Re: Raphaël Ibanez et le staff

**krahknardz** Mar 22 Sep 2015 - 11:02

http://www.rugbyrama.fr/rugby/coupe-du-monde/2015/mondial-2015-ceremonie-d-ouverture-la-surprise-japonaise-les-all-blacks.-la-semaine-d-ntamack_sto4921061/story.shtml

Qu'est-ce que N'tamack est allé foutre en Angleterre??? Il n'a pas autre chose à faire, du genre entraîner les 3/4 d'une équipe localisée en Gironde? redcard

Adrien Mar 22 Sep 2015 - 11:06

**patrick** Mar 22 Sep 2015 - 12:49

krahknardz a écrit:http://www.rugbyrama.fr/rugby/coupe-du-monde/2015/mondial-2015-ceremonie-d-ouverture-la-surprise-japonaise-les-all-blacks.-la-semaine-d-ntamack_sto4921061/story.shtml

Qu'est-ce que N'tamack est allé foutre en Angleterre??? Il n'a pas autre chose à faire, du genre entraîner les 3/4 d'une équipe localisée en Gironde?

krahknardz, rien ne te dit qu'Emile ne regarde pas les matchs depuis son canapé Raphaël Ibanez et le staff - Page 26 548764

léopold Mar 22 Sep 2015 - 14:48

Oui c'était aussi ma première réflexion, mais, tout ce beau monde bénéficiait d'une semaine de congés, à eux d'en faire ce que bon leur semble, normal.
Il est vrai qu'une grande ligne droite de 14 matchs consécutifs va succéder, pourquoi pas ne pas en profiter pour voir les techniques, les combines des uns et des autres, même s'il est vrai qu'à ce jour le spectacle n'est pas très engageant.
ça va viendre!!!

**hurluberlu** Mar 22 Sep 2015 - 14:55

Et pas besoin d'être sur place pour enchaîner autant de banalités.
Faudrait peut-être que nos chers médias finissent par comprendre que la double casquette consultant/entraîneur (ou joueur) en activité produit rarement autre chose que de l'eau tiède et les bâillements du public.
Au mieux, ça meuble.

**krahknardz** Mar 22 Sep 2015 - 18:12

patrick a écrit:
krahknardz a écrit:http://www.rugbyrama.fr/rugby/coupe-du-monde/2015/mondial-2015-ceremonie-d-ouverture-la-surprise-japonaise-les-all-blacks.-la-semaine-d-ntamack_sto4921061/story.shtml

Qu'est-ce que N'tamack est allé foutre en Angleterre??? Il n'a pas autre chose à faire, du genre entraîner les 3/4 d'une équipe localisée en Gironde?

krahknardz, rien ne te dit qu'Emile ne regarde pas les matchs depuis son canapé

D'après l'article, il ne semble pas être vraiment sur Bordeaux...

Adrien Mar 22 Sep 2015 - 19:23

léopold Mar 22 Sep 2015 - 20:11

Si, Emile était pendu au téléphone cet AM à Moga.
Conformément au planning figurant sur le site du club, une trentaine de fidèles attendaient les garçons sur le pré vers 15h30 en compagnie de ces Messieurs de la presse locale.
Las à force de ne voir rien venir et d'assister un un ballet de joueurs via les voitures, à question posée réponse, pas d'entrainement c'est AM.Le matin ayant été bien rempli.
Au moins on aura aperçu Carter en plein ITW avec NLG et discuté 2mn avec Nans Ducuing au sujet de son match à Clermont.
On viendra donc à l'avenir sur RV et peut être plus du tout. mad2

**le radis** Ven 20 Nov 2015 - 9:31

SUD OUEST EDITION ABONNES Publié le 20/11/2015 à 07h47 , modifié le 20/11/2015 à 08h55 par Nicolas Le Gardien

Avant Exeter - UBB : « Je me sens bien ici » affirme l'entraîneur Joe Worsley

Joe Worsley, l’entraîneur de la défense de l’UBB, n’a pas coupé le lien avec son île. Mais a trouvé sa place en Gironde
Avant Exeter - UBB : « Je me sens bien ici » affirme l'entraîneur Joe Worsley
Joe Worsley retrouve une compétition remportée à deux reprises (2004 et 2007) avec les Wasps.

J'aime Bordeaux, j'aime la France. » Jeudi dernier, pouce levé devant la caméra, Joe Worsley avait terminé sa conférence de presse avant l'ouverture de la Champions Cup avec un clin d'œil dont il a le secret. Les attentats dramatiques de Paris et La Marseillaise de Wembley plus tard, la locution prend une autre consonance.

