BEATRICE
Bonjour,découvrez moi Béatrice.Féminité exacerbée,sensuelle,bisexuelle, hédoniste et fière de l’être

Thèmes

amis amitié amour anniversaire art bande beatrice blog blonde bonne bronzee cadre

Rechercher
Derniers commentaires Articles les plus lus

· VISITE MEDICALE
· ATTACHE MOI (2)
· CHAUD SUR LA TERRASSE
· Le Choc
· MON DEUXIEME TATOUAGE

· NADINE TOUJOURS
· ATTACHE MOI (1)
· CORSET
· MON BLOG
· FANTASMES
· UNE ROBE SUPERBE
· APRES L'EXPLICATION, UNE BELLE SURPRISE
· FURS
· IL EST FAIT (LA SUITE)
· NOUS Y SOMMES

Voir plus 

Blogs et sites préférés

· leclowntriste


Statistiques

Date de création : 05.09.2006
Dernière mise à jour : 21.07.2020
456 articles


Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "beatrice" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Béatrice guerrière
qk703gz5.gif
Béatrice plus douce
7pbpea2u.gif
beatri10
beatri10.gif
béatrice
joy1yx84.gif
beatrice1_1
beatrice1_1.jpg
Images
9e2ede68
9e2ede68.gif
réveuse
8a72a27b.gif
Béatrice
c88aada5.gif

Bientôt de retour

Publié le 21/07/2020 à 16:05 par beatrice
Bientôt de retour

Après beaucoup de vicissitudes

Virginie (2)

Publié le 16/09/2019 à 14:24 par beatrice

 

Et je me suis laissée aller. Son contact était doux et enivrant en sachant me caresser où il fallait. Elle était très entreprenante plus que je ne l'avais connu lors de mes rares étreintes féminines y compris la tienne. Si ce n'avait la douceur, sentir ses ongles longs se glisser sous ma jupe j'aurai cru que j'étais avec un homme car j'avais l'impression qu'elle me prenait comme un homme. La comparaison s’arrêta nette lorsqu'elle glissa ses doigts dans mon string. Je mouillais par tous les pores de ma vulves sentant le désir m’envahir alors qu'elle titillait mon bouton qui en demandait toujours plus pour atteindre une extase jamais connue auparavant. Nous nous embrassions passionnément. Nos langues se dévoraient l'une l'autre.

Nous sommes restées ensuite très longuement à humer nos odeurs respectives. J'avais joui comme jamais et ne savais comment la remercier.

C'est alors qu'elle s’arrêta subitement en déclarant:

-C'est tout pour ce soir, ma petite. Je vais t'apprendre à m'aimer et à me supplier de te faire l'amour. Si tu souhaites me revoir il faudra que tu acceptes mes conditions.

Je ne comprenais pas son discours dans lequel je compris néanmoins  qu'elle voulait que je sois sa chose.Dans l'instant et encore sous le choc du plaisir ressenti je me sentais prête à accepter ses conditions.

Réfléchi bien dit elle en me tendant son numéro de portable et de tourner les talons pour me laisser seule au coin d'une rue.

J'ai résisté quelques jours et j'ai fini par l'appeler

Virginie

Publié le 03/09/2019 à 16:32 par beatrice
Virginie

J'étais surprise, sans l'être, de son attitude car je savais depuis un échange il y a quelques années, six pour être précise, qu' elle en pinçait pour moi. De son aveu même, elle se sentait attirée par les femmes sans avoir osé franchir le pas.

Alors, je lui posa la question et elle y répondit sans détour

-Comme tu sais, je vis seule avec ma puce. Elle me donne beaucoup d'amour et de tendresse mais ça ne remplace celle d'un adulte. Comme je n'ai pas envie de me faire draguer par des collègues, je traine sur des sites de rencontre à la recherche du prince charmant. Je me suis vite rendue compte qu'il n'existe pas et que la plupart parlent de sexe d'entrée de jeu. Je n'y suis pas opposée mais je pense qu'un minimum de convivialité s’impose. Un soir, alors que je cherchais un homme j'ai été approchée par une femme. Comme j'avais un vide dans la tête, j'ai commencé à dialoguer avec elle. Elle semblait cultivée et j'ai pris plaisir à notre échange. Elle m'a posé des questions sur ma situation, je lui ai dis la vérité. Mon célibat, ma puce et que la solitude me pesait. je la sentais de plus en plus câline et cru deviner ses attentes. J'étais troublée car mes vieux démons revinrent au fur et a mesure que ses paroles devenaient de plus explicites. Elle me proposa de m'envoyer sa photo. Mais comment être sure que c'était vraiment elle. Elle m'indiqua m'envoyer un selfie où elle tiendrait le journal du jour. J'ai dit OK. La photo se révéla être celle d'une brune de la quarantaine assez plantureuse.Elle était très sensuelle et mon sang ne fit qu'un tour. Je fis de même avec ma photo et elle me trouva ravissante  à croquer. J'en ai rougi. Nous avons échangé nos téléphones et nous avons parlé plusieurs soirs de suite jusqu'à ce qu'elle me propose de rencontrer. J'ai accepté tout en me posant la question de savoir si je serai à la hauteur car ses attentions me semblaient claires.

