DUNE : Education musicale - Histoire des arts
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Domaines d'enseignement Éditeurs support niveaux ressource Adresse de présentation du produit  -  commentaires
PHYSIQUE/
EDUCATION MUSICALE
eduMedia

 

CD/DVD - clé USB terminale scientifique - enseignement de spécialité

Produire des sons, écouter - Produire des signaux communiquer - cédérom

ref eduMedia_CD_Onde

Animations permettant d'illustrer les phénomènes physiques présents dans les thèmes « Produire des sons, écouter » et « Produire des signaux, communiquer ». Présentation de l’onde stationnaire, interprétation ondulatoire des modes de vibrations d'une corde et d'une colonne d'air ainsi que principe de modulation et de démodulation d’amplitude. Ce CD a reçu le label RIP (reconnu d'intérêt pédagogique).
Consultation en ligne sauf vidéo : 3 rubriques (les ondes - la physique des instruments de musique - produire des signaux)
HISTOIRE DES ARTS Hachette Education Téléchargement école : cycle 3 Les Dossiers Hachette
Histoire des Arts
Manuel Numérique ref HE1SPX9981316
rien à consulter sauf le site de l'éditeur
HISTOIRE DES ARTS NATHAN CD/DVD - clé USB collège Art et patrimoine au collège
CD-Rom

ref 309054547_001
Thèmes abordés :
- Comprendre l'invention du patrimoine.- Lire un monument ; lire une sculpture ; lire une peinture ; lire un paysage construit par l'Histoire.
- Identifier un style architectural ; identifier un style en peinture.
- Analyser une œuvre rupture ; comparer deux représentations d'un mythe
- 20 documents (sculptures, peintures, architecture, photographies) à projeter. - Des commentaires pédagogiques, 8 fiches d'activités, 8 fiches repères, 1 fiche de méthode générale.
Pas de consultation possible
Accès en ligne

accessible via un ENT
HISTOIRE DES ARTS cycle 2

ref 309904173_030

Un manuel organisé en fonction des domaines artistiques - une centaine d’œuvres d'art, incluant des activités et ressources multimédia.
Consultation en ligne
Accès en ligne

accessible via un ENT
cycle 3 HISTOIRE DES ARTS cycle 3
ref 309904174_030
60 vidéos et ressources audio, 20 animations interactives, 20 fiches d'informations pour la classe, 500 images supplémentaires, le guide pédagogique en version PDF.
Pas de consultation possible
EDUCATION MUSICALE GENERATION 5 CD/DVD - clé USB primaire (GS-CP-CE1) ref G5-CCR 116 demo en ligne
 bases de la musique :
- le nom des notes
- la gamme de Do majeur
- les notions de grave, d'aigu et d'octave
- la portée et la clé de Sol
- les différentes catégories d'instruments
- les divers timbres et sonorités
- la durée des notes (ronde, blanche, noire et croche)
- le rythme
14 contes musicaux animés,
une trentaine d'activités et de jeux pour découvrir le vocabulaire et les premières notions musicales, impression des textes, paroles et partitions. TBI, TNI
PRATIQUES ARTISTIQUES CD/DVD - clé USB primaire (GS-CP-CE1) LES FABLES DE LA FONTAINE EN CHANSONS

ref G5-CCR 206
15 célèbres fables de la Fontaine sont mises en musique, et des gravures de Gustave Doré accompagnent chaque poésie. Une fonction karaoké permet de chanter les fables en playback + partitions avec chiffrage des accords.
PC/MAC
HISTOIRE DES ARTS CD/DVD - clé USB (Élémentaire - Segpa) ARTS VISUELS

ref G5-CCR 228
Thèmes : Lettres (Haussman, Klee, Di Rosa), Portraits (Klee, Lichtenstein, Magritte, Gordon), Mains (Nadar, Magritte, Nauman, Messager), Personnages (Miro, Léger, Ernst, masques), Animaux (Matisse, Afrique et Océanie...), Nature (Alechinsky, Dufy, Dali, Le Corbusier, Cézanne), Matériaux (Arman, Schwitters, Picasso, Calder), Formes (Delaunay, Manessier, Kandinsky, Capogrossi), Effets optiques (Riley, Agam, Vasarely, Soulages). 
CD/DVD - clé USB cycle 3 HISTOIRE DES ARTS (volume 1)

ref G5-CCR 219
logiciel pour vidéoprojection et TBI
de la Préhistoire aux Temps modernes. Fonctionne avec tout modèle de vidéoprojecteur et TBI / TNI. DE LA PRÉHISTOIRE À L'ANTIQUITÉ : Ensembles mégalithiques (arts de l'espace) La peinture des vases grecs (arts du visuel) Le théâtre antique grec (arts du spectacle vivant) Le Trésor de Vix (arts du quotidien) LE MOYEN ÂGE : Chapiteaux romans (arts du visuel) La chanson de Roland (arts du langage, du visuel, du quotidien) Vitraux, N-D de Chartres (arts du quotidien) Un manuscrit enluminé, Les Très Riches Heures du duc du Berry (arts du visuel) LES TEMPS MODERNES : "La Mélancolie" de Dürer (arts du visuel) Les tapis du Moyen-Orient (arts du quotidien, du visuel) Un jardin à la française : Versailles (arts de l'espace) "L'astronome" de Vermeer (arts du visuel, du quotidien)
Consultable
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EDUCATION MUSICALE EREBUS CD/DVD - clé USB tous Magix Academic Suite MX

ref 42377

label RIP
MAGIX Academic Suite 3 contient :
• MAGIX Vidéo deluxe 17 Plus HD : montage vidéo
• MAGIX Photo & Graphic Designer 6 : la solution complète pour la retouche photo, le graphisme, la création de site internet & le traitement de texte
•Music Maker 17 : création musicale
HISTOIRE DES ARTS edu.maxicours.fr Accès en ligne Terminale L Aide individualisée Histoire de l'Art - Lycée

ref edulyc-lhista

Tableau blanc Numérique ou ordinateur ou tablette connecté à internet. Usage en classe ou à domicile.
ressources en Histoire de l'art de la 2nde à la Terminale (fiches, exercices et vidéos interactives) qui permet à l'élève de réviser ou de s'entrainer.
L'élève peut organiser un environnement de travail personnalisé (plannings).
L'enseignant peut suivre au plus près la progression de l'élève, grâce notamment à des outils de tutorat (groupes, parcours personnalisés).
Les niveaux proposés sont, 2nde, 1ère, terminale.
HISTOIRE DES ARTS MAGNARD Pack MAC à télécharger cycle 3 Histoire des arts cycle 3 RMN-Magnard -
ref MA1SPx9981181
Séquences interactives
Liste des ressources et des œuvres proposées dans la fiche technique.
Quelques fiches pédagogiques consultables
 

SCEREN.COM - La librairie de l'éducation en ligne

HISTOIRE DES ARTS CRDP DES PAYS DE LA LOIRE - NANTES CD/DVD - clé USB primaire
ref 440B3650
-  1 ouvrage de 140 pages + 1 CD extra (audio/Rom)
 (fiche de l'éditeur)
L'ensemble propose à partir de 36 chefs d'œuvre de l'histoire de la musique à écouter, une mise en résonance avec le même nombre d'œuvres littéraires, architecturales ou picturales grâce au CD qui associe sons et images (36 extraits musicaux à écouter, 36 images d’œuvres à projeter). Les extraits sont présentés par grandes périodes historiques, dont les lignes directrices sont précisées : Moyen Âge, Renaissance, époque baroque, époque classique et époques moderne et contemporaine. Chaque extrait musical fait l'objet d'un commentaire à exploiter, après écoute et d'un développement pédagogique concernant les œuvres, vidéoprojetables, des autres domaines artistiques en regard.
 - consultable partiellement
  CD/DVD - clé USB collège COLLECTION ART
 PACK_ART-CD_ETAB

Cédéroms du Musée du Louvre, du Musée d’Orsay
http://francais.itopeducation.net/art/default.htm
Attention : ne fonctionne pas sous Vista ou Windows 7 (dernière version XP)
label RIP
  CD/DVD - clé USB cycles 1 - 2 - 3 LE GRAND LOUVRE VERSION ÉDUCATION

ref LOUVRE-CD_ETAB
label RIP
Travail de groupe, avec TBI ou vidéoprojecteur. Travail autonome (salle multimédia ou ordinateur de fond de classe). ATTENTION ! CE DVD-ROM ne fonctionne pas sur les machines en 64 bits (ne fonctionne pas sous Vista ou Windows 7 (dernière version XP)
consulter : http://francais.itopeducation.net/art/
  1 revue, 56 p.   Le baroque

ref 755A2298

Pas de consultation possible
(autres brochures d'enseignements artistiques : œuvres de Jephan de Villiers - Babylone - Auguste Perret - Le cubisme - Art et pouvoir en France de 1848 à nos jours - Les Primitifs flamands - Les créatures artificielles (Construire un être à son image) - Dada - L'art contemporain - L'esthétique des ruines
CINEMA ET AUDIOVISUEL
CRDP DE BRETAGNE - RENNES
  1 DVD vidéo

 

collège / lycée Cour(t)s de cinéma : Aspects du cinéma fantastique
ref 350C3470
Pour aborder le cinéma fantastique en classe un DVD complet et simple d’usage. Il comprend : - 6 films en version originale et intégrale (The Ten Steps de Brendan Muldowney, Le Baiser de Stéfan Le Lay, Monster de Jennifer Kent, Les petits hommes vieux de Yann Chayia, Demain la veille de Julien Lescat et Sylvain Pioutaz, Somewhere d'Emmanuel Murat), - leurs analyses, des explications et des points de vue d'experts, - les clés du fantastique pour comprendre les constituants du genre - des points de vue croisés de spécialistes du genre faisant apparaître les questions en débat sur le sujet - des fiches d'accompagnement à imprimer proposant des compléments d'information sur les films et des pistes pédagogiques.
HISTOIRE DES ARTS CNDP -
CRDP Dijon
CD/DVD - clé USB   210B5310

1 ouvrage, 272 pages + 1 cédérom / Pas de licence
comment favoriser la rencontre sensible des élèves avec des œuvres originales dans le cadre de l’éducation artistique ? Après une réflexion sur les enjeux, la méthodologie et des indications sur la mise en œuvre en classe, les auteurs proposent des éléments pédagogiques dans les domaines de la peinture, la sculpture, le dessin, l’architecture, le vitrail, la photographie, l’installation.
extrait en pdf

CNDP - CHASSENEUIL-DU-POITOU Collection arts au singulier
1 ouvrage, 88 p.
  le paysage depuis le milieu du XIXe siècle

ref  755A3885

Cet ouvrage analyse l’évolution de l’art du paysage depuis le début du XIXe siècle en donnant constamment à réfléchir sur les liens qui l’unissent à la géographie, l’histoire, la littérature et la musique. Il montre en particulier comment toutes les formes musicales sont concernées par le paysage.
Pas de consultation possible
CRDP DE L'ACADEMIE DE GRENOBLE - GRENOBLE DVD
film de 52mn
  Rousseau

ref  380M056M

L’œuvre de Rousseau possède une étendue si vaste qu'elle ne cesse d'étonner par sa diversité. Tout en parcourant les lieux que Rousseau a habités, ce film documentaire permet de découvrir l'empreinte profonde qu'il a laissée dans des domaines aussi différents que la musique, la littérature, l'éducation, la philosophie politique et la botanique. Il s'agit de suivre les grandes étapes de la vie d'un homme qui a consacré son existence à la liberté, en restant proche de la nature. Les plus grands spécialistes de Rousseau montrent en quoi sa pensée nous éclaire encore, trois siècles après sa naissance.
Pas de consultation possible
EDUCATION MUSICALE CRDP DE L'ACADEMIE DE LA GUADELOUPE - POINTE-A-PITRE 1 cd audio   Pè Nowèl

ref 971C0211
Le groupe Kalindi Ka, connu dans le chant traditionnel guadeloupéen, nous plonge au cœur de la nuit de noël avec une adaptation en créole d'un des plus grands classiques de cette fête. Marie-Line Dahomay prête sa voix chaude et mélodieuse à cette version singulière de "Petit papa noël" empreinte de la culture et des rythmes antillais.
Pas de consultation possible (extrait sonore qui ne fonctionne pas)
CNDP - CHASSENEUIL-DU-POITOU 1 ouvrage, 63 p.
 
Pink Floyd - Atom Heart Mother

ref 755A3816

Pas de consultation possible
Cet ouvrage tente de mettre en lumière le processus de création qui a conduit la pièce de ses premières représentations, début 1970, à sa version achevée, parue en disque en octobre de la même année. Il la met en perspective avec le travail du Floyd des années 1960.
L’étude de l’œuvre se fonde à la fois sur la partition de Geesin et sur une analyse purement auditive.
auteur:  Philippe Gonin
CRDP DE L'ACADEMIE DE LYON - LYON CD/DVD - clé USB primaire 690L7045 1 DVD -
projets pensés à partir de patrimoines européens et des rythmes venus d’ailleurs en référence aux compétences du socle commun, à l’enseignement de l’histoire des arts. 4 parties, 24 chapitres
Consultation de la présentation du DVD à l'adresse :
http://www.crdp-lyon.fr/rythme/index.php
CNDP - CHASSENEUIL-DU-POITOU 1 DVD vidéo (1 h 20 min 14 s) ; 1 livret (32 p.) COLLEGE, ENSEIGNEMENT SECONDAIRE Triana, paraíso perdido -
univers gitan et flamenco à Séville
ref 755B0817
Ce film retrace l’histoire des Gitans, de leur arrivée à Séville au XVe siècle à nos jours. Il propose une découverte progressive de leur univers : la place de cette communauté au fil de l’histoire dans la capitale andalouse, le rôle singulier attribué à la femme, les particularités sociales et, bien entendu, l’importance considérable de leur musique identitaire : le flamenco.
Pas de consultation possible (une vidéo de publicité pour la collection)
CNDP - CHASSENEUIL-DU-POITOU Collection baccalauréat
1 ouvrage (56 p.)
terminale Color, Marc-André Dalbavie
ref 755A3628
les articles rassemblés dans cet ouvrage contribuent à éclairer Color à partir de l’ensemble des caractéristiques de l’œuvre du compositeur.
Pas de consultation possible
HISTOIRE DES ARTS

CRDP DE POITOU-CHARENTES - POITIERS
1 ouvrage (64 p.) cycles 1, 2, 3 et collège Arts visuels et musique

ref 860BAV11

Productions plastiques originales qui font écho à près de 70 reproductions d’œuvres illustrant les cinq périodes de l’histoire des arts. Les auteurs sont professeurs des écoles à Mayotte depuis une dizaine d'années. Ils ont chacun travaillé dans les 3 cycles de l'école élémentaire et sont actuellement enseignants spécifiques (Clin) et spécialisés (Adaptation scolaire).
Consultable
CNDP - CHASSENEUIL-DU-POITOU Collection films en classe

1 DVD vidéo (1h 29 min) ; 1 livret (32 p.)
collège/lycée Marching band, fanfares universitaires et élections américaines

ref 755B0819

Marching band est un documentaire qui suit les fanfares de deux universités, véritables échantillons de la société multiraciale américaine, pendant la campagne présidentielle de 2008 aux États-Unis. Portrait d’une jeunesse américaine à la veille d’une échéance politique majeure, ce film permet aux enseignants et aux élèves de travailler sur la langue et la culture américaines à partir d’un document authentique, original et motivant, et de manière interdisciplinaire avec l’éducation musicale. Réalisation : Claude Miller, 2009
+  livret d’accompagnement
une vidéo de présentation
HISTOIRE DES ARTS CRDP DE L'ACADEMIE D'AIX-MARSEILLE 1 ouvrage (67 p) collège L'art et le sacré

ref 130E4280

Analyse de 30 œuvres permettant d’interroger les liens entre arts et sacré dans le cadre de la thématique « Arts, mythes et religions »  - de la Préhistoire à nos jours - tous domaines artistiques
Six chapitres :• les commencements : la création du monde ;• dieux, demi-dieux, héros légendaires ; • présences du sacré ;• une quête spirituelle : communiquer avec l’invisible ;• être protégé, être pardonné ;• du sacré au profane : postures iconoclastes.
Objets culturels détaillés dans la fiche technique
Pas de consultation possible
EDUCATION MUSICALE CNDP Collection les clefs de l'orchestre (Jean-François Zygel )
1 DVD vidéo, 1 h 50 min
  Schubert, Symphonie inachevée Des thèmes inquiets ou légers qui se succèdent sans transition, quelques notes apparemment sans importance mais tout un drame en devenir, deux mouvements seulement… Quel mystère plane sur cette symphonie ?
Pas de consultation possible
  Schubert
ref NAIDVD01
Pas de consultation possible
COLLEGE, ECOLE PRIMAIRE, ENSEIGNEMENT SECONDAIRE Haydn,
symphonie n° 103 « Roulement de timbales »
En 1795, Haydn compose à Londres sa cent troisième symphonie, dont la spectaculaire et théâtrale introduction lui vaut le surnom de « Roulement de timbales ».
Pas de consultation possible
COLLEGE, ENSEIGNEMENT SECONDAIRE  Berlioz, Symphonie fantastique

ref 755D0194

En 1827, Berlioz assiste à une représentation d'Hamlet de Shakespeare. Il en ressort fou d'amour pour une jeune actrice et compose quelques années plus tard cette Symphonie fantastique qui relate en musique les tourments de la passion.
Pas de consultation possible
ENSEIGNEMENT SECONDAIRE - VOIE PROF.
ECOLE PRIMAIRE
Le Boléro de Ravel,  

ref 755D0167

À l'aide d'exemples musicaux exécutés par l'Orchestre philharmonique de Radio France sous la direction de Kazushi Ono
Pas de consultation possible

CYCLE 3
COLLEGE ENSEIGNEMENT SECONDAIRE

la "Symphonie pastorale" de Beethoven

ref 755D0183

En décryptant mouvement après mouvement la "Symphonie pastorale" de Beethoven, J. – F. Zygel, avec la complicité des musiciens du philarmonique de Radio France dirigé par McCreesh, nous fait redécouvrir ce chef d’œuvre de 1808. Il nous fait entendre comment Beethoven décrit la nature, les oiseaux, les ruisseaux, la fête au village, la danse champêtre, l’orage, la tempête et la joie après l’orage. Il souligne l’importance que Beethoven accorde aux instruments et aux rythmes. La manière d’évoquer la nature au piano et des improvisations à 2 et 4 mains sur les thèmes de la Pastorale sont proposées dans les bonus.
Pas de consultation possible
CYCLE 3,
COLLEGE, ENSEIGNEMENT SECONDAIRE
Concerto pour orchestre de Bartok

ref 755D0181

Bartók compose son Concerto pour orchestre en 1943, en pleine guerre mondiale. En décryptant mouvement après mouvement, avec l’orchestre philarmonique de Radio-France placé sous la direction de Myung-Whun Chung, J.-F. Zygel révèle les clefs de ce chef-d’œuvre – au programme du baccalauréat- et montre comment chacun des instruments ou des groupes d’instruments est traité tour à tour en soliste virtuose. L’importance de la musique populaire dans l’œuvre de Bartók est soulignée, et des improvisations sur des thèmes du concerto sont proposées dans les bonus.
Pas de consultation possible
EDUCATION MUSICALE CRDP DE L'ACADEMIE DE LA GUADELOUPE - POINTE-A-PITRE 1 CD audio COLLEGE, ENSEIGNEMENT SECONDAIRE Made'In isidan

ref 971CD110

Made'In isidan est une œuvre de huit morceaux où le compositeur Robert Oumaou accorde sa musique à la mélodie des mots du poète Pierre-Aimé Gaydu. Au service de la création, nos deux artistes osent la symbiose et donnent une nouvelle dimension à la notion de transversalité.
Pas de consultation possible
CNDP - CHASSENEUIL-DU-POITOU Collection baccalauréat

1 ouvrage, 64 p.

terminale Aaron Copland - Appalachian spring, Fanfare for the common man

ref 755A3406

Ballet composé en 1944 en collaboration avec Martha Graham, alors figure de proue de la modernité dans le monde de la danse, Appalachian Spring est devenue l’une des œuvres savantes les plus populaires aux États-Unis, où Copland démontre sa maîtrise de l’orchestre et de la « grande forme ». Quant à la Fanfare, devenue l’un des hymnes du parti démocrate américain, elle apparaît dès 1942 comme l’une des expressions musicales les plus efficaces et les plus abouties des registres héroïque et épique en musique.
Pas de consultation possible
CNDP - CHASSENEUIL-DU-POITOU Collection baccalauréat
1 ouvrage, 80 p. ; 1 DVD vidéo
terminale John Cage - un artiste dans son temps
ref 755A3405
Pas de consultation possible
CRDP DE POITOU-CHARENTES - POITIERS
AGISON - PARIS
1 DVD vidéo FORMATION DES PERSONNELS DE L'EDUCATION NATIONALE, ENSEIGNEMENT SECONDAIRE - VOIE PROF. ENSEIGNEMENT SUPERIEUR Hein ?

ref 860VD013

DVD sur les risques auditifs
Pas de consultation possible

EDUCATION MUSICALE, ARTS PLASTIQUES, THEATRE CRDP DE BOURGOGNE - DIJON
MUSIQUE DANSE BOURGOGNE - DIJON
THEATRE DIJON BOURGOGNE - DIJON
1 DVD vidéo, 170 min ; 1 livret, 38 p. ECOLE PRIMAIRE Voie ouverte

ref 210DV001

Voie ouverte vous invite à pratiquer l’improvisation vocale sans complexe.  Le DVD comprend :
- un documentaire retraçant les étapes du projet depuis la découverte jusqu’aux spectacles publics ;
- des séquences pédagogiques organisées par thèmes, montrant les ateliers conduits par Christine Bertocchi (choristes ou acteurs amateurs, classe d’école primaire, chanteuses professionnelles) ;
- des entretiens avec différents acteurs du projet ;
- des extraits des représentations données au Parvis Saint-Jean, à Dijon. Le livret d’accompagnement complète les séquences filmées et permet de s’approprier la démarche
Pas de consultation possible
EDUCATION MUSICALE

 

CRDP DE BOURGOGNE - DIJON
MUSIQUE DANSE BOURGOGNE - DIJON
  1 ouvrage, 112 p. ; 1 CD audio, 59 min Volume 1. Répertoire pour voix égales.

volume 2 :
1 ouvrage, 144 p. ; 1 CD audio, 64 min Volume 2. Répertoire pour voix égales et mixtes.

volume 1 :
Cycle 3 – 6e

volume 2 :
Collège – Lycée

Le Cabaret en chœur
volume 1
ref  210B0045
volume 2
ref 210B0055
Le Cabaret en chœur (volumes 1 et 2) offre aux enseignants un répertoire vocaL de cabaret des années 1950-1970 avec :
• une étude historique
• des partitions
• un CD audio (interprétations par un chœur et play-back pour certains titres)
• des conseils et des séquences pédagogiques
• des suggestions pour une diffusion en public.
Tous ces éléments aideront l’enseignant à mener son projet musical, éventuellement pluridisciplinaire (lettres, histoire, arts plastiques…).
Pas de consultation possible
CNDP - CHASSENEUIL-DU-POITOU Collection baccalauréat

1 ouvrage, 80 p.


 

Sept chansons : Léo Ferré, le bourdon, le timbre

ref 755A3326
 Ce document a été réalisé avec l’appui indispensable du Hall de la Chanson, Centre national du patrimoine de la chanson, des variétés et des musiques actuelles. L’engagement de son équipe a permis de mobiliser des auteurs de référence qui, au fil des articles – et des écoutes qui les éclairent – apportent une connaissance et une approche nouvelles de cette alchimie particulière que l’on appelle, depuis des siècles, chanson.
Pas de consultation possible
CRDP DE L'ACADEMIE DE GRENOBLE Collection Lire au collège

 

 
Musiques - Lire au collège, n° 81, hiver 2008
ref 380R2081
 
Les Beatles, le rock, le rap, le slam ou la Marseillaise ? Toutes ces pistes permettent de travailler en classe autour de la musique.

Pas de consultation possible

CNDP - CHASSENEUIL-DU-POITOU Collection TEXTES ET DOCUMENTS POUR LA CLASSE
1 revue, 50 p.
3ème/ lycée L' opéra
TDC, n° 956
15 mai 2008
ref 755A3071
Histoire de l'opéra
Pas de consultation possible
 
CNDP - CHASSENEUIL-DU-POITOU Collection baccalauréat
1 ouvrage, 32 p. ; 1 CD extra

 
« Litanies » de Jehan Alain
à la découverte de l’orgue

ref 755A2586

Œuvre qui annonce les œuvres majeures des grands organistes compositeurs du XXe siècle (Duruflé, Messiaen…). Cet ouvrage et le CD inclus nous permettent de découvrir cette fabuleuse machine musicale : l’orgue.
auteur : Yves Audard.
Pas de consultation possible

CRDP DE MIDI-PYRENEES - TOULOUSE
CRDP DE BOURGOGNE - DIJON
MUSIQUE DANSE BOURGOGNE - DIJON
1 DVD vidéo, 162 min. ; 1 livret d'accompagnement, 56 p. tous niveaux Le chœur en liberté - Gunnar Eriksson, un humaniste en musique

ref 31000W33

Un film réalisé à partir de deux stages organisés par les pôles nationaux de ressources « Musique et Voix » de Bourgogne et de Midi-Pyrénées avec l'aide de la plate-forme interrégionale d'échange et de coopération pour le développement culturel à Toulouse pour découvrir un grand artiste pédagogue, Gunnar Eriksson. Des séquences pédagogiques pour comprendre et assimiler les démarches musicales proposées.
Pas de consultation possible
HISTOIRE DES ARTS CRDP DE POITOU-CHARENTES - POITIERS Collection LA BD DE CASE EN CLASSE


1 ouvrage, 72 p.


COLLEGE, ENSEIGNEMENT SECONDAIRE - VOIE PROF.
Chansons & BD - refrains & bulles

ref 860B8475

A partir de textes de chansons adaptés en bandes dessinées publiées aux Éditions Petit à Petit, l’objectif «de Chansons & BD» est de proposer à l’enseignant et à l’élève de comprendre les mécanismes mis en œuvre dans l’adaptation d’un texte littéraire original, les paroles d’une chanson.
Pour chaque chanson, des pistes de lecture tant littéraires que visuelles sont proposées portant sur l’étude du style, du vocabulaire, de la construction de l’image, ou encore sur le contexte de la chanson.
Liste des chansons étudiées : Boris Vian, Le déserteur ; Edith Piaf, La foule ; Serge Gainsbourg, le poinçonneur des Lilas ; Bourvil, C'était bien ; Claude François, Belles, belles, belles ; Claude Nougaro, Je suis nous ; Barbara, Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous ; Georges Brassens, La ballade des gens qui sont nés quelque part ; Nino Ferrer, Le sud ; Jacques Brel : Jaurès
Pas de consultation possible
HISTOIRE DES ARTS CNDP - CHASSENEUIL-DU-POITOU

Collection PRESENCE
DE LA
LITTERATURE

1 DVD vidéo
60 min
1 livret 11 p

COLLEGE, ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, ENSEIGNEMENT SECONDAIRE Boris Vian
la vie jazz

ref 755B0776

Un film Un portrait de Boris Vian réalisé par Philippe Kohly à l'occasion du 50ème anniversaire de la mort de l'auteur.
Un cadrage pédagogique
Le livret pédagogique rédigé par Frédéric Maget est construit sur le mode d'un alphabet en 8 items, de Adolescence à Zazous. Evoquant l'ambiance festive de l'après guerre, le livret fait une grande place aux thèmes musicaux, Une vie jazz selon le titre même du film. Références et anecdotes sur le jazz, la chanson, permettent une approche musicale, poétique, populaire de l'œuvre.
Pas de consultation possible
HISTOIRE DES ARTS CNDP - CHASSENEUIL-DU-POITOU
collection côté télé

1 DVD vidéo, 43 min ; 1 livret, 13 p
6ème Le Petit Chaperon rouge
ref 55B0732
Ce DVD est une recréation filmée du spectacle musical du même nom de Georges Aperghis, inspiré du célèbre conte de Charles Perrault. Il permet d'identifier des éléments musicaux simultanés, d'étudier un dispositif scénique original et de cerner un genre, le théâtre musical.
Il montre la relation que le compositeur a nouée avec ses musiciens. Dans cette pièce, Georges Aperghis se montre fidèle à la plus ancienne version écrite du conte (1647), dont il élargit le sens et la morale.
Adressé en particulier à la classe de 6e mais aussi à d'autres publics tant est grande la variété de ses degrés de lecture, ce DVD constitue une approche de l’œuvre multiforme de Georges Aperghis. Il permet d’identifier des éléments musicaux simultanés, d’étudier un dispositif scénique original et de cerner un genre, le théâtre musical.
Pas de consultation possible
HISTOIRE DES ARTS CRDP DE L'ACADEMIE DE CRETEIL - CRETEIL 1 DVD vidéo, 160 min collège/lycée À la rencontre des arts au collège et au lycée - musique et arts plastiques
ref 941DVD05
À Vincennes, en Val-de-Marne, des enseignants du collège-lycée Hector-Berlioz multiplient les actions et projets croisant plusieurs domaines artistiques, musique, arts plastiques, mais aussi cinéma et éducation au patrimoine. 3 films .
Pas de consultation possible
HISTOIRE DES ARTS CNDP - CHASSENEUIL-DU-POITOU 1 DVD vidéo, 2 h. 20 mn
 livret de 72 pages
3èmes
Nuit et brouillard. Face aux fantômes
ref 755B0833
Ce dvd permet de revoir Nuit et Brouillard d’Alain Resnais (1956) à la lumière de Face aux fantômes (2009), un documentaire réalisé par Jean-Louis Comolli avec l’historienne Sylvie Lindeperg. Celle-ci, à partir de son livre « Nuit et Brouillard », un film dans l’histoire (2007), replace le film de Resnais dans son époque et se livre à une réflexion sur le rôle de l’archive et du témoin, la relation entre l’historien et le cinéaste, le documentaire et le film d’art. Un livret de 72 pages propose des informations détaillées sur les films, la transcription d’un entretien avec Olivier Wieviorka sur l’histoire de la mémoire des camps, un portfolio et des pistes d’analyse pour les enseignants d’histoire, de cinéma, de musique et d’histoire des arts.
Pas de consultation possible
EDUCATION MUSICALE CRDP DE L'ACADEMIE DE NICE - NICE
MK2 S.A. - PARIS
2 DVD vidéo, 4 h 58 min ; 1 livret, 19 p. couleur - PAL - zone 2 COLLEGE, FORMATION DES PERSONNELS
DE L'EDUCATION NATIONALE, ECOLE PRIMAIRE
Le jeu vocal - chant spontané

ref 060DVD05

Ces deux DVD vidéo proposent respectivement une anthologie du jeu vocal avec 84 jeux ou groupes de jeux illustrés d’exemples et regroupés en 20 thèmes, conçus autour de principes fondamentaux communs à toutes les musiques (durée 188 min) et quatre documentaires consacrés à des exemples de mise en œuvre des jeux dans la pratique (durée 110 min): - Préparation de la voix au collège - La voix à l’école maternelle - Le jeu vocal à l’école primaire - Musaïque, jeux en zig-zag (montage de jeux librement associés par un quatuor de solistes). Participation d’enfants d’école maternelle, d’école primaire, de collégiens, 3 chœurs, un groupe de musiciens amateurs, et un quatuor de chanteurs professionnels.
Pas de consultation possible
EDUCATION MUSICALE CRDP DE L'ACADEMIE DE LYON - LYON
MOMELUDIES EDITIONS - LYON
2 CD audio CYCLE 3
COLLEGE
Mômeludies 1 17 pièces simples de compositeurs contemporains à jouer, publiées par les Editions Mômeludies. Elles ont fait l'objet d'enregistrements par des classes situées en divers lieux représentatifs d'une pratique artistique enfantine originale. La plupart ont été enregistrées dans le cadre de leur production, soit dans les écoles et les collèges, soit sur le lieu des concerts - centre culturel, auditorium, églises, etc. Le livret d'accompagnement fournit une abondante documentation sur les œuvres et sur la façon de les aborder, ainsi que sur leurs auteurs. Il donne également la parole aux compositeurs, aux enfants ou aux musiciens qui en ont assuré la préparation et la direction.
Pas de consultation possible
EDUCATION MUSICALE CRDP DE L'ACADEMIE DE GRENOBLE - GRENOBLE 1 cédérom Mac/PC
1 CD audio
COLLEGE, ENSEIGNEMENT SECONDAIRE monter une comédie musicale
Virtuville
ref 80M027E
le cédérom propose :- une démarche pédagogique complète permettant l’expression et l’épanouissement des élèves, - un livret et un ensemble de partitions de la comédie musicale originale Virtuville, créée à l’intention d’adolescents,- un bref historique de la comédie musicale, des fiches synthétiques décrivant une dizaine de comédies musicales et des renseignements administratifs indispensables. Il est accompagné d’un CD audio proposant la musique originale de Virtuville
Pas de consultation possible
EDUCATION MUSICALE CRDP DE MIDI-PYRENEES - TOULOUSE 1 ouvrage + CD audio
 
Polifonias
Initiation à la polyphonie par le chant pyrénéen
ref 31065W48
chant polyphonique pyrénéen : matériel d'accompagnement et d'outils d'accès au répertoire, au son traditionnel et aux procédés vocaux qui y sont utilisés. L'ouvrage comprend des conseils d'accompagnement et les textes des chants, illustrés sous forme double d'album jeunesse et de pages en noir et blanc.
Pas de consultation possible
EDUCATION MUSICALE / DANSE CNDP - CHASSENEUIL-DU-POITOU
LIGNE DE SORCIERE - NOISY-LE-SEC
1 DVD extra
1 livret, 35 p. format vidéo 1,33 ; son stéréo ; PAL toute zone
ENSEIGNEMENT SECONDAIRE
SUPERIEUR

Le Faune - un film
ref 755D0166
«L’après midi d’un faune» de Vaslav Nijinski est considérée comme une œuvre majeure de l’histoire de la danse. Bien qu’issue d’un cadre de production classique - les Ballets Russes - cette pièce de 1912 inaugure la modernité en danse. Elle permet une approche transversale d’un contexte artistique foisonnant, en favorisant la confrontation avec le poème homonyme de Stéphane Mallarmé, la musique de Claude Debussy, les décors de Léon Bakst et les phototypies du Baron Adolf de Meyer. Dominique Brun propose la recréation de cette œuvre, interprétée par des danseurs contemporains où la danse se tient au plus près de la partition de Nijinski, selon deux versions musicales du «Prélude» de Debussy. Cet outil rassemble des documents centrés sur l’œuvre : une lecture du poème de Mallarmé, des photographies, de nombreux articles conçus par des artistes et chercheurs en danse ainsi que des entretiens avec le compositeur Frédéric Durieux et le philosophe Jacques Rancière.
Pas de consultation possible

lesite.tv - la vidéothèque

en ligne
(nécessité flash player et bon débit)
possibilité de se créer un compte gratuitement en donnant son email et le RNE de son établissement
extraits très courts (0'50'') consultables librement -> les vidéos complètes durent environ 5 minutes avec abonnement
certaines vidéos sont consultables entièrement
Certaines ne sont pas consultables du tout

Enseignements artistiques - collège
EDUCATION MUSICALE
 

 
4ème/3ème
lycée
Boulez au Louvre 10 vidéos à propos de L'Oiseau de feu" de Stravinski par Pierre Boulez et Hélène Jarry
 - Pierre Boulez, chef d'orchestre et compositeur : dans cet extrait, Boulez répond aux questions des élèves sur son expérience de compositeur et de chef d'orchestre.
- Pierre Boulez et Igor Stravinski : Boulez évoque sa rencontre avec Stravinski
- Quelques effets spéciaux : dans cet extrait ils insistent sur quelques effets spéciaux musicaux repérés dans "L'Oiseau de feu" : orientalisme, effet acoustique, ou effet de grotesque...
 - Quelques motifs musicaux : Cet extrait présente quelques motifs musicaux qui symbolisent l'apparition de certains personnages : monstres, princesses, princes...
- Le chromatisme dans "L'Oiseau de feu"
Ils s'intéressent ici aux premières mesures de l'œuvre et éclairent les auditeurs sur les mouvements chromatiques.
- La signature musicale de "L'Oiseau de feu"
Dans cet extrait, ils s'intéressent à l'identité de l'oiseau et à sa signature dans la composition musicale.
- Le monde sonore de Stravinski : Dans cet extrait, ils s'intéressent au début de l'œuvre, et aux toutes premières notes de musique qui ont une importance particulière.
- Les contraintes de la narration et de la danse
Ils se focalisent ici sur les contraintes de la musique de ballet, qui alterne entre les parties dansées rythmiques et les parties qui font avancer la narration.
 - Igor Stravinski, jeune compositeur russe
Dans cet extrait, ils présentent Igor Stravinski, son histoire et le contexte dans lequel il a écrit la partition de "L'Oiseau de feu".
- Un conte traditionnel servi par les ballets russes
Dans cette partie, Hélène Jarry propose un résumé de l'histoire qui s'appuie sur un conte traditionnel Russe. Elle parle des décors orientalisants, des costumes, ainsi que des danseurs qui ont interprétés les rôles de la princesse, du prince et de "L'Oiseau de feu".
EDUCATION MUSICALE
 

 
3ème L'histoire du Slam Dans cet extrait, Julien Delmaire rappelle le contexte historique et ce qui a poussé les "slameurs" à écrire ces textes : mélanger la poésie à la politique pour unir les foules. Il fait référence aux grands artistes américains au début du mouvement, à la fin des années 60. Un éclairage sur les origines du slam à travers des images d'archives américaines et françaises.

 

 
tous Les grands entretiens -
Pierre Charvet
C'est quoi la musique ?
Qu'est-ce que la musique contemporaine ?
Mon métier de compositeur
L'évolution des instruments de musique
Qu'est-ce que la musique classique ?

 

 
3ème/lycée Musique contemporaine:
le tuba
Interprète, compositeur, chercheur, Gérard Buquet est spécialiste de musique contemporaine. A l'aide de son instrument de musique : un tuba, il élabore un travail original sur le son. Son objectif : proposer des combinaisons particulières sous forme de jeux. Cette séquence est issue du catalogue "Images de la culture" du CNC. Dans l'extrait sans abonnement, il s'agit d'un trombone.

 

 
3ème/lycée Natalie Dessay : préparer son rôle pour un opéra Natalie Dessay, s'apprête à interpréter un rôle dans "La Somnambule", opéra de Bellini. Mais, avant de monter sur scène, la soprano doit apprendre ses textes, préparer sa voix et penser à la manière d'interpréter son personnage. Cette séquence est issue du catalogue "Images de la culture" du CNC.

 

 
3ème/lycée La musique robotique Jacques Rémus n'est pas un musicien comme les autres. Il conçoit des machines musicales mécaniques, capables de produire des effets visuels et sonores. En perpétuelle recherche de sensations, Jacques Rémus expérimente les sons par le réglage minutieux de ses «robots». Une musique rythmée et répétitive commandée par l'ordinateur... Cette vidéo est extraite du catalogue "Images de la culture" du CNC.

 

 
3ème/lycée "L'orgue à feu" de Michel Moglia Michel Moglia est à l'origine de "L'orgue à feu", étrange instrument, dont les sons sont difficiles à décrire. Artisan et créateur, Il trouve son inspiration dans la découpe et l'assemblage de tubes, dans lesquels il insuffle une flamme. Une exploration sonore originale... Cette vidéo est extraite du catalogue "Images de la culture" du CNC.

 

 

 
danse classe
de seconde
Mettre en
musique la danse
Cet extrait nous montre le travail d'un musicien dans son studio à la recherche de sons pour une chorégraphie. Sur un écran défilent les images de danseurs, sur l'autre des partitions musicales créées sur ordinateur, l'objectif : être synchrones. Cette vidéo est extraite du catalogue "Images de la culture" du CNC. consultable entièrement
HISTOIRE DES ARTS
 

 
lycée Architecture et acoustique Christian de Portzamparc, architecte de la salle de la Cité de la musique, à Paris, présente l'architecture de cette salle de concerts et ses possibilités techniques. Il explique qu'il a collaboré avec des acousticiens pour optimiser les qualités sonores de la salle. Il évoque, entre autre, l'invention de ''panneaux à résidus quadratiques'' conçus pour éviter une réflexion de façon trop directe du son.
non consultable librement
C'est pas sorcier     Le Paris d'Haussmann 0'50" consultable
En compagnie de Fred et Jamy, nous redécouvrons l'histoire de Paris, durant le Second Empire. Sous Napoléon III et son célèbre préfet, le Baron Haussmann, la capitale se métamorphose.
Sous l'égide de celui qu'on a surnommé "Attila", la capitale fut soumise, dans un style architectural qui portera son nom, à un vaste plan de rénovation urbaine. De l'extension de ses murs à la destruction et réaménagement de quartiers entiers ; l'objectif était d'aérer et d'embellir la ville. Une revalorisation de l'habitat et du cadre de vie qui offrent un nouveau visage à cette capitale aux mille facettes.
    Le pont du Gard

0'50" consultable
Fred et Jamy nous expliquent la conception et le fonctionnement du pont du Gard ainsi que les matériaux de construction utilisés. Ce pont n'est qu'une partie d'un gigantesque aqueduc de près de 50 kilomètres de longueur. Construit par les romains au 1er siècle après J.C et s'élevant sur trois niveaux, il s'agit d'une véritable prouesse architecturale. Chaque élément est parfaitement étudié. A l'origine, le pont du Gard était destiné à apporter l'eau de l'Eure jusqu'à Nîmes pour alimenter la ville et les thermes

DECOUVERTE PROFESSIONNELLE
 

 
- Classe de 3e/ Découverte professionnelle Collection : Des métiers de l'opéra Ce module est extrait du documentaire «Côté coulisses, avec les Noces de Figaro» dans 9 vidéos:
 - Chanteur lyrique : L'intervenant Stéphane Degout, baryton, présente son rôle sur scène ainsi que les spécificités inhérentes au métier d'artiste lyrique : combiner à la fois le jeu d'acteur et le chant.
 - Régisseur de production : Xavier Bouchon, régisseur de production à l'opéra de Montpellier, présente les spécificités liées à sa tâche. De formation musicale, le régisseur doit être apte à coordonner différents éléments, tels le spectacle à la partition musicale ou les services techniques à l'artistique. Le régisseur de production est un élément pivot de la chaîne artistique
 - Maquilleuse : Soizic Sidoit, maquilleuse spécialisée dans le domaine artistique, présente différentes caractéristiques de sa profession. La maquilleuse réalise des créations en étroite collaboration avec le metteur en scène ou le réalisateur avec toutefois une marge d'initiative.
- Machiniste: Christian Favantines, machiniste à l'Opéra de Montpellier, définit ses principales fonctions. Il assure les mouvements de décors et d'accessoires entre deux scènes ainsi que l'implantation et le stockage du décor. Ces tâches sont effectuées dans le respect constant de la sécurité.
- Eclairagiste : Claude Iraberri, expose les caractéristiques techniques liées à sa profession. L'éclairagiste travaille en étroite collaboration avec différents acteurs de la scène, tels les machinistes et accessoiristes. Sa mission réside principalement dans la gestion des effets de lumière durant le spectacle.
- Costumière: Elisabeth Twardowski, sous-chef au service costumes de l'Opéra de Montpellier, met en avant la polyvalence de ses activités qui ont pour but de répondre aux demandes précises du metteur en scène.
 - Chef de chant: Samuel Jean, chef de chant, présente ses différentes activités au sein de la production de cet opéra ainsi que son parcours professionnel. Son rôle consiste à suivre et à accompagner les chanteurs, des répétitions aux représentations scéniques.
- Accessoiriste: Jean-Loup Cappelle, accessoiriste à l'opéra de Montpellier, présente les différentes phases de son métier sur la production d'un opéra : préparer la mise en place et la disposition des objets qu'utiliseront les acteurs sur scène. Il évoque également son parcours professionnel ainsi que les différentes compétences requises pour cette profession.
 - Collaboratrice technique: Marie-André, collaboratrice technique à l'opéra de Montpellier, expose les différentes facettes de sa profession : une quête de l'équilibre entre le projet monté par le metteur en scène et les contraintes liées à sa réalisation matérielle.

 L'INA : Jalons pour l'histoire du temps présent

Consultation des vidéos en ligne avec fiche média très complète imprimable depuis le site Collège/lycée

 

série de vidéos accessibles librement dans la médiathèque:
- classées par date dans une fresque
-  rassemblées par lieux géographiques sur une carte
- classées par thématiques
EDUCATION
MUSICALE
    Patrice Chéreau présente "Lulu" d'Alban Berg  Fiche média : 04754
    Olivier Messiaen, "Saint François d'Assise" (Fiche média : 04756)
    Maria Callas (Fiche média : 04745)
    Le renouveau de la musique baroque (Fiche média : 01321) - À l’occasion du tricentenaire de la mort de Jean-Baptiste Lully, le château de Versailles recrée les festivités telles qu’elles se déroulaient sous Louis XIV.
    Charles Munch et la création de l'Orchestre de Paris (Fiche média : 01281) - Dans le sillage de la politique culturelle menée par André Malraux, Marcel Landowski fonde l'orchestre de Paris afin de redonner à la France sa place dans le concert des nations.
    L'individualisation des pratiques culturelles : la musique en ligne (Fiche média : 01261) - En 2001 aux Etats-Unis, le site internet américain de téléchargement musical Napster est condamné par la justice.
    La naissance de la musique concrète et électro-acoustique (Fiche média : 01259) - Pierre Schaeffer reproduit son expérience de découverte de la musique concrète.
    Pierre Boulez et la musique contemporaine (Fiche média : 01257)
    Charles Trenet interprète "La Mer" (Fiche média : 04731)
    Georges Brassens et la chanson française (Fiche média : 01258) -
    Juliette Gréco (Fiche média : 04736) - Juliette Gréco interprète l'une de ses chansons fétiches, le grand classique de Jacques Prévert et Joseph Kosma Les Feuilles mortes.
    Barbara (Fiche média : 04733) - Dans le cadre de l'émission "Chanson pour une caméra", présentée par Jacqueline Joubert, Barbara interprète sa chanson Nantes.
    Jacques Brel (Fiche média : 04764)
    Jean Ferrat (Fiche média : 04734) - Sur le plateau de l'émission "Le palmarès des chanson", Jean Ferrat interprète sa chanson Que serais-je sans toi ?, composée à partir d'un poème de Louis Aragon.
    Claude Nougaro Fiche média : 04751 - Filmé en répétition, Claude Nougaro interprète sa chanson Quatre boules de cuir.
    Jacques Dutronc Fiche média : 04752 - Jacques Dutronc interprète sur scène son grand succès Il est cinq heures, Paris s'éveille.
    Edith Piaf (Fiche média : 04746) - Edith Piaf interprète le dernier grand succès de sa carrière, Non, je ne regrette rien, puis en compagnie de Charles Dumont au piano, elle chante une autre de ses chansons, Mon Dieu.
    Serge Gainsbourg interviewé par Denise Glaser (Fiche média : 04735)
    Catherine Ribeiro + Alpes (Fiche média : 04738)
Dans le cadre de l'émission "Pop deux", Patrice Blanc-Francart interviewe Catherine Ribeiro qui revient sur les débuts du groupe Alpes.
    Alain Souchon chante "Allo maman bobo" (Fiche média : 04740)
    "Le Déserteur", par Maxime Le Forestier (Fiche média : 04739)
    Léo Ferré (Fiche média : 04750) -
Sur la scène de Bobino, Léo Ferré interprète Les Anarchistes.
    Charles Aznavour, "Je m'voyais déjà" (Fiche média : 04748)
    Etienne Daho (Fiche média : 04757)
    Alain Bashung (Fiche média : 04761)
    Les Rita Mitsouko (Fiche média : 04759)
    Téléphone (Fiche média : 04755) Dans le cadre de l'émission "Fenêtre sur" du 18 janvier 1980, le groupe Téléphone interprète sa chanson Crache ton venin.
    L'idole Richard Anthony (Fiche média : 01256)
    Le mouvement Yéyé (Fiche média : 04747)
    Carte de Séjour, "Douce France" (Fiche média : 04742)
    NTM, "Qui paiera les dégats ?" et "Police" (Fiche média : 04744) - Sur le plateau de l'émission culturelle "Le Cercle de minuit", le groupe NTM interprète deux de ses titres (Qui paiera les dégâts ? et Police ) et réaffirme l'ancrage de son art de combat dans la vie des cités.
    Noir Désir, "Tostaky" Fiche média : 04743)
    Bob Dylan interviewé par Antoine de Caunes (Fiche média : 04741)
    Manu Chao Fiche média : 04762) - Dans le cadre du magazine d'actualité "Envoyé Spécial", Manu Chao précise les liens entre sa musique et son engagement alter-mondialiste.
    Les Beatles (Fiche média : 04763)
    Björk (Fiche média : 04760)
    Public Enemy (Fiche média : 04758) rap afro américain
 
 

 
Entretien avec Bob Marley (Fiche média : 04753) - Dans une suite de l'hôtel Hilton à Paris, Bob Marley revient sur ses débuts avec les Wailers et définit succinctement les grands principes du mouvement rastafari.
 
 

 
Les Rolling Stones à Paris (Fiche média : 04749) - Les Rolling Stones, de passage à Paris, répondent à quelques questions dans le journal télévisé.
 
 

 
Jimi Hendrix (Fiche média : 04737) - Jimi Hendrix interprète sur scène sa chanson Hey Joe.
EDUCATION MUSICALE
-
HISTOIRE DES ARTS
    La folle journée de Nantes (Fiche média : 03052)
    Le Festival Interceltique de Lorient (Fiche média : 03050)
    Les Francofolies, festival de la chanson française (Fiche média : 03049)
    La Techno Parade (Fiche média : 01303)
    Les Eurockéennes de Belfort en 1995 Fiche média : 03025
    Le Festival des Vieilles Charrues (Fiche média : 01302)
    Le Printemps de Bourges (Fiche média : 01299)
    La première Fête de la Musique, juin 1982 Fiche média : 01289)
HISTOIRE DES ARTS     Miles Davis : "Ascenseur pour l'échafaud" (Fiche média : 04732) - Les yeux rivés à l'écran, le trompettiste Miles Davis improvise la musique d'une séquence du film de Louis Malle, Ascenseur pour l'échafaud.
    "Les demoiselles de Rochefort", Jacques Demy, 1966 (Fiche média : 01214) - Jacques Demy explique que son principal objectif est de réaliser un film plein de joie et il raconte en quoi le style de comédie musicale est efficace pour exprimer cette gaieté.
    L'industrie du disque (Fiche média : 01255) - A l'occasion de l'enregistrement d'une chanson, Pierre Tchernia revient sur le processus de fabrication d'un disque destiné à être un tube.
    Maurice Béjart (Fiche média : 01282) -
    Danses nouvelles et spectacles provocateurs des "années folles" Fiche média : 02002
diffusion du 1er janvier 1926 -
    "Nuit et Brouillard" d'Alain Resnais (Fiche média : 04000) - Alors que Nuit et Brouillard devait être présenté au Festival de Cannes, le film est censuré par la Commission de contrôle puis retiré de la sélection sur pression de l’ambassade de RFA.
    Interview de Picasso en 1966 (Fiche média : 01201)
    Picasso à Vallauris (Fiche média : 01200) - Picasso, qui vit à Vallauris, a organisé une corrida dans le village. Escorté par une foule d'admirateurs et de photographes, il assiste à la corrida en compagnie de son épouse et de son ami Jean Cocteau.
      Le Festival de bandes dessinées d'Angoulême, janvier 1999 (Fiche média : 01206)
      Les maisons de la culture Fiche média : 01278) - Le Général de Gaulle accompagné d'André Malraux prononce un discours au cours de sa visite de la maison de la culture de Bourges.

Toutes les ressources ci-dessous sont totalement accessibles en ligne et gratuites

EDUCATION MUSICALE
HISTOIRE
FRANCAIS
HISTOIRE DES ARTS
Le hall de la chanson Site web consultable en ligne On ne connaît pas la chanson Site web qui aborde la chanson française sous l'angle des 3 disciplines : Anthologie de 200 chansons du Moyen-âge à nos jours, initiée en partenariat avec l’Education nationale, avec extraits audio de 30 secondes et extraits des paroles...
EDUCATION MUSICALE Le hall de la chanson

De nombreux sites consultables en ligne et classés par rubrique:

1) Détail de la rubrique "Découvrez, visitez"
 

Ses panoramas Plateforme d'écoute et téléchargement de chansons
Le portail éducatif de la chanson
20 ans de chansons actuelles
Panorama de la chanson 1850-2000.
Ses familles

Outre-mer en chansons
Les africains de la chanson
Langues de France en chansons
Un bus nommé Marseille
Hegoak, une chanson basque
Les Orientaux de la chanson

Sa galerie de portraits Hommage à Georges Brassens
Serge Gainsbourg
Portraits de Femmes en chansons
Les 3 Baudets
Au cabaret de l’Ecluse
Les conquêtes de Piaf
Pays-Âges de Léo Ferré
Les chemins de Mireille
Barbara, Scènes/coulisses
Ses thématiques Patrimoine et chansons
Les routes de la chanson
Lieux de chansons
On ne connaît pas la chanson
40 ans de MLF en chanson
Chansons d'enfance
On chantait quand même, chanson de 1939-45
Chansons en politique
En mai chantons ce qu'il nous ...
Le Petit conservatoire de Mireille
Chanter la mer
La chanson du film
Journée des Femmes
Le travail en chansons
Ses conférences et ses feuilletons

Morphologie et monde du music-hall
Les imprudences de Bashung
Françoise Hardy, le temps d'après les Yéyés
Christophe, l'homme qui parle à l'oreille de l'âme
Johnny, le roi caméléon
Lemarque versus Montand
Brigitte Fontaine, châteaux intérieurs
Léo Ferré et la femme : l'amante, la vestale et la muse
Serge Gainsbourg, acte I (1959-79)
Julien Clerc, ma préférence à moi
Mystère (Mister) Sheller
Jean-Louis Murat : le moujik et son œuvre
La Ballade de Bourvil
Claude Nougaro, le motsicien
Barbara, chanter pour respirer
Daniel Balavoine, un homme qui chante
Jacques Brel - Vivre debout
De l’opérette au retour de la comédie musicale
Bashung, entre les mots et les sons
Claude François for ever
Polnareff, le troubadour de l'ère atomique
Dutronc et ses paroliers
Alain Souchon, le passager du temps
Jean Tranchant, entre l'orgeat et la cigüe
Jacques Higelin, un funambule tombé du ciel
Brassens et les poètes

Nino Ferrer, un inconnu célèbre
Gainsbourg en multipistes

Ses entretiens Hommage à Marguerite Monnot
Hommage à Barbara
Hommage à Béranger
Le mouvement des femmes et la chanson
EDUCATION MUSICALE Le hall de la chanson 2) Les autres rubriques du site Retrouvez, Vivez
Ecoutez, visionnez
Consultez Lisez
Différents médias : émissions radiophoniques en  streaming, vidéos, sons, des articles, etc.

EDUCATION MUSICALE
-
HISTOIRE DES ARTS

Direction des Affaires culturelles de la Ville de Paris Site web   2750 chansons sur le thème de Paris, accessibles depuis une carte interactive de Paris, ou classées par arrondissement, décennie, interprète, et écoutables en ligne par un lecteur pointant directement sur la base de données de Deezer http://www.chansons.paris.fr
EDUCATION MUSICALE Médiathèque de la Cité de la musique Site web complet dédié à la musique aux nombreuses rubriques avec différents médias, photos, sons et guides d'écoute regarder et écouter des concerts inédits

découvrir l’histoire des instruments de musique et les répertoires musicaux

accéder aux guides d’écoute qui synchronisent partition, enregistrement et commentaire d’une œuvre musicale

s'informer sur les métiers de la musique, les concours, stages et les écoles de musique

Guides d'écoutes d'œuvres de la musique baroque à la musique contemporaine (partiellement consultables en ligne.)
Guides d'écoute de musiques de jazz
Guides d'écoute de musiques du monde
Guides d'écoute de musiques amplifiées et chansons

Les guides d'écoutes sont consultables dans leur intégralité à la Médiathèque de la Cité de la musique de Paris et dans le réseau des médiathèques partenaires présents partout en France.

NB: 29 guides d'écoute sont en ligne sur l'espace de téléchargement d'outils pour l'écoute et la création (voir ci-après)
EDUCATION MUSICALE Médiathèque de la Cité de la musique Applications en ligne nécessitant Shockwave, Quicktime,
et un affichage minimum de 1024 x 800
D'autres guides d'écoute de la médiathèque

La famille Bach
Contrapunctus 1 (Art de la Fugue Bwv 1080)
Gavottes 1 et 2 (Suite pour orchestre n°1 Bwv 1066)
Bourrées 1 et 2 (Suite pour orchestre n°1 Bwv 1066)
Passepieds 1 et 2 (Suite pour orchestre n°1 Bwv 1066)
La musique à Versailles
Lully : Marche pour la cérémonie des Turcs
Lully : Rondeau pour la gloire
Lully : Loure pour les pêcheurs (extrait d'Alceste)
Rebel : Le Chaos
Rebel : Tambourin I et II (les Eléments)
Mozart : Ouverture des Noces de Figaro K. 492
Haydn (vidéo d'un concert enregistré en décembre 2009) : Symphonie n°8
La musique en Russie au XIX° siècle
Tchaïkovski : Symphonie n°6 "Pathétique"
Les ballets russes (, , Stravinsky)
Korsakov : Shéhérazade op. 35
Tchaikovski : Trepak, extrait de la suite Casse-Noisette
Stravinsky : Danse infernale, extrait de l'Oiseau de feu
Stravinsky : Ronde des princesses, extrait de l'Oiseau de feu
Le Sacre du Printemps de Stravinsky
L'adoration de la Terre
La danse des adolescentes
La danse sacrale

Site Eduscol Education musicale Espace de téléchargement d'outils pour l'écoute et la création Téléchargement - accès par création de compte avec adresse professionnelle et code RNE de l'établissement Espace de téléchargement d'outils pour l'écoute et la création Franz SCHUBERT - Winterreise - Auf dem Flusse
Franz SCHUBERT - Winterreise - Der Leiermann
Franz SCHUBERT - Winterreise - Die Post
Franz SCHUBERT - Winterreise - Der Lindenbaum
Franz SCHUBERT - Winterreise - Gute Nacht
Franz SCHUBERT - Der Wegweiser
Jean-Sébastien BACH - Messe en Sim
Marc-André DALBAVIE - Color
Ludwig von BEETHOVEN - Quatuor N°16 en Fa op.135 (IV° mouvement)
Miles DAVIS - Now's the Time
Miles DAVIS - So What
Miles DAVIS - Spanish Key
Miles DAVIS - Tutu
Miles DAVIS - Footprints
Miles DAVIS - Bags' Groove
Wolfgang Amadeus MOZART - La symphonie N°41 Jupiter (I° mouvement - Allegro vivace) Version Armin JORDAN
Wolfgang Amadeus MOZART - La symphonie N°41 Jupiter (II° mouvement - Andante) Version NORRINGTON
Luciano BERIO - Sequenza I pour flûte
Wolfgang Amadeus MOZART - La symphonie N°41 Jupiter (III° mouvement - Menuet) Version KOOPMAN
Anton WEBERN - Opus IV
Wolfgang Amadeus MOZART - La symphonie N°41 Jupiter (IV° mouvement) Version KOOPMAN
Jean-Sébastien BACH - 5ème Concerto Brandebourgeois
Ludwig Von BEETHOVEN - Coriolan
Wolfgang Amadeus MOZART - La symphonie N°41 Jupiter (IV° mouvement) - Ecoute comparée de 4 interprétations
Franz SCHUBERT - Der Wegweiser
Jimi Hendrix - If 6 was 9
Jimi Hendrix - All Along the Watchtower
Jimi Hendrix - Purple Haze
Jimi Hendrix - Voodoo Child (slight return)
Jimi Hendrix - Hey Joe
EDUCATION MUSICALE Médiathèque de la Cité de la musique D'autres guides d'écoutes en ligne, des vidéos, des activités pédagogiques interactives, ... Dossiers pédagogiques de la médiathèque Concerts éducatifs
EDUCATION MUSICALE Médiathèque de la Cité de la musique Site web

Musique au lycée
Présentation des œuvres du baccalauréat

Option facultative au baccalauréat
EDUCATION MUSICALE Site Eduscol Site web de ressources disciplinaires Edubase Education musicale Toutes les ressources pédagogiques en éducation musicale indexées sur Eduscol

Autres ressources de l'INA gratuites
(la plupart totalement libres, certaines partielles à commander à la boutique ina.fr)
Liste non exhaustive en perpétuelle évolution (des dizaines de médias rajoutés chaque jour)

Emission Titre de la ressource Descriptif

Classiques du jazz

Djangologie : Hommage à Django Reinhardt Dans la salle du Cintra, André FRANCIS a convié des amis et des disciples du guitariste tsigane Django REINHARDT pour lui rendre un hommage particulier en reprenant à tour de rôle quelques uns de ses standards. Ainsi se succèdent sur scène, Stéphane GRAPPELLI, Bill COLLEMAN, Pierre CULLAZ, René THOMAS ainsi que le propriétaire du lieu, MOUSTACHE.
Discorama

Valse de Chopin par Alain Bernheim

1959

Jean Ferrat et Cuba
1967

Jean FERRAT parle de son voyage à Cuba : parti pour voir le pays, il a néanmoins fait quelques concerts à la demande des Cubains. Il a découvert de nombreux rythmes. Il raconte ses rencontres avec la population, notamment un jeune noir, représentant emblématique du régime cubain.

Jacques Brel "Mathilde"

14/06/1964

Jay Jay Johnson "Bag's grooves"

1961
Jay Jay Johnson "Like someone in love"

Jean Pierre DARRAS, le bassiste Pierre MICHELOT et le tromboniste Jay Jay  JOHNSON annoncent le titre du prochain thème. J J JOHNSON (James Louis Johnson de son vrai nom) tromboniste américain et ses deux musiciens Kenny CLARKE (à la batterie) et Pierre MICHELOT (à la contrebasse) jouent "Like someone in love" sur le plateau de Discorama.

Play Bach de Jacques Loussier - 1959 Jacques Loussier à propos de "Play Bach"' - 1959
Louis ARMSTRONG avec Denise GLASER
1961
Denise GLASER dialogue avec Jean-Pierre DARRAS à propos de Louis ARMSTRONG. A En studio TV, il est interviewé par Denise GLASER, le grand spécialiste du jazz Hugues PANASSIE: il parle de jazz, du Prix de l'Académie du disque français qu'il a reçu, de son intérêt pour la musique classique, des deux orphelins africains qu'il va adopter. Il joue quelques notes de trompette solo devant une grande toile du peintre Moretti qui le représente.
Louis Armstrong à Nice, interview et solo de trompette
1961
A l'occasion du festival de Nice, Louis ARMSTRONG est interviewé par Denise GLASER, le grand spécialiste du jazz Hugues PANASSIE
Louis ARMSTRONG (vo trad off) parle de jazz, du Prix de l'Académie du disque français qu'il a reçu, de son intérêt pour la musique classique, des deux orphelins africains qu'il va adopter. Il joue quelques notes de trompette solo devant une grande toile du peintre Moretti qui le représente.
Memphis Slim 1964
Pierre Schaeffer à propos de la musique concrète
1959
Jean DESSAILLY présente Pierre SCHAEFFER, directeur du Groupe de Recherche Musicale de la RTF. Ce dernier donne quelques explications sur ce qu'est la musique concrète. Il commente un court métrage de Jacques BRISSOT : il a filmé des sculptures animées de Nicolas SCHAEFFER sur la musique "Etude aux sons animés" de Pierre SCHAEFFER.
Pierre Schaeffer et Jacques Brissot à propos du festival de la recherche
1960
Philippe NOIRET interviewe Pierre SCHAEFFER dans son studio de la rue de l'Université. Le directeur du Groupe de Recherches Musicales de la RTF explique en quoi consiste la musique expérimentale. En illustration à ses propos, le compositeur Bernard PARMEGIANI manipule une tringle et un archet avec lesquels il fabrique des sons.
Pierre SCHAEFFER parle ensuite du "2ème Festival de la recherche" qui se tient à Paris, salle Gaveau. Jacques BRISSOT, se tient à ses côtés pour parler du Groupe Recherches Images qui se rapproche de la démarche du GRM. Diffusion d'un extrait du film de Jacques BRISSOT.
Barbara - 1964 Barbara "J'entends sonner les clairons"
Léo FERRE - 1965 Léo FERRE chante "Ecoutez la chanson bien douce", poème de Verlaine.
Léo Ferré "L'Etoile a pleuré rose" Poème d' Arthur Rimbaud - 1965
Léo FERRE "C'est l'printemps" 1965
Léo FERRE - 1961 Jean-Pierre DARRAS s'entretient avec Léo FERRE qui donne actuellement un récital au Vieux Colombier où il chante les poètes anciens et contemporains. Il sort un disque avec dix chansons écrites par Louis Aragon. Il cite les poètes qu'il chante ainsi que Jean-Roger Caussimon et Pierre Seghers.Il est content de lui en ce moment car il est heureux.
Léo FERRE - 1965 Léo FERRE chante "Il patinait merveilleusement", poème de Paul Verlaine.
Yves MONTAND "Les feuilles mortes" 1964
Interview Georges BRASSENS : Paul FORT Jean-Pierre DARRAS s'entretient avec Georges BRASSENS qu'il présente comme l'un des grands poètes actuels. Il parle de son goût pour les poèmes de Paul FORT et de ceux qu'il a mis en musique afin de les rendre accessibles.
Musique populaire bretonne - 1959 Musique populaire bretonne par un groupe rennais, choisie comme illustration musicale à la pièce de théâtre "Tristan et Iseult" de Jean de Beer qui sera jouée au Théâtre du Tertre à Paris.
Air folklorique breton - 1959 Trois musiciens de Rennes, en costumes traditionnels, interprètent un air de musique folklorique bretonne, choisie pour illustrer la pièce de théâtre de Jean de BEER "Tristan et Iseult" qui sera jouée au Théâtre du Tertre à Paris.

Création d'un concerto du compositeur né au Havre Max PINCHARD

1968
Gyorgy SEBOK  "Le rondeau" de Hummel. Gyorgy SEBOK interprète au piano "Le rondeau" de Hummel. 1959
Gyorgy SEBOK Etude de Chopin - 1959
Les compagnons du Jourdain chantent un Negro spiritual 1959
Mary don't you weep 1959 Les compagnons du Jourdain chantent "Mary don't you weep"

Taos Amrouche  - 1972

En plateau et en direct, vêtue d'une tenue traditionnelle, Taos AMROUCHE interprète un chant berbère "Le chant des gauleurs d'olives".
Yuri Boukoff : pièce d'Albeniz 1962
Les grandes répétitions Quand un homme consacre sa vie à la musique : Hermann Scherchen
1967
- Hermann SCHERCHEN dirige ici, peu de temps avant sa mort,  en l'église Saint-Roch à Paris, une répétition de "l'art de la fugue" de Jean Sébastien BACH par l'ensemble instrumental de musique contemporaine de Paris. L'orchestration d'Hermann SCHERCHEN, magnifique travail de musicien, est l'œuvre finale d'un grand humaniste.
 - Deux mois plus tard, les auteurs sont allés en Suisse filmer ses enfants et sa femme. Au hasard d'un repas familial, dans le jardin qui entoure la maison, au bord de la piscine ou s'ébattent les enfants, sur le banc ou ils aimaient s'asseoir tous deux, son épouse, la mathématicienne roumaine Pia ANDRONESCU, évoque avec tendresse la personnalité généreuse et grave de son mari, sa foi dans l'homme et la pensée humaine.
- Elle rappelle aussi qu'il fut durant plus de cinquante ans un chef d'orchestre attaché à la découverte d'œuvres nouvelles et contemporaines mais aussi un chercheur qui organisait des congrès internationaux et créa dans sa propre maison un studio de recherche acoustique qui accueillit de nombreux musiciens.
Karlheinz STOCKHAUSEN
1966
Cette émission est à la fois la présentation d'un homme - Karlheinz STOCKHAUSEN - et d'une œuvre - "Momente"
- le compositeur évoque tout d'abord, dans la salle de répétition déserte d'un studio de Cologne, la genèse et la signification de cette "œuvre d'amour" à laquelle il travaille depuis quatre ans et qu'il a dédiée à une femme : "Je ne vis pas d'histoires, déclare-t-il, je ne vis que des moments". Ce sont eux que STOCKHAUSEN a voulu recréer à travers des moments musicaux qui se succèdent, se rencontrent et se mélangent dans l'œuvre.
- Ces "Moments", concentrés sur des mélodies, des sonorités, ou des durées, intègrent aussi bien des fragments de lettres de la femme aimée et des poèmes du "cantique des cantiques' que des applaudissements et autres manifestations houleuses de public utilisés pour leur aspect dynamique et rythmique.
- En contrepoint, ces propos nous sont présentés tout au long de l'émission des fragments d'une répétition de "Moments" : la caméra s'attarde sur les gestes et les expressions des instrumentistes et des chœurs de l'orchestre de la Westdeutscher Rundfunk, soulignant l'étrangeté du dialogue, tantôt parlé, tantôt muet, qui s'établit entre la soprano Martina ARROYO - qui prête sa voix étonnamment riche aux parties chantées de l'œuvre - et STOCKHAUSEN - qui dirige au pupitre tantôt avec violence, tantôt avec une vigueur contenue, tantôt encore avec une secrète jubilation.
- "Momente", dit encore STOCKHAUSEN, n'est pas une histoire inventée, c'est une œuvre qui n'existe que par le degré de présence de chaque événement.
"Lumina" d'Ivo MALEC
1970
Rencontre avec le compositeur Ivo MALEC qui dirige ici lui-même "Lumina", une de ses œuvres mixtes pour douze instruments et bande magnétique, où le magnétophone, installé au milieu de l'orchestre et dirigé au fil des "numéros", est utilisé comme un instrument parmi d'autres.
- Ivo Malec a cherché à faire se conditionner et se heurter une source "vivante" à une source "mécanique", tout en faisant appel à la participation des musiciens à l'acte de création, à travers un certain nombre d'improvisations sur des schémas donnés.
- Ivo MALEC s'efforce en fait de "faire de la musique comme la nature fait les choses" : ses diverses manipulations en studio, pour produire des objets musicaux, ont cette lenteur minutieuse qu'a la nature dans sa vie la plus cachée.
- A travers l'analyse des aspects particuliers de cette œuvre, est ainsi tracé le portrait d'un grand musicien contemporain qui tente de parvenir, comme dans un rêve, à "entendre la musique dans un sens réel".
Against order John Cage
1972
C'est à l'occasion d'une répétition de John CAGE et du pianiste Gérard FREMY dans le pavillon royal du bois de Boulogne, qu'a été réalisée cette émission qui nous propose de découvrir la musique et la personnalité d'un musicien contemporain original.
- John CAGE "prépare" tout d'abord son piano en introduisant entre les cordes à intervalles déterminés des vis et des objets divers - minutieux travail de lutherie qui nécessite une écoute particulièrement sensible et permet d'obtenir des sonorités "inouïes".
- John CAGE parle également de ses conceptions des rapports entre musicien et interprète, basés sur le soin, la précision et le respect de la liberté d'être soi-même, de la nécessité de la solitude, de l'incompréhension du public de la célébrité qu'il s'efforce d'oublier pour travailler, de VARESE, de SCHOENBERG dont il fut l'élève passionné, de la personnalité rayonnante et silencieuse de Marcel DUCHAMP et de ses méthodes originales de composition. John CAGE s'efforce en effet de ne pas limiter la musique à une simple organisation de sons destinée à la communication. C'est dans la philosophie orientale et le bouddhisme zen qu'il s'efforce de chercher une ouverture.
- L'émission nous permet d'assister au déchiffrage de la partition, à la répétition et à l'exécution de plusieurs des "sonates pour piano préparé" que John CAGE composa selon une structure très précise et qui tentent, tout en utilisant certains principes de composition occidentale, d'exprimer les neuf émotions fondamentales de la tradition orientale - et de donner ainsi des "exemples pour l'action individuelle".
John CAGE et Gérard FREMY proposent également deux interprétations différentes de "Music for Marcel Duchamp", une œuvre méditative où les silences occupent une place prépondérante.
Maurice OHANA : le silenciaire
1971
 
Filmée dans une vieille demeure du XIIIème siècle à l'occasion du festival de Ratilly, cette émission nous permet de découvrir tout à la fois la personnalité de Maurice OHANA, sa musique et le surprenant ensemble des Percussions de Strasbourg. Dans une grande salle, un public assiste à l'audition du "chant funèbre pour Ignacio Sanchez". Dans les vastes greniers du château, Maurice OHANA assiste à l'installation des instruments des "percussions de Strasbourg", véritable arsenal de gongs, de xylophones, de cloches à vaches, de tambours et d'instruments exotiques de toutes sortes, auxquels il a lui même ajouté des galets et des coquillages choisis pour la texture de leurs sonorités.
Daniel CHABRUN dirige ensuite, en présence de l'auteur, plusieurs répétitions du "silenciaire" qui devait être créé spécialement pour le festival. Il parle aussi de la musique et de la personnalité de Maurice OHANA. Attentive aux gestes, aux visages, aux tensions et aux attentes des musiciens, la caméra nous fait pénétrer dans l'univers sonore étrange de cette œuvre pour douze cordes et six percussions, "construite sur le silence".
Nourri dès sa plus tendre enfance de musiques andalouses et berbères, Maurice OHANA occupe une place à part dans la musique contemporaine. Il va même dans un certain sens à contre courant de celle-ci et de ce qu'il nomme "l'art de singe des ordinateurs". "Je préfère une musique issue de l'instinct plutôt que de spéculations intellectuelles", déclare Maurice OHANA, pour qui Debussy est le seul musicien révolutionnaire du XXème siècle.
Personnage difficile à cerner, discret et grave, Maurice OHANA manifeste d'ailleurs une certaine irritation devant la curiosité qui règne aujourd'hui autour des "zones d'ombre de la création". Pour lui, la musique est avant tout "une communication avec l'univers et un moyen de communication avec les êtres".
Age tendre et tête de bois Jacques Brel : "les vieux" 1964

Guy Béart "Il n'y a plus d'après"

1962
 

Dossier : les inédits de Gainsbourg
01/03/2006

 

À l'occasion du quinzième anniversaire de la mort de Serge GAINSBOURG, une centaine d'inédits a été extraite d'une œuvre subtile, nourrie de référence littéraire et de modernité. Avec une technique éprouvée du langage associée à une remarquable oreille musicale, Serge GAINSBOURG a écrit près de 600 chansons pour lui et pour de multiples interprètes, dans tous les styles et sans jamais renoncer à son exigence de qualité, même pour une commande de shows télévisés auxquels il participait comme chanteur et auteur. Retour sur sa carrière avec Serge VINCENDET, co-auteur de "Serge Gainsbourg, l'intégrale et cætera" (Ed. Bartillat).
Maria Callas ou l’éternelle diva 31/10/2011

"Manon" de Massenet

Maria CALLAS, accompagnée par l'Orchestre National de l'ORTF, dirigé par Georges PRETRE, chante : MASSENET : "Manon" ("Adieu notre petite table")

"La sonnambula" de Bellini

Maria CALLAS, accompagnée par l'Orchestre National de l'ORTF, dirigé par Georges PRETRE, chante : BELLINI : "La Sonnambula" ("A, non crede !")

"Gianni Schichi" de Puccini

Maria CALLAS, accompagnée par l'Orchestre National de l'ORTF, dirigé par Georges PRETRE, chante : PUCCINI : "Gianni Schichi" ("O mio caro babbino !")

"Una voce poco fa, air de Rosine" - 1958

Sur la scène de l'Opéra de Paris, lors d'un concert retransmis en Eurovision, Maria CALLAS chante l'air de Rosine "Una voce poco fa" du "Barbier de Séville" de Gioacchino ROSSINI. Maria CALLAS salue. Ovation. Maria CALLAS est accompagnée par l'orchestre de Paris dirigé par Georges SEBASTIAN.

"Casta diva" - La Norma de Bellini

Sur la scène de l'Opéra de Paris, lors d'un concert retransmis en Eurovision, Maria CALLAS chante l'air de la casta Diva de la "Norma" de Bellini. Maria CALLAS est accompagnée par l'orchestre de Paris dirigé par Georges SEBASTIAN.

Maria CALLAS et Luchino VISCONTI sur le projet de "Médée" - 1969

Maria CALLAS parle de son projet de participer au film "Médée" de Pier Paolo PASOLINI en tant que comédienne et de son envie de faire du cinéma.

Maria Callas à l'Opéra de Paris
1964

 

Edition spéciale consacrée à Maria CALLAS qui vint pour huit représentations sur la scène du Palais GARNIER de La Norma de BELLINI, dirigé par Georges PRETRE et mis en scène par Franco ZEFFIRELLI. L'équipe de télévision a assisté à la dernière répétition sur la scène du Palais GARNIER.
- Interview de Georges AURIC, administrateur de la Réunion des théâtres lyriques nationaux, sur La CALLAS qui vient pour la première fois en tant qu'artiste de l'Opéra de Paris.
- Interview de Franco ZEFFIRELLI, metteur en scène, sur son interprétation de La "Norma".- Interview d'Emmanuel BONDEVILLE, directeur de l'Opéra de Paris, sur la perfection dans l'art de Maria CALLAS.
- Interview de Georges PRETRE, chef d'orchestre, sur l'interprétation de La "Norma" par Maria CALLAS et sur la partition de BELLINI.
Extrait de la répétition avec Maria CALLAS en costumes.
A l'affiche du monde

Spécial Londres Jazz à la cathédrale Saint-Paul

Reportage à Londres tourné lors du festival Jazz Praises qui s'est tenu le 8 octobre 1968 à la cathédrale St. Paul.
Le sextet de Michael GARRICK, accompagné des chœurs de la cathédrale, interprète "Kyrie".
Aujourd'hui la vie Prestation de musiciennes indiennes Extrait de la prestation d'une musicienne indienne, E. GAYATRI, alors que l'Inde est à l'honneur au Festival d'Automne de Paris. 1985
  les tziganes
1990
Le festival d'automne de Paris présente aux Bouffes du nord un spectacle de musique populaire hongroise avec les KALYI JAG.
Commentaires sur extraits du spectacle, avec notamment Ferenc SEBO, qui joue de la guimbarde, et interview d'un des membres de la troupe, qui explique que les tziganes n'avaient pas d'instruments donc ils ont utilisé des objets de la vie quotidienne pour faire de la musique, et de Zsigmond KARSAI, qui siffle et danse sur scène.
Rock jazz

Musique tzigane : deux guitaristes jouent dans un camp de gitans
1983

Dans un camp de gitans, les guitaristes Francis Alfred MOERMAN et Alain DUBREUIL jouent un morceau de musique traditionnelle tzigane
  hommes orchestre au Marais
1976
Dans le cadre du festival d'automne, expérience musicale faite à partir d'instruments classiques et originaux (instruments agricoles). Deux hommes orchestre faisant marcher les différents instruments. Musique illustrée par des images "agricoles" (champ de blé, moisson, troupeau de vaches, moissonneuse-batteuse)
Interview du compositeur allemand Mauricio KAGEL sur cette expérience.
Un livre, un jour

Gilles Schlesser : Le cabaret Rive gauche
(Un livre, un jour - 23/01/2007)

 

Ils avaient pour enseigne L'Écluse, La Fontaine des quatre saisons, L'Échelle de Jacob, La Colombe, Le Milord l'Arsouille, Le Port du salut, Le Cheval d'or... Sur leurs scènes minuscules se sont révélés des dizaines d'artistes, dont Juliette Gréco, Ferré, Gainsbourg, Brel, Brassens, Béart, Barbara, Ferrat, Devos, le mime Marceau...
Une vingtaine d'années durant, de Saint-Germain-des-Prés à la Contrescarpe, les cabarets ont fait de la rive gauche de Paris un formidable creuset culturel. Puis la petite flamme s'est éteinte, soufflée par la télévision, le yéyé, Mai 68, l'industrie du disque... et la vogue du café-théâtre.
Gilles Schlesser raconte cette époque cruciale de l'histoire de la chanson française. Dans cet ouvrage, il restitue le témoignage de chanteurs, de patrons de cabarets, de spectateurs de l'époque. En annexe figure un abécédaire des lieux et des artistes.
Né à Paris en 1944, Gilles Schlesser est le fils d'André Schlesser, l'un des quatre fondateurs de l'Écluse, cabaret du quai des Grands-Augustins qui, de 1952 à 1974, fut l'un des hauts lieux de la rive gauche. Il a connu la vie noctambule de Saint-Germain-des-Prés et en a côtoyé les grandes figures, dont Barbara qui écrivit pour lui Le Bel Âge.
Les rendez-vous du dimanche

Jean Ferrat et sa première rencontre avec Aragon

1977
  Jean FERRAT et la chanson française Jean FERRAT réclame une chaine musicale d'état pour tous. Il s'élève contre les filiales de sociétés anglo-saxonnes qui envahissent le marché musical français. 1985

 
Rita Mitsouko "Marcia Baila" 1985
Palmarès des chansons Charles TRENET "Chanson d'automne" Charles TRENET chante "Chanson d'automne", poème de Verlaine qu'il a mis en musique. 1968
Hugues AUFRAY "Chanson d'automne" Sur la scène du "Palmarès", en public, Hugues AUFRAY chante "Verlaine" (musique de TRENET sur le poème de VERLAINE "Chanson d'automne") , accompagné par l'orchestre de Raymond LEFEVRE - 1967

"La valse de l'empereur" de Johann STRAUSS

Michel RENAULT, Mireille NEGRE et une partie du Corps de ballet de l'Opéra de Paris dansent "La valse de l'empereur" de Johann STRAUSS.
Numéro 1

Jacques Loussier "La valse de l'adieu"

Jacques LOUSSIER joue au piano quelques mesures de "La valse de l'Adieu" de Chopin, de manière classique, puis de façon humoristique. Guy BEDOS ponctue la musique de son rire et de ses commentaires.
Midi première

Valse de l'adieu de Chopin par Eva Osinska

1976
Cinq colonnes à la une Bal à Vienne - 1965 Bal à l'opéra de Vienne: Johann STRAUSS
Grâce à la musique Le piano et le clavecin
01/01/1982
Cette émission dédiée au piano est construite autour de l'interview de Paul BADURA SKODA qui interprète plusieurs extraits au piano et des images de fabrication de piano. De nombreuses archives extraites des précédentes émissions de François REICHENBACH sur les grands musiciens émaillent ce document.
- Marche Turque jouée de façon "fausse"
Archives : Zoltan KOKSIS interprète au piano "La Marche turque" de W.A. MOZART extrait de "Grâce à la musique" du 28/12/1980 par François REICHENBACH.
- Interview de Paul BADURA SKODA jouant du clavecin et racontant l'histoire de ses instruments chez lui et joue La Fantaisie en ré mineur de Mozart et un thème de Haydn
- Images de la fabrique de pianos Bosendörfer à Vienne dans laquelle on coupe le bois destiné à faire les pianos.
Faut pas rêver

Autriche: voyage à l'intérieur d'un piano "Bösendorfer" - 1991

Dans un couvent du XVIIème siècle, à Vienne, est née la merveilleuse histoire des pianos "Bösendorfer". La caméra va suivre toutes les étapes de la fabrication d'un piano, depuis la soudure du cadre jusqu'au réglage final du timbre, laissé à la responsabilité d'un seul homme pendant plusieurs années. Une pianiste joue en alternance avec les images de la fabrication, sur un "Bösendorfer".

 

Marcel AMONT "La sonate pour piano"

1964
Jazz Session

Piano parade 4 : le trio d'Ahmad Jamal

1971 - contrebasse - piano - batterie

Piano parade 3 : le trio d'Hampton Hawes

Hampton HAWES avec Henry FRANKLIN à la contrebasse et Mike CARVIN à la batterie.

Concert de Don Cherry au studio 104 : première partie

Concert du multi-instrumentiste Don CHERRY enregistré en public au studio 104 de la maison de la radio.
Concert de Don Cherry au studio 104 : deuxième partie

Daniel Humair 13/05/1972

Prestation en studio sans public du quintet de jazz formé par Daniel HUMAIR à la batterie, Franco AMBROSETTI à la trompette, Gordon BECK et George GRUNTZ aux claviers et Ron MATHEWSON à la basse électrique et à la contrebasse.

Roland Kirk - 1970

Enregistrement en public au Studio 104 de la Maison de la radio du concert du jazzman "Rahsaan" Roland KIRK accompagné de sa "Vibration Society" composée de Dick GRIFFIN (trombone), Ron BURTON (piano), Vernon MARTIN (contrebasse), Jérôme COOPER (batterie) et Joe TEXIDOR au tambourin.

Bill Evans

En différé, extrait du concert du trio de Bill EVANS, enregistré par Bernard LION au studio 104 de la maison de la radio le 31 Mars 1972.

Dexter Gordon

Extrait du concert du quartet mené par le saxophoniste Dexter GORDON. Accompagné par Georges ARVANITAS au piano, Albi CULLAZ à la contrebasse et Daniel HUMAIR à la batterie, Dexter GORDON se produit devant le public du studio 104 de la maison de l'ORTF. 1973
Martial Solal en piano solo En studio, devant les caméras de l'émission "Jazz Session", Martial SOLAL joue seul au piano trois de ses compositions "Tree for two", "Aigue marine" et "Duo pour trio".
Freddie Hubbard au studio 104 : première partie En différé du studio 104 de la maison de la radio, concert du quintet du trompettiste Freddie HUBBARD entouré du saxophoniste ténor Herman Junior COOK, du pianiste George CABLES, du contrebassiste Kent BRINKLEY et du batteur Michael CARVIN. 1973

Freddie Hubbard au studio 104 : deuxième partie

Georges Arvanitas, René Utreger, Maurice Vander et Michel Graillier "Suite pour piano"
1972

Les pianistes de jazz français Georges ARVANITAS, Michel GRAILLIER, René URTREGER et Maurice VANDER accompagnés par Henri TEXIER (contrebasse), Bernard LUBAT (vibraphone), Francis DARICOURT (guitare basse), André CECCARELLI et André ARPINO (batterie) dans une longue séquence musicale. Filmés en plateau dans plusieurs configurations, ces musiciens jouent une longue "suite pour quatre pianos" (composition d'Ivan JULLIEN).

Jean Baptiste Illinois Jacquet

1973 - Enregistrement du concert donné par l'énergique musicien américain ILLINOIS JACQUET au saxophone accompagné de Wild Bill DAVIS à l'orgue au studio 104 de la maison de la radio. C'est Al BARTEE que l'on retrouve à la batterie pour cette performance en public.

Charles Tolliver 1971

Enregistré en studio, concert du quartet MUSIC-INC. emmené par le trompettiste Charles TOLLIVER filmé pour l'émission "Jazz Session". Entouré de micros, André FRANCIS annonce et souligne la qualité du quartet proposé pour cette émission.
Festival de jazz à Juan les Pins

Jazz à Juan les Pins 1986

 

Extraits des concerts de Pat METHENY et Hermeto PASCOAL durant le festival de jazz de Juan les Pins.
Pat METHENY à la guitare, jouant sur scène en compagnie de son orchestre.
Hermeto PASCOAL sur scène, au piano électrique.
Parade le soir dans les rues de Juan avec Hermeto PASCOAL à la clarinette.
Ray Charles Reportage consacré au musicien et chanteur Ray Charles à l'occasion de sa participation au festival de jazz de Juan les Pins.
Sonny Rollins 2010
Jazz à Antibes : Miles Davis A Antibes, en prélude au Festival de jazz, prestation sur scène de Miles DAVIS (dos au public) et ses musiciens parmi lesquels le guitariste John SCOFIELD, le saxophoniste Bob BERG et un jeune bassiste débutant Darryl JONES, devenu un "Rolling Stone".
Age tendre et tête de bois

Vince Taylor "What I say" - 1962

Vince TAYLOR chante "What I say" de Ray CHARLES. Puis à la demande d'Albert RAISNER, Vince TAYLOR reprend, comme dans le disque de Ray CHARLES, avec "One more time" en compagnie du public qui danse le twist. Générique fin sur la fin de la chanson
Vince Taylor "La complainte de Mackie" Vince TAYLOR chante en direct "La complainte de Mackie", extrait de l'Opéra de Quat' sous de Kurt WEILL. 1962
  Nancy jazz Pulsations BB KING + Miles DAVIS + Memphis SLIM Trois monstres sacrés pour cette édition 86 du Nancy Jazz Pulsations. Le parc des Expositions a été pris d'assaut. Successivement, Memphis SLIM au piano, B.B. KING et Miles DAVIS. 1986
Jazz in Marciac Herbie Hancock "Recorda Me" 18/03/1996
Wynton Marsalis Septet 19/06/1995
Wynton Marsalis Septet "Green Chimneys" 04/09/0995 - Dans le cadre du festival de Marciac, le Wynton Marsalis Septet (Eric Reed , Reginald Veal, Herlin Riley,Wycliffe Gordon, Todd Williams, Wessel Anderson) interprète "Green chimneys".
Nelson VERAS : "Dindi" 26/02/1996 - Dans le cadre du festival de jazz de Marciac, concert du guitariste Nelson VERAS accompagné d'Aldo Romano à la batterie et Michel Benita à la contrebasse.
Chick Corea Chick Corea Akoustic Quartet en concert lors du festival de jazz de Marciac. "That Old Feeling" - 13/11/1995
Lincoln Center Jazz Orchestra - "Stompy Jones" Le Lincoln Center Jazz Orchestra en concert lors du festival de jazz de Marciac sous la direction de David Berger et Wynton Marsalis
Lincoln Center Jazz Orchestra : "Happy Go Lucky Local"
Bireli Lagrène Trio: les feuilles mortes Le Bireli Lagrène Trio (André Ceccarelli à la batterie, Chris Minh Doky à la contrebasse et Bireli Lagrène à la guitare) en concert au festival de jazz de Marciac
Bireli Lagrène Trio: C'est si bon
Laurent Cugny Festival de Marciac 1997 : Sous la direction de Laurent Cugny, l'orchestre national de jazz interprète L'âge de Noé. 1998
Kenny Barron Kenny Barron en concert lors du festival de jazz de Marciac en 2000.
Diana KRALL 2001
McCoy Tyner 2ème partie - 2001 McCoy Tyner en concert au festival de jazz de Marciac accompagnés par Al Foster et Charnett Moffett. Interview de McCoy Tyner qui raconte sa rencontre avec Louis Armstrong.
First song : Charlie HADEN Retransmission d'une partie du concert de Charlie HADEN et son quartet West lors du festival de Marciac. Concert entrecoupé d'une interview de Charlie Haden et de ses musiciens.
Wayne KRANTZ Extraits du concert du guitariste Wayne KRANTZ au festival "Jazz in Marciac" en 1999. En alternance avec les morceaux, interviews du musicien pendant une répétition et lors d'une "master class" au collège de Marciac.
Ibrahim FERRER - 2003 Marciac dans le Gers capitale du jazz pour la 26ème année, accueille Ibrahim Ferrer.. le chanteur cubain du Buena Vista social Club... Agé de 76 ans, il n'a rien perdu de son charme latin.

 
Portrait Pierre Boulez 75 ans de Pierre BOULEZ. Le compositeur et chef d'orchestre français a donné, pour l'occasion, un concert à la Cité de la Musique.
  Karl Böhm, répétition avec l'Orchestre de Paris l'Orchestre de Paris sous la direction de Karl BOEHM répète la "Symphonie du nouveau monde" de Dvorak. Interview de Karl BOEHM sur sa manière de travailler, ce qu'il attend et peut obtenir de l'orchestre ; sur l'œuvre qu'ils répètent. Interviews de musiciens : le premier violon qui parle d'une "période d'adaptation assez délicate, chaque chef ayant sa gestique..."
La leçon de musique Pierre SCHAEFFER
1979
Pierre SCHAEFFER, pionnier de la musique concrète et de l'expression électroacoustique, se remet radicalement en question, tout en exposant ses recherches sur les nouveaux matériaux sonores et le fonctionnement des "machines à composer". MOZART est un invité insolite avec qui il dialogue au sujet des nouveaux instruments et dont il recueille la critique. Il commente ses expériences sur la vibration des sons. Le doigt sur un verre, il expose le principe du disque usé et des recettes de bruitage qu'il reproduit, assisté d'un magnétophone. Il "bricole" même un piano, sur lequel il joue "bidule en ut", créée avec Pierre HENRY, qu'il évoque. Il insiste sur le pouvoir des techniques qui permettent d'exploiter la résonance des objets, des instruments traditionnels et réalise d'autres expériences avec allumette, clochette, zanzi africain, piano, magnétophone, etc.
Une classe de Guy REIBEL, filmée au conservatoire national de musique de Paris, montre quel jeu sur les sons permet  l'électroacoustique. La démonstration tend vers cette réflexion finale d'inventeur sceptique : "faut-il choisir entre la musique que j'ai faite ou celle que j'aime". L'émission s'achève avec l'interprétation d'une sonate de BACH par Alain MEUNIER au violoncelle et Sophie GEOFFROY DECHAUME, au piano.
Naissance d'un orchestre : 2ème partie
1978
L'orchestre de jeunes de l'Orchestre de Paris déchiffre et répète la symphonie N° 104 dite "de Londres" de Joseph HAYDN sous la direction de Pierre BOULEZ ; interview de Pierre BOULEZ sur la direction d'orchestre, choix de l'œuvre, problèmes posés par la jeunesse des musiciens, le travail des chefs de pupitres, la coordination du jeu des violons, la discipline nécessaire aux musiciens d'orchestre, différence entre les répertoires violons et instruments à vent...répétition des instruments à vent sous direction du chef de pupitre Maurice BOURGUE ; travail des cordes sous la direction du chef de pupitre Claude BARDON
Sonny Rollins
1981
Le saxophoniste Sonny Rollins, qui jusqu'ici avait toujours refusé d'être filmé "hors concert", a accepté l'invitation de l'émission "La leçon de musique". Sonny ROLLINS se plie à la règle de l'émission : salle Wagram, quatre jeunes élèves musiciens suivent avec application les conseils qu'il leur prodigue devant deux caméras: Charles SCHNEIDER, saxophone ténor, Marc THOMAS, saxophone alto, Yves TORCHINSKY, basse et Stéphane GREMAUD à la batterie. Tout au long du film, les élèves se révèlent particulièrement attentifs aux conseils du maître et Sonny ROLLINS étonnement décontracté et souriant, leur fait la leçon et leur explique notamment la technique de respiration continue. Sonny ROLLINS débute sa leçon avec son thème "Little Lu". A plusieurs moments, une interview en off du saxophoniste interrompt le cours, entretien où il évoque son enfance à Harlem, sa découverte du jazz, sa rencontre avec Charlie PARKER et la liberté qu'il a trouvée à travers le jazz.
John LEWIS : l'improvisation
1980
Réalisée dans les locaux désaffectés des usines Citroën, quai de javel à Paris, l'émission propose trois journées avec le pianiste de jazz John LEWIS, sur le thème de l'improvisation.
- Au cours de la première journée. John LEWIS travaille avec Svend ASMUSSEN (violon), et une section rythmique composée de Christian ESCOUDE (guitare), Daniel HUMAIR (batterie) et Michel GAUDRY (contrebasse).
- Le deuxième jour, John LEWIS guide et conseille deux jeunes pianistes, Franck Amsallem et Christophe Soulier, élèves d'une classe de jazz au conservatoire de Nice, qui improvisent à partir d'un thème donné. John LEWIS explique comment il utilise le "tempo" pour les faire travailler avec la batterie (tenue par Eric DERVIEUX) et la contrebasse (tenue par Alby CULLAZ). Il parle des styles d'improvisation des deux jeunes pianistes, très différents, et leur donne sa propre version d'improvisation du thème.
- Pendant la troisième journée, seul au piano, John LEWIS, au centre d'un hangar désaffecté, improvise sur son thème "django".Au cours de cette leçon d'improvisation", en voix off (sous-titrée), John LEWIS parle de ses débuts, de sa carrière.
leçon de musique avec M.
2005
Il s'appelle M comme Mathieu... Matthieu Chedid que le succès n'a pas grisé... Il aime aussi partager sa passion et son savoir... Reportage à Aix-en-Provence
Archives du XXème siècle Henri BUSSER
1972
Henri BUSSER est un compositeur français, né le16 janvier 1872 à Toulouse, qui fut directeur de l'Opéra de Paris et chef d'orchestre à l'Opéra comique, à l'Opéra Garnier. Interviewé par Fréderic ROBERT, c'est aussi un témoin exceptionnel de la vie musicale de son temps, de la 2nde partie du XIXème siècle au début du XXème siècle. De nombreuses photos (compositeurs, professeurs, représentations d'opéras) complètent ses souvenirs et ses propos :
- Il parle de sa "Messe de Noël", de sa rencontre avec César FRANCK, de Charles GOUNOD dont il a été l'élève : anecdotes à son sujet, sa mort ; Jules MASSENET... du Prix de Rome qu'il a eu en 1893 ; de son séjour à la Villa Médicis ; de son ballet, créé à l'Opéra Comique, "La ronde des saisons"- de DEBUSSY : la première de "Pelléas et Mélisande" qui a choqué beaucoup d'auditeurs
- Il parle ensuite d'Anatole FRANCE, d'André MESSAGER et de Gustave CHARPENTIER dont l'opéra "Louise" fut un triomphe et qu'il fut le premier à diriger.
- Erik SATIE : à propos de "trois morceaux en forme de poire" qui l'a fait mettre à la porte de sa classe de conservatoire
- Albéric MAGNARD, fils du Directeur du Figaro ; pour toutes les questions musicales, son père le consultait ; avait une admiration "délirante" pour César FRANCK.
- Evoque Albert ROUSSEL, le pianiste Isaac ALBENIZ qu'il a vu improviser et PUCCINI dont il a dirigé "La vie de bohême"
- Henri BUSSER parle des goûts musicaux de GOUNOD
Lui, Henri BUSSER, a été ébloui par sa découverte de WAGNER à Bayreuth ; a conduit "Parsifal" par cœur ; un jour, il a accepté de remplacer André MESSAGER au pied levé et a conduit sans baguettes, avec ses mains... L'interview est suivi d'un hommage musical à Henri BUSSER.
 
La visite au musicien : William Christie et les Arts florissants
1983
Aujourd'hui le madrigal est remis à l'honneur par William CHRISTIE, musicien d'origine américaine qui a réuni autour de lui un groupe de chanteurs et musiciens "les Arts florissants", spécialisé dans l'interprétation de musique baroque. Ainsi dans le cadre du festival de musique de Besançon, les ARTS FLORISSANTS et le BAROQUE DANCE ENSEMBLE interprètent les madrigaux "le balleto tirsi E clori", "Lamento de la Ninfa" et "le ballo Delle ingrate" de MONTEVERDI. François LESURE fait l'historique du madrigal et le situe dans l'œuvre de MONTEVERDI. William CHRISTIE, chez lui, explique comment adapter et interpréter un madrigal et joue quelques extraits au clavecin. Shirley WYNNE dirige la répétition des danseurs et montre comment elle a adapté, les pas et gestes du XVIIème siècle, à partir des documents de cette période.
  Les Arts florissants Les Arts florissants, groupe de chanteurs et de musiciens réunis par William CHRISTIE répètent des œuvres de Claudio MONTEVERDI: "Gira il nemico", "Lamento della ninfa", "Tirsi et Clori", "Altri canti di Marte".
Interview de William CHRISTIE sur l'origine du nom de son ensemble, les raisons de sa venue en France, le répertoire des Arts Florissants.
Interview de Guillemette LAURENS sur le plaisir d'interpréter MONTEVERDI, sa formation de chanteuse d'opéra et de chanteuse baroque.
En Français dans le texte
Une musique
Visite du musée des instruments anciens du conservatoire de musique de Paris : collections de harpes, violons, violoncelles... Interview du conservateur Georges MIGOT qui présente quelques pièces rares du musée : une sous-basse, une guitare de Paganini et de Berlioz, le piano forte sur lequel Rouget de l'Isle a composé "La Marseillaise", le clavicorde de Beethoven, un clavicorde décoré avec la bataille de Lépante, un clavecin de 1585 au couvercle décoré, la harpe de Marie-Antoinette, la pochette de Lully, des violons Stradivarius et Amati, des serpents (instruments à vent dont se servait le bedeau), des trompes de Chrétien, un petit orgue du XVIème, un luth, des automates.
COUPS DE SOLEIL Promenade baroque Reportage sur l'ensemble musical "les Arts florissants" présenté par son directeur William CHRISTIE.
Extraits d'Actéon de Marc Antoine CHARPENTIER durant un concert donné à l'église de Chelsea à Londres en août 1984.
A Paris, en juillet 1984, répétition de "Médée" de Marc Antoine CHARPENTIER.
Interview d'Agnès MELLON, chanteuse soprano sur l'interprétation de la musique baroque.
Interview de William CHRISTIE sur l'importance de l'instrumentiste.
Interview de Jacques DOUSSELIN, critique musical au "Figaro".
A Mareuil sur Lay (Vendée), novembre 1984, extrait du "Confitebor" puis "Chi vol che mi innamori" et de "Altri canti d'amor" de MONTEVERDI.  A Sainte Hermine (Vendée), répétitions. Interview de Dominique VISSE, haute contre, sur l'homogénéité nécessaire du groupe.
  Le Bourgeois Gentilhomme comme à sa création en 1670 devant Louis XIV La compagnie " Le Poème Harmonique " recrée la pièce de Molière telle qu'en 1670, avec la musique de Lully et les ballets, dans la prononciation de l'époque et à la lueur des chandelles. Après une tournée en France , le spectacle est donné au théâtre du Trianon à Paris.

 
Lully - Versailles 03/10/1987  - On fête à Versailles le tricentenaire de l'anniversaire de la mort de Jean Baptiste LULLY.
  Arts florissants au Prieure de GRAMMONT "les leçons de ténèbres" de François COUPERIN sera interprétée au prieuré de GRAMMONT en Vendée ; répétition et interview de Maryvonne MEYER, printemps des arts - 1990
  Orchestre Auriacombe
1963
Interview sonore de Louis AURIACOMBE, chef d'orchestre de chambre de Toulouse durant les répétitions pour les représentations à venir. Images des répétitions des Quatre saisons de Vivaldi.
 

Relooking pour les pianos Pleyel, la plus ancienne manufacture
2010

200 ans après sa création, Pleyel, la célèbre marque de pianos française a bien failli disparaître. Aujourd'hui, dans ses ateliers de la banlieue parisienne, 25 pianos sont fabriqués par an ; des instruments haut de gamme qui sont pour certains dessinés par de grands designers internationaux, afin de se démarquer des pianos d'usine chinois ou coréens.
Grâce à la musique

Le violoncelle
1982

 

Le fil conducteur de l'émission est la découverte de la fabrication des violoncelles dans l'atelier d'Etienne VATELOT.
Alain MEUNIER évoque l'interprétation du violoncelliste et explique comment jouer de cet instrument. Des images d'archives ponctuent ses explications.
Alain MEUNIER joue la "Sarabande de la Suite n°2 en ré mineur  de Jean-Sébastien BACH.
Etienne VATELOT intervient comme fil conducteur dans l'émission et montre comment est fabriqué un violoncelle dans son atelier, le moule et les éclisses et la table d'harmonie.
Archives : extrait du "concerto en ut mineur RV 401", 1er mouvement de VIVALDI interprété par l'orchestre "I musici"
Interview d'Henri DUTILLEUX qui explique les sons que l'on peut tirer de cet instrument et l'importance des suites de BACH au violoncelle.
- Archives : ROSTROPOVITCH expliquant un morceau de BACH à une très jeune élève en train de jouer au violoncelle.
Extrait de "Grâce à la musique" consacré à J.S. BACH diffusé le 24/11/1979
Portrait représentant BACH. Gravure et leçon avec un adulte Franz ELMERSON avec un orchestre dirigé par ROSTROPOVITCH.
Interview du violoncelliste à propos de la littérature du violoncelle. Il travaille beaucoup pour grossir le répertoire.
- Archives : extrait de "Grâce à la musique" du 24/11/1979. Pablo CASALS rappelant qu'il joue tous les jours BACH; jouant chez lui une étude de BACH; jouant un extrait de la "Suite n°1 en sol majeur" en couleur et un extrait du prélude de la "Suite pour violoncelle" en 1956
- Archives : en octobre 1981. Soirée en hommage à M. ROSTROPOVITCH. Extrait d'Elégie de Gabriel FAURE avec un autre violoncelliste Pierre FOURNIER. ROSTROPOVITCH est au piano.
Extrait de VILLA LOBOS "Bacchianas Brasilianas" avec ROSTROPOVITCH et un orchestre.
- Extrait de Franz SCHUBERT "La Jeune fille et la mort", quatuor à cordes en ré mineur interprété par le quatuor MELOS extrait de "Grâce à la musique du 16/09/1979 consacré à SCHUBERT.
- Archives : Extrait de Johannes BRAHMS "Trio pour piano et cordes" en do majeur opus 101 interprété par Augustin DUMAY et Lynn HARELL au violoncelle et Marielle LABEQUE au piano. Extrait de "Grâce à la musique du 22/11/1980
- Archives : extrait de la "Sonate pour violoncelle et piano opus 59" de Frédéric CHOPIN interprétée par Lynn HARRELL au violoncelle et Katia LABEQUE au piano. Extrait de "Grâce à la musique du 05/01/1980
- Archives : Yo yo MA interprète au violoncelle le prélude de la "Suite en sol majeur" de BACH. Extrait de "Grâce à la musique" du 24/11/1979

Ludwig van Beethoven : 1ère partie

 

Première partie du documentaire consacré à la vie et l'œuvre du compositeur Ludwig van BEETHOVEN.
- Images du "Jugement dernier" de MICHEL ANGE avec extrait de la 5ème de BEETHOVEN en musique off.
- Générique avec gravure représentant BEETHOVEN.
- Extrait off de la "Sonate Pathétique": Jean MASSIN rappelle l'accueil réservé à la sonate pathétique et l'importance du silence dans la musique du compositeur.
- Jean MASSIN lit une lettre du compositeur à une femme. Images de la maison du musicien. Reproduction de cette lettre. I

Ludwig van Beethoven : 2ème partie

 

Deuxième partie du documentaire consacré à la vie et l'œuvre du compositeur Ludwig van BEETHOVEN.
En fil conducteur, Brigitte et Jean MASSIN évoquent conjointement la personnalité de l'homme et du musicien, ses innovations géniales en matière de rythmes et de timbres, son travail de composition où se mêlaient une spontanéité d'invention et une réflexion acharnée parfois de plusieurs années sur quelques fragments musicaux, son écriture pour quatuor, son manuscrit de la sonate Appassionata (banc titre du manuscrit), sa surdité et sa solitude affective, ses rapports avec son neveu Karl, ses amours déçus, la réception de ses dernières œuvres.
- Le pianiste Miguel Angel ESTRELLA situe la personnalité de BEETHOVEN dans un contexte historique et sociologique, qu'il compare à ses années d'emprisonnement en Uruguay.
- Nombreux tableaux et dessins représentant BEETHOVEN. Tableaux de Joséphine VON BRUNSWICK et des autres femmes aimées par le musicien et de la Comtesse Anna Maria ERDODY.- Extrait du premier mouvement de la Symphonie pastorale n°6 opus 68 (off)

Jean Sébastien Bach

 

Portrait du compositeur Jean-Sébastien BACH
- Brigitte MASSIN évoque le parcours de Jean-Sébastien BACH et analyse certaines de ses œuvres. Elle fait le récit de l'enfance du musicien, de son entrée dans la vie d'artiste et parle de certains évènements marquants de sa vie privée (la perte de sa première femme, le mariage avec Anna Magdalena, la vie à Leipzig, les rapports avec les enfants).
- MSTISLAV ROSTROPOVITCH fait répéter une de ses élèves et lui donne des pistes d'interprétation.
- A plusieurs reprises, dans le courant de l'émission, Michel TOURNIER parle de ses rapports à la musique, à l'orgue et évoque BACH et l'art de la fugue.
- Olivier ALAIN estime que la musique aide à vivre et exalte la vitalité. Il parle ensuite de "La petite chronique d'Anna Magdalena Bach".  - Alexis WEISSENBERG pense que tout génie s'ignore. D'après lui, le travail était, pour BACH, la seule façon d'extérioriser ce qu'il avait à dire. C'était un provocateur, sa forme d'expression était révolutionnaire et agressive. Il évoque aussi les relations entre BACH et le Jazz. - Eric LIPMANN évoque la façon dont on entendait la musique de BACH à son époque.
- A l'issue de son interprétation Yo Yo MA  met l'accent sur le rythme de cette musique
- ARCHIVES : - Sur une place, environné par les pigeons puis en intérieur, Jean Pierre RAMPAL, accompagné par I MUSICI, joue, à la flûte, un extrait de la "2ème suite en si mineur BWV 1067"
- Claude SAMUEL évoque les musiciens qu'il aime et rapporte une anecdote à propos de Pablo CASALS et des "Six suites pour violoncelle" de Jean Sébastien BACH. Il parle ensuite de Glenn GOULD et de ses interprétations de BACH.
ARCHIVES : Glenn GOULD joue un extrait de la "Partita n° 3" ("Glenn Gould", collection "Les chemins de la musique", notice CPF86621053, réal. Bruno MONSAINGEON).
- Pablo CASALS (document d'archives de 1956) joue le "Prélude" de la "Suite n° 1 pour violoncelle" de J.S. BACH.
- ARCHIVES : Herman SCHERCHENN dirige les répétitions de "L'art de la fugue"

Robert Schumann

 

Première émission de la série "Grâce à la musique", proposée par François REICHENBACH consacrée au compositeur Robert SCHUMANN. Sur le plateau, François REICHENBACH et Paul GIANNOLI, entourés du violoncelliste Frédéric LODEON et du musicologue Eric LIPMANN, évoquent la personnalité et la vie du musicien. De nombreux inserts (interprétations, reconstitutions historiques, interviews) complètent le portrait du compositeur
- Interview d'Arthur RUBINSTEIN sur deux œuvres de SCHUMANN: le lied "Mondnacht" et le quintette pour piano, qu'il écoute en même temps, en particulier la marche funèbre, "la chose la plus triste qui soit", tragique, immense".
L'interview est entrecoupée d'extraits interprétés par L'ensemble Jean-Pierre WALLEZ (WALLEZ, Gabriel TACCHINO, Frédéric LODEON, Christian CRENNE, Bruno PASQUIER) qui joue des extraits du quintette pour piano de Robert SCHUMANN.
- Frédéric LODEON évoque les parents du musicien, son père libraire, la carrière qu'il aurait pu suivre et la passion qui l'a habité.
Archives : Portrait de R. SCHUMANN; Tableaux de l'époque romantique de Caspar David FRIEDRICH  dont Le voyageur contemplant une mer de nuages

Franz Schubert ou le voyageur immobile

 

Portrait du compositeur autrichien Franz SCHUBERT à travers le regard de Brigitte MASSIN, Frédéric LODEON, Noël LEE, Augustin DUMAY et Raphaël OLEG.
Des Interviews, des extraits d'œuvres de SCHUBERT, des images de paysages illustrant la couleur musicale de certains morceaux ainsi que de nombreuses gravures émaillent cette découverte de l'œuvre du compositeur.
- Interviewée en plateau et dans un intérieur, Brigitte MASSIN évoque le parcours, le caractère, la vie et la mort de Franz SCHUBERT, compositeur autrichien qui a passé sa vie à Vienne. Elle intervient à plusieurs reprises pour présenter les œuvres interprétées et les moments de la vie du compositeur auxquels elles correspondent.
- Archives : extrait du "Quintette avec deux violoncelles" analysé par Arthur RUBINSTEIN qui pense que le second mouvement est une entrée dans la mort avec sérénité. Il ajoute "qu'on entre dans l'éternité, on ne sait pas si on va se réveiller mais ça n'a pas d'importance".
Archives : Arthur RUBINSTEIN jouant, au piano, des extraits de la dernière sonate de SCHUBERT.

Antonio Vivaldi un peintre de la musique

 

Afin de mieux faire comprendre combien la musique du compositeur vénitien, Antonio VIVALDI, fut imprégnée de l'atmosphère qui régnait alors dans la ville, François REICHENBACH a promené sa caméra-regard dans la Venise d'aujourd'hui et d'hier.
Claudio SCIMONE, un des spécialistes de VIVALDI, décrit en effet, sa musique comme typique de l'art baroque : simplicité du langage et amour de l'ornement, à laquelle s'ajoute l'extravagance propre à Venise. C'est pourquoi la caméra s'attarde sur certains détails architecturaux des monuments de la ville, suit à travers les canaux les personnages d'un carnaval du XVIIIème siècle et souligne, par des bancs-titres de tableaux tout au long de l'émission, la similitude d'expression du baroque dans l'art musical de VIVALDI et dans l'art pictural de l'époque, c'est à dire les contrastes.
Claudio SCIMONE évoque la carrière de VIVALDI, la précision de son écriture, sa rapidité de création (un opéra en 5 jours), sa passion pour le chant que l'on retrouve dans tous les concerti dont le thème central est un air de chant ou d'opéra.
On connaît très peu de choses de l'homme VIVALDI sauf par deux portraits qu'en a dressés GOLDONI. Sa musique présente des richesses de couleurs différentes. La couleur était partout comme dans la peinture de TIEPOLO, de VERONESE, de CANALETTO ; vivre dans Venise, c'est vivre dans l'art, dans l'architecture et dans la peinture.
La particularité de VIVALDI est le grand contraste entre la simplicité du langage et l'ornementation qui est propre au baroque. Il a innové en inventant le grand adagio lyrique. Selon Claudio SCIMONE, ce qui caractérise VIVALDI est 'l'estro armonico" ou la fantaisie déchaînée et la "Stravaganza" ou l'extravagance qui sont les titres de ses premiers recueils de musique instrumentale et sont comme une sorte de manifeste. Il explique l'importance de VIVALDI dans l'art de BACH, (BACH ayant transcrit les œuvres de VIVALDI, en a pris l'art de "parler en musique").
Claudio SCIMONE explique également sa conception de la manière d'interpréter aujourd'hui la musique de VIVALDI, conception fidèle à celle du compositeur : l'interprète bien imprégné de l'esprit de VIVALDI doit considérer et jouer sa musique comme une musique d'aujourd'hui.

Frédéric Chopin ou l'âme polonaise

 

François REICHENBACH et Bernard GAVOTY proposent un portrait de Frédéric CHOPIN assez proche de l'image léguée par les romantiques : Polonais, génial, malade et malheureux en amour.
L'émission débute par la prestation du patineur Toller CRANSTON sur le Concerto en fa mineur de CHOPIN, interprété par Bruno RIGUTTO et l'association des concerts PASDELOUP dirigé par Gérard DEVOS. Après un bref reportage de François REICHENBACH sur la Pologne, ses paysages, ses pratiques (une chorale de jeunes femmes chante un chant populaire :"L'oiseau a survolé le bois d'aubier..."), Krystyna ORCHOWSKA (Ministère de la culture à Varsovie) parle avec émotion et en français, de ce que représente CHOPIN pour les Polonais. Ses propos sont illustrés par une carte de la Pologne avec des personnages, des musiciens, des tableaux, un groupe folklorique dansant une danse traditionnelle. Elle se souvient des insurrections de Varsovie et de l'importance de la musique de CHOPIN, qu'il était interdit de jouer, dans ces moments tragiques en août 1944
Extrait off de la "Marche funèbre" extraite de la "2ème sonate" de CHOPIN interprétée par Miguel Angel ESTRELLA (photo du musicien).
Eric LIPMAN interroge Iannis XENAKIS à propos de ce pianiste argentin emprisonné par le gouvernement uruguayen à Montevidéo sur l'accusation d'avoir eu des contacts avec des personnes subversives. Il lit ensuite une lettre envoyée par Miguel Angel ESTRELLA à Nadia BOULANGER.
Bernard GAVOTY parle de CHOPIN, de ses liens avec la France, de son caractère, de sa vie. Ce portrait est entrecoupé d'interprétations au piano, de compositions de CHOPIN et de tableaux, d'une photographie de NADAR représentant le musicien. Il commente aussi les morceaux joués par Erik BERCHOT. Il explique la façon dont fut composée la "Sonate funèbre" et parle des séjours de CHOPIN à Nohant avant de raconter une anecdote sur la seule exécution publique de la "Sonate funèbre" par CHOPIN lors d'une tournée en Angleterre et en Ecosse. Katia LABEQUE rappelle que CHOPIN, qu'elle qualifie de seigneur, était un compositeur-interprète qui improvisait très facilement. Gonzague SAINT BRIS décrit l'arrivée de CHOPIN à Paris où le choléra sévissait. Archives : Samson FRANCOIS joue, au piano, le "Prélude de la goutte d'eau n°15 opus 28".

Mozart

 

Brigitte MASSIN, Jean MASSIN et André TUBEUF évoquent l'enfance de MOZART, ses voyages à l'étranger, les difficultés rencontrées à Salzbourg, son mariage avec Constance WEBER, le monde de la fin du XVIIIème siècle, le rôle de la franc maçonnerie, les conceptions philosophiques de MOZART, ce que "Don Juan" représenta pour lui, l'oubli la misère et la maladie qui marquèrent la fin de sa vie.
Brigitte MASSIN évoque l'importance des voyages dans l'enfance du musicien et la joie procurée par ces déplacements à travers toute l'Europe.
Nombreux tableaux de MOZART : portrait du musicien enfant, en habit d'apparat, en jeune adulte en Italie, de son retour de voyage en France. Ces tableaux sont commentés par la musicologue.
Autre tableau avec musique off de MOZART (extrait de la Sonate en mi bémol majeur K 282 interprété au piano par Stephen BISHOP-KOVACEVICH.
- Jean TUBEUF parle du sens de la nouveauté, de la surprise chez MOZART; il lui arrive constamment quelque chose de nouveau de jeune le jaillissement toujours nouveau, la sensibilité toujours juste.
- Images de forêts avec commentaire off de Brigitte MASSIN; elle explique que MOZART explose hors de Salzbourg. Nombreux tableaux et photos et gravures de villes, de diligences et de villes d'Europe visitées avec un extrait du "Divertimento en ré majeur" K 136,1er mouvement par l'orchestre de chambre Jean-François PAILLARD.
Il haïssait l'archevêque de Salzbourg jusqu'à la frénésie. MOZART ajoutait que "quand il jouait à Salzbourg c'était comme s'il jouait pour des tables et des chaises" - Brigitte MASSIN a constaté que dès qu'il a mis le pied à Vienne MOZART pense à la rupture et réclame son indépendance et "on finit par le mettre à la porte avec un coup de pied au cul". Il écrit alors à son père "Aujourd'hui commence mon bonheur". Gravure de Aloysia WEBER et tableau de Constance WEBER. Il épouse Constance WEBER.
A Vienne, tout semble réussir à MOZART : Extrait de la "Sonate n° 10 en do majeur K 330", 1er mouvement interprété par Zoltan KOKSIS
- Jean MASSIN évoque l'environnement politique et la franc-maçonnerie au XVIIIème siècle. Le monde est alors cloisonné et les mondes étanches. Images de sculptures et de tableaux avec symbole franc-maçons. Il ajoute qu'un miracle s'opère dès que le compositeur utilise la clarinette.
- MOZART connaît le succès, devient puissant, créée ses propres académies. Puis ce sont les grands opéras.
- Maurice BEJART évoque pour lui le comble de la facilité dans le comble de la difficulté.
- Jean MASSIN a découvert dans Don Juan le refus de la morale, le refus de la fidélité, le refus des respect, des honneurs, des obligations de la société.
- Brigitte MASSIN rappelle que MOZART tombe dans l'oubli et s'éloigne du centre de la ville, fait appel à ses amis franc-maçons. Il est dans la misère et il va encore écrire la "Flûte enchantée"- Images de nuages et de forêts avec musique de MOZART- Extrait off du Requiem de MOZART en fin d'émission.

Johannes Brahms un vagabond sans adresse

 

Afin de mieux faire comprendre la musique du compositeur Johannes BRAHMS, François REICHENBACH présente ce portrait du musicien avec François-René DUCHABLE. De nombreuses photos du compositeur, des tableaux et des images qui sont des portraits du musiciens émaillent ce document.
- André TUBEUF explique comment aborder BRAHMS. C'est la rencontre d'un ton de voix et d'un timbre. Selon lui BRAHMS est une grande présence. Il a un peu commencé comme RIMBAUD dans la rupture. Il a commencé par des sonates et à s'affronter à l'impossible. Il évoque l'influence des violonistes comme JOACHIM dans la vie du compositeur notamment dans la musique de chambre.
- Brigitte MASSIN évoque les rencontres importantes de BRAHMS dans sa jeunesse. Il a d'abord été une jeune compositeur prodige et salué par Robert SCHUMANN. Il a gardé l'ardeur du jeune homme. Il a beaucoup composé dans la nature, ce qui était important dans la nature populaire et vocale de sa musique. Elle aborde aussi l'âme de sa musique, le plaisir de la mélodie, l'ambivalence entre un mélancolie et en même temps le plaisir de la mélodie.

Maurice Ravel un homme digne de sa musique
1980

Bernard GAVOTY, André TUBEUF, Manuel ROSENTHAL, Marguerite LONG, Arthur RUBINSTEIN, Serge LIFAR parlent du caractère dE Maurice RAVEL et analysent certaines de ses œuvres. Des tableaux, des photos et des gravures émaillent cette émission
. Bernard GAVOTY et André TUBEUF décrivent le caractère et la personne de RAVEL, très petit mais très élégant, un grand bourgeois, un dandy qui avait l'amour du faux et était obsédé par la mort. André TUBEUF parle de "La Valse" et de la guerre de 1914 qui annonce la fin d'un monde, la fin de la valse. Il pense que RAVEL a refusé les autres sensualités pour concentrer sa sensualité sur la musique. C'était un touche à tout de génie qui a voulu s'essayer à chaque genre, une seule fois.
Manuel ROSENTHAL explique que la maison du compositeur était à sa taille, les pièces en étaient minuscules (différents plans de la maison de RAVEL à Montfort l'Amaury). En fin d'émission, il affirme que RAVEL n'a jamais menti ni dans son art ni à un ami et, qu'avec beaucoup de courage et de générosité, il a aidé de nombreux musiciens. Il évoque son agonie et ses derniers instants. Il parle aussi du regard et du visage de STRAVINSKY écoutant Manuel ROSENTHAL diriger "L'enfant et les sortilèges" le jour de la mort de RAVEL
Archives :
Extraits de "Marguerite LONG et nous", émission réalisée par Robert CRIBLE, produite par Claude SANTELLI et diffusée le 6 mai 1966. Photo de Marguerite LONG.
Extraits de "L'homme et sa musique : Maurice RAVEL", émission réalisée par Claude SANTELLI, produite par Pierre VOZLINSKY et diffusée le 18/04/1978
Arthur RUBINSTEIN raconte sa rencontre avec RAVEL. Il évoque "Daphnis et Chloé" et la grande tournée de DIAGHILEV ainsi que le "Concerto" joué par Marguerite LONG. Il explique ensuite comment est né le "Boléro", commandé par Ida RUBINSTEIN et la façon dont le compositeur a critiqué la conduite, selon lui trop rapide, de TOSCANINI. Il esquisse quelques mouvements de danse sur la musique du "Boléro" avec des décors de Jean COCTEAU en arrière plan, puis un autoportrait de COCTEAU
Serge LIFAR, interviewé par François REICHENBACH, affirme que "Ravel est un méditerranéen. Il se souvient de "Daphnis et Chloé" et parle de 2 des parties du ballet : "le lever du jour" et "la bacchanale". Sur des plans de paysages des Etats-Unis, François REICHENBACH lit des textes de Maurice RAVEL racontant ses impressions américaines.
Archives : obsèques de Maurice RAVEL et coupure de presse annonçant son décès avec une photo du compositeur.

Franz Liszt apôtre de la musique vivante
1981

Evocation de la vie et de l'œuvre de Franz LISZT présentée par André TUBEUF. Il a été l'homme d'un seul amour, son piano et d'une seule aventure, la musique. De nombreux extraits émaillent le portrait de ce musicien.
- Bernard GAVOTY explique les points de rencontre avec DEBUSSY (gravures représentant Franz LISZT). Il a dessiné la musique du XXème siècle.
- Brigitte MASSIN explique qu'il a repris des rythmes populaires; (gravures et tableaux avec des musiciens) et  lit un texte de Franz LISTZ
- Michel SOGNY est dans l'appartement qui était occupé par Franz LISZT avec des photos et montre un autographe du musicien avec partition. Portrait du musicien et de PAGANINI (tableaux). Franz LISZT a écouté PAGANINI à 21 ans. Il va travailler comme un forcené et va être adulé par les foules du monde entier. Gravure NB de LISZT. Il va bouleverser la façon de jouer au concert. Avant lui les instrumentistes jouaient un quart d'heure. A partir de LISZT, un instrumentiste peut jouer deux heures au cours d'un récital - Gravure NB de LISZT. Selon Michel SOGNY, il avait du génie, de la générosité malgré les mesquineries qu'on a pu lui faire. Cet artiste va devenir un surhomme. Avec son seul piano il va égaler la puissance orchestrale, reproduire la nature toute entière.
- Brigitte MASSIN souligne le fait que le piano est lié pour LISZT aux souvenirs de sa jeunesse. Il a une conception de l'atonalité. François-René DUCHABLE ressent quand il joue les "Transcriptions" le plaisir de se "prendre pour un orchestre". Il fera connaître les œuvres de BERLIOZ. Il connaîtra SCHUMANN. Il inscrira CHOPIN à ses concerts. Quand il connaîtra WAGNER, ce sera "la folie"
- François-Joël THIOLLIER évoque la sonate de Franz LISZT. André TUBEUF pense que dans cette sonate il y a toutes les musiques.
Le 2 avril 1865, LISZT reçoit les ordres mineurs
- André TUBEUF explique comment LISZT a programmé sa propre mort. Images de paysages de nuit vue du train. Il avait voulu aller voir Tristan et il est mort après le spectacle. Extrait off de Tristan de WAGNER. Photo de LISZT sur son lit

Bela Bartok
1981

La vie et l'œuvre de BARTOK sont analysées par les musicologues André TUBEUF et Brigitte MASSIN.
Des interprétations , des images de la campagne hongroise ou il est né, de Budapest qu'il a quitté avant la guerre, de New York ou il a vécu ainsi que des photos du compositeurs sa vie illustrent ce documentaire. Brigitte MASSIN et André TUBEUF situent son œuvre, influencée par la musique populaire traditionnelle Hongroise et son engagement politique et artistique
- Photo couleur de Bela BARTOK. Images de New-York avec musique off de Bela BARTOK. Images d'un paysanne dans la campagne et images de deux hommes dont l'un chante une chanson traditionnelle.
- Images de campagne avec chants traditionnels off.
- Brigitte MASSIN rappelle que Bela BARTOK voulait vivre auprès des paysans pour retrouver la ligne mélodique pure des Hongrois, des Roumains, Slovaques, des Yougoslaves.
- Famille hongroise qui montre des instruments traditionnels. Photos de Bela BARTOK écoutant un phonographe. Il a récolté des milliers de mélodies. Homme chantant un air traditionnel.
- Brigitte MASSIN évoque les quatuors à cordes et les emprunts aux musique populaires comme par exemple l'utilisation des cordes comme des instruments à percussion.
- André TUBEUF pense qu'il avait une sensibilité exceptionnelle aux bruits de la nature. - Images de rivières, de fleuves. Brigitte MASSIN parle de la suite qui vient d'être jouée
- Michel BEROFF pense que sa musique annonce STOKHAUSEN et BOULEZ.
- André TUBEUF rappelle qu'il écoutait les vieux paysans pour recueillir sur les cylindres et les disques le son de leur voix et qu'il était comme un aède qui réutilisait les chants écoutés la veille.
Selon brigitte MASSIN, il ne reproduit pas, il invente. Quand on écoute le 5ème quatuor, le mouvement lent il y a des glissandos et une manière de frapper avec les archets: extrait du "5ème quatuor", 4ème mouvement andante interprété par le Melos quartet
Selon André TUBEUF, il a senti les choses qui se passent aujourd'hui et les jouer comme il les sent. C'est un révolté.
Brigitte MASSIN ajoute qu'il a exploité de nouveaux modes avec des notions de rythmes de figures rythmiques et d'une nouvelle manière du sens des timbres.
- Henri SAUGUET parle de "Petrouchka"- Brigitte MASSIN évoque son enfance souffreteuse. - Nombreuses archives de la guerre de 1914-1918, scènes de combats, Photo du musicien et de sa tombe

Igor Stravinsky
1981

Ce documentaire retrace la vie du compositeur Igor STRAVINSKY. Les témoignages de son fils Théodore, de Georges AURIC et de Pierre BOULEZ nous permettent de mieux comprendre la personnalité et le travail de création du musicien. De nombreuses archives, photos et tableaux émaillent ce document.
- Archives : Extraits d'Igor STRAVINSKY dirigeant un orchestre au cours d'une répétition "Apollon musagete"
Interviews : musiques off de STRAVINSKY au cours des interviews
- Interview de Théodore STRAVINSKY, fils de Igor, à propos de la personnalité de son père. Il raconte les vacances d'été avec son père et les lectures de GIDE et de FLAUBERT
- Interview de Henri SAUGUET concernant l'entourage de STRAVINSKY.
- Interview d'Alexandre TANSMAN qui évoque la personnalité du compositeur
- Archives : interviews d'Igor STRAVINSKY à propos de la composition et de la patience nécessaire pour composer.
- Interview de Pierre BOULEZ qui rappelle qu'il a produit ses œuvres les plus importantes entre 30 et 35 ans. Il avait une virtuosité de l'écriture.
- Photo NB de Serge DIAGHILEV - Photo NB de NIJINSKY et KARSAVINA. Tableau de CHAGALL rideau de scène. Costume de Bakst -  Photo NB d'Igor SRAVINSKY
- Archives : interview de STRAVINSKY. Extrait de "Threni est lamentationes Jeremiae prophetae". Caricature NB.
- Archives : Interview d'Arthur RUBINSTEIN à propos des "Psaumes" qui étaient une musique admirable. Il était très attaché à DIAGHILEV. Caricatures et photo NB
- Images de fêtes foraines avec extrait de "Circus Polka" composé en 1942. Tableaux de PICASSO et des contemporains de PICASSO dont BRAQUE
 - Interview de Pierre BOULEZ qui évoque le son du violon de STRAVINSKY.
- Caricature représentant STRAVINSKY- Selon Alexandre TANSMAN il était d'une grande intériorité et d'une culture très vaste.
Selon Pierre BOULEZ, c'était un artisan. Photo NB du compositeur.- André TUBEUF parle du "Soldat rose" dont on voit l'affiche. Il avait une adaptabilité extraordinaire.
- Henri SAUGUET parle du "Sacre". - Avec les "Noces" et "l'Histoire du soldat" la percussion prend de l'essor. Il connaît alors le jazz. C'est ce qu'explique Pierre BOULEZ.
- Archives NB : interview d'Igor STRAVINSKY à propos de ses influences musicales avec photos
- Georges AURIC évoque la rencontre avec COCTEAU qui habitait Villefranche dans le midi. STRAVINSKY habitait à Nice. Le texte d'"Oedipus Rex" était de COCTEAU et la musique de STRAVINSKY. Extrait off de l'œuvre lue et musique et chant avec une photo NB (1926) des deux hommes. Archives : Igor STRAVINSKY parlant de cette rencontre - Théodore STRAVINSKY et Georges AURIC racontent l'histoire de cette œuvre. Autoportrait de Cocteau - STRAVINSKY jouant du piano.
Archives  : "Introitus T.S. ELIOT in memoriam" 1965 extrait.
Extrait du "Portrait d'Igor STRAVINSKY", un film de Richard LEACOCK, scène de répétition.
Archives : "Variations" 1963. Photos couleur du compositeur devant son piano
 

Concerto pour 3 pianos de Mozart

Extrait du concerto N° 7 en Fa , le seul concerto de Mozart pour trois pianos, interprété par Herbert Von KARAJAN, Christoph ESCHENBACH, Justus FRANTZ et l'Orchestre de Paris que dirige Herbert Von Karajan.
 

Musique panaméricaine
1958

 

Documentaire regroupant l'interprétation d'extraits d'œuvres musicales de compositeurs contemporains chiliens, mexicains, argentins, vénézuéliens, cubains à l'occasion du premier festival panaméricain de musique contemporaine, à Washington.
L' "Invocation pour la défense de la patrie" de VILLA-LOBOS, le "quatuor n°1" d' O. SALAS, le "Concerto pour piano et orchestre" de Roberto CAMANO, "Concerto pour orchestre" d'Antonio ESTEBEZ, "Quatuor, extrait du 4ème mouvement" de DE LA VEGA , "Symphonie n°2" de B. GALINDO, et le "Quatuor n°2, extrait du mouvement furioso" d'A. GINASTERA permettent de découvrir les grandes créations musicales américaines. Film produit par USIS (United States Information Service)
Comme il vous plaira MANITAS DE PLATA - 1970 MANITAS DE PLATA joue un flamenco à la guitare. 1970
MANITAS DE PLATA : improvisations
1970
MANITAS DE PLATA improvise, à la guitare, au gré des demandes de Denise GLASER. Ainsi il tente d'évoquer la mer, une grande plage de sable en Camargue, le ciel avec les flamands roses, La Sainte patronne des gitans, Sara la Noire, l'amitié, les fans et l'amour. 1970
Emission "toute la musique qu'ils aiment" 2002

Triple concerto pour violon, violoncelle et piano, 2ème mouvement

Maria Joao PIRES au piano, Augustin DUMAY au violon et Jian WANG au violoncelle interprète le 2ème mouvement du triple concerto pour violon, violoncelle et piano de Beethoven, accompagnés par l'Orchestre national de Lille sous la direction de Jean Claude CASADESUS.
Musiques au cœur

Pierre Boulez et la création de Répons

Interview de Pierre BOULEZ, qui pense qu'une œuvre de création doit frapper le public. La notion de scandale dépend du public ; une œuvre peut ne pas correspondre au public auquel elle s'adresse. Il explique au journaliste Alain DUAULT le choix du titre de son œuvre "Répons", dialogue entre un solitaire (célébrant) et un collectif. Dans cette œuvre, il y a six solistes et un ensemble de 24 musiciens. L'œuvre est faite comme une série de miroirs. Images de la répétition de "Répons" par l'ensemble intercontemporain à l'IRCAM.
Emission "Du côté de chez Fred" Groupe des Six
1990
Frédéric MITTERRAND ouvre cette émission consacrée au Groupe des Six par une longue citation du "Coq et l'Arlequin" de Jean Cocteau puis il présente ses invités : Madeleine MILHAUD, Manuel ROSENTHAL, compositeur, élève de Ravel, Irène JOCHIM, ancienne actrice à l'Opéra Comique, Pascale HONEGGER, fille du compositeur, Jean ROY, biographe, et Ornella VOLTA.
- Ils racontent la constitution du groupe autour de Cocteau, l'importance essentielle de l'amitié dans leurs rapports, le rôle moteur de Darius Milhaud de retour du Brésil en 1918.
 - Ils parlent de leur place dans la musique contemporaine et de leurs relations avec leur époque, une après-guerre où triomphaient la jeunesse, l'humour, la joie de vivre. Ils décrivent le rôle de Satie auprès des jeunes artistes et insistent à nouveau sur le sens de l'amitié qui les liait plus sûrement que les affinités stylistiques.
- Ils évoquent les œuvres de Louis Durey, Georges Auric, Germaine Tailleferre, les collaborations croisées entre Fernand Léger, Arthur Honegger et Darius Milhaud, les deux pièces maîtresses du groupe, le travail de Francis Poulenc. Ils citent également les autres artistes proches : Jean Wiener, Henri Sauguet... et parlent plus généralement de leur incroyable productivité.
- Ils consacrent la dernière partie de l'émission à tenter de caractériser leur travail et son évolution en le replaçant dans le contexte social et artistique de leur époque et en prenant en compte leurs personnalités respectives. Ils terminent en parlant de la critique d'hier et d'aujourd'hui.
- Lila SPIEGEL propose ensuite enregistrements, livres et expositions.
- Débat illustré par des photos et des documents d'archives : Extrait d'Entracte d'Erik Satie, extrait d'un portrait de Darius Milhaud par Hans Richter, une remise de décoration à Georges Auric, images de Francis Poulenc, images de Georges Auric au piano.
L'art et les hommes Le groupe des six et la rue Huyghens
1964
Jean Marie DROT présente cette émission consacrée aux musiciens et compositeurs du groupe des Six (Germaine TAILLEFERRE, Georges AURIC, Louis DUREY, Arthur HONEGGER, Darius MILHAUD, Francis POULENC). Le musicien Jean WIENER, Darius MILHAUD, Germaine TAILLEFERRE, Francis POULENC évoquent leur amitié. Le groupe des SIX était un groupe d'amitié et pas un groupe artistique.
Jean COCTEAU l'écrivain ami se souvient, tout comme Pierre BERTIN de la rue Huyghens où le tout Paris se précipitait pour les concerts. La musique est au centre de tous les témoignages, comme celui de Virgil THOMSON, le musicien américain et de Georges AURIC qui racontent aussi des anecdotes sur Erik SATIE.
Jean Marie DROT raconte que quatre semaines après le tournage de l'émission Francis POULENC mourait. Jacques FEVRIER dans la maison de Francis POULENC parle de moments où Francis POULENC composait à côté de lui puis interprète au piano l'Andante du concerto Champêtre.
Les heures chaudes de Montparnasse

Le groupe des six et la rue Huyghens
1995

Jean Marie DROT présente l'émission consacrée aux compositeurs du Groupe des Six (Germaine TAILLEFERRE, Georges AURIC, Louis DUREY, Arthur HONEGGER, Darius MILHAUD, Francis POULENC) qui, à l'époque de sa création, annonce le renouveau de la musique française. C'est rue Huygens dans l'atelier d'un peintre que ces jeunes musiciens se retrouvaient pour jouer leurs œuvres. Aux témoignages filmés en 1963-1964 ont été rajoutés des documents ou des prises de vue plus récentes.
Ornella VOLTA, présidente de la Fondation Erik SATIE présente quelques documents. Jean WIENER, Darius MILHAUD, Germaine TAILLEFERRE, Francis POULENC témoignent que c'est l'amitié plus qu'une esthétique commune qui unissait le groupe.
Jean COCTEAU se souvient lui aussi de cette période d'amitié et de jeunesse. Pierre BERTIN, Virgil THOMSON, Germaine TAILLEFERRE, Georges AURIC racontent quelques anecdotes sur Erik SATIE. Quelques semaines après le tournage en 1963 Francis POULENC mourait... Jean Marie DROT a choisi de lui rendre hommage dans sa demeure du Val de Loire. Jacques FEVRIER parle de l'importance du compositeur et interprète l'andante du Concerto Champêtre.
Jean COCTEAU et APOLLINAIRE en 1914
1963
Jean COCTEAU décrit la vie à Paris pendant la guerre de 14-18, la fréquentation de Guillaume APOLLINAIRE.
Jean COCTEAU raconte une anecdote sur l'utilité du "pansement héroïque" d'APOLLINAIRE lors de la première de Parade. Sa rencontre avec PICASSO, les peintres de l'époque.
Un livre, un jour

Philippe Manœuvre : Rock'n'roll, la discothèque rock idéale
2005

 

A l'occasion de la sortie de son dernier ouvrage, "Rock'n roll : la discothèque idéale", Olivier BARROT reçoit Philippe MANŒUVRE au Centre Pompidou. Ce dernier exprime son goût pour le rock'n roll et en brosse brièvement le portrait; citant les grands noms du genre (Elvis PRESLEY, Bob MARLEY, Serge GAINSBOURG etc...) il retrace quelques grandes étapes de ce genre musical.
- De nombreuses pochettes d'albums de musique illustrent les propos du critique musical (Elvis PREYSLEY, DOORS, SEX PISTOLS, Nirvana, The Libertines, Mickael JACKSON, Pink FLOYD, Red Hot Chili Pepper, Alice COOPER, les Beatles, les Rolling Stones, Led Zeppelin, Cheap Thrills, David BOWIE et d'autres pochettes d'artistes non reconnus).
- Durant l'interview, les deux personnes sillonnent les salles d'expositions; en arrière plan apparaissent brièvement des œuvres d'Andy WARHOL, Yves KLEIN, Alberto GIACOMETTI, Francis BACON,...
  Elucubrations sur 1966 : l'année des cheveux longs et de la mini jupe

- Divers plans de rétrospective de l'année 1966 avec quelques plans de tournage insérés par endroits - 66112 : Unisex, jeunes gens à cheveux longs - PM et GP d'un homme répondant à un interview au sujet de "l'importation des cheveux longs'' - 66113 : ANTOINE - 64024 Coiffures "BEATLES" - 66169 WILSON dans la caverne des BEATLES - 662086 Violence à AMSTERDAM (provos) - 66085 Mode courte - Bas ERGEE - (mini jupe) - 662107 Danse "GATAWAY" - 66196 Athlétisme à BUDAPEST - 66253 Natation à MEXICO : Christine CARON, Claude MANDONNAUD, Alain MOSCONI - 66257 Décoration de sportifs à l'ELYSEE - 66218 Champions de ski reçus à MATIGNON - 66228 Fiançailles de la Princesse MARGRETH de DANEMARK et du Comte HENRI de MONPEZAT, à Copenhague - 66182 Mireille MATHIEU - 66058 Mariage en Hollande de la Princesse BEATRIX et CLAUS VON AMSBERG - 66161 ADAMO - 66135 Kermesse des célibataires à ESPARROS - 66059 Bain diplomatique à PALOMARES - GP d'un homme (Claude BECOGNEE) dans sa baignoire, cherchant à rattraper sa savonnette - PM d'un rémouleur travaillant dans sa camionnette - GP du rémouleur, parlant - GP des mains du rémouleur affûtant des ciseaux sur une meule - 3 GP de mains, armées de ciseaux, coupant des rubans d'inauguration - 66280 : Inauguration de l'usine marémotrice de la RANCE par DE GAULLE - 66248 : POMPIDOU à l'usine atomique de PIERRELATTE - 66183 et issue 497 GRENOBLE, cité olympique TOULOUSE, Faculté des Sciences - 66298 Remise du Prix NOBEL de Physique au Pr KASTLER - 66219 MUSLIMOV : 160 ans - 66012 Monsieur SHASTRI au Pacte de TACHKENT - 66018 Mort de Monsieur SHASTRI - 66021 Election d'INDIRA GANDHI - 66065 Troubles en INDE - 66247 et 252 Catastrophe d'ABERFAN et obsèques des victimes - 66256 Inondations en ITALIE - 66214 Guerre au VIETNAM : attaque de GIO-BINH - 66120 Général KY - Manifestation bouddhiste avec bagarres à DA NANG - 63316 Suicide d'un bonze, par le feu - 66071 Rencontre du Pape PAUL VI et de l'Archevêque de CANTERBURY - 66224 Monseigneur PIGNEDOLI, envoyé spécial de PAUL VI au VIETNAM - 66199 Voyage DE GAULLE au CAMBODGE - 66201 Voyage DE GAULLE à Tahiti - 662120 Mode mini-jupe - 665494 64333 : Défilé sur la Place de la Paix Céleste - Entretiens GROMYKO JOHNSON - 66290 : Election du nouveau chancelier allemand Monsieur KIESINGER - 66077: Monsieur WILSON, élu premier ministre anglais - 66291 : Rencontre WILSON-SMITH à bord du TIGER (affaire rhodésienne) - 66281: FRANCO au CORTES - 66148 : Voyage DE GAULLE en URSS - 66101 et 66121 : Monsieur COUVE DE MURVILLE à Bucarest et Varsovie - 66297 : Voyage en FRANCE de Monsieur KOSSYGUINE - 665494 : MAO TSE TOUNG et gardes rouges - Femme se promenant en mini-jupe - 66080 : Copocléphilie (collectionneurs de porte-clés) - 66014 : Op-art - 66038 Exposition de Bernard BUFFET - Plusieurs plans de robes ultra mini-jupe - 66046 : Prototype de l'aérotrain - 66022 : Pile à combustible - 66047 : Lancement satellite français "DIAPASON" par la fusée DIAMANT - 66278 : Essais fusée européenne "EUROPA", à WOOMERA - 66064 GEMINI VIII s'emboîtant dans cible AGENA, au cours d'un vol spatial - 66277 : ALDRIN, mécanicien du Cosmos - 66167 : Répétition des cosmonautes dans le véhicule APOLLO - 66283 : Photos de la lune transmises par LUNAR ORBITER II - 66051 : 12 hommes sur un vélo - 66295 : Les hommes fusées

Lunettes noires pour nuits blanches

Compil : rock and roll

 

Reportage consacré au rock and roll : Buddy Holly chante "That'll be the day", Chuck BERRY chante "Johnny B Goode", Carl PERKINS chante "Blue suede shoes", Eddie COCHRAN chante "Teenage heaven", Elvis PRESLEY chante "Hound dog" et Bill HALLEY chante "Rock around the clock"
Commentaires off sur un montage de documents d'archives Music Films Collections
Rapido

Jean Louis Aubert au piano

A la veille de la sortie de son album solo "Bleu Blanc Vert", Jean Louis AUBERT est à Londres. Dans un studio d'enregistrement, il fait découvrir un des titres de cet album : Voilà c'est fini
 

Interview Yvry Gitlis à propos de Chaplin et la musique
2007

Ivry Gitlis évoque Chaplin et la musique de ses films. Petit sujet contenant images noir et blanc de Chaplin, extraits de film
 

Interview Eddy Marnay à propos de Chaplin et la musique

Eddie Marnay évoque sa collaboration musicale avec Charlie Chaplin, notamment pour le film Limelight ( les lumières de la ville) dont il écrivit les paroles de la chanson du film. Raconte sa rencontre avec Charlie Chaplin, "bonhomme très bondissant"
Un livre, un jour

le discours du dictateur - Chaplin
1999

Depuis un pont de la province du Tessin, Olivier BARROT propose la lecture de "le discours du Dictateur" aux éditions "a l'écart". Il en profite pour rappeler brièvement la carrière de C CHAPLIN
 

Max Linder : celui qu'on avait oublié, première vedette de cinéma

Reportage consacré à la redécouverte du cinéaste et comédien Max LINDER, l'une des premières stars comiques du cinéma. Marcel ACHARD définit le style LINDER, son influence sur Charlie CHAPLIN, Gérard CALVI accompagne ensuite au piano un court métrage de Max LINDER. Le reportage alterne sur commentaire images factuelles, photographies, et extrait du film "soyez ma femme" de Max Linder.
Le dossier d'Alain Decaux

Messieurs Lumière père et fils ou la naissance du cinéma

1985

Alain DECAUX raconte la naissance du cinéma (l'événement eut lieu le 28 décembre 1895) à travers la saga de la famille Lumière (ANTOINE le père, auguste et louis ses fils). Des photographies des Lumière père et fils, des extraits de leurs films, et l'intervention de deux spécialistes : le docteur GENARD (président du comité de fondation du musée du cinéma de LYON) qui donne quelques explications sur le kinétoscope, et Bernard CHARDERE (directeur de l'Institut Lumière) qui explique le principe de la camera.
- Extrait de films "autour d'une cabine" d'Emile RAYNAUD - "La sortie des usines lumière" film des frères lumière - "L'arrivée d'un train en gare de La Ciotat" - "la nuit Américaine" de François TRUFFAUT ".

 
Jacques Tati Plusieurs médias à propos de : Jour de fête, Parade, les vacances de M. Hulot, Play Time, Mon Oncle
Au cœur de la musique

émission du 10 juin 1969

 

En public, Bernard GAVOTY reçoit le baryton Gérard SOUZAY. Ils évoquent son goût pour l'art lyrique et l'évolution de son répertoire dans ce domaine ainsi que les personnages qui s'y rattachent, Pelléas, Wolfram, le comte Almaviva.
Gérard SOUZAY compare ensuite le chant à un sport complet où "le muscle et la pensée" se complètent l'un l'autre puis énumère avec humour les contraintes imposées par le chant, véritable esclavage pour l'interprète. Il poursuit sa comparaison entre les spécificités de l'art lyrique et celles du mélodiste où s'opère un "mariage d'amour" entre la musique et le texte. Il cite la mélodie d'Henri DUPARC, "l'invitation au voyage", exemple parfait d'équilibre entre texte et musique. Le chant est selon lui la base de la musique. Il illustre ce propos en racontant une anecdote sur le pianiste Vladimir HOROWITZ, passionné de bel canto. Dans le public, la chanteuse lyrique Germaine LUBIN donne son opinion assez librement sur les chanteurs d'art dramatique et de lieder et réalise en fin d'entretien qu'elle a été enregistrée. Gérard SOUZAY conclut sur sa conception de l'enseignement. Il s'y prête ensuite en donnant ses conseils à Mme GRANDPERRIN pour son interprétation du "Clair de lune" de Gabriel FAURE et à Odile PIETTI pour son interpréation de "la valse de Juliette", extraite du "Roméo et Juliette" de Charles GOUNOD.

émission du 02 novembre 1970

 

Bernard GAVOTY reçoit la soprano Galina VICHNEVSKAIA et le violoncelliste Mstislav ROSTROPOVITCH à l'occasion de leur tournée à Paris avec le Bolchoï.
- Interview de Galina VICHNEVSKAIA, en présence d'une traductrice, sur son passage à l'Opéra de Paris qu'elle compare avec le Bolchoï, sa jeunesse à Leningrad, ses débuts et sa rencontre avec Mstislav ROSTROPOVITCH. Questions à la soprano du baryton Jean-Christophe BENOIT sur la technique de chant pour l'opéra et pour le concert, et du compositeur NGUYEN Thien Dao sur le répertoire de musique contemporaine.
- Interview plein d'humour de Mstislav ROSTROPOVITCH, toujours en présence d'une traductrice, sur ses rapports avec le travail, sa formation musicale en Russie, sa famille et son mode de vie.
Interview de la pianiste Vasso DEVETZI sur le travail avec Mstislav ROSTROPOVITCH et sur sa personnalité.
émission du 09 janvier 1969 En public, Bernard GAVOTY reçoit le violoncelliste Mstislav ROSTROPOVITCH. Entre ses interprétations, il parle succinctement de sa formation musicale (traduction par Marina VLADY, présente sur le plateau) et, plus généralement, de sa conception de la musique.
émission du 11 février 1969 En public, Bernard GAVOTY reçoit le violoniste Nathan MILSTEIN qui présente la sonate "à Kreutzer" de Beethoven jouée sur son Stradivarius de 1716 ainsi que la Chaconne de Bach dont l'interprétation est rendue plus difficile aujourd'hui sans l'archet baroque.
Il répond ensuite avec humour aux questions du public et à celles de Bernard GAVOTY sur la performance et la virtuosité, sur sa formation musicale et les musiciens russes de sa génération, sur l'école de violon d'Odessa, et sur son expérience calamiteuse d'enseignant. Toujours avec humour et dérision, il relate sa rencontre avec le grand violoniste YSAYE et parle de son hobby, la peinture, dont Bernard GAVOTY montre une aquarelle. Le violoniste Jean Pierre WALLEZ , présent dans le public, interroge Nathan MILSTEIN sur les raisons qui l'ont poussées à compliquer l'œuvre déjà fort difficile de Paganini, "Paganiniana" et intervention de Nicolas RISLER, petit fils du pianiste Edouard RISLER.
émission du 23 juillet 1972 Bernard GAVOTY reçoit le pianiste Bruno RIGUTTO et le violoniste Jean MOUILLERE. Emission tournée dans le cloître Saint-Sauveur d'Aix en Provence, dans le cadre du festival, et en studio. Les deux musiciens répondent en studio aux questions de Bernard GAVOTY sur les œuvres interprétées et, dans le cloître, répondent aux questions du public sur leurs débuts en tant que duo, sur la musique de jazz et l'improvisation et sur le répertoire musical propice au cloître Saint Sauveur.
émission du 07 aout 1969 En public, Bernard GAVOTY reçoit la pianiste Hephzibah MENUHIN et la flûtiste Elaine SHAFFER.
Outre les duos interprétés, elles répondent aux questions de Bernard GAVOTY et du public sur leurs parcours et Hephzibah MENUHIN parle plus longuement de sa conception de la musique. Elaine SHAFFER raconte avec humour ses débuts d'instrumentiste, parle du répertoire pour flûte, lié à l'évolution de sa facture.
Court échange avec Hephzibah MENUHIN sur la sonate de Poulenc qu'elles interprètent.
Hephzibah MENUHIN parle de ses rapports avec son frère, le violoniste Yehudi MENUHIN, de sa personnalité remarquable, de son humanisme hors du commun, du "génie de sa personne avant celle de son génie de musicien". Elle évoque ses difficultés relationnelles avec ses parents et son enfance peu heureuse. Puis elle donne sa conception de la musique, un chemin de libération de l'ignorance et de la dépendance, une façon de rencontrer et d'aimer les gens, et s'exprime sur l'importance du concert qui apporte au public un "repos éveillé", un climat qui fait du bien spirituellement. Pour elle, l'artiste ne reste pas isolé et partage son travail et son amour de la musique avec un public. Elle présente ensuite son travail avec les malades mentaux et avec les enfants "difficiles". Elle relate en particulier une expérience de thérapeutique musicale par le chant, menée dans un hôpital psychiatrique en Australie. Elle poursuit sur sa vie à Londres, sa famille choisie avec de nombreux enfants adoptifs auprès de son mari sociologue, leurs activités dans un centre éducatif où ils reçoivent des enfants en détresse affective et sociale. Elle conclut non sans humour sur le cas de Beethoven qu'elle aurait épousé pour lui apporter le meilleur des soutiens.
émission du 14 octobre 1969 En public, Bernard GAVOTY reçoit le pianiste Eric HEIDSIECK.
L'émission est consacrée aux sonates de Beethoven, dont l'interprète prépare l'intégrale. Après une rapide évocation de l'ambiance musicale qui baignait l'enfance du pianiste Eric HEIDSIECK, comparée à celle, très âpre, de Beethoven, enfant prodige et martyr, Eric HEIDSIECK propose une analyse musicale des sonates de Beethoven, en particulier la sonate n°5 Opus 10 n°1 en ut mineur et la dernière sonate n°32 Opus 111 en ut mineur, qu'il interprète toutes deux.
Il s'arrête sur les thèmes des deux sonates, aidé par Bernard GAVOTY, qui joue aussi quelques passages, et les compare à d'autres œuvres de Beethoven, comme le thème du destin de la symphonie en ut mineur, ou celui de l'Appassionata.
Il établit également des analogies avec les œuvres de César Franck, qui semble s'être beaucoup inspiré de Beethoven, en particulier dans la Fantaisie en ut, où le thème est identique à celui de l'arietta de l'Opus 111.
Il fait un aparté sur la musique contemporaine, et regrette qu'elle fasse table rase des traditions. Il poursuit sa comparaison entre les deux sonates interprétées, dont la similitude de tonalité, ut mineur, qui donne une parenté de facture, d'écriture et de caractère aux œuvres. Il analyse en détail les deux mouvements de cette dernière sonate et y voit le reflet de la personnalité du musicien, l'homme passionné et celui qui aspire au calme et à l'au-delà.
émission du 25 novembre 1969 En studio et en public, Bernard GAVOTY reçoit le compositeur Olivier MESSIAEN et la pianiste Yvonne LORIOD, épouse du compositeur.
- Yvonne LORIOD, installée au piano, parle de l'œuvre de son mari, de l'apport d'Olivier MESSIAEN dans l'écriture pour piano, nouvelles cadences, techniques et couleurs. Elle donne quelques exemples musicaux. Elle poursuit sur la mémoire remarquable du compositeur, mémoire littéraire, musicale bien sur, mémoire du quotidien, sa connaissance des textes religieux et son intérêt pour les sciences.
Elle parle ensuite de son répertoire pianistique et présente les œuvres interprétées pour l'émission, exception faite du Loriot, pièce pour piano d'Olivier MESSIAEN. Puis elle conclut sur l'organisation de sa vie avec le compositeur.
- Olivier MESSIAEN s'entretient de Claude Debussy (ses études pour piano, l'originalité de son œuvre) avec Bernard GAVOTY. Il poursuit sur les révélations musicales qu'il a eues dans son enfance, en particulier la transmutation des sons en couleurs. Petit aparté sur l'état d'esprit des jeunes artistes d'aujourd'hui, qui rejettent en bloc toute tradition, qu'il associe à l'image du cheval qui sent le tremblement de terre. Avant l'exécution du Loriot par sa femme, il fait remarquer que le titre de l'œuvre "Le loriot" est sans rapport avec le nom de sa femme et conclut sur les principales fonctions du chant des oiseaux.
émission du 07 juillet 1971 Bernard GAVOTY reçoit le hautboïste Jean-Claude MALGOIRE.
Il évoque son parcours, son ensemble "La Grande Ecurie et la Chambre du Roy", et parle longuement de l'histoire et de l'évolution du hautbois. Il présente plusieurs variétés de cet instrument, un hautbois de l'Egypte ancienne, une bombarde sur laquelle il improvise un air, un hautbois chinois dont il joue quelques notes, un hautbois baroque allemand du XVIIIème siècle . Jean-Claude MALGOIRE et Bernard GAVOTY dissertent sur cet instrument, ceux qu'a pu connaître Mozart, leur virtuosité, la couleur du son, l'importance des anches, la différence entre le cor anglais et le hautbois d'amour, utilisé par Ravel dans une variation du "Boléro".
Sur la demande de Bernard GAVOTY, Jean-Claude MALGOIRE joue, au hautbois, un la de référence. Il joue le même la sur un cor anglais (son du ré) puis sur un hautbois d'amour (son du fa dièse), pour permettre à Bernard GAVOTY d'expliquer le principe des instruments transpositeurs et la gymnastique que doit faire le chef d'orchestre pour la lecture de ces instruments.
Echange sur le répertoire pour hautbois solo puis Jean Claude MALGLOIRE présente la pièce de Wagner qu'il interprète ainsi que celle de Niccolo Castiglioni, "Alef", œuvre contemporaine dont on voit la partition, en réponse à une question du public sur la mélodie dans la musique contemporaine.
émission du 11 mai 1970 En public, Bernard GAVOTY reçoit le pianiste Michel BEROFF, accompagné du compositeur NGUYEN THIEN DAO, élève d'Olivier MESSIAEN, et du pianiste Jacques ROUVIER.
Entre ses interprétations, Michel BEROFF parle de ses origines bulgares, de son parcours et de son formation musicale où il a été initié très jeune au répertoire contemporain.
Interview de NGUYEN THIEN DAO sur les préjugés à l'égard de la musique contemporaine et sur ses sources d'inspiration.
Retour sur le parcours et le répertoire de Michel BEROFF depuis son entrée au Conservatoire et échanges entre les invités et Bernard GAVOTY sur les Visions fugitives de Serge Prokofiev. Le débat, sur un ton léger et souvent humoristique, illustré d'exemples musicaux, s'élargit ensuite sur la création artistique et la musique contemporaine.
émission du 31 mai 1970 Depuis l'Eglise des Invalides, Bernard GAVOTY reçoit l'organiste Lionel ROGG. Titulaire de l'orgue de Saint Louis des Invalides, Bernard GAVOTY présente l'histoire et les spécificités de cet orgue, en l'illustrant d'exemples musicaux. Lionel ROGG présente les œuvres interprétées dont sa composition pour laquelle il hésite entre deux titres, "Acclamations" ou "Clameurs".
émission du 03 juillet 1969 Depuis l'auditorium 101 de la Maison de l'ORTF, en présence du public, Bernard GAVOTY reçoit le violoncelliste Pierre FOURNIER. Alternant avec ses interprétations, le violoncelliste évoque ses débuts où, enfant, suite à une grave maladie, il a dû se tourner vers le violoncelle, son parcours où il a multiplié les expériences avant de se lancer dans la carrière de soliste et son goût pour l'enseignement. En présence de son fils, le pianiste Jean FONDA avec lequel il forme un duo, il présente leur répertoire, centré autour de la sonate.
Puis il critique certaines œuvres de musique contemporaine pour violoncelle et échange quelques mots sur le concerto de Saint SAENS avec Bernard GAVOTY. Question du public sur sa conception de l'enseignement, ses compositeurs favoris et le trac.
émission du 08 avril 1969 En public, Bernard GAVOTY reçoit l'Ensemble instrumental de France. Après une présentation des musiciens, dont la claveciniste Martine ROCHE, le violoniste solo et responsable de l'ensemble, Jean Pierre WALLEZ, s'enchante de l'entente amicale et de l'assiduité de cette formation, et précise les particularités de leur méthode de travail liée au travail de l'archet, seul repère dans une formation sans chef d'orchestre. Jean-Claude HARTEMANN, fondateur de l'ensemble, définit ses ambitions et parle de son répertoire, classique et contemporain. La pianiste Gersende de SABRAN compare le jeu du piano et du clavecin pour le concerto de Mozart qu'elle interprète. Echanges du public sur le choix du répertoire.
émission du 04 septembre 1969 En public, Bernard GAVOTY reçoit le pianiste Bruno GELBER.
Après un rapide survol de son parcours musical et de ses talents précoces d'interprète, Bruno GELBER parle de son "don" pour les exigences de la carrière musicale à proprement dit, de sa façon de gérer le trac et d'organiser son travail, de ses ambitions, de "l'état de grâce", état particulier qu'il a connu quelquefois lors de ses concerts.
Puis il s'attarde longuement sur la technique pianistique et l'interprétation musicale en partant d'extraits des trois sonates de Scarlatti qu'il interprète ou de la Wanderer fantaisie de Schubert. Il illustre les notions de phrasé, de sonorité, de couleur ou de technique du tri.
Il parle également de la technique du rubato chez Chopin, et des jeux exceptionnels de Rubinstein ou d'Horowitz, interprètes de référence du compositeur. Il conclut, dans un bref échange avec Bernard GAVOTY, sur les méthodes d'enseignement de son professeur et sur les Etudes symphoniques de Schumann.
émission du 07 novembre 1968 A l'église Saint-Eustache, en présence du public, Bernard GAVOTY interviewe l'organiste Jean GUILLOU sur sa vocation, ses débuts, sa rencontre avec Marcel Dupré et sa formation au Conservatoire National de Musique, son goût pour l'improvisation et son travail de compositeur.
Puis Jean GUILLOU présente l'orgue de Saint-Eustache et celui, beaucoup plus modeste, de l'église allemande, rue blanche à Paris. Il compare ensuite les deux interprétations de la fugue en ré majeur de Bach sur les deux orgues. Il poursuit sur son travail de transcription pour orgue de l'Offrande musicale de Bach dont il joue quelques extraits et parle de l'œuvre pour orgue de Franz Liszt.
 Il improvise sur des thèmes d'Henri Dutilleux et d'André Jolivet.
 

Dossier musique africaine - capitale Paris

24/06/1994

Reportage à PARIS, dans les milieux de la musique africaine:
- DP du groupe musical de Selif KEITA en enregistrement.
- Interview de Manu DIBANGO
- Extrait du clip d'Angelique KIDJO et ITW de cette jeune chanteuse africaine dénonçant une certaine forme de racisme.
- Extrait d'un concert de Sélif KEITA.
- Images "carte postale" du SENEGAL : pêcheur lançant un filet/pirogue et piroguier/marché de DAKAR/entrée d'un club de musique.
- Interview du chanteur Youssou N'DOUR.
- DP du chanteur Lokua KANZA se promenant dans le square Louis XIII à PARIS puis Interview.
- Manu DIBANGO jouant du saxo.

 
Salif Keita
2005
Le malien Salif Keita entame une tournée mondiale. Ce musicien albinos a été rejeté par sa famille d'origine noble. Le chanteur a donné le premier concert de sa tournée à Lyon, avec toute la fébrilité qui entoure les premières.
Le percussionniste Mino Cinelu parle avec beaucoup de chaleur de Salif Keita. Mêlant des sonorités salsa, rock ou reggae, la musique de Salif Keita est une savante alchimie. Dans le cadre de sa tournée, Salif Keita donnera huit concerts à travers toute la France.

 
Rokia TRAORE
2004
Reportage. Portrait de la chanteuse malienne, Rokia TRAORE à l'occasion de la sortie de son troisième album.

 

 

 
 

Miles Davis à propos de Prince, James Brown, Marvin Gaye et Jimi Hendrix

Interview de Miles DAVIS à propos du musicien PRINCE qu'il considère comme très influencé par James BROWN, Jimi HENDRIX, Marvin GAYE et Charlie CHAPLIN
 

Dossier : Avignon
16/07/1994

Coup de projecteur sur le festival OFF du festival d'Avignon, ensemble de spectacles (440 cette année) et de représentation non officielles, plutôt insolites et expérimentales.
Cathédrale de Chartres la cathédrale de Chartres Chartres célèbre le 800ème anniversaire de sa cathédrale, classée au patrimoine mondiale de l'humanité. Découverte de ce chef d'œuvre avec Guy NICOT, architecte en chef des monuments historiques, Alain ERLANDE BRANDENBURG, médiéviste et Directeur général des Archives de France, et Monseigneur Jacques PERRIER, évêque du diocèse de Chartres, qui parlent des caractéristiques et de l'Histoire de la cathédrale.

Vues de la cathédrale de Chartres

1960

Notre-Dame de Chartres au patrimoine mondial

Visite guidée de la cathédrale Notre Dame de Chartres, célèbre pour ses vitraux aux bleus nuancés.
Illuminations de la cathédrale de Chartres 2003 Reportage. Dans le cadre des journées du patrimoine, les murs de la cathédrale de Chartres serviront d'écrans pour la projection d'images qui retracent sa longue histoire. Les répétitions de ce spectacle montrent les jeux de couleurs voulus par le concepteur-réalisateur de ce spectacle, Xavier RICHEMONT.
Cathédrale d'Amiens

la cathédrale d' Amiens 1996

 

Visite de la cathédrale d'Amiens accompagnée du truculent guide du monument, Jean MACREZ. Historique de la cathédrale, deux fois plus vaste que Notre-Dame de Paris et pourtant bâtie en seulement 45 ans. Récit des bombardements de 1940 où la ville d'Amiens fut rasée à l'exception de la cathédrale restée intacte. Nombreux plans intérieur et extérieur, dont belles plongées ou contre-plongées rendant compte des dimensions impressionnantes de l'édifice. Détails de sculptures, gargouilles, les stalles
la cathédrale d' Amiens La cathédrale d'Amiens présente à partir du 22 juin 2002 un spectacle sons et lumières original.. dans la mesure où il vous rappelle ou vous apprend que lors de leur construction les sculptures des façades des cathédrales gothiques étaient peintes de couleurs vives.
Cathédrale de Reims

Reims : cathédrale du sacre
1981

 

Cette émission présente les significations symboliques de la cathédrale de Reims (architecture et décoration) et celles du sacre du roi, soulignant ainsi les rapports qui existaient au Moyen Âge entre l'idée de la royauté du Christ et les origines divines de tout roi chrétien. Reims, ville où CLOVIS reçut le baptême, est donc le haut lieu où se rejoignent l'histoire de la France et sa vocation spirituelle. Axée sur le sacre des rois de France, l'émission mêle intimement les pierres porteuses de symboles et les gravures retraçant les cérémonies. Cette cathédrale, dans son architecture et sa statuaire, symbolise le passage du visible à l'invisible, de l'ignorance à la connaissance. A l'image du monde, elle est un chantier permanent. Commentaires dits par Michel BOUQUET

Les orgues de la cathédrale de Reims 1967

 

Interview de Mr Arsène MUZERELLE, organiste de la cathédrale de Reims qui présente cet instrument, son histoire, les organistes les plus connus (Nicolas de Grigny) et la musique jouée sur ce type d'instrument. Propos illustré par des images de l'orgue (détails). Il interprète ensuite le prélude en Sol majeur de Jean Sébastien BACH.
cathédrale de Strasbourg

Notre Dame Strasbourg

Beau reportage sur la cathédrale Notre Dame de Strasbourg et sur le musée de l'œuvre Notre Dame qui conserve notamment tous les plans successifs de l'édifice.
En 1493, date de la plus ancienne vue de la ville de Strasbourg, la cathédrale était le monument central autour duquel s'élevaient plusieurs monuments d'importances: le grand séminaire jésuite, le château des Rohan et l'œuvre de Notre-Dame. C'est à cette époque que la ville de Strasbourg décida de prendre en charge l'administration des biens et des dons qui devaient sortir à la construction et à l'entretien de la cathédrale, chantier faisant partie des plus importants du St Empire. Les ateliers de l'œuvre Notre-Dame furent ainsi créés, permettant aux différents artistes d'exercer leur talent sous la direction des maîtres d'œuvre, dont l'un des plus connus: Erwin de Steinbach. Gravures et plans anciens ; la cathédrale et l'œuvre de Notre-Dame plans extérieurs et intérieurs, statues, détails...

Strasbourg, la cathédrale et le Palais des Rohan
1956

Strasbourg, de nombreuses constructions sont remarquables comme le Palais Rohan et surtout la cathédrale Notre Dame en grès rose. Détail des sculptures de la cathédrale.
musée de l'Œuvre Notre Dame 1968 Le musée de l'Œuvre Notre Dame réunit depuis 1931 de nombreux exemples de toutes les techniques d'art utilisées au Moyen Age et à la Renaissance. Le cloître sculpté de l'église bénédictine d'Eschau y est en partie reconstitué. Des sculptures, des vitraux, des gravures, du mobilier...font du musée de l'Œuvre Notre Dame un des plus beaux musées de France.
Cathédrale de Bourges

Patrimoine : Cathédrale de Bourges

 

Retour sur le mystère qui entoure la cathédrale gothique de Bourges dont on ignore le nom de son bâtisseur. Visite des lieux et interviews du père Joël MASSIP, chanoine de la cathédrale, de Jean Yves RIBAULT, directeur des archives départementales du Cher et de Cécile DUCHET, membre de l'Atelier cathédrale.

Bourges, capitale du Berry 1956

Carte postale consacrée à Bourges, capitale du Berry. Présentation de la ville, des monuments historiques de la région. Des séquences filmées alternent avec des photos en noir et blanc de monuments, commentées off.
  cathédrale Saint Corentin de Quimper 1964 Retour sur les campagnes de construction et de restauration de la cathédrale Saint Corentin de Quimper. L'architecture de ce bâtiment a été influencé par les édifices gothiques d'Ile-de-France. Puis, découverte de l'orgue datant du XVIIème siècle.
Cathédrale Notre Dame à Paris

Point d'orgue

 

1959 - Visite chez Pierre COCHEREAU, organiste à Notre-Dame de Paris. Il raconte à Claude ROSTAND ses débuts à l'orgue et sa formation d'organiste. Il a construit lui-même un petit orgue personnel sur lequel il exécute quelques morceaux, montrant toutes les possibilités et tous les effets de l'instrument. Puis dans la cathédrale, Pierre COCHEREAU présente l'orgue de Notre Dame de Paris, datant de 1868. Il improvise un morceau sur le thème de Noël.

Orgue

Les grandes orgues de Notre Dame avec Pierre Cochereau
L'orgue de la cathédrale Notre Dame
 
Facture : l'orgue de la cathédrale Notre Dame
 

Concert religieux à Notre Dame : l'Oratorio de Noël de Jean Sébastien Bach - 1943

A notre Dame de Paris, Heinz Boeger aux grandes orgues, le chef Kurt Reinecker et l'ensemble des musiciens sont tous en uniforme de la Wehrmacht pour interpréter l'Oratorio de Noël de Jean Sébastien Bach, devant un public recueilli parmi lequel on remarque la présence de nombreux Allemands.

Orgues Notre-Dame : l'Apparition de l'église éternelle de Messiaen

Concert le 4 décembre 1992 dans la cathédrale Notre-Dame, en présence du cardinal-archevêque de Paris Jean Marie LUSTIGER et du Ministre de la Culture et de la Communication Jack LANG, pour célébrer la fin de la restauration du grand orgue entamée il y a plus de deux ans.
 

L'orgue de la cathédrale de Nancy

1965
En direct de

Versailles : orgues et cloches 03/01/0957

L'émission "En direct de" nous présente une fabrique de cloches et d'orgues électroniques située à Versailles. Nous nous rendons en compagnie d'Etienne LALOU dans l'atelier de fabrication. Constant MARTIN, créateur de cet atelier, nous explique les avantages des cloches électroniques en comparaison avec les cloches de bronze (avec illustration on voit des images de fabrication de cloches de bronze). Nous découvrons ensuite le fonctionnement des cloches électroniques , notamment au niveau acoustique, et nous entendons les divers sons qu'elles sont capables de produire (en illustration nous voyons celles installées à Notre-Dame de Bon Conseil à Paris). Après une séquence de présentation de l'orgue "classique" de l'église Saint-Sulpice, Constant MARTIN nous montre les pièces nécessaires à la fabrication d'un orgue électronique et nous explique son fonctionnement.
En démonstration, Odile PIERRE, organiste, nous nous joue ensuite un extrait sur un orgue électronique récemment fabriqué dans l'atelier. Nous découvrons également un "clavioline", clavier permettant de reproduire les sons de plusieurs instruments de musique, puis un autre clavier électronique novateur.
 

Versailles : inauguration orgues

 

1995 - Les orgues de la Chapelle Royale du château de Versailles ont été restaurés.
- Interview de Michel CHAPUIS, organiste.
- Interview de Bertrand CATTIAUX sur le travail de restauration.
A bout portant Jean GUILLOU
1972
Jean GUILLOU dans l'église Saint-Eustache s'installe à l'orgue
- Jean GUILLOU à l'orgue, il fait une démonstration du jeu d'orgue à Sylvie MERCIER
Jean GUILLOU à l'orgue de la maison de l'ORTF.
Interview de Jean GUILLOU, parle de l'une de ses œuvres : "La Symphonie initiatique"
JEAN GUILLOU en concert à la maison de l'ORTF - différents plans des tuyaux d'orgue -
- Assis à l'orgue parle de la "Couleur" sonore de l'orgue des différents timbres pendant qu'un peintre fait son portrait.
Images des mains de Jean GUILLOU dessinées par le peintre Marcel MARCEAU
Jean GUILLOU improvise sur le thème des Quatre Saisons.
- Jean GUILLOU parle du texte de Julien GRACQ "La chapelle aux abîmes" (extrait du château d'Argol)
- Jean GUILLOU improvise sur le thème du texte de Julien GRACQ
- Jean GUILLOU au piano, puis à l'orgue Jean GUILLOU donnant un concert, il joue au piano puis à l'orgue.
Pleins feux Carmen  1978 Malgré sa prévention contre l'opéra, Jorge LAVELLI a une grande admiration pour la partition de BIZET. Dans la mise en scène, il essaie d'éviter tout folklore pour mettre en évidence le caractère symbolique de Carmen. Extraits des dernières répétitions à Strasbourg avec l'Opéra du Rhin sous la direction Alain LOMBARD.
Tableaux de Paris

Les théâtres de Paris 1967

 

Paris est un grand théâtre. L'histoire des théâtres de la ville commence autour de Notre-Dame avec les Confréries de la Passion la première compagnie théâtrale, puis bientôt le théâtre profane rentre en scène, avec l'amour, pour n'en plus jamais sortir. C'est en 1887 que ce termine cette fresque des théâtres parisiens avec l'incendie de l'opéra comique.
Documents d'archives et vestiges parisiens racontent la difficile existence des comédiens et des auteurs souvent pourchassés par l'Eglise et le Pouvoir. Ils racontent aussi l'histoire des théâtres proprement dits, histoire ponctuée de destructions, de drames et d'incendies dramatiques.
La troupe de Molière s'installe au théâtre construit par Richelieu au Palais royal. Les auteurs italiens installés à l'hôtel de Bourgogne font vivre leurs personnages comme Pantalon, Arlequin, Scapin, Capitan.
Au boulevard un théâtre futur opéra comique accueille les œuvres de MARIVAUX. Et par delà leur histoire, ils disent enfin la foi toujours vive du monde du spectacle et de son courage souvent mal récompensé.
Vent Sud

La vierge noire de Notre Dame de la Daurade - Toulouse
1999

A Toulouse, l'église de la Daurade est le lieu le plus ancien de dévotion à la vierge Notre Dame La Noire. Une vénération qui date depuis le 5eme siècle. L' Abbé Noël LACOSTE et Pierre STORTTI, président des amis des orgues de la Daurade, évoquent les demandes et prières faites à la vierge et l'envoi aux futures mères, de rubans à l'effigie de la vierge censés être bénéfique lors de leur accouchement.
  IRCAM A l'occasion du lancement du concours "Micro", reportage sur l'utilisation du micro-ordinateur dans le domaine de la musique.
Musicien devant clavier ordinateur qui reconstitue tout un passage de BACH.
Georges LECLERE présente le dernier né des synthétiseurs. Un scientifique, montre les modifications possibles des sons par ce synthétiseur. Visualisation des ondes musicales sur écran.
Artistes composant à l'aide de ces appareils et Interview de Maurice BEJART

 
Salvador Dali : la musique, la prison, le surréalisme DALI considère qu'il n'y a pas d'hyperréalisme musical, la musique est basée sur le domaine de la volonté, seul l'hymne espagnol lui donne la chair de poule...Les trois mois de prison ont été les trois mois les plus heureux de sa vie... Le mouvement surréaliste, le romantisme.
Gros plan Salvador DALI - 1961 Portrait de Salvador Dali tourné en Espagne à Cadaquès. Il s'articule autour d' une interview conduite par Pierre Cardinal qui pose plusieurs questions à l'artiste.
A plusieurs reprises, Salvador Dali est en présence de Gala qui ne dit rien.
Il explique en quoi la paranoïa est la seule psychose qui permet à la personne "d'imposer son délire aux autres". Il poursuit sa définition des paranoïaques : il évoque le personnage de Léonard DE VINCI qui peut monter à travers ses œuvres ses délires, son pouvoir de persuasion.
Il peint des montres molles parce qu'il est mystique : Il évoque Saint-Augustin, dont il dit qu'il était un paranoïaque comme tous les grands mystiques, qui en parlant de Jésus, aurait évoqué une montagne de fromages.
Il explique ensuite à quel âge il a eu la certitude d'être un génie, à l'âge de 25 ans. Mais il a joué au génie depuis sa plus petite enfance. Il parle de son frère mort 3 ans avant sa naissance et dont il porte le prénom, comment il a dû se différencier de lui alors que ses parents le comparaient constamment à son frère. Il évoque ensuite les souvenirs de sa vie intra-utérine. Il décrit la vie intra utérine comme le paradis, un monde sécurisant. Les enfants retrouvent des images liées à cette vie intra-utérine en se pressant les yeux. La naissance est un traumatisme, comme si l'on tombait dans le vide. On retrouve cette sensation lorsque l'on commence à passer dans le sommeil profond et qu'on se réveille en sursaut.
Il raconte les circonstances de sa rencontre avec Gala, en présence de Gala : Il l'a séduite avec des excréments de chèvre et un aspic. "Le tout puait d'une façon invraisemblable... j'ai commencé la séduction, en une semaine elle était amoureuse de moi". Il n'a jamais fait l'amour avec quelqu'un d'autre qu'elle.
Il est très préoccupé par la liturgie et le sacré. Il a attendu la mort de Paul ELUARD (le premier mari de Gala) pour épouser Gala religieusement. Il accorde beaucoup d'importance à la pureté et à la fidélité.
Il évoque aussi Federico GARCIA LORCA, qui était très amoureux de lui. Dali précise "Pour des raisons plutôt mécaniques ça n'a pas marché...je suis resté fidèle à l'amour (de Garcia Lorca) qui s'est transformé en une espèce d'amour néo platonicien.."
Il parle ensuite de l'acte d'amour, de son complexe d'impuissance, de la sodomie et de la masturbation. Gala lui a apporté "un élément divin d'équilibre, de classicisme et j'ai pu à partir de ça devenir un fou classique et combiné l'espèce d'élan dyonisiaque, érotique de ma vie, dans une espèce de splendeur de type apollonienne".
DALI (en présence de GALA) parle du paradoxe de sa vie : sa préoccupation pour la sexualité dans les films qu'il a réalisés avec BUNUEL et sa recherche de la chasteté. C'est dans les paradoxes qu'il y a le plus de créativité. La chasteté et l'érotisme vont très bien ensemble : Il évoque l'extase mystique (Lorsque chez les saints, après des visions sublimes, à l'approche des anges ou de Dieu, "toujours il se produit une éjaculation"), la symbolique de la corne de la Licorne phallique et en même temps image de la chasteté.
DALI en présence de Gala : il définit la réussite comme la puissance de mastication. "Philosophiquement l'unique façon de connaître un objet c'est en le mangeant" C'est pour ça que la religion catholique pratique la cérémonie liturgique de manger Dieu vivant" Si Gala après sa mort se transformait en une toute petite chose, comme une olive, il la mangerait : c'est le rite de la communion. Il parle d'un de ses amis étudiant vivant avec lui, BUNUEL et LORCA et qui a mis deux ans à manger une armoire à glace. "la leçon de philosophie dans le sens de la réussite était totale". Il faut manger ce qu'on veut posséder. "Et en ce moment vous le voyez je suis en train de dévorer la télévision en personne".
DALI à Port Ligate toujours en présence de Gala affirme avec beaucoup d'insistance qu'il n'a jamais tenté de se suicider. Les médias, la télévision en particulier, sont "des moyens d'avilissement et de crétinisation des foules, mais j'adore les utiliser car au niveau pratique il y a plus de gens qui courent après Dali, les tableaux se vendent plus cher... ça serait idiot de ne pas en profiter". Il parle ensuite de son avarice croissante, de son goût de l'argent pour l'argent. Il ne se considère pas comme un imposteur, mais, pire et mieux que cela, comme un traître (à sa classe, la bourgeoisie) et un provocateur, "un provocateur de tout".
Le document se termine sur une image montée : le visage de Dali autour duquel tournent ses yeux.
- Plusieurs extraits du film de Luis BUNUEL : "Un Chien Andalou"
- Tableaux de DALI "Persistance de la mémoire", "Le Christ"
- Extrait d'un film avec Salvador Dali transperçant une toile de Vermeer (la dentellière) en présence d'un rhinocéros.
- Extrait d'un document : Dali en compagnie de Gala à Port Ligate, sur une barque, Dali peignant Gala.
- Extrait d'un film où Dali est avec un oursin qui peint.
- Extrait d'un document où Dali plante deux cornes sur une toile
- Extrait d'un document où Dali avec des boulangers transporte une baguette gigantesque
- Extrait d'un document où Dali assiste à une corrida.
Discorama Rencontre avec Salvador Dali Entretien en trois actes:
1er acte: Denise Glaser reçoit Salvador Dali qui vient de sortir un disque, mais n'en parlera pas car il a pour principe de ne pas répondre aux questions qu'on lui pose. Il dit que Cézanne est le peintre "le plus maladroit, le plus catastrophique...qui a plongé l'art moderne dans la merde sublime qui est en train de nous engloutir...". Il aimerait des disques comestibles, mais ceux qui existent actuellement ne l'intéressent que pour faire de l'argent... Il divulgue les conclusions d'un psychiatre à son sujet après huit ans d'étude de sa personnalité: "Dali possède le cerveau le mieux organisé qu'il ait rencontré".
2ème acte: Dali, qui a revêtu un manteau de fourrure, parle à nouveau de Cézanne dont il aimerait qu'on montre des peintures à l'écran afin que les téléspectateurs voient à quel point il est mauvais. Il se compare à une nourrice qui donne à téter à toute son époque, "qui n'a fait que s'alimenter de toutes mes idées". Il n'aime ni les enfants, ni les dessins d'enfants. Il aime la peinture pompier et Meissonnier. Il est très épris de Rabelais et se met à tenir un discours dans une langue imaginée. Il quitte ensuite le plateau après avoir baisé la main de Denise Glaser.
3ème acte: Il revient auprès de Denise Glaser et lui dit "Vous m'attrapez par la bite" et la traite de vampire. Il n'est toutefois pas d'accord avec elle quand elle le décrit comme un personnage contestataire formidable. Lui, se décrit comme "un catholique apostolique monarchique romain".
Au delà de l'écran Dali à l'hôtel Meurice : l'astrologie, la musique et la France Salvador Dali interviewé à l'hôtel Meurice s'exprime sur l'astrologie, son choix sur sa résidence parisienne, "l'hôtel Meurice".
Dali présente des cadeaux qu'il a reçu notamment "une effigie" de Paganini, une guitare. Dali parle de son amour pour la France, les écrevisses et les ortolans.
Lectures pour tous

Pierre Dumayet et Salvador Dali
1958

Salvator Dali commente quelques-unes de ses œuvres en livrant au téléspectateur le fantasme qui a donné naissance au tableau, la technique qu'il a utilisée, les règles de composition qui soutend l'œuvre. Il parle de sa fascination pour "La dentellière" de Vermeer et son obsession pour la corne de rhinocéros blanc
Pour Vermeer
1973
fiction

1er épisode

Neuberger, commerçant enrichi, vit en Bavière. Après avoir fait l'acquisition d'un château, il s'y installe avec sa femme Lisa et sa fille Erika. Un jour, celle-ci découvre, sous un plancher branlant, un énorme tas de toiles : une célèbre collection qui avait disparu au XVIIIème siècle et qui comprend un merveilleux Vermeer. Cette découverte provoque chez les amis du commerçant, puis en Bavière et dans le monde entier, un intérêt considérable. La presse et les télévisions mondiales se précipitent. A Nancy, sur son petit écran, un PDG regarde, émerveillé, l'œuvre du peintre hollandais.
2ème épisode Débordé par la célébrité du Vermeer et l'irruption des journalistes dans sa vie, Neuberger prend la décision de mettre le tableau en vente. Lorsqu'il apprend cela, Mr Lombard, depuis longtemps passionné par le peintre, décide d'acquérir le tableau à n'importe quel prix et engage tous ses avoirs pour cela, tout en prenant toutes les précautions pour que son nom ne soit jamais cité et qu'on ne puisse remonter à l'acheteur. Un autre homme, un gangster surnommé Arsène, a, lui aussi, appris la vente du tableau et décide de s'y intéresser.
3ème épisode Lors de la vente aux enchères, à Munich, la toile est adjugée 20 millions 600 000 marks à un mystérieux homme vêtu de noir qui se refuse à répondre aux questions des journalistes. Le Vermeer emballé comme un banal paquet, l'acheteur vêtu de noir prend l'avion pour Paris, suivi par Arsène et ses hommes. Ils arrivent à la Cité des Planètes, à Maisons Alfort, une cité dans laquelle s'est réfugié André Lombard pour jouir de son tableau en toute quiétude.
4ème épisode André Lombard est heureux : il vit seul en compagnie de son Vermeer. Sa concierge, qui en parle beaucoup et ses voisins, apprécient, eux aussi, le tableau. Mais Arsène a décidé de s'approprier le tableau et avec discrétion. Il envoie donc ses hommes en repérage; Mario joue le rôle du nouveau locataire et c'est grâce à la concierge qu'il va, enfin, repérer l'appartement où se trouve le Vermeer. Lorsqu'André Lombard rentre, le soir, de son travail, le Vermeer a disparu.
A la recherche du jazz Jacques Becker, perception de la musique et l'utilisation du jazz dans ses films
1956
Le cinéaste Jacques BECKER explique qu'il a voulu montrer dans ses derniers films (et notamment "Edouard et Caroline"), que le grand public n'a pas suffisamment accès à la "bonne musique" pour pouvoir l'apprécier ("les vrais amateurs eux n'aiment pas le bruit, ils aiment la musique"). Dans un deuxième extrait de l'interview, il évoque l'utilisation de thèmes de jazz dans ses films.
Robert Goffin à propos l'association entre le jazz et le surréalisme - 1956 Interrogé par l'acteur Jean BOLO, l'écrivain amateur de jazz Robert GOFFIN expose les liens qui unissent le jazz au surréalisme (le jazz est "à la musique classique ce que le surréalisme pourrait être à la tragédie classique").

 
Paris, les années lumineuses 1905-1930 Documentaire consacré au Paris culturel et artistique du début du XXème siècle.
La capitale française attire une avant-garde d'artistes et d'intellectuels cosmopolites entre 1905 et 1930. Peintres, écrivains, compositeurs dont les principaux sont évoqués participent à la naissance de l'art moderne. Le commentaire sur images d'archives et des œuvres d'art évoquées alterne avec des interviews d'archives, des citations d'artistes, d'écrivains, et de critiques et l'interview d'historiens.
Les heures chaudes de Montparnasse

Des valses 1900 aux canons de la Grande Guerre

 

Présentation de l'émission par Jean Marie DROT, consacrée au cubisme.
Aux images des années 60-61, ont été ajoutées des images en couleurs des œuvres et des vues de Paris.
Michel KIKOINE dans son atelier raconte son arrivée à Paris avec Pinchus KREMEGNE et Chaïm SOUTINE.
Simon MONDZAIN lui aussi se souvient. Pour Chana ORLOFF, Paris a été un vrai paradis.
Kees VAN DONGEN descendait de Montmartre vers Montparnasse.
Pinchus KREMEGNE se souvient d'une solidarité entre peintres.
Serge CHARCHOUNE a retrouvé une forme de "petite russie" à Montparnasse.
Alexander ARCHIPENKO, lui, arrive à Paris, en révolutionnaire de l'art.
Jacques LIPCHITZ dans son atelier évoque le choc qu'ont représentés les premiers tableaux cubistes.
Fernande OLIVIER raconte l'étonnant Henri ROUSSEAU, dit le DOUANIER ROUSSEAU. Pour Sonia DELAUNAY, il ressemblait aux voisins de sa rue.
Georges PAPAZOFF, Léopold LEVY, Simon MONDZAIN raconte eux André DERAIN.
Daniel-Henry KAHNWEILER témoigne aussi de l'attachement de Fernand LEGER pour Montparnasse.

 
L'art retrouvé Francis POULENC, filmé chez lui le 13 septembre 1945, transpose au piano " Figure humaine ", cantate pour chœur qu'il composa sur des poèmes écrits par Paul Eluard en 1943.
DADA Naissance de l'esprit dada
1971
(1)

 

Cette première émission sur le mouvement dada est consacrée aux origines du mouvement, avant sa naissance à proprement parlé, au travers du récit de la vie d'artistes tels que Francis PICABIA, Marcel DUCHAMP, MAN RAY, Alfred STIEGLITZ où Marcel CRAVAN tous installés à NEW YORK.
L'émission est construite sur une alternance d'interviews de différentes personnalités, artistes de l'époque ou les ayant côtoyés, ponctuées de nombreux bancs titres d'œuvres et de documents d'époque.
L'émission s'ouvre par une interview de Georges RIBEMONT-DESSAIGNES qui raconte sa rencontre avec Francis PICABIA et Marcel DUCHAMP. Dans un premier temps Gabrielle BUFFET-PICABIA, MAN RAY et Juliette ROCHE racontent la grande exposition de l'Armory Show organisé à New York en 1913 par Walter ARENSBERG et qui provoqua un énorme scandale, notamment à cause du "nu descendant l'escalier" de Marcel DUCHAMP. Puis ils évoquent le photographe Alfred STIEGLITZ qui joua un rôle important : c'est chez lui que MAN RAY découvre certaines œuvres de grands artistes contemporains que STIEGLITZ exposait (Brancusi, Picasso, aquarelles de Rodin).
Gabrielle BUFFET-PICABIA après avoir raconté comment PICABIA a rencontré la danseuse Stacia NAPIERKOWSKA parle de l'exposition que le peintre fit chez STIEGLITZ puis des toiles que la danseuse lui inspira. C'est lui qui créa la revue "291" en mars 1915 dans laquelle PICABIA publia ses dessins.
Vient ensuite la période de la guerre : Juliette ROCHE, puis plus loin Gabrielle BUFFET PICABIA et MAN RAY décrivent l'atmosphère de folie (notamment par l'abus d'alcool) et l'esprit "fin du monde" (Juliette ROCHE) propice aux inventions dada (Gabrielle BUFFET PICABIA) qui régnait à ce moment là à New York. MAN RAY dit que le mouvement dada n'était pas connu à NEW YORK. Juliette ROCHE décrit Francis PICABIA comme un homme trouble, qui aimait s'entourer de personnes étranges. C'est ainsi que se trouve dans son entourage Arthur CRAVAN, poète et boxeur, dont Gabrielle BUFFET-PICABIA et Juliette ROCHE nous racontent le duel ridicule avec Jack JOHNSON, boxeur professionnel.
C'est aussi à cette époque que MAN RAY rencontre Marcel DUCHAMP alors qu'il vivait dans la campagne environnante de New York. Il se souvient d'une machine que DUCHAMP avait créée et installée dans son atelier et avec laquelle il eut un accident.
Béatrice WOOD décrit Marcel DUCHAMP comme un homme d'une grande beauté, doux et d'une grande intelligence. MAN RAY dit qu'ils n'avaient pas entendu parler du mouvement dada de Zurich.
Maximilien GAUTHIER, Juliette ROCHE et Gabrielle BUFFET PICABIA racontent la création de la revue "391"en 1915 à Barcelone par PICABIA, en souvenir et avec l'accord d'Alfred STIEGLITZ, qui avait crée "291". Puis PICABIA rejoint New York le jour de la déclaration de guerre. Béatrice WOOD raconte comment se passa le refus de la fontaine de Marcel DUCHAMP signée R. MUTT (1917) au salon des Indépendants.
Diffusion d'un extrait d'un film réalisé par Philippe COLLIN en 1967 lors de l'exposition de Marcel DUCHAMP à la galerie Claude GIVAUDAN, Marcel DUCHAMP explique ce qu'est un ready made. On y voit plusieurs de ses œuvres exposées dans la galerie. Après le salon des Indépendants, une conférence sur l'art moderne organisé par Marcel CRAVAN (dont Gabrielle BUFFET PICABIA nous raconte comment elle fut torpillée par PICABIA et ses amis) et la fermeture de la galerie "291" d'Alfred STIEGLITZ, les activités du groupe de New York se réduisent à la publication de petites revues éphémères (the Blindman, Rongwrong, TNT).
En 1921 Marcel DUCHAMP et MAN RAY lancent une dernière publication, "New York dada". Gabrielle BUFFET PICABIA raconte le retour en France et l'installation en Suisse où PICABIA se consacre à l'écriture.
Dada à Zurich
(2)
Deuxième émission sur dada qui raconte la naissance en 1915 du groupe dada de Zurich en Suisse, son développement puis sa disparition en 1919.
Elle est construite sur une alternance d'interviews des personnalités qui ont participé à ce mouvement : Christian SCHAD, Richard HUELSENBECK, Marcel JANCO, Hans RICHTER ainsi que Julius EVOLA, fondateur de la revue "Bleu" en Italie et Gabrielle BUFFET PICABIA. On y trouve de nombreuses illustrations des œuvres de l'époque. Christian SCHAD situe les débuts de dada à Zurich en 1915. Richard HUELSENBECK (anglais sous titré) et Marcel JANCO racontent leur rencontre avec Hugo BALL en 1912 pour le premier et en 1915 pour le deuxième à Zurich, avec Tristan TZARA, puis la création du "cabaret Voltaire" avec Hugo BALL. Ils racontent également comment se passaient les soirées culturelles (la "poésie simultanée" qui a provoqué le scandale).
C'est en mai 1916 que le mot "dada" apparait pour la première fois dans la revue "Le cabaret Voltaire". Marcel JANCO explique le choix de ce mot parce qu'il existe dans toutes les langues, sans pour autant vouloir dire quelque chose de précis. Richard HUELSENBECK (anglais sous titré) précise que c'est lui qui a proposé ce mot à Hugo BALL alors qu'il cherchait dans le dictionnaire un nouveau nom pour une danseuse. Hugo BALL l'a adopté plus tard pour désigner l'ensemble de leurs activités. Pour lui, c'est le mot qui a fait le mouvement et non les hommes qui y ont participé.
Hans RICHTER raconte comment il est entré dans le mouvement dadaïste à Zurich et souligne combien les personnalités qui composaient ce mouvement étaient diverses. Marcel JANCO et Hans RICHTER parlent du cabaret Voltaire et des manifestations qui y avaient lieu. Pour RICHTER c'était une libération totale de toutes les contraintes sous la forme d'une expression artistique. Ainsi en 1917 il produisit des "portraits visionnaires" en utilisant les formes et les couleurs comme il le voulait, d'une façon libérée.
Puis Michel JANCO raconte la naissance de "la galerie dada" offerte par Monsieur CORRAY. Tristan TZARA en est devenu le directeur car Hugo BALL a quitté le mouvement pour se consacrer au catholicisme. La galerie a accueilli les plus belles manifestations d'art internationales.
Richard HUELSENBECK (anglais sous titré) explique les raisons pour lesquelles Hugo BALL a quitté le mouvement dada : le mouvement essentiellement politique au départ (contre la guerre et le système culturel et social qui y aboutit) a pris une tournure artistique et esthétique avec la galerie dada. Hugo BALL et HUELSENBECK l'ont quitté, car il ne correspondait plus à ce qu'ils en attendait. Hans RICHTER rappelle le climat révolutionnaire qui régnait à Zurich et qui a accompagné la création d'une association d'artistes radicaux (composée de Hans ARP, Marcel JANCO, Zygmunt BAUMAN, Viking EGGELING et Hans RICHTER) qui voulait reformer les académies et les universités et permettre aux étudiants de contrôler un peu l'Administration. Ce fut un pas vers le surréalisme (par son aspect très concret et révolutionnaire)
Julius EVOLA, le fondateur de la revue "Bleu" en Italie raconte les manifestations dada à Rome dans un théâtre dont il avait lui même décoré certains murs. Chacune de ces manifestations provoquait le scandale auprès du public bourgeois par son ironie, son esprit provocateur. En juillet 1917 c'est la parution de la revue dada et en juillet 1918 lors d'une grande soirée dada dans la salle Zur Meise de Zurich, le manifeste dada est lu pour la première fois. (lecture de la conclusion du manifeste sur des images d'une place de Zurich)
Gabrielle BUFFET PICABIA et Marcel JANCO racontent la rencontre de Picabia avec le groupe dada de Zurich et ce qu'il leur a apporté. Puis Christian SCHAD et Marcel JANCO décrivent la personnalité de l'écrivain Walter SERNER, personnage énigmatique du groupe dada de Zurich, dont le manifeste fut d'une grande importance. Christian SCHAD souligne que le manifeste dada écrit par TZARA lui doit beaucoup. Enfin c'est la fin du groupe dada de Zurich en 1919. Marcel JANCO et Hans RICHTER parlent de cette période. Gabrielle BUFFET PICABIA explique que c'est à ce moment qu'elle s'est séparée de PICABIA qui a rejoint TZARA à Paris. C'est là qu'il formeront le groupe dada de Paris.

Dada à Berlin
(3)

 

Dans cette troisième émission sur dada on apprend que c'est Richard HUELSENBECK qui introduit le mot dada en Allemagne après avoir quitté Zurich en 1917.
Raoul HAUSSMANN et Johannès BAADER vont alors développer le mouvement à Berlin jusqu'en 1920 où le mouvement va s'éteindre au profit de celui de Paris. Cette période est évoquée au travers des interviews de ceux qui l'ont vécue : Raoul HAUSSMANN, Richard HUELSENBECK (qui s'opposent sur la conception de dada), Walter MEHRING, Hans RICHTER et Jef GOLYSCHEFF. Raoul HAUSSMANN dans son atelier, entouré de ses œuvres puis Richard HUELSENBECK parlent des débuts de dada à Berlin. Walter MEHRING, Richard HUELSENBECK et Raoul HAUSSMANN parlent de Johannès BAADER, personnage dont on a dit qu'il était fou et dont HUELSENBECK ne partageait pas la conception de dada.
Raoul HAUSMANN parle de Georges GROSZ puis raconte la première manifestation dada à Berlin le 12 avril 1918. Hans RICHTER raconte les oppositions qui existaient à l'intérieur du mouvement dada. Raoul HAUSSMANN parle rapidement de la parution d'un numéro spécial en avril 1918 sur le club dada. Walter MEHRING parle des "poèmes phonétiques" de Raoul HAUSSMANN dont Richard HUELSENBECK conteste qu'il en soit l'inventeur. Raoul HAUSSMANN lit un de ses poèmes phonétiques sur des images d'un de ses textes. Raoul HAUSSMANN parle de Kurt SCHWITTERS et de son opposition avec Richard HUELSENBECK. HUELSENBECK explique ce qui l'opposait à SCHWITTERS (trop artiste et pas assez politique pour dada). Kurt SCHWITTERS ne fut pas accepté chez dada et créa son propre mouvement "Merz".
Puis Raoul HAUSSMANN évoque les surnoms que les dadaïstes se donnaient, parle de ses photomontages, de la revue "Der dada", du poème en nombre "dadadegie" qui y parut et de la typographie dada qu'il inventa. Il poursuit sur Hannah HÖCH, sa compagne, qui exposa son premier collage lors de la manifestation dada en 1920.
Walter MEHRING se souvient aussi du pamphlet dada "Jedermann sein eigner Fusball". Raoul HAUSSMANN parle ensuite de la première exposition dada de Berlin à la galerie Neuman et de la soirée qui suivit. Jef GOLYSCHEFF (assis auprès d'un de ses tableaux), premier musicien du groupe dada, se souvient de sa première antisymphonie qui y fut donnée pour la première et dernière fois.
Raoul HAUSSMANN, Walter MEHRING et Jef GOLYSCHEFF rappellent quelques grands moments qui eurent lieu lors d'une soirée dada : un dialogue entre une machine à écrire et une machine à coudre, une danse avec masque en papier (initialement par Hugo BALL à Zurich et ramené en Allemagne par HUELSENBECK), une orchestration aléatoire par Jef GOLYSCHEFF. Richard HUELSENBECK se souvient d'une soirée dada où tout avait été improvisé et où le public a voulu les frapper.
Raoul HAUSSMANN se souvient du premier manifeste dada de Berlin lancé par HUELSENBECK et signé aussi par le groupe de Zurich et de l'"almanach dada" (1920) édité par HUELSENBECK avec la collaboration de tous les dadaïstes de Berlin, de Zurich et de Paris soulignant que ni le public ni la presse ne s'y sont intéressés.
Ensuite HAUSSMANN évoque les éditions dada de Berlin au travers de son livre "Hurrah !Hurrah ! Hurrah !" (critique morale du caractère du peuple allemand) Raoul HAUSSMANN parle ensuite des manifestations dada qui eurent lieu hors de Berlin. Il se souvient des réactions hostiles du public. Il évoque ensuite la foire internationale dada de 1920 qui marque la fin de dada à Berlin et les œuvres qui s'y trouvaient exposées.
La seule œuvre véritablement politique selon lui était "le sous officier allemand avec tête de cochon" qui valut un procès au groupe. HUELSENBECK explique pourquoi il n'a pas souhaité participer à cette manifestation (pas suffisamment dans l'esprit dada d'une révolte sans programme) Raoul HAUSSMANN parle des manifestations qu'il mit en place par la suite. Puis Hans RICHTER raconte sa rencontre avec Kurt SCHWITTERS qui en 1922 est l'unique représentant de dada à Hanovre.
Richard HUELSENBECK raconte la fin de dada à Berlin. Walter MEHRING explique pourquoi selon lui dada a disparu alors que Richard HUELSENBECK pense que l'esprit dada est toujours vivant. Pour Raoul HAUSSMANN, dada montrait que le véritable beau n'existait que dans la fantaisie. Il finit par quelques onomatopées extraites d'un de ses poèmes phonétiques. Œuvres banc titrées par ordre d'apparition à l'image :  "Tête mécanique" par Raoul Haussmann (1920) - Plaque commémorant la naissance de dada apposée devant le cabaret Voltaire à Zurich - Photographie noir et blanc de Richard Huelsenbeck - Dessin de George Crosz illustrant un poème fantastique de Richard Huelsenbeck (1920) - Photographies noir et blanc de Johannès Baader - Double portrait de Johannès Baader et Raoul Haussmann (1919) - Série de dessins de Georges Grosz dont un sur la couverture de la revue Die Pleite - Photographie noir et blanc de Georges Grosz avec John Heartfield manifestant à la grande foire dada de 1920 - Programme de la première manifestation dada à Berlin (12/04/1918) - Dessin de Raoul Haussmann illustrant son manifeste sur le nouveau matériel de la peinture (1918 ?) - Photographie noir et blanc de Richard Huelsenbeck et Raoul Haussmann - Dessin de Raoul Haussmann pour le premier numéro de la revue "club dada" ( Berlin, 1918) - Page de ce numéro annonçant le texte sur le Docteur Billig de Huelsenbeck - Photographie noir et blanc de Raoul Haussmann jeune - Texte de Richard Huelsenbeck "L'amiral cherche une maison à louer" - Poème phonétique de Raoul Haussmann - Poème de Hugo Ball (1917) - trois peintures de Raoul Haussmann (1918) - Photographie noir et blanc de Kurt Schwitters - Tableau de Kurt Schwitters "Construction Merz" (1920) - Couverture de la revue "Merz" (n°6) - Tableau de Raoul Haussmann "ABCD ou Portrait de l'artiste" (1923-1924) - Photomontage réalisée par John Heartfield (?) sur un texte de Raoul Haussmann et Wieland Herzfelde paru dans le catalogue de la foire internationale dada (1920) -  Couverture (puis différents détails de cette couverture) du numéro 1 de la revue "Der dada" (1919) avec le poème "dadadegie" de Raoul Haussmann et de la revue "Die Freie Strasse" (1919) - Deux poèmes sur la typographie dada de Raoul Haussmann - Photographie (montage ?) de Hannah Höch - Photographie noir et blanc de Hannah Höch avec Raoul Haussmann - Collages de Hannah Höch : sans titre (1920), "Dada-Rundschau" (1920), "Dada Dance" (1922), "Mère" (1930) - Photographie noir et blanc de Johannès Baader - "Tête mécanique ou l'esprit de notre temps" sculpture de Raoul Haussmann (1919) dans l'atelier de Raoul Haussmann - Page du pamphlet dadaïste "Jedermann sein eigner Fussball" - Programme de la soirée dada du 12/04/1918Page d'un livre avec une photographie de Jef Golyscheff (?) - Page d'un programme "Domaine musical" - Photographie noir et blanc de Walter Mehring (?) - Photographie noir et blanc de Hugo Ball en costume de papier au cabaret Voltaire (1916) - Programme d'une soirée dada de Berlin- Page comportant les noms de tous les dadaïstes ayant contresigné le 1er manifeste dada de Berlin -Couverture de l'"almanach dada" édité par Richard Huelsenbeck - Couverture du livre de Hans Richter "dada art et anti-art" - Couverture de la revue "Der dada" n°3 éditée par Raoul Haussmann (avril 1920) - Couverture de la revue "Der dada" n°2 éditée par Raoul Haussmann (décembre 1919) - Couverture du livre de Raoul Haussmann "Hurrah ! Hurrah ! Hurrah !" - Dessin de Raoul Hausmann

Dada à Paris
(4)

 

Cette quatrième émission relate la naissance et la croissance du mouvement dada à Paris au travers des témoignages de ceux qui y ont participé.
Henri CLIQUENNOIS, Georges RIBEMONT-DESSAIGNES puis Philippe SOUPAULT racontent la genèse du mouvement à Paris :
Pour CLIQUENNOIS les origines remontent aux lendemains de la guerre de 1870, lorsque RIMBAUD écrivait "L'Alchimie du verbe" ; Georges RIBEMONT-DESSAIGNES se rappelle qu'une de ses pièces de théâtre "l'empereur de Chine" fut considérée comme une des premières pièces dada. Philippe SOUPAULT se rappelle sa rencontre avec André BRETON grâce à Apollinaire qui réunissait ses amis au café de Flore tous les mercredis. Il évoque l'importance de Pierre REVERDY et de sa revue "Nord Sud" et de la poésie en cette période de guerre. Puis il parle de Théodore FRANKEL et de son influence sur dada au travers de sa passion pour Alfred JARRY. Il se rappelle de Paul ELUARD, de sa timidité puis la naissance de la revue "Littérature" fondée par Louis ARAGON, André BRETON et lui-même qui peu à peu devint un lieu d'expression pour dada.
René HILSUM, le numéro 13 de la revue "Littérature" entre les mains lit le manifeste dada et un texte de Tristan TZARA parus en 1918 dans ce numéro.
Philippe SOUPAULT raconte comment entre 1916 et 1919, André BRETON et lui-même se détachent de leurs anciennes relations pour écrire "les champs magnétiques". ARAGON, enthousiaste, les conduit à publier les premiers chapitres dans la revue "Littérature". René HILSUM montre ce numéro de la revue et notamment les deux portraits de BRETON et SOUPAULT par PICABIA (1920). Philippe SOUPAULT poursuit en racontant l'hostilité de leurs anciens amis (notamment REVERDY qui retrouvait dans "Les champs magnétiques" l'influence de LAUTRÉAMONT qu'il détestait). A propos du retour de PICABIA à Paris en 1919 il dit combien BRETON et lui ne partageaient pas le cynisme de PICABIA et DUCHAMP et se sentaient plus proche de TZARA, plus philosophe. Georges RIBEMONT-DESSAIGNES insiste sur cet antagonisme. C'est avec cette rencontre que dada voit le jour à Paris.
Germaine EVERLING, alors la compagne de PICABIA, raconte la rencontre PICABIA BRETON et l'arrivée de TZARA à Paris dans son salon où elles réunissaient des amis tous les dimanches. Georges AURIC parle de la fascination que BRETON avait à ce moment là pour TZARA et précise qu'il rencontra TZARA lors d'un déjeuner un dimanche chez Germaine EVERLING. Philippe SOUPAULT et Simone COLLINET dresse un portrait de Tristan TZARA au moment de son arrivée à Paris.
Puis Philippe SOUPAULT raconte la première soirée dada organisée à Paris dans un cinéma proche de la porte Saint Denis où TZARA provoqua le scandale. Pour Georges RIBEMONT-DESSAIGNES la première soirée dada eut lieu au salon des Indépendants, son succès permis ensuite à dada d'organiser d'autres manifestations. Il y eut les réunions au café Certa (situé dans le passage de l'Opéra aujourd'hui disparu) où se préparaient les manifestations. Philippe SOUPAULT, Jacques BARON et Georges RIBEMONT-DESSAIGNES racontent quelques anecdotes qui eurent lieu lors de ces réunions.
Georges RIBEMONT-DESSAIGNES parle de la manifestation de l'Université populaire du faubourg Saint Antoine (groupement politique d'ouvriers cultivés) où les ouvriers se fâchèrent car les dadaïstes n'accordaient pas d'importance à Lénine. Philippe SOUPAULT raconte une soirée mouvementée à la maison de l'Œuvre, Juliette ROCHE se rappelle l'atmosphère très drôle qui régnait dans ces soirées notamment au théâtre Réjane.
Georges RIBEMONT-DESSAIGNES relate la soirée qui eu lieu à la salle Gaveau en mai 1920 où des gens lançaient des escalopes et des biftecks sur la scène. Il y exécutait une danse dans un entonnoir sous les cris et les sifflements. Philippe SOUPAULT et Germaine EVERLING se souviennent combien ces manifestations étaient extraordinaires. SOUPAULT se souvient des ballons qu'ils faisaient exploser au moment de leur envol après leur avoir donné des noms de personnalités célèbres. Le ballon Jean COCTEAU fut ainsi écrasé "comme un crachat". Georges AURIC rappelle que les dadaïstes et Jean COCTEAU entretenaient cependant de bons rapports, ce qui ne fut pas le cas avec les surréalistes et notamment avec André BRETON.
En parallèle de ces soirées, de nombreuses revues dada voient le jour (391, Proverbe, littérature, Z, Projecteur...) et la galerie du "Sans Pareil" avenue Kléber expose à partir de 1920 les artistes dada (PICABIA, Raymond DESSAIGNES, Max ERNST)
Philippe SOUPAULT et Pierre DEVAL parle de Jacques RIGAUT qui avait rejoint le mouvement dada et qui se suicida en 1929. Pour Pierre DEVAL il est à l'image de dada qui est "une entreprise désespérée de démolition. Lui a été jusqu'au bout. Les autres ont fait d'autres choses". Pour Philippe SOUPAULT dada a trouvé un écho dans la jeunesse de l'époque qui revenait de la guerre, car ils apportaient un esprit de révolte, de nihilisme et de négation

Déclin et mort de dada
(5)

 

5ème partie sur Dada et suite de l'émission sur dada à Paris qui envisage maintenant la fin du mouvement à Paris.
Le mouvement parisien est né après l'arrivée de Tristan TZARA à Paris qui a apporté avec lui sa technique du spectacle et du scandale dans les manifestations dada. Mais les divergences d'idées entre les différents membres du groupe, notamment André BRETON et Tristan TZARA, vont peu à peu mener le mouvement à s'éteindre en 1923.
Cette émission est construite à partir d'interviews de ceux qui ont vécu cette période. Ils évoquent les soirées dada qui peu à peu mènent à la désagrégation du mouvement. Philippe SOUPAULT, Jacques BARON et Georges RIBEMONT-DESSAIGNES se souviennent de la manifestation dada de Saint Julien Le Pauvre le 14 avril 1921 qui se déroulait dans un terrain vague devant un public de clochards, sous la pluie et qui fut "morose". René HILSUM lit l'affiche annonçant la manifestation.
Puis Philippe SOUPAULT, Pierre DEVAL, Serge CHARCHOUNE, Georges RIBEMONT-DESSAIGNES racontent la mise en scène du procès de Maurice BARRES qui marqua la rupture totale entre les différents membres et où Benjamin PERRET fit son entrée habillé en soldat allemand avec un masque à gaz et parlant allemand. Le scandale fut immédiat. Philippe SOUPAULT parle d'"agonie des amitiés" attisée par Francis PICABIA qui trouvait que dada prenait trop de place.
Germaine EVERLING situe quant à elle la fin de dada après l'exposition organisée par Francis PICABIA à la galerie Povolovsky où le tout Paris était invité avec Georges AURIC, Francis POULENC et Jean COCTEAU. Georges AURIC pense que la présence trop importante de personnalités parisiennes eut un mauvais impact sur dada. Puis il raconte comment le tableau "L'oeil cacodylate" vit le jour chez Germaine EVERLING.
Philippe SOUPAULT, Georges RIBEMONT-DESSAIGNES se souviennent de la soirée du 10 juin 1921 organisée par Tristan TZARA à la galerie Montaigne où de nombreuses œuvres dada furent exposées. Marcel DUCHAMP et Max ERNST participaient à cette exposition ; Philippe SOUPAULT y exposait notamment un miroir intitulé "Portrait d'un imbécile". SOUPAULT et RIBEMONT-DESSAIGNES décrivent la soirée qui fut "l'affirmation de la crainte que cela finisse par un art dada" (RIBEMONT-DESSAIGNES) MAN RAY raconte l'exposition qui eut lieu à la librairie 6 (librairie de Philippe SOUPAULT) où il offrit à Philippe SOUPAULT un fer à repasser ("le cadeau" 1919). Celui-ci fut volé pendant la soirée et MAN RAY en fabriqua un autre car "ces choses là sont indestructibles... c'est l'idée que je montre pas une œuvre d'art"
Paul NEUHUYS parle ensuite de Clément PANSAERS l'unique représentant de dada en Belgique et qui rejoint le groupe de Paris en 1921. En 1921 c'est la parution du dernier numéro de dada, le bulletin collectif "dada au grand air" rédigé pendant des vacances au Tyrol. Simone COLLINET, alors épouse d'André BRETON, raconte que les relations entre BRETON et ses amis étaient devenues extrêmement froides. Début 1922 André BRETON organise le congrès de Paris qui sonne le glas du dadaïsme à Paris. Georges AURIC se souvient avec malaise de ce congrès qu'il décrit comme un lamentable échec et l'expression d'antagonismes entre ceux qui auparavant étaient de grands amis : TZARA et BRETON. Simone COLLINET, Jacques BARON, Philippe SOUPAULT et Georges AURIC parlent successivement de cet antagonisme et de ce qui séparait désormais les deux hommes : TZARA était un homme de spectacle voulant faire scandale et s'amuser alors que BRETON plus sérieux, souhaitait théoriser ces idées.
En juillet 1923 c'est "la soirée du cœur à barbe" où des poèmes sont lus et une pièce de théâtre de Tristan TZARA "le cœur à gaz" doit être jouée. Philippe SOUPAULT, Georges AURIC, Jacques BARON et Simone COLLINET se souviennent d'une soirée qui bascule dans la violence où certains sont blessés, la salle saccagée et où la police fut appelée.
En conclusion de l'émission Georges RIBEMONT-DESSAIGNES, Paul NEUHUYS, Jacques BARON, Georges AURIC et Philippe SOUPAULT disent chacun à leur tour ce que dada a représenté selon eux et où ils en voient la continuité.
L'art et les hommes Tristan TZARA à propos du mouvement Dada Tristan TZARA parle du mouvement Dada et de la rue Campagne Première. 1963
Les heures chaudes de Montparnasse Les bals à Montparnasse dans les années 20 Dans un bar, Thérèse TREIZE et quelques amis évoquent les bals de Montparnasse dans les années folles. Autre témoignage de Daniel Henry KAHNWEILER.

 
Bebel GILBERTO La bossa nova a un nouveau porte drapeau : c'est une jeune Brésilienne issue d'une famille de musiciens célèbres : Bebel GILBERTO, qui, après une série de concerts en France, revient pour le Printemps de Bourges. Images commentées de la chanteuse sur scène en alternance avec son interview. 2001
Le temps des cathédrales -
série de neuf émissions basée sur l'œuvre de l'historien Georges DUBY, consacrée à l'art religieux du Moyen âge
1980
l'Europe de l'an mil "l'Europe de l'an mil" est le premier volet d'une série de neuf émissions basée sur l'œuvre de l'historien Georges DUBY, consacrée à l'art religieux du Moyen âge qui s'intéresse aux différentes formes artistiques par rapport aux conditions politiques, matérielles, économiques, imaginaires et intellectuelles qui lui ont donné naissance.
Cernée par la misère et la faim, dominée par la peur et la mort "l'Europe de l'an mil" est un monde sauvage d'où va jaillir la plus magnifique floraison d'art architectural que connaîtra l'occident. La période médiévale est celle de l'absolu pouvoir de la chrétienté.
Aix la Chapelle, "la nouvelle Rome", est l'exemple non seulement de la représentation de la religion mais aussi de la représentation du pouvoir de CHARLEMAGNE. Pour permettre l'édification de telles merveilles, la féodalité maintient le peuple dans la terreur, lance ses guerriers aux quatre coins du monde pour en ramener les fruits du pillage et édifie châteaux et forteresses.
La tapisserie de Bayeux est un témoignage de cette réalité féodale. Au milieu de ce monde rustique, les monastères conservent à la fois ce qui subsiste de la culture romaine et ce qui va devenir le grand mouvement spirituel du moyen âge.
La quête de dieu "La quête de dieu" est le second volet
XIème siècle : la royauté s'est désagrégée sous l'exubérance de la féodalité ; les monastères et particulièrement ceux du sud jouent en ce siècle un rôle prépondérant dans le domaine de l'art, relayant les cours royales du nord de l'Europe . ces monastères sont alors de grands ateliers (travaux de transcription, enluminures) dont la tâche est de donner à voir l'invisible, d'être un point entre le temps et l'éternité, et leur architecture en témoigne.
Georges DUBY commente longuement cette architecture nouvelle et ce qu'elle symbolise : l'église tournée vers l'orient, la crypte, reflet de la communion des vivants et des morts, la lente émergence de l'art roman dans les voûtes, l'église haute ou les moines prient pour le peuple entier, l'abside où Jésus trône en majesté, la science des nombres et leur signification ; les monastères sont choyés en ce XIème  siècle. Pour gagner l'amitié de dieu, on donne tout aux moines à l'heure de la mort. Les monastères servent aussi de havre aux pèlerins. L'architecture monastique se veut aussi enseignement.
L'émission a été tournée en France et en Espagne : Saint Bertrand de Comminges (cloître, église), sallustre de Valcabrère (église), St Martin du Canigou (église), St Vincent de Cardona (crypte, colonnades, autel et nef), Tournus (clocher, église, monastère), Gérone (tapisserie), Tahull (fresques dont l'une évoque l'apocalypse, monastère) Conques (église, tympan, reliquaire de Ste Foy), Estaruy (cloître ). On peut voir également quelques manuscrits enluminés et diverses représentations de jésus.
Dieu est lumière "Dieu est lumière" est le troisième volet .
Cette émission est consacrée, dans la 1ère partie au règne de l'abbé de Cluny, dont la plus belle création est l'abbaye du même nom. Georges DUBY évoque, avec l'abbaye de Paray-le-Monial, réplique exacte de celle de Cluny dont il ne reste malheureusement que des ruines, ce que les formes architecturales voulaient représenter, à savoir la somptuosité du palais de dieu. On peut en voir de nombreux détails comme le chœur, les promenoirs des anges, les statues de Saints, le tympan de Moissac.
Georges DUBY parle de la vie princière des moines de Cluny ; de la construction des cloîtres, qui, au XIIème siècle, apparaît comme le trophée des monastères.
Dans la seconde partie de l'émission, Georges DUBY évoque l'apparition d'un Ordre nouveau, l'ordre de St-Bernard, abbé de Cîteaux, qui voit le retour aux formes simples, pures et dures. L'abbaye cistercienne voit le renoncement à toute fortune. On découvre également l'abbaye Notre-Dame de Sénanque, où est évoquée la vie laborieuse des moines cisterciens consacrée aux travaux des champs et à la lecture de saint-bernard. Dans le même temps, l'Abbé SUGER, de St-Denis, construit une abbaye où la lumière, signe de dieu, apparaît pour la 1ère fois avec le vitrail.
La cathédrale, la ville, l'école "La cathédrale, la ville, l'école" est le quatrième volet
A l'aube du XIIIème siècle, on assiste à une renaissance et à une prospérité des villes. Les cathédrales, dont la construction est financée par les riches pour faire pénitence, sont à la fois la maison du peuple et le monument du pouvoir. Chaque cathédrale est flanquée d'une école, car l'évêque a pour mission de transmettre la parole de Dieu. L'expansion des cités est liée à celle du savoir. Ce document nous montre l'importance du rôle d'Abélard qui enseigne que nul ne peut croire s'il n'a pas d'abord compris (triomphe de la dialectique). On y découvre également le rôle du collège (qui est diffèrent de celui du monastère) qui s'occupe des indigents et a des relations avec la cour.
Importance historique et artistique des croisades : les trésors de l'art byzantin ont influencé les sculptures religieuses postérieures à la prise de Constantinople. Le pape Innocent III fait prendre à l'église un tournant capital au seuil du XIIIème siècle grâce à Saint François d'Assises et à saint Dominique dont les messages s'adressant au cœur quant au premier et à l'intelligence quant au second, font du christianisme une religion populaire.
Louis IX roi chevalier et saint "Louis IX roi chevalier et saint" est le cinquième volet
Paris au milieu du 13ème siècle... Notre-Dame s'élève, témoin de la renaissance de l'état. Et c'est Louis IX, Saint Louis, qui incarne la royauté du moyen âge à la fois roi, chevalier et saint. C'est pour une relique achetée à Constantinople qu'il fît construire la sainte chapelle. Il ne s'inclina jamais devant le pape et ses prêtres et c'est à ce moment que la papauté cède et s'installe à Avignon.
Vers les années 1260-70, c'est le tournant du vitrail vers la grande peinture, c'est la découverte de l'œuvre d'Aristote, apportant le trouble dans l'esprit des chrétiens. C'est aussi la découverte d'autres pays, d'autres croyances à travers les voyages de missionnaires et de Marco Polo.
Au moment où l'on découvre cette joie de vivre, ce bonheur, les forces vives se déplacent vers l'Italie. Les chantiers des grandes cathédrales se ferment en France, les valeurs intellectuelles, spirituelles et esthétiques se transportent en Italie qui l'intègre à ses traditions.
Ce film a été tourné à Paris (Notre-Dame, la sainte chapelle), Fontevrault l'abbaye (gisant), assise (basilique), Avignon,(pont, palais...), Reims (cathédrale, ange de l'Annonciation) Sienne, castel Del Monte, Florence (baptistère) et Pise (baptistère, Basilique).
Les nations s'affirment "Les nations s'affirment" est le sixième volet
Cette émission est plus spécialement consacrée aux résistances tenaces que rencontra l'expansion du gothique. Les résistances les plus vives vinrent d'Italie du sud ainsi que d'Espagne où l'influence arabe et juive avaient profondément marqué l'esthétique.
C'est en Angleterre que l'art gothique fut le plus adopté tout en se transformant en fantaisie extravagante. Sur le fond uni de la chrétienté se détache de plus en plus clairement la volonté d'affirmation des nations, de leurs différences, de leurs spécificités. Mais c'est aussi la fin du rêve d'un empire chrétien et la naissance d'une Europe des nations.
Le tournant du 14ème siècle "Le tournant du 14ème siècle" est le septième volet
Au début du 14ème siècle, l'Italie exerce une influence prépondérante dans le domaine artistique et culturel. Dans le domaine artistique apparaît un retour aux origines classiques et un espoir de libération nationale refoulant les cultures étrangères. Cette résurgence est symbolisée par deux artistes DANTE et GIOTTO. Mais en Italie la cathédrale n'est plus le centre de tout. Maintenant, les hommes d'affaires donnent le ton.
A Florence (le campanile), à Sienne (les peintures des murs de la salle du conseil de la magistrature) à Padoue (les fresques de la chapelle de la reine; la peinture se métamorphose, le profane se mêle au religieux.
Cette profusion de l'art italien est arrêtée en 1348 par l'épidémie de peste bubonique "la peste noire", qui s'abat sur l'Europe et décime un tiers de sa population. Le choc de ce cataclysme brise ainsi l'unité culturelle de ce siècle.
Le bonheur et la mort "Le bonheur et la mort" est le huitième volet
L'émission s'ouvre sur des images de la fresque du Campo Sancto (en 1350, cloître à Pise), et la représentation de la mort, inéluctable et angoissante : Georges DUBY souligne cette anxiété devant la mort, caractéristique du XIVème siècle.
L'architecture, art majeur, cède le pas a l'orfèvrerie, à des formes d'art plus marchandes, plus populaires. Quelques très beaux objets nous sont présentés (reliquaires, croix...).
La vie princière "donne le ton" tant pour la piété que pour les fêtes : châteaux, bijoux, robes. Georges DUBY définit les trois grands plaisirs de la chevalerie : la chasse, la guerre, l'amour. Ces thèmes sont illustrés par les "très riches heures du duc de BERRY", la broderie de Bayeux. Il note enfin la prolifération des objets de piété, qui ne sont plus conservées dans les cryptes, mais possédées par les individus, qui les portent comme amulettes : petit triptyque en ivoire, statuettes de Saintes, de vierges (images de tendresse), de martyrs ou de christ (images du drame). L'émission se termine sur le visage douloureux du Christ de Claus SLUTER (chapelle de Dijon).
Vers les temps nouveaux
 
"Vers les temps nouveaux" est le dernier volet
La mort et l'enfer, deux concepts-clés qui dominent les arts plastiques religieux de cette fin du moyen âge, où l'on professe des "recettes de la bonne mort ". La mort est présentée dans les gisants d'une cathédrale, dans une chapelle mortuaire comprenant la statue du défunt. De très nombreuses estampes et peintures montrent des scènes de la vie de Jésus (baptême, passage de la Mer Rouge...), des saints, des représentations sadiques du supplice de Jésus, l'enfer avec des démons et des damnés.
D'autres estampes présentent des villes, des paysans, des palais, des châteaux forts et des cathédrales (intérieur et extérieur). L'Europe à cette époque est infiniment diverse et le temps ne s'écoule pas partout au même rythme.
En fait, Le Moyen Age tout entier s'engouffre dans la Renaissance. Paris n'est plus ce qu'il avait été au temps du duc de Berry, maintenant le vif de la création artistique se rassemble dans les provinces les plus prospères.
Preuve de cette diversité artistique avec quelques peintures de SUTTER, DONATELLO, MASACCIO et VAN EYCK.

 
Et voilà les Shadoks .2 : 8ème épisode 1974 Sur leur planète, les Shadoks créent les plantes, fruits et légumes, mais ce n'est pas une sinécure quand il s'agit de faire une soupe. Après un certain temps, les légumes obtiennent du temps de repos et c'est ainsi qu'apparaissent les saisons.

 
 

 

Reportage à Angoulême où se tient le 20ème salon international de la bande dessinée. Point sur la situation de la bande dessinée. Commentaire sur des images du salon et interviews de Guy DELCOURT (éditeur) : "pour moi il n'y a pas de crise car il n'y a pas crise de la création, il y a toujours de nouveaux auteurs", de Didier CHRISTMANN (éditions Dargaud) : "je reçois 150 projets par semaine, les choix sont arbitraires et douloureux", d'Alain DAVID (éditions Rackham) : "c'est l'esprit de l'édition de prendre des risques", de TRONCHET (dessinateur) sur le magazine Fluide Glacial. 1993
Internet et droits d'auteur Piratage musique sur Internet
2003
Reportage. Dossier sur le piratage de musique sur Internet. Le sujet évoque l'inefficacité du "copy controlled", système mis en place par EMI pour éviter la fraude. Commentaire sur images tournées chez un particulier qui pirate des disques, caméra cachée chez un vendeur informatique, divers de bacs à CD dans un magasin FNAC. Interview d'Hervé LEMAIRE, directeur d'EMI France.
Chute des ventes de disque due essentiellement au piratage des albums sur internet. La compagnie EMI lance une guerre contre le piratage et mise sur le téléchargement payant. Elle a mis en place un logiciel pour empêcher le copie de ces CD, le "copy controlled", système jugé inefficace et rend les CD illisibles dans certains lecteurs.
lutte contre le piratage de musique
2004
Reportage. Dans la lutte contre le piratage de musique, un projet prévoit de priver les pirates d'accès Internet. Commentaire sur alternance d'images de magasin de disques, de site de téléchargement de musique, d'extrait de clip vidéo, d'interviews de Pascal NEGRE, Président d'Universal Music France, d'un pirate et de Julien DOURGNON, UFC-QUE CHOISIR.
 -- La lutte contre le piratage via Internet s'organise. Un comité a été installé aujourd'hui. Les œuvres littéraires mais aussi le disque et le film sont directement menacés par la possibilité de faire des copies gratuitement. Une idée choc a été évoquée : priver les pirates de connexion Internet.


Loi sur le téléchargement de musique votée cette nuit : des amendes
17/03/2006
Reportage consacré au projet de loi concernant les droits d'auteur sur internet : les députés prévoient toute une série de sanctions contre le piratage. Interviews de Renaud Donnedieu de Vabres, ministre de la culture et de la communication, Nicolas Dupont-Aignan, député UMP de l'Essonne.
 La bataille menée par le ministre de la culture sur les droits d'auteur en matière de téléchargement a été houleuse Les députés ont terminé fort tard l'examen du texte qui prévoit un panel de sanctions contre le piratage et sur la transmission d'œuvres piratées Le gouvernement voudrait protéger les artistes et qu'ils soient rémunérés: " Il fallait avoir le courage de dire, et ce n'est pas facile, que la gratuité ne permet pas la rémunération du travail des artistes, alors vous n'êtes pas populaire lorsque dans un premier temps, vous dites cela, un artiste a le droit de diffuser son œuvre gratuitement pour se faire connaitre mais il a aussi le droit de vouloir vivre de son travail..." le ministre défend les sites de téléchargements payants.. certains cependant à gauche comme à droite sont mécontents, cette loi est contraire à l'esprit internet " je suis triste que l'on ne comprenne pas ce qu'est l'innovation internet et que l'on vote une loi totalement inapplicable..." fin d'un feuilleton parlementaire ou la licence globale a été enterrée.

 
nouvelle musique brésilienne
2005
Reportage. Présentation du "Forro", nouvelle danse brésilienne qui arrive en France avec le groupe de danseurs et chanteurs "O Karaïva", en tournée tout l'été. Un commentaire sur des images factuelles alterne avec les interviews de Daniel VANGARDE, producteur, et Maria VON SMIGAY, danseuse.

 
Musique russe
1989
Un concert à Bercy du Grand Orchestre Symphonique de Moscou qui interprétera TCHAIKOVSKI et PROKOFIEV. Des extraits du film "Ivan le terrible" d'EISENSTEIN seront diffusés durant le concert. Extraits des répétitions et interview de Vladimir FEDOSSEIEV, chef d'orchestre ; selon lui, cette musique illustre le rapport entre le pouvoir et le peuple et tous les problèmes qui en découlent.

 
Musique : la french touch
2000
Reportage. La Grande-Bretagne et les Etats-Unis n'ont d'yeux que pour les compositeurs électroniques français comme Modjo, Bob SINCLAR. Une french touch qui séduit les plus grandes stars de la musique comme Madonna. Commentaire sur images de vidéoclips de MADONNA, Daft Punk, Bob SINCLAR, Modjo et Mirwais en alternance avec les interviews de Bob SINCLAR et de Philippe LAUGIER, responsable artistique électronique BARCLAY Universal.
Cadence Béjart a créé sur une musique de Xénakis
1969
Répétition de l'œuvre de Xénakis "Nomos Alpha". Extrait de la chorégraphie de Maurice Béjart sur cette musique avec le danseur Paolo Bartolucci. Entretien entre Xénakis et Béjart sur leur collaboration artistique.
Arcana connaissance de la musique La musique et la danse - 1973 Ce numéro de Arcana s'attache à définir les relations qui unissent étroitement musique et danse. Chorégraphes, danseurs et compositeurs donnent leur sentiment par rapport à ce problème.

L'HYMNE NATIONAL - 1972

 

Maurice LE ROUX, assis au piano, évoque, dans une analyse musicologique, l'hymne national français mais aussi d'autres types d'hymnes (mauritanien, égyptien, celui des Jeux Olympiques créé pour chaque olympiade, celui pour l'ONU créé par Pablo Casals ainsi que "Hymnen" de Stockhausen composé à partir de 40 hymnes nationaux).
 Intw de Jean Loup TOURNIER à propos des droits d'auteur attachés à l'exécution des différents arrangements de la Marseillaise ou d'autres hymnes nationaux.
- Tolia NIKIPROWETZKY, compositeur de l'hymne national mauritanien, explique quels problèmes il a dû résoudre.
- Maurice FLEURET analyse "Hymnen" de Stockhausen.
- En ce qui concerne la "Marseillaise" Maurice LE ROUX met en évidence son côté symbolique de l'élan révolutionnaire et place son écriture dans la perspective de la composition musicale des XVIIIème et XIXème siècles.
- Henri BARRAUD raconte comment s'est faite l'orchestration de la Marseillaise par Berlioz quand il s'est agi d'en faire l'hymne national.
- Henri BARRAUD et Philippe PARES expliquent les polémiques existant sur la paternité de Rouget de l'Isle pour la musique.
Le son : deuxième partie - 1968 Pierre VOZLINSKY enseigne les mécanismes physiologiques de l'audition tandis que Maurice LE ROUX s'intéresse à la notion de la poésie des sons. Le premier apporte des explications théoriques, le second, lui, s'entretient successivement avec différents professionnels du son : le professeur BARRAQUE, l'ethnomusicologue Gilbert ROUGET, le poète Philippe SOUPAULT, le compositeur et cinéaste Michel FANO et enfin, Pierre SCHAEFFER, directeur du Groupe de Recherche Musical de la RTF. Chacun apporte sa perception du son et sa place dans les différents arts. Le propos est illustré par des schémas pédagogiques, des iconographies, des photographies, des extraits de films, des lectures de poésie, des démonstrations et expérimentations sonores.
Darius MILHAUD parle de Paul CLAUDEL
1971
Le musicien Darius MILHAUD, ancien secrétaire de Paul CLAUDEL et compositeur de plusieurs opéras sur des livrets de l'écrivain, interviewé chez lui par Maurice LEROUX, considère CLAUDEL comme un artiste véritablement inspiré et raconte une anecdote liée à la création de la cantate "La sagesse" sur un texte de CLAUDEL. Ses propos sont illustrés de deux photographies de Paul CLAUDEL.
Claude Nougaro : la chanson populaire
1971
Claude Nougaro donne son avis sur la chanson populaire qui, selon lui, n'existe plus. Elle est devenue pour lui une affaire de "camelots", et reproche aux femmes de participer largement au vedettariat à travers un fanatisme "nigaud". En insert, images de fans et pressage d'un disque vinyl.
Musique pour : la musique et l'environnement : 2ème partie
1976
Etude de l'influence de la musique sur le comportement.
Henri Pierre JEUDY (sociologue) explique pourquoi et comment la musique est employée comme thérapeutique.
Séance de musicothérapie sous la conduite de monsieur JOST (musicothérapeute). Interview de Liliane AZINALA (jardinière d'enfants) sur les rapports entre la musique et l'enfant.
Extrait de film : Juliette ALVIN joue du violoncelle à des enfants trisomiques qui  communiquent grâce au son.
Expériences du professeur Alfred TOMATIS (psychothérapeute) avec deux musiciens Bruno PASQUIER et Jacques PORTE : l'oreille joue le rôle d'un filtre. Elle s'adapte au milieu ambiant. Madame AUMONT et Alfred TOMATIS montrent les résultats du traitement par la musique ou la voix maternelle sur des enfants autistes.
Extrait de "Naissance" de Frédéric LEBOYER. Cours d'expression corporelle sur rythmes africains dirigés par Herns DUPLAN.
En Français dans le texte Une musique nouvelle
1961
Trois musiciens jouent une mazurka sur des instruments révolutionnaires. L'un d'entre eux François BASCHET, interviewé par Jacques MOUSSEAU, présente les instruments qu'il a conçus, dont une guitare pneumatique. Il explique pourquoi il a senti le besoin de créer ces instruments, ces nouvelles structures sonores et pourquoi il ne les diffuse pas. Jacques LASRY, le compositeur, fait une démonstration de ce que l'on peut jouer sur ces instruments, dont une œuvre adaptée de Bach. Il explique sa manière de composer, en essayant de retrouver certains bruits de la nature et de la vie moderne.
Palmarès des chansons Sambre et Meuse - 1967 L'armée de l'air joue "Sambre et Meuse".
Bains de minuit Marcel Romano et la musique de film - 1988 Interview de Marcel ROMANO qui évoque la musique jazz comme musique de film avec l'exemple de Miles Davis auteur de la bande son d' "Ascenseur pour l'échafaud" de Louis Malle.
Philippe Starck à propos de ses architectures
1987
Reportage dans un premier temps à Amsterdam où Philippe Starck présente le bâtiment "De Waag", en cours de réaménagement. Il explique la modernité et la complexité "polymorphe" de l'immeuble, illustrées par l'insert de dessins et d'images de synthèse. Ensuite, Philippe Starck est à Tokyo. Il présente la structure, les matières et le décors très massifs et imposants d'un immeuble dont il a été l'architecte. L'insert de photographies illustrent ses commentaires. Le reportage se termine dans les rues de Tokyo puis dans un karaoke où Philippe chante, entouré de japonais.
Ernesto SABATO à propos du tango
1987
Extrait d'un film de Jean-Pierre Thibaudat pour la Sept, avec le concours de Libération : Ernesto SABATO s'exprime sur le tango, en français.
Jean Louis AUBERT - 1988 Entretien avec Jean Louis AUBERT à propos de sa dernière tournée "Aubert & Co" ; ses relations avec les anciens du groupe "Téléphone".
Les garçons bouchers - 1988 Entretien avec les membres du groupe "Les garçons bouchers" sur leur formation il y deux ans et leur nouveau label "Boucherie productions".
Freddie MERCURY et Montserrat CABALLE
1987
Chronique du 33 tours "Barcelona" de Freddie MERCURY et Montserrat CABALLE par les animateurs réunis autour d'une table. Présence d'inserts.
  Portrait de Thomas Dutronc, chanteur, guitariste, compositeur
2007
Portrait de Thomas DUTRONC, chanteur et guitariste de jazz manouche. Des extraits du clip "j'aime plus Paris" alternent avec des archives du musicien Django REINHARDT, des images de l'artiste en répétition et sur scène, lors d'un concert donné à la Cigale le 11 décembre 2007.
Interview de Jérôme CIOSO, guitariste et de Pierre BLANCHARD, violoniste.
Jazz portrait

Art Blakey, ses modèles et le Modern Jazz
1974

Répondant aux questions d'André FRANCIS, le batteur Art BLAKEY égrène les noms des musiciens qui l'ont influencé et porte une opinion positive sur le "Modern jazz". propos traduits off par André FRANCIS.
Martial Solal et la musique de film Musicien et compositeur de musique, Martial SOLAL estime que la musique de jazz convient bien aux films d'action et aux polars. 1970
Martial SOLAL et le free jazz
1970
Le musicien français de jazz Martial SOLAL explique à Henri RENAUD son approche du piano en évitant de tomber dans le travers du "free jazz" qui consiste selon lui "à jouer un peu trop, n'importe quoi, n'importe quand, n'importe où".

Interview Martial SOLAL ses gammes

Chez lui, devant son piano, Martial SOLAL explique à Henri RENAUD comment il travaille son piano, joue un passage rapide d'une œuvre classique et explique comment il a calfeutré son piano pour ne pas déranger ses voisins.
Discorama Martial Solal à propos de la musique du film "A bout de souffle" Interrogé par Jean DESAILLY, le pianiste Martial SOLAL raconte la naissance de son goût pour le jazz (en écoutant "Radio Alger") et dit quelques mots de sa collaboration avec Jean Luc GODARD sur le film "A bout de souffle".

 
Miles Davis et la créativité dans la musique
1986
Interview de Miles DAVIS qui évoque son envie de faire un clip musical afin d'accompagner ses thèmes musicaux. Il explique qu'à travers son dernier album il a voulu proposer des "fragments de chaque morceau" comme "Worried" d'Alan BERG.
Le cercle de minuit Jordi SAVALL
1993
Jordi SAVALL a interprété la musique du film "Tous les matins du monde", qui a eu beaucoup de succès autant auprès du public que des professionnels. Cet interprète de musique ancienne évoque ses origines culturelles catalanes. Puis il détaille minutieusement la viole de gambe, ses origines, la manière d'en jouer, ses sonorités et ses particularités. Il illustre son "exposé" en jouant un peu de la viole de gambe. Selon lui jouer et diriger sont deux choses à la fois différentes et complémentaires
William Christie, Véronique Gens et Marielle Khoury à propos de "King Arthur"
1995
Laure ADLER reçoit William CHRISTIE pour l'opéra "King Arthur" dont il a assuré la direction musicale. Il parle de ce spectacle qu'il définit comme un joli conte de fée, une comédie musicale à l'américaine et raconte brièvement le livret. Il explique comment il a "traficoté" la musique de PURCELL, musique spontanée et fraîche exprimant la joie de vivre. Il évoque PURCELL qu'il décrit comme un homme qui adore la vie et la passion.
L'entrevue avec William CHRISTIE est entrecoupée d'un reportage tourné au théâtre du Chatelet où l'on découvre le spectacle "King Arthur". Egalement présentes sur le plateau, la chanteuse soprano Véronique GENS parle de sa prestation dans "King Arthur" et Marielle KHOURY évoque PURCELL en référence au livre qu'elle lui a consacré en collaboration avec William CHRISTIE.
William Christie, Jean Marie Villegier, Béatrice Massin à propos de "Médée"
1993
En direct de la salle Souplex au Théâtre de l'Empire, Michel FIELD reçoit l'équipe qui monte actuellement l'opéra de Marc-Antoine CHARPENTIER "Médée" : William CHRISTIE assure la direction musicale de la pièce, Jean Marie VILLEGIER, la mise en scène et Béatrice MASSIN, la chorégraphie. Ils parlent de leur travail sur la pièce et du plaisir qu'ils éprouvent à collaborer ensemble. Les autres invités sont Claire ALBY venue présenter le reportage "A la recherche de Médée" prochainement diffusé sur France 3 et Patrice CAUCHETIER venu parler des costumes de la pièce. Au cours du débat, diffusion d'un extrait de l'opéra "Atys" de Lully créé à l'Opéra Comique de Montpellier en 1987 et d'un extrait de "A la recherche de Médée" réalisé par Gérald CAILLAT. Sur le plateau, les ballets RIS et DANCERIES dansent un extrait de la chorégraphie de "Médée" en tenue de répétition. Jean Louis CHARBONNIER, à la viole de gambe, et Maurizio BURAGLIA au théorbe interprètent "La Monguichet" de Louis de Caix d'HERVELOIS.
Carlos Fuentes à propos de la musique mexicaine traditionnelle, la révolution en Amérique Carlos Fuentes, accompagné de Régis Debray est l'invité spécial de ce numéro de "Le Cercle de minuit". Suite de la conversation à trois sur le Mexique. Après un exposé sur la musique populaire mexicaine, Laure Adler propose de parler des révolutions en prenant l'exemple de Cuba. Puis revenant au Mexique, les intervenants décrivent la situation au Chiapas. Carlos Fuentes raconte comment les "corridos" qu'interprètent les mariachis sont considérés comme un véritable " journal parlé" dans la région. Après avoir regardé une archive INA sur l'entretien avec Fidel Castro en 1969, Carlos Fuentes pense qu'à l'échelle planétaire, la révolution cubaine a été comme asphyxiée par la Guerre Froide. La conversation revenant sur le Mexique, Carlos Fuentes expose les raisons du soulèvement des paysans du Chiapas.
Art SPIEGELMAN - 1995 Art SPIEGELMAN présente ses deux ouvrages intitulés MAUS, et décrit la genèse de ses bandes dessinées illustrant l'extermination des juifs par des souris persécutées par des chats nazis.
Spike LEE à propos de "Malcolm X"
1993
En direct de la salle Souplex au Théâtre de l'Empire, Michel FIELD reçoit Spike LEE et  Fode SYLLA  pour parler du film "Malcolm X".
Le réalisateur parle du personnage de MALCOLM X et de l'évolution de cet homme à travers sa vie. Il évoque également l'importance de l'autobiographie de MALCOLM X dans sa vie qui a changé sa vision du monde.
Fode SYLLA à propos de "Malcolm X"
1993
Le président de SOS RACISME, et auteur du livre "Qui a peur de Malcolm X" parle des vertus pédagogiques du film notamment auprès de jeunes de banlieue qui ont découvert MALCOLM X à travers le rap

 
Pierre HENRY et LA FONTAINE
1998
Sur la scène du Trianon de Versailles, Pierre HENRY met en scène un spectacle pour la fête de la musique.
- Interview du compositeur qui explique comment il marie la musique concrète et l'œuvre de Jean de LA FONTAINE.
 - Interview de Francis PERRIN qui incarne Jean de LA FONTAINE dans le cadre de ce spectacle.

 
Les oubliés de la musique : Edouard LALO
1983
Alain JOUFFRAY revient sur la vie de Edouard LALO (1823-1892), compositeur lillois, qui a souffert toute sa vie de la "non-reconnaissance" de ses pairs. Alors que la mode est à la musique légère, il s'intéresse à la musique de chambre et fonde le quatuor Armingau. C'est sa rencontre avec SARASATE qui lui permettra de réussir dans le genre symphonique et connaît le succès avec la Symphonie espagnole. Mais c'est avec la plus grande difficulté qu'il essaye de monter son opéra « Le roi d'Ys ».

 
Musique populaire 2ème partie : Le groupe flamand HAEGHEDOORN Présentation du groupe folklorique HAEGHEDOORN (l'aubépine) qui perpétue la tradition flamande en jouant lors de fêtes populaires comme la Saint Martin, ou dans des cafés tels que "Le refuge du renard", où l'on danse et chante depuis plusieurs décennies. Martial WAEGHEMACKER animateur au centre socio éducatif d'Hazebrouck, Claude CLAEYS, Laurent CLAEYS qui joue de plusieurs instruments et en vend, Irène VANDERBERGHE enseignante dans la banlieue lilloise composent le groupe. Ils parlent de leur musique et de leur travail de collection de musiques traditionnelles pour les faire revivre. Plusieurs chansons du répertoire traditionnel folklorique et populaire flamand sont interprétées dans les lieux où le groupe se produit.

 
Musique populaire 3ème partie : "ESTAMPIE" Rencontre avec le groupe "ESTAMPIE" et présentation de l'un de leurs instruments anciens : la vielle. D'une part, un facteur de vielle, Jean-Pierre LECLERCQ a réalisé une nouvelle roue de vielle; d'autre part Marie-France MONGIN joue de l'instrument. Le répertoire d'"ESTAMPIE" intègre aussi bien la musique folk que la musique ancienne avec des instruments tels que la viole de gambe, le rebec, les instruments à anches..
Têtes de l'art

Anne-TEREZA DE KEERSMAEKER: la musique et la danse
1993

Portrait de la chorégraphe belge Anne-Tereza DE KEERSMAEKER, principale invitée du festival Octobre en Normandie. Extrait du spectacle et interview où elle explique qu'elle accorde une grande importance à la musique sur scène. Thierry DE MEY, le compositeur, évoque sa façon de travailler.
Alberto GIACOMETTI
1980

En pré-générique, Jean Marie DROT explique dans quel esprit il a réalisé cette émission. L'émission démarre sur le générique, peinture à l'huile de GIACOMETTI, et logo de la Closerie des Lilas, avec en off la voix d'Alberto GIACOMETTI.
Puis interview en noir et blanc de 1963 du sculpteur dans son atelier au 46, rue Hippolyte-Maindron à Paris, insérée dans un reportage en couleurs de 1978 à la Fondation MAEGHT à Saint Paul de Vence, de l'exposition consacrée au sculpteur. Mise en perspective des propos de 1963 sur les images des œuvres en 1978 tout au long de l'émission.
Longue séquence sur les sculptures dans le parc de la fondation puis dans les salles de l'exposition. Citations en image de Jean GENET puis d'Alberto GIACOMETTI.
Rencontres de Jean Marie DROT en 1963 avec quelques jeunes artistes de Montparnasse : Riva BOREN, Shirley GOLDFARB et le graffiste Jacques DARCHE qui évoquent le sculpteur.
La rue Hippolyte-Maindron et l'atelier à l'extérieur filmés en 1979. Retour sur l'atelier en 1963, Alberto GIACOMETTI répond aux questions tout en travaillant sur une ébauche en terre d'une sculpture. Il explique que la sculpture étant le domaine qui lui échappait complètement il était nécessaire pour lui de faire de la sculpture afin de s'en débarrasser, sans jamais y parvenir puisque ses œuvres ne correspondent pas à ses désirs.
Brève évocation de la sculpture grecque classique et de la sculpture africaine par quelques images d'une tête classique, et de têtes africaines. Nombreux dessins alors qu'Alberto GIACOMETTI dit la nécessité de retrouver la structure du crâne pour dessiner un portrait. "Chacun devient tout le monde, tout en restant particulier".
Il raconte son arrivée à Montparnasse, ses rencontres avec les surréalistes (MASSON, BATAILLE, LEIRIS, QUENEAU) vers 1928-1930, sa première rupture au moment du départ d'ARAGON du mouvement surréaliste.
Il parle de son intérêt pour la figure humaine, il veut savoir comment se tient la tête dans l'espace. L'impressionnisme, les arts primitifs, la photographie, le cinéma ont entraîné la dévalorisation du sujet dans la peinture. Il est revenu à la peinture quand il n'a plus cru à la vision photographique. Il explique son rapport à l'idée de la mort, sa peur du noir et son besoin de lumière. Pour lui, le spectateur ne voit jamais ce que lui a vu, et donc il y a un continuel malentendu.
Extrait de l'interview d'Alberto GIACOMETTI à Zurich dans une salle de l'exposition qui lui est consacrée en 1963. Pour lui, son travail n'est jamais qu'une série d'esquisses qui lui donne l'impression d'avancer dans sa compréhension de ce qu'il cherche.

Les métamorphoses du regard
1974
1ère partie : les dieux de la nuit et du soleil Première partie d'une conversation entre André MALRAUX, Pierre DUMAYET et l'historien Walter LANGLOIS sur le thème de l'art. Chez lui à Verrières-le-Buisson, l'écrivain et ancien ministre expose sa vision du musée imaginaire, et les rapports qui peuvent exister entre l'art et le sacré. De l'influence des anciens, et plus particulièrement de l'art nègre sur les artistes tels que Picasso, Matisse, Derain..., de l'influence de l'Egypte et de l'art sumérien sur les représentations modernes, l'écrivain analyse les racines religieuses de l'art et sa finalité plus métaphysique que purement esthétique. Il évoque également les énigmes de l'art grec et de l'art byzantin.
Au générique, tableaux de Chagall, Miro.
Les propos d'André MALRAUX sont illustrés d'images des œuvres (surtout des détails) des artistes et des arts auxquels il fait référence au fil de son analyse : œuvres de la statuaire grecque (comme la Vénus de Milo), égyptienne, précolombienne, indienne, sumérienne, (grande déesse sumérienne) représentant essentiellement des divinités, préhistorique (Vénus de Lespugues, dessins rupestres), œuvres de Jean Siméon Chardin ("Le jeune dessinateur"), de Picasso ("Les demoiselles d'Avignon", détails) en regard de différentes œuvres d'art nègre (statues, fétiches, masques) qui l'ont influencé, fresque de Giotto ("Entrée dans Jérusalem" de la chapelle Scrovegni à Padoue), statues de la cathédrale de Chartres (?), tableau de Botticelli ("La naissance de Vénus"), mosaïques italiennes, tableau de Goya ("El tres de Mayo"), bas-relief des Panathénées (frise des Ergastines), mosaïques byzantines à Ravenne...
2ème partie : les maîtres de l'irréel Deuxième partie de l'entretien qui réunit chez lui, à Verrières-le-Buisson, André MALRAUX, Pierre DUMAYET et Walter LANGLOIS sur le thème de l'art et du sacré.
MALRAUX évoque le pouvoir de création, puis disserte sur la sculpture et l'architecture. Son propos est très largement illustré par des plans des statues qui ornent l'intérieur et l'extérieur de cathédrales (Reims, Strasbourg, Beaulieu, Moissac, Chartres), du Parthénon, des grottes de l'Inde (photo).
MALRAUX analyse la signification des mosaïques byzantines (notamment du fond d'or), des fresques de Giotto (le fond bleu) et de Fra Angelico, ainsi que celle des vitraux des cathédrales. Puis, le sourire (rare dans l'art) de l'Ange de la cathédrale de Reims, l'image de la Vierge (icône de la Vierge de Cambrai), la fiction, l'idéalisation, les différentes représentations de Vénus sont des sujets sur lesquels l'écrivain semble intarissable.
Vitrail de Chagall (détails), "Entrée dans Jérusalem" et "Le baiser de Judas" de Giotto (fresques de la chapelle Scrovegni à Padoue), "Vierge au chancelier Rolin" de Van Eyck, tableau de Masaccio ("Il tributo"), de Fra Angelico ("Descente de croix"), tableau de Botticelli ("La naissance de Vénus"), "Vénus" de Titien, de Rubens (?), "Vierge et l'Enfant, Jésus avec Sainte Anne" de Léonard de Vinci, "Vierge à l'enfant" de Filippo Lippi, "Les Régentes de l'hospice de vieillards à Haarlem" de Franz Hals, "Les trois baigneuses" de Cézanne, "Les Instruments du fumeur" et "Le jeune dessinateur", "La jeune fille à la perle" et "La jeune femme à l'aiguière" de Vermeer.
3ème partie : le monde sans dieux
 
Troisième et dernière partie de l'entretien qui réunit chez lui, André MALRAUX, Walter LANGLOIS et Pierre DUMAYET.
MALRAUX élabore une définition de la beauté et de son mythe, puis du surréalisme et ses limites à l'art moderne en passant par l'art abstrait sans oublier les arts dits primitifs. L'écrivain continue d'élaborer sa réflexion sur l'art et la vie.
Avant et sur le générique, tableaux de Picasso, "Le lion affamé" du douanier Rousseau, dessin de Matisse. Mosaïques, différents visages de statues de l'Antiquité dans différentes civilisations. Mosaïque byzantine. "Le Printemps" de Botticelli, "Olympia" de Manet, "Tournesols" de Van Gogh, "L'Infante Marguerite" de Velasquez, "Vénus" de Titien, "Berthe Morisot" de Manet, plusieurs tableaux de Goya dont "Chronos dévorant ses enfants" et "Il tres de Mayo", œuvres de Picasso en relation avec la guerre d'Espagne, "La mort de Maximilien" de Manet, "L'asperge" de Manet, "Sabbat" de Goya, "L'Estaque" (1878-79) de Cézanne, "La chambre de Van Gogh à Arles" de Van Gogh, "Le lion affamé" du douanier Rousseau, "La Forêt" de Max Ernst, nombreux tableaux de Picasso à différentes périodes de sa vie (dont les "Demoiselles d'Avignon"), tableau de Kandinsky, "Golden afternoon" de Balthus, tableau de Mondrian, "Arearea" de Gauguin, "Paul Guillaume" de Modigliani, tableau de Fernand Léger, de Kandinsky, Chagall, masques et fétiches africains, tête de mort, têtes de différentes divinités sumériennes, tableau cubiste, la grande déesse sumérienne, "Les joueurs d'échecs" d'Honoré Daumier, "La Crucifixion" de Matthias Grünewald, Agnès Sorel en "Vierge à l'enfant" par Jean Fouquet, "Le Chemin de Croix" (ou "Le Portement de la croix") de Jérôme Bosch. Portrait de Giacometti, Autoportrait de Van Gogh, "Jungle" du Douanier Rousseau
Les dernières minutes mêlent des images d'archives de la guerre d'Espagne avec des plans d'œuvres (détails) inspirées par ce thème (notamment de Picasso, Miro).

 

Musique du vieux monde
1976

Dans la chapelle de Saint-Gonery, le Quatuor vocal du Léon, créé par l'Abbé ABJEAN, entoure la chanteuse bretonne Eliane PRONOST. Ils interprètent des chants traditionnels religieux ou profanes, avec des harmonisations propres au groupe sur cette toile de fond qu'est la petite chapelle du XVème siècle.
Roger ABJEAN parle de ses recherches musicales et de la manière dont il harmonise les chants du vieux monde. Il transpose des textes bretons sur ces mélodies anciennes et explique comment il organise ses quatuors.

 
Le beatbox ou l'art de faire de la musique avec la bouche- 2008 Le championnat des beatboxers à Londres. Avec des participants des quatre coins du monde. Des ateliers sont organises pour les enfants qui veulent apprendre cette forme d'art très particulière qui revient à utiliser sa bouche comme un instrument de musique.

 
Le renouveau de la musique traditionnelle irlandaise La musique traditionnelle irlandaise a parfois une image poussiéreuse, mais avec des groupes comme Liadan, une formation entièrement féminine récompensée au festival interceltique de Lorient, la scène irlandaise est en fait jeune et vibrante. Rencontre avec le groupe Liadan lors du festival "Dublin Temple Bar Tradfest", qui accueille 40.000 passionnés.

 
Cesaria EVORA
2001

Cesaria EVORA entame une tournée de concerts en France, n'hésitant pas à se produire dans des petites villes comme Saint Dizier en Haute Marne.
Images de Cesaria EVORA lors d'un enregistrement en studio, dans les rues du Cap Vert, rues de Saint Dizier.
Extrait du concert avec interviews des spectateurs.
Interview de Césaria EVORA sur sa carrière.


 
Cesaria EVORA
2002
La chanteuse cap verdienne Cesaria EVORA est sur l'île du Gaou, à l'occasion du festival des musiques du monde de Six Fours : extrait de son concert.
Interviews de Dominique LUCCHETTI, directeur du festival "Les voix du Gaou" et de la chanteuse sur le contenu de ses chansons.

 
Cesaria EVORA
2004
La chanteuse cap-verdienne Cesaria EVORA est à Paris, à l'occasion d'un concert. Images d'illustration du Cap Vert.
Extrait d'un de ses concerts à Amsterdam.
Interview de la chanteuse

 
Le tango
2001
Reportage. De la Cité de la musique au Théâtre national de Chaillot, en passant par une cinquantaine de cabarets, clubs et lieux divers, Paris célèbre le tango du 4 au 27 mai. Au programme, une série de concerts, de récitals, de bals populaires, de cours de danse gratuits et de conférences. Commentaire sur images factuelles, images d'archives, interviews de Juan CEDRON, orchestre "la Tipica" et Nestor MARCONI, bandonéiste.
Paris s'apprête à chavirer pendant un mois au rythme du bandonéon, des pas glissés et des claquements de talons pour célébrer le tango qui a fait de la capitale française la sœur de Buenos Aires. De la Cité de la musique, à La Villette, dans le nord de Paris, au Théâtre national de Chaillot, en passant par une cinquantaine de cabarets, clubs et lieux divers, où le tango est à l'honneur toute l'année, les bords de Seine vont ainsi se transformer, du 4 au 27 mai, en trottoirs de Buenos Aires. Durant ce festival, qui se veut une réplique du Buenos Aires Tango, qui réunit chaque année un million de passionnés venus de toute l'Amérique latine, une trentaine de groupes et de solistes vont enflammer la seconde capitale du tango. Au programme, une séries de concerts, de récitals, de bals populaires, de cours de danse gratuits pour tous niveaux et même, pour souligner la dimension également spirituelle du tango, de conférences.

 
Manu Chao - 2001 Reportage. Au lendemain du concert de Manu Chao à la Halle de la Villette à Paris, portrait du musicien engagé au succès planétaire, devenu un symbole de l'antimondialisation. Commentaire sur images de concert et de Manu Chao au Mexique à Tijuana, et extrait d'un clip vidéo ("Me gustas tu") en alternance avec les témoignages de spectateurs et les interviews de Manu CHAO au Mexique qui parle des sons qu'il crée et à Gênes en juillet 2001 où il dénonce une certaine dictature économique actuelle.

 
Youssou N'DOUR - 2004 Rencontre de Youssou N'DOUR à Fès, lors du festival des musiques sacrées.

 
Michael NYMAN - 2001 Portrait de Michael NYMAN, compositeur de musique contemporaine, auteur de la bande originale de "La leçon de piano" ou encore "Meurtre dans un jardin anglais". Il mélange le classique et le baroque avec des sonorités plus contemporaines. Commentaire sur images factuelles, extraits du film "La leçon de piano" et interview de l'artiste.

 
Jimi HENDRIX 2002 Reportage consacré à l'hommage rendu à Jimi HENDRIX à la Cité de la Musique. L'exposition raconte l'histoire d'une carrière courte et flamboyante et tente d'expliquer comment le jeune musicien a changé la musique populaire.
Le commentaire sur des images de l'exposition alterne avec les interviews de Johnny HALLYDAY, de Jean Louis RANCUREL, photographe et de Mitch MITCHELL, batteur de "Jimi Hendrix Experience".
La Cité de la Musique accueille du 19 octobre au 12 janvier 2003 une exposition consacrée à l'œuvre et à la vie de Jimi Hendrix , un des plus célèbres symboles du rock du XXème siècle, dont l'influence est toujours sensible plus de 30 ans après sa mort à Londres, à l'âge de 27 ans.

 
fado : Misia Reportage. Portrait de la chanteuse de fado, Misia, en tournée dans toute l'Europe. Alternance de commentaires sur images de la chanteuse avec l'interview de Misia.

 
Tryo au Festival des Francofolies de la Rochelle - 2004 Reportage consacré au groupe Tryo au Festival des Francofolies de la Rochelle. Commentaire sur alternance d'images du groupe sur scène et d'interview de celui-ci.