« C'est triste, reprenait hier l'entraîneur anglais de la défense de l'Union Bordeaux-Bègles. J'ai vécu à Londres toute ma vie, j'ai déjà connu ça (en juillet 2005, NDLR). Tu passes par tous les sentiments. Tu ressens beaucoup de colère mais tu ne peux pas changer la situation. Tu dois rester sur ce que tu fais toi, rester dans ta bulle. »

La sienne le ramènera samedi sur un terrain de son île. Pour la sixième fois (1) depuis 2012 et son choix d'accepter la proposition de son ancien coéquipier de club Raphaël Ibanez de traverser la Manche, mais la première dans la compétition phare. Sans faire de sentiment. « En Angleterre, la caractéristique, c'est d'être neutre, s'amuse-t-il. Mon équipe, là-bas, c'est la sélection. Mon club, ce sont les Wasps. Après… »
Au micro à Twickenham

Les projecteurs seront pourtant plus braqués sur lui samedi qu'au quotidien. Depuis quinze jours, son téléphone sonne « plus souvent » qu'avant les matches de Top 14.

En Angleterre, il reste le troisième ligne champion du monde en 2003 (78 sélections), cadre de la grande époque de son club de toujours (quatre titres nationaux, deux en H-Cup) invité à prendre le micro devant le public de Twickhenham avant le match décisif contre l'Australie, le 3 octobre en Coupe du Monde. « Lorsque j'ai vu les joueurs entrer sur le terrain, c'est la première fois depuis que j'ai arrêté que ça m'a manqué » sourit-il, déçu par l'échec de sa sélection. « C'est dommage car elle possède beaucoup de très bons joueurs » glisse-t-il, avant de s'en amuser, en consolation : « nous avons été mauvais… mais la France encore plus. »

Dans son pays d'adoption - son dernier fils est né à Bordeaux -, Joe Worsley (38 ans) est devenu le technicien œuvrant dans l'ombre, l'un des deux seuls Anglais exilés dans un staff de Top 14 avec Joe El Abd, devenu adjoint de Christophe Urios à Castres. Sa première saison a été une révolution pour l'UBB, avec la mise en place d'un système défensif propre inspiré de celui de Shawn Edwards aux Wasps.

Depuis, il essaie de le compléter pour coller aux spécificités du Top 14. « En Angleterre, il y avait des systèmes fixes. Ici, j'ai découvert plus d'adaptation aux situations, aux adversaires. »

En interne, l'ancien Lion Britannique (en 2009) est aussi loué pour son travail effectué au quotidien sur la technique individuelle, des rucks, des plaquages, sa recherche du détail. « Les joueurs adhèrent. Pour certains, il y a eu des progrès incroyables. »
« Pas prêt pour la sélection »

La Coupe d'Europe est l'étape suivante. « Pour l'avoir vécu, je sais que gagner championnat et Champions Cup est difficile, dit-il. L'équipe découvre, on va prendre les matches au fur et à mesure. Les rugby anglais et gallois sont un peu différents du nôtre et je suis curieux de voir comment on va réagir. On va apprendre », explique Worsley, qui n'a pas coupé les ponts avec ses origines. « Quand je rentre, j'aime bien aller voir les entraîneurs pour voir ce que je peux ramener. Inversement, certains sont venus ici. »

En fin de contrat comme Raphaël Ibanez, son avenir sera discuté dans les semaines à venir. Il l'imagine à l'UBB. « Mon fils de sept ans parle mieux Français que moi, ma famille se plaît. Je suis bien dans la vie, dans le club. J'ai envie de faire partie de son histoire, de sa croissance. On verra mais je souhaite rester. »

Et le staff de la sélection anglaise ? « Je ne suis pas prêt. Pour diriger une équipe comme celle-là, il faut beaucoup d'expérience, des gens qui ont déjà gagné des titres […] Je crois que l'Angleterre est mûre pour avoir un sélectionneur étranger. » Ce sera Eddie Jones.

(1) Il a affronté Bath, les London Irish, les London Welsh et Gloucester (à deux reprises) avec l'UBB en Challenge européen.

Adrien Ven 20 Nov 2015 - 9:52

**patrick** Sam 12 Déc 2015 - 0:35

Midol :

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Milou semble évoquer quelques nuances avec la vision de Vincent peut être un poil plus libérale.

**krahknardz** Sam 12 Déc 2015 - 1:28

J'aime bien le terme qu'il utilise pour AAC: affûté comme un beau couteau pour percer les défenses adverses.... :chambreur:

Ça tombe bien, si à son contact Met redevenait le marteau-piqueur funambule de l'année dernière qui nous faisait délirer de joie devant les essais improbables qu'il mettait. On le sent presque timide cette année. Blair j'en parle même pas, je sens qu'il était au ralenti et qu'il va nous faire tout péter avec ce genre d'émulation...
Je regrette vraiment de pas pouvoir aller à Chaban pour la première de AAC, je sens qu'il va avoir un sacré accueil! :clap:

Adrien Sam 12 Déc 2015 - 8:46

**patrick** Ven 8 Jan 2016 - 14:11

SO :

Rugby (Champions Cup) : Régis Sonnes, la patte de l'ombre
Nicolas Le Gardien

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Inventions maison, élastiques : ou comment casser la routine. ©

L'histoire avait mal débuté. Une touche dans le zig pour offrir la victoire à Grenoble en août 2012, une mêlée dans le zag lors des trois mois suivant, et au passage une cicatrice dans l'apprentissage de Jefferson Poirot, obligé de migrer pour compenser la disