leur nouveau face à face devrait à coup sûr créer un événement, pense Sylvestre, qui use de tous les stratagèmes et va jusqu'à attendrir Gigi en lui faisant croire qu'Hugo est atteint d'un grave cancer aux poumons.

 Grande victime de la situation : Léon Lefranc, leur ami et metteur en scène, qui va devoir gérer et arbitrer leurs incessants conflits, d'autant que cette pièce à deux personnages de Vernon Davis, " Un grand cri d'amour ", évoque des épisodes similaires à ceux de leur propre existence. Mais précisément c'est là leur moteur, et c'est ce dont Sylvestre et Léon se rendent compte, par contraste, lorsque soudain les deux comédiens, pris de remords et de raison, en viennent à se retrouver comme avant, fous de désir et de complice passion.

 Les répétitions s'en ressentent fortement : ils y sont... épuisés, et médiocres ! Sylvestre s'attelle dès lors à y remédier, attisant tout ce qui peut les diviser. Tant et si bien que le public de la "première", médusé, assure un véritable triomphe à la pièce et à ses deux interprètes, à nouveau réconciliés sinon entre eux du moins avec le succès.