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Vie pratique à Buenos Aires

Logement

La recherche de logement à Buenos Aires est paradoxale: difficile et aisée à la fois! Aisée, tout d’abord, compte tenu de notre pouvoir d’achat. Tout dépend du prix que l’on veut mettre dans le loyer, mais il est possible de trouver des appartements ou même des maisons dans les quartiers les plus prisés de la ville. Difficile comme dans toute capitale, car la demande est supérieure à l’offre, et surtout si l’on est exigent sur les conditions de vie matérielle (appartement équipé, chauffage ou non…). La recommandation numéro un que je ferais est la suivante: faites marcher votre réseau de connaissances. Le bouche à oreille fonctionne très bien.
Si vous avez un pied à terre pour vos premiers jours à Buenos Aires, c’est mieux. Sinon, ce n’est pas très grave: louez une chambre d’auberge de jeunesse, elles ne sont pas chères. Assurez-vous quand même de bien entreposer vos bagages dans un casier fermé à clé, les histoires de vols sont assez fréquentes. Les autres techniques de recherche sont les suivantes: agences (peu nombreuses), internet (notamment la craigslist, mais attention vous êtes surs de tomber sur des prix directement pour européens et américains. Sinon il existe des sites de colocation. Vous pouvez toujours consulter les journaux comme le petit journal, ou la cédille).
De nombreuses personnes font des colocations, car même si les loyers sont beaucoup moins cher qu’en France, les étrangers vivent quand même dans les quartiers les plus « huppés », et les propriétaires n’hésitent pas à monter le loyer lorsqu’ils se rendent compte que vous avez des euros en poche (et ce même s’il avait annoncé un autre prix auparavant). La colocation permet de partager des maisons avec patio, souvent très sympas, ou des grands appartements. Buenos Aires est une très grande ville, et en général, les étrangers ne vivent que dans la partie Est/Nord (près du Rio de la Plata). Il faut éviter les quartiers très populaires (par exemple Constitution), et les villas miserias (bidonville). Du moins au début. Je ne dis évidemment pas qu’il ne faut pas les voir et nier leur existence, mais il vaut mieux envisager d’y entrer accompagné d’un Argentin, et en essayant de ne pas paraître trop « riche ». Les quartiers dans lesquels vous pourrez trouver à vous loger sont:

-Microcentro : ne pas oublier que Buenos Aires, malgré la comparaison que l’on en fait de Paris, est une ville américaine. Elle est donc construite comme telle, suivant la logique des cuadras. Le centre est le lieu des affaires, et est très actif la journée. En revanche, le soir et le we, c’est un peu déserté.
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San Telmo: le quartier historique de la ville. Très touristique le we. On y trouve des bars et restaurants où le folklore bat son plein, de façon plus ou moins authentique. C’est là qu’il faut habiter si vous voulez trouver une petite maison avec patio à partager.
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Puerto Madero: anciens docks rénovés. C’est une zone très « nouveau riche ». Agréable néanmoins.
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Belgrano: c’est un quartier un peu moins cher que tous ceux que j’évoque ici. Un bon compromis si vous êtes limités financièrement, car desservi par une des rares lignes de métro.
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Palermo: ce quartier se décompose en plusieurs parties, et est en général le plus prisé par les étrangers. Il « pullule de petits restaurants, on peut y manger des viandes en sauce [mais pas que ça], un plaisir pour la bouche« . On y trouve également de nombreux bars et cafés (Palermo Hollywood), et dans sa partie haute (Palermo Alto), il est adjacent à la zone de parcs de Buenos Aires (Avenues Las Heras, Libertador).-
-Recoleta
: Si vous pensez que le style XVIIème arrondissement de Paris vous manquera trop, et que Buenos Aires est trop latine, c’est assurément là que la transition sera pour vous moins pénible. C’est un quartier très agréable, et adjacent également aux parcs mentionnés plus haut.
-
Las Cañitas: un bon compromis également. C’est une zone un peu moins prisée des étrangers, mais qui a son charme et ses restaurants. Elle est desservie par la ligne B du métro et n’est pas loin de Palermo . Vous pouvez aussi habiter Colegio, zone plus résidentielle (mais moins chère que toutes celles évoquées plus haut), et plus éloignée (ce sont plus des maisons que des immeubles).

Argent
Attention!! À titre liminaire, je précise que si vous comptez aller en Argentine, il faut se rappeler (ou l’apprendre, si vous ne savez pas déjà) que vous êtes au pays de l’inflation. Les prix que j’indique ici sont valables pour le début de l’année 2007, mais auront sûrement déjà changé lorsque vous arriverez dans le pays. Au début je vous mets les prix en pesos et €, mais ensuite simplement en pesos (taux de conversion au moment de ce rapport: ¼). Pas seulement parce que c’est plus pratique pour moi, mais aussi parce que pour le bien de votre bourse, il faut que vous ne pensiez pas en euros, mais en pesos (sinon on se permet trop de petits plaisirs). Mes dépenses courantes ont été les suivantes :
- Retraits: en général, je retirais 300 pesos (75 euros) par semaine.
- Loyer: j’ai loué un appartement génial (Las Heras, 4025, 22ème étage –avec ascenceur!- esquina: Lafinur). La vue était magnifique, nous étions un peu épargnés par le bruit (c’est vrai que c’est un des seuls défauts de la ville). Je dis nous, car j’étais dans une colocation de 4 personnes. Notre loyer s’élevait à 900 dollars US (donc à diviser en quatre parts). C’est un prix à peu près normal, en comparaison avec ce que payent les autres Français. On peut très bien trouver moins cher, notamment dans les quartiers que j’ai indiqués plus haut.
- charges: l’abonnement téléphonique fixe coûte 20 pesos par mois (ce forfait suffit largement pour effectuer les appels courants). L’abonnement Internet coûte 32 pesos (512 Ko). Le téléphone portable est très cher: j’ai opté pour l’opérateur personal, et sa formule de rechargement par cartes. Avec ce système, l’appel est facturé 1 peso la minute (pas de décompte à la seconde). Il faut absolument communiquer par textos.
- nourriture: il faut compter environ 70 pesos (18€) pour un plein de courses pour une personne par semaine. Après, cela dépend de votre rythme de vie. Nombreuses sont les tentations, et on ne résiste pas facilement à l’appel du légendaire bife de lomo (19 pesos ou 5 €) accompagné de son malbec. Vous ferez vite la découverte des empanadas, sortes de petits chaussons fourrés à tous les goûts et qui ne sont pas chers. Le coût de la main d’œuvre étant négligeable en Argentine (surtout s’il s’agit de main d’œuvre bolivienne), de nombreux restaurants vous proposent de vous livrer gratuitement (d’ailleurs, cela tient pour beaucoup de commerces: vidéoclubs par ex). Le repas dans un restaurant vous reviendra entre 15 pesos par personne et 40 pesos, selon le standing et la consommation.
- déplacement: optez pour le bus!! Le transport en commun ne revient pas cher (80 centavos, ayez le change svp le paiement se fait à une machine, le chauffeur ne manipule pas d’argent) et est une expérience rigolote. De prime abord, les écolos feront la tête, et douteront que ce comportement préserve la couche d’ozone… d’autant que de plus en plus de voitures roulent au gaz naturel en Argentine. Mais le raisonnement n’est pas si simple: songez que l’agriculture Argentine s’oriente massivement vers le biodiesel, et qu’à l’heure actuelle, cela pose la question de la répercussion sur la sécurité alimentaire.
Pour vous orienter dans Buenos Aires, faites l’investissement d’une Guia-T, véritable plan de la ville et des bus (faites-vous expliquer l’usage, ou visitez le site suivant:).
Le taxi est bien pratique parfois: il faut compter en moyenne 15 pesos pour un trajet (mais évidemment, tout dépend où vous habitez et où vous vous rendez).Il y a enfin les quelques lignes de métro (75 centavos le trajet, sans possibilité d’abonnement). Je vous invite à faire au moins une fois le déplacement sur la ligne E, qui est un métro tout en bois. Attention: le métro est bourré à craquer aux heures de pointe. Paris, en pire. D’autant que les Argentins ont très peur de ne pas pouvoir descendre à leur station, et qu’ils anticipent beaucoup leur arrêt. Cela donne un peu l’image d’un déplacements de sardines dans une boîte de conserve encore fermée…
- voyages: vous-vous laisserez sûrement tenter par un ou plusieurs voyages dans d’autres provinces du pays. Deux options: l’omnibus, ou l’avion. Les prix que je connais sont les suivants: l’avion pour aller à Mendoza coûte 600 pesos environ l’aller/retour (je me le suis fait payer par mon stage…) en omnibus, il faut compter 15 heures. Pour aller à Cordoba en bus (8 heures), il faut compter 220 pesos l’aller/retour. Pour aller à Rosario (4 heures): 75 pesos aller/retour. N’ayez pas peur des voyages en bus (pour autant que vous choisissiez la version cama, voire premium). Ils sont très confortables, offrent souvent un arrêt dans un comedor. On y dort assez facilement (siège larges et qui s’allongent complètement. N’oubliez cependant pas un pull (clim à fond), des boules quiès® pour vous protéger des ronfleurs et un petit coussin bien douillet.
Pour le logement en voyage, on trouve des auberges de jeunesse pour une 20aine de pesos la nuit. On peut aussi trouver des petites chambres d’hôtel pour 60-80 pesos.
Important
: Voici une technique pour vous éviter de longues heures d’attente à l’ambassade d’Argentine, voire un voyage à Paris pour les provinciaux. L’Argentine a un accord bilatéral avec la France, et l’on peut entrer sur le territoire sans visa particulier, avec une durée de résidence maximum de trois mois. Ce visa touristique de trois mois est indéfiniment renouvelable (une copine a vécu 2 ans sans visa), si l’on traverse la frontière pour sortir et rentrer dans le pays. Si on oublie cette opération, on paie une amende de 100 pesos. Le voyage en Uruguay (à Coloña) par le buquebus coûte 100 pesos l’aller/retour. Nombreux sont ceux qui font l’aller/retour sur la journée pour renouveler leur tampon. Attention: ce voyage n’est plus permis aux stagiaires de l’ambassade de France, qui n’ont plus le droit de sortir du territoire (mais qui ont le droit à un visa de courtoisie).
- autres dépenses: l’Argentine est un pays moins cher que la France, et les Argentins ont un peu tendance à voir en vous une bourse remplie d’euros et de dollars. Il faut donc faire attention à ne pas se faire arnaquer (notamment par les taxis qui feignent très facilement l’ingénuité quand ils font quelques cuadras en plus sur une course). Si vous voulez être beaux pour votre rentrée ou travail, vous pourrez acheter des vêtements sur place. D’autant que les compagnies aériennes ne vous autorisent que 20 kg (plus chez les américaines). C’est l’occasion, messieurs, d’investir dans un costume (on en trouve à partir de 300 pesos). Mesdemoiselles, ne soyez pas choquées par la taille particulièrement étroite des pantalons (cela crée d’ailleurs de sérieux problèmes d’anorexie en Argentine). Les magasins de vêtement de Palermo font une large place aux collections pour homme (pour une fois!). Il existe, pour calmer votre jalousie, les filles, une feria tous les WE sur la place serrano (Palermo viejo).
Pour clore le chapitre finances, je vous donne une liste des prix des biens de consommation courante: pain (au poids, mais 75 centavos font largement pour une personne, 3 repas); lait (2,50); yaourt (cher. 1,40 p les deux); pâtes (2,50 pesos le sachet); bouteille de vin de table: 10 pesos; savon 5-7 pesos; les fruits et légumes sont assez chers, et peu variés. Je vous recommande de les acheter chez un primeur, avec qui vous devez établir une relation de confiance (trouvez un bolivien, ce sont eux qui ont les meilleurs produits). En effet, les primeurs ont une fâcheuse tendance à vous faire payer votre accent. Ils font des additions magiques dans leur tête et parviennent à vous dire le prix à la fin de votre commande sans rien noter. Vous avez le droit d’être suspicieux. En règle générale, on s’en sort pour 25 pesos de fruits et légumes par semaine (variable selon la relation avec le primeur).
Enfin: LE produit argentin: la viande. Dès votre atterrissage, ne manquez pas de courir dans une parilla. À vous de découvrir les nombreux morceaux de viande que mangent les Argentins (ils mangent TOUT le bœuf, du poulet, du porc, plus rarement du poisson, qui est un produit de luxe, et dans le sud, du mouton). À titre indicatif, le lomo est à 19 pesos, le chorizo à 16. Je profite de ces lignes pour faire la promotion de restaurants que vous auriez peut-être découverts par vous-même:
-
le desnivel. Sur Defensa (855), dans San Telmo (il est sur le guide du routard, et ne se gêne pas pour mettre des prix plus chers que la normale). Super viande (lomo succulent).

 

 

-Le reencuentro (Armenia y Cabrera, dans Palermo). C’est un tenedor libre. Pour 22 pesos, vous mangez autant de viande, de salades, de frites, de pâtes que vous pouvez. La boisson n’est pas incluse, mais obligatoire. On s’en sort en général pour moins de 35 pesos par pers, et une super soirée.

 

-le club eros (dans Palermo), parilla plus typique. Viande pas chère (on s’en sort pour une quinzaine de pesos).
Dernière remarque pour les filles: les tampons avec applicateurs n’existent pas en Amérique Latine. À bon entendeuse


Santé

Vous allez en Amérique Latine. Mieux vaut ne pas trop rigoler avec la santé, surtout si vous prévoyez de voyager en Bolivie, Paraguay, Brésil, Pérou. Je vous conseille donc de souscrire à une mutuelle. Je n’ai pour ma part pas eu de problème de santé (juste une grippe à la venue de l’hiver, l’épidémie est rude). Je vous recommande, pour le connaître, l’hôpital Allemand, en cas de problème. Il est très bien tenu, avec des médecins compétents (sur Pueyrredon, y Santa Fe). Au cas où, j’ai entendu du bien de l’hôpital de Sucre en Bolivie.

 

Vie quotidienne
Buenos Aires me encanta! Il faudrait compter le nombre de fois que l’on prononce ces quatre mots sur la durée du séjour (et cela surprend beaucoup de taxistas. Mais soyez patients et pédagogues et faites montre de persuasion, surtout que nombre d’entre eux ont une fâcheuse tendance à regretter la dictature…). Je ne connais personne qui n’ait pas été sous le charme de cette ville, et de ses habitants. La ville possède une atmosphère latine très charmante: elle vit le jour et la nuit. Elle est une fourmilière sans cesse en activité.
Nombreuses sont les activités que vous pourrez entreprendre: visites dans les environs (el Tigre, Lujan, San isandro, Sierra de la Ventana…), visites de la ville (en plus des différents quartier, ne pas manquer les musées, les expositions d’art –la programmation culturelle est très riche. BsAs est la ville ayant la plus importante programmation culturelle du monde, avant NY[1].). Il y a de nombreuses salles de sport, des possibilités de naviguer sur le rio pour les skippers. Les fans de foot seront comblés. Les gourmands seront gâtés. Les fêtards repousseront leurs limites…
Ne pas oublier qu’en Argentine, un quart de la population vit en dessous du seuil de la pauvreté, et 7% dans l’indigence (ce qui fait 2,5 millions de personnes). Je vous invite donc à agir en conséquence, chacun à sa mesure (ne serait-ce qu’en ayant conscience de cela lorsque l’on dépense ses euros).Cependant, il est très facile d’adopter un rythme de vie qui n’amène jamais à être confronté à la pauvreté. D’autant que je le répète, les étrangers (européens) restent dans les quartiers riches. Sans me permettre d’adopter un discours moralisateur, j’encourage vivement la personne qui a le projet de venir à Buenos Aires d’avoir une idée de ce qu’elle veut faire a priori. Car nombreux sont les exemples des gens (notamment Français) qui démissionnent pour se consacrer à la vie nocturne.
Je souhaitais faire un paragraphe sur la circulation routière: comme suggéré plus haut, les chauffeurs bus ont une fâcheuse tendance à rouler comme des fous. C’est-à-dire, sans grand respect des règles de précaution de base (limite de vitesse, feux…). Les accidents de la route sont nombreux.
Comme piéton, il faut que vous redoubliez de vigilance. D’autant qu’en Argentine, la voiture est reine. Les bus font la course entre eux, et oublient parfois de s’arrêter aux arrêts. Ils s’amusent souvent à frôler les piétons. Attention également en descendant qu’un véhicule n’arrive pas par la droite… Je déconseille fortement l’utilisation du vélo.

 

Vie laborale
Il est assez facile de trouver un emploi ou un stage (ceux-là ne sont pas rémunérés, à moins que vous ne travailliez pour une boîte française) à Buenos Aires. Il est aussi facile d’être déçu de son stage. Nombreux sont les stagiaires qui sont déçus par ce qu’est la vie au stage.
Attention: cela ne vaut pas pour les stages effectués dans les structures (ambassade, alliance ou entreprises) françaises. En général, j’ai de bons échos des stagiaires de ces structures.
Mais il faut savoir que pour le chef Argentin, « stage » est synonyme d’observation. Malgré vos aptitudes diverses, vous ne serez que très peu sollicité(e). Tout l’enjeu est donc de faire comprendre à votre supérieur que vous souhaitez vous impliquer, et qu’il le comprenne. Une garantie (minime), pour vous éviter les mauvaises surprises, est de convenir avec précision avant votre arrivée, des termes de votre mission de stage. De toutes façons, il faut que vous-vous attendiez à un rythme de travail beaucoup moins intense qu’en France. Les Argentins commencent la journée tard (10 heures), et terminent plus tard. Ils ont évidemment moins de vacances que nous, mais je le répète, la productivité est bien moindre.
Pour ma part, j’ai effectué mon stage à la FAO. Je souhaitais trouver un stage dans une administration (de préférence internationale), et avoir une mission en rapport avec les droits de l’homme. Cette agence des Nations Unies a l’avantage d’avoir un programme de volontariat, ce qui facilite le contact. La représentation à Buenos Aires est toute petite (nous étions 7 dans les bureaux), et cela m’a permis de prendre des initiatives, d’être chargé de missions intéressantes malgré mon statut de stagiaire. Malheureusement, le représentant s’en va à la retraite, et je ne peux garantir l’ouverture d’esprit de son futur remplaçant. Les autres agences de l’ONU présentes à BsAS sont: UNICEF, PNUD (grosses agences, les stagiaires ne sont pas toujours contents des tâches qui leurs sont dévolues), HCR, CINU, UNFPA, ONUSIDA, OIT, UNIFEM, OMS, OPS, Banque Mondiale. Si cela peut vous donner des idées pour candidater (il est recommandé d’avoir un contact).
Suggestions de stage: la représentation de la Commission Européenne prend des stagiaires. Le CELS (Centro de Estudios Legales y Sociales), qui dispose d’un programme institutionnalisé pour les stagiaires, et dont j’ai eu de bons échos.


 

 

[1] Lu dans Télérama.

 

 

 

Extrait du rapport de séjour de Romain pour la Région Rhône-Alpes

Commentaires»

  1. Urgence!!

    SVP, jE VEUX ME CONTACTER AVEC LA PROPIETAIRE DE L`APPARTEMENT UBIQUÉ À lAS HERAS 4025, 22 ÈME ÈTAGE, Buenos
    Aires, Argentina.
    Elle s`appelle Michelle Chirichigno Saporiti. Je suis ami de son père qui actuellement est très grave. Il est malade (avec paralisis au cerebre) et habit seul dans un appartement en Avenue San Martin…. Barranco, Lima, Pérou.
    Il peut être que la personne qui la personne qui a loue l`appartement connaît cette damme.

    J´espere votre reponse dans mon e-mail agarti33@hotmail.com
    parce qu´il sàgit dùn cas humanitaire.

    attentivement,

    Rodrigo Mires

  2. Bonjour

    je suis etudiante en ecole de commerce je suis a la recherche d un stage a buenos aires, votre article m a vraiment beaucoup aide quand aux notions ayant trait a l’argent, au cout de la vie dans la ville ! merci beaucoup

  3. bonjour je recherche une mm lapenta angela veuve de mr de rosa michel je sui ca petite fille et je cherche a prendre conctacte avec elle elle habite a salgueiro c tou ce que je c et on papa aimerai beaucoup avoir de c nouvelle et avoir des photo de mon grand pere merci si quelqun peu maider

  4. Bonjour, merci pour votre article, très complet, mais pourriez-vous me donner des informations plus récentes. Je crois savoir par exemple qu’il est beaucoup plus difficile de faire l’aller/retour tous les 3 mois pour renouveler le visa, comment cela se passe si on est bloqué à la frontière en uruguay ?
    Et pour trouver des petits jobs, les échos de tous les forums c’est qu’il est impossible de trouver du travail à buenos aires ! Avez-vous des infos?
    D’avance, merci beaucoup.

  5. Bonjour!
    Je suis actuellement en stage en Argentine, donc je peux te répondre Bonifay. Tout d’abord en ce qui concerne le visa, sache qu’il est très facile de se faire renouveller le visa touriste au bout de QUATRE VING DIX jours et non 3 mois, attention à cette subtilité qui peut jouer des tours! Si tu calcules bien, aucun risque de rester bloquer en Uruguay, et le voyage te sera très rapide (1h en bateau), et très peu coùteux! En comptant un détour par Colonia, une ville très sympa proche de Montevideo, compte un total de 250 euros ALLER-RETOUR! :)
    Sinon il y a l’option « je ne quitte pas le pays au bout de 90 jours et je me dois alors de m’acquitter d’une taxe à l’aéroport »… Cette taxe coùte 150 USD. Mais à ce prix, autant en profiter pour visiter un autre pays! :)
    Ensuite, en ce qui concerne la recherche de petits boulots, je te confirme que ce n’est pas facile du tout. Il est possible de trouver un stage, mais comme Romain l’a souligné, il est très difficile de trouver un stage rémunéré. En tout cas si tu es intéressé par un stage pour gagner en expérience, je travaille dans une entreprise de services dédiée aux étudiants étrangers arrivant à Buenos Aires, et on propose de nombreuses offres de stage: http://www.argentinaexchange.com/ ! :)

  6. Les infos de ce post datent un peu mais c’est toujours intéressant d’avoir un aperçu de la dynamique du pays avant d’y aller. Bonne analyse interculturelle du rapport au travail BTW! :-)
    Moi je reviens d’un stage obtenu via l’intermédiaire d’une agence, http://www.mon-stage-en-argentine.com, tout était top et j’ai même eu une indemnisation de stage, symbolique mais qui représente tout de même 30/40% de l’équivalent du SMIC ici, SMIC qui n’existe pas d’ailleurs, donc c’est un indicateur juste.
    Ma boite a avoué le fait que sans agence comme intermédiaire elle ne souhaitait prendre personne, trop de perte de temps en formation/suivi pour un retour sur investissement pas toujours au rendez-vous, surtout si le niveau en espagnol est faible… Et si le stage se passe mal, c’est un calvaire pour eux comme pour l’étudiant, du coup le filtrage et l’orientation que fait cet agence est une aubaine pour eux.
    On oublit parfois que ce type d’échange inclut deux parties, car sur le net on ne voit que les étudiants donner leur avis. :-D
    Bonne lecture à tous, Besos desde BA!
    Lucie.

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