Le rendez vous était fixé dans un restaurant dont elle m'avait donné l'adresse. Comme je ne savait comment m'habiller, j’optai pour une tenue classique tailleur noir, chemisier rose et escarpins. Elle était en pantalon alors que l'avais supposé plus féminine. Le repas fut sympa en parlant de choses et d'autres alors que je sentais que son pied effleurait de temps en temps le mien.Je compris,alors, que je ne résisterai pas longtemps à ses avances.

Mon retour au bureau

Publié le 25/08/2019 à 17:23 par beatrice
Mon retour au bureau

J'y passais de temps en temps pour voir comment le service fonctionnait . Je ne m'inquiétais pas ,car toute contre toute attente, Virginie avait su prendre les choses en mains.

Je ne m'attendais pas à l’accueil que me réservait mes collègues et collaboratrices qui fêtèrent mon retour avec le champagne. J'avisais Virginie qui, je suppose, était à l'origine de tout ceci. En la regardant, je notais un changement dans son comportement et sa manière d'être. Elle que je voyais souvent en pantalon avait une petite jupe et un débardeur gris dont la bretelle du soutien gorge supposait qu'il était de la même couleur. Et puis de grandes créoles dans les oreilles. Elle qui il y a encore peu détestait les boucles d'oreilles. Elle avait éclairci ses cheveux d'un léger châtain clair et son visage semblait refléter la joie de vivre

-Tu ne m'avais pas habituée à un tel look, lui dis je

-Ta maladie m'a fait comprendre que la féminité est un bien précieux et que j'ai commencé à prendre plaisir à m'habiller comme une vraie femme.

-C'était pas faute de te l'avoir dit car tu ne correspondais pas au look de la maison. Et il y a fallu que je te défende en arguant du fait que tu n'allais pas en clientèle comme moi

-On va dans ton bureau?

-Si tu veux

Sitôt entrées, elle me dit qu'elle admirait le volume de ma nouvelle poitrine.

-J'ai envie de les toucher à moins que ça te gêne.

J'étais tellement surprise de sa demande que je l'ai laissé faire. Elle ne les a pas touchés , ni caressés,  mais pétris.

-Là tu exagères lui dis je tout en appréciant le geste. j'étais confuse car je me souvins de ce qui c'était passé entre nous il y a longtemps.

-Béatrice, je pense à toi tout le temps, tu m’obsèdes.

-N'est ce pas plutôt un manque d'affection? Alors que j'étais mal placée pour dire ça puisque j'en étais en manque.

Elle m'enlaça, me pris dans ses bras et m'embrassa longuement et je lui rendis l'élan de sa fougue tout en me demandant où tout cela allait me mener.

Pudeur ou pas? (4)

Publié le 04/08/2019 à 14:28 par beatrice
Pudeur ou pas? (4)

La cicatrisationpassée, je pris plaisir à sentir ma nouvelle poitrine balloter le long de mon torse. J'en vins même jusqu'à ne pas porter de soutien gorge alors qu'auparavant j'étais complexée de ne pas en porter. Je n'irais pas jusqu'à dire que ma maladie avait été salutaire mais il arrive qu'un malheur engendre une satisfaction même si j'aurais préféré garder ma petite poitrine et ne pas avoir à subir ce que j'avais vécu. La maladie m'avait obligée à faire ce que je m'étais toujours refusé. A savoir me faire poser des prothèses. Je prenais un plaisir narcissique à me caresser, à les malaxer à enfin avoir un décolleté plongeant et de voir le sillon qui délimitait mes deux poires en attendant que des mains masculines (ou féminines) les pétrissent..

Pudeur ou pas? (3)

Publié le 16/07/2019 à 14:41 par beatrice
Pudeur ou pas? (3)

Arriva le jour de l'opération. Même préparée je n'en menais pas large. Cette était nécessaire car vitale puisqu’il fallait que je me débarrasse de cette saloperie. Il y avait toutefois une consolation puisque je devais ensuite me faire implanter des prothèses.pour compenser le vide. Vivre le reste de ma vie avec deux corps étrangers ne me convenait guère mais pensa vite à l'avantage qu'ils allaient me donner. Moi qui étais complexée par ma petite poitrine allait pouvoir enfin me venger de toutes les remarques sournoises que je recevais sur la petitesse de mes seins. Une simulation sur ordinateur me permit de choisir ce qui convenait le mieux à ma morphologie. Je les voulais plus volumineux mais sans ostentation. Après plusieurs essais j'obtai pour une taille de bonnet B ce qui permettrait un beau décolleté pigeonnant. .

Je passe les détails de l'opération. Il a fallu attendre la cicatrisation pour pouvoir porter un soutien gorge. Dans l'intervalle, je portais des brassières sportives sans armatures pour ne pas me blesser et pour maintenir ma nouvelle poitrine en place. J'aimais me regarder dans la glace et découvrir mon nouveau corps. le résultat était stupéfiant. Plus aucun de mes soutien gorge ne m'allaient car j'y étais serrée, compressée. je fus donc obligée de renouveler toute ma lingerie. Ce qui ne posa de problème qu'à mon portefeuille car je suis comme la plupart des femmes : je craque pour les belles lingeries fines.

La bonne nouvelle fut qu’après examen il semblait que je sois guérie. J'allais après des mois de galère reprendre goût à la vie et le travail.

 

Pudeur ou pas? (2)

Publié le 07/07/2019 à 15:46 par beatrice
Pudeur ou pas? (2)

Il va sans dire que mes récits résument plusieurs mois de souffrance et d'interrogations et qu'ils ne doivent pas être considérés comme étant écrits au jour le jour

 

 

 

J'étais dévastée mais il fallait que j'aborde le regard des autres. J'ai eu l'envie pendant un moment de ne rien cacher et d'assumer mais très vite la coquetterie à repris le dessus d'autant que je ne savais pas ce que donnerai le résultat de la repousse des cheveux. Je décida donc d'acheter une perruque que je choisie très simple châtain clair et au carré. Il s’avéra que ce n'était très pratique car le seul moyen de la faire tenir était de la coller. Je décida donc de ne l'utiliser que parcimonieusement. Me vint alors l'idée du foulard des musulmanes qui en ce qui me concerne n'est qu'un accessoire et non un objet de prosélytisme. Les boutiques qui en vendent ne manquent pas dans mon quartier et m'adressa à une vendeuse qui en voyant mon crane compris que ma demande n'était pas liée à la religion. Elle m'indiqua comment l’ajuster. l'objet était parfait puisqu'il cache une partie du front contrairement à un simple foulard. J'étais un peu inquiète, en sortant de la boutique du regard des autres. Il n'en fut rien car il faut bien l'avouer que mon quartier est très cosmopolite.

Je devais passer le lendemain au bureau où je n'allais plus que quelques heures par semaine pour régler les problèmes urgents. J'avais peur d'avoir chaud pendant la journée avec la perruque collée sur la tête et décida d'y aller avec un foulard. J'en pris un gris qui conviendrait avec un tailleur noir. Je me maquilla de façon très visible en insistant sur celui des yeux.

Virginie eut un choc en me voyant entrer dans le bureau. 

-Toi l'athée porter le voile, il faut le faire même si je comprends le sens de ta démarche. Escarpins, tailleur et voile ça ne le fait pas.

-Voyage un peu. Va au Caire ou à Istanbul et tu verras des  businesswomen avec ce look.

-Tu ne crains pas les quolibets?

-Pas plus que la pitié si je montre mon crane nu.

Je me mis à porter ce voile quotidiennement sans avoir à subir de regards désobligeants si ce n'est quelques personnes qui s'adressaient à moi en me demandant si j'étais une "sœur". La différence étant que j'en avait acheté plusieurs plus élégants que les autres et qu'ils ressemblaient plus à un objet d'élégance plutôt que d'appartenance religieuse.

Mais tout ceci ne me faisait pas oublier mon état de santé qui ne s'améliorait guère. J'avais toujours les mêmes difficultés à garder mes aliments et maigrissait à vue d’œil ce qui en d'autres circonstances m'aurait ravie. Lors d'une consultation le médecin m'indiqua qu'il faudrait opérer si le traitement n'était pas efficace afin que l'infection ne se propage dans le bras.

-Il est évident qu’après la l'opération le sein gauche sera moins volumineux que son compagnon. Deux solutions s'offriront à vous :  soit vous restez ainsi et ce serait dommage car vous êtes jeune  soit vous vous faite poser des prothèses dans les deux mamelons pour respecter l’esthétique. Je n'ai pas oser lui dire que j'étais complexée par ma petite poitrine et qu'il y avait enfin une bonne nouvelle.

 

A suivre

Pudeur ou pas?

Publié le 06/07/2019 à 15:26 par beatrice
Pudeur ou pas?

Dans un premier temps je n'ai pas eu envie d'expliquer pourquoi j’avais été si longtemps absente. Et puis, je me suis ravisée.parce que ce qui m' est arrivé est, hélas, l'apanage de beaucoup de femmes.

J'aime qu'on me caresse les seins et j'aime le faire moi même. j'aime sentir les tétons qui durcissent sous mes doigts comme tout j'aime qu'on me les mordille. Un matin, alors que je flemmardait tranquillement au lit une main sur les seins l'autre sur mon entrejambe j’eus l'impression que mon sein gauche n'était pas aussi moelleux que d'habitude. En le caressant de façon plus insistante, je constatais qu'il y avait comme une sorte de boule.

La panique s'empara de moi et sortit affolée immédiatement du lit car je me suis mise à imaginer le pire. Je pris rendez vous pour consulter dans les meilleurs délais. Et le verdict tomba sans appel. Il fallait que je me fasse soigner; j'étais décomposée malgré les paroles rassurantes m'indiquant que c'était guérissable si pris à temps:

Je devins méconnaissable parce que anéantie. J'étais silencieuse au bureau mais finit par le dire à Virginie. Paradoxalement, j'avais envie de vivre mais n'avait envie de rien. Je mesurais la vacuité de mes actes passés, de ma vie un peu dissolue et coupa les ponts avec les amants qui conservaient un contact avec moi et rompit sans crier gare et sans explication avec celui du moment qui, le connaissant, n'aurait pas eu le cran de rester avec moi en apprenant la nouvelle.

Et le traitement commença. Je continuais d'aller au bureau, je devenais irascible à la moindre contrariété. Plus grave était que j'avais du mal à garder ce que je mangeais et il m'est arrivé de quitter une réunion pour aller rendre. Le Président me convoqua et me demanda les raisons de mon comportement. Je les lui donna. Il me dit qu'il compatissait car sa femme était morte de la même maladie et m'indiqua qu'il valait mieux que j'arrête de venir travailler et de piloter à domicile et avec l'aide de Virginie. Ce qu je fisavec enthousiasme car il m'était difficile de m'appreter chaque matin pour donner le change.

 Je suivais consciencieusement mon traitement en étant certaine qu'il ne serait efficace qu'avec le temps. Et j'ai commencé à perdre mes cheveux; Ce fut la panique car même si je l'ai malmenés de couleurs et permanentes et coupes, ils sont ce que j'aime en moi car ils font partie de ma personnalité et je pense que ce qu'on remarque en premier chez une femme est le soin qu'elle apporte à sa chevelure. Je les perdais par poignée. Mon crane devenant clairsemé, je dus me résoudre à m'en séparer. Je descendis chez le coiffeur au coin de la rue chez qui je ne suis jamais allée et demanda en retirant mon foulard à la coiffeuse de raser la tête. Elle compris en me voyant et ne dit mot. Je ferma les yeux pendant que les mèches restantes tombaient sous l'effet de la tondeuse. J'avais les larmes aux yeux et m’effondra lorsque je vis le résultat dans le miroir. Je repris mes esprits, ajusta mon foulard pour partir avant de payer ce qu'elle refusa me disant qu'elle compatissait et souhaitait que cela ne lui arrive pas.

 

J'ai eu peur de ne jamais revenir

Publié le 22/06/2019 à 13:43 par beatrice
J'ai eu peur de ne jamais revenir

J'ai eu peur de ne jamais revenir après cette longue absence

J'ai été très malade sans avoir envie de m’étendre dessus ni d'en parler J'ai repris le boulot après des mois d'absence Mon retour a été accueilli avec satisfaction par mes collègues et je commence à reprendre une vie normale

A bientôt

Mon retour, la suite

Publié le 10/10/2018 à 18:36 par beatrice
Mon retour, la suite

J'ai glissé ma main dans la braguette que j'avais largement défaite et fus surprise de découvrir un membre d'une taille plus que confortable. J'ai commencé à le masturber en ne rêvant que de le sucer.

J'ai alors demandé s'il avait de quoi se protéger et me répondit qu'il n'en avait pas besoin car il était,selon ses dires, nickel. C'est le genre d'argument souvent entendu de la part de ceux qui nous sauter "à cru". Je me suis écarté de lui pour aller chercher mon sac à main resté dans le living car j'y ai toujours quelque chose en cas de besoin.

Il m'a demandé d’arrêter alors que j' appliquais le préservatif selon ma méthode, je ne compris pas sur le coup et m’exécuta. de toute façon, il était en place.

Je me précipita goulument sur ce membre qui ne demandait qu'a recevoir mes faveurs. je l'avala tel un avaleur de sabre. Le préservatif était parfumé au chocolat. Je ne supporte pas les préservatifs neutres qui ont un goût de caoutchouc. Ma langue, mes lèvres engloutissaient l'engin qui devenait de plus en plus dur alors que je prenait soin de ne pas le faire venir. 

-Viens dans la chambre nous y serons mieux

Nous avons finis de nous déshabiller pour nous jeter sur le lit

 

 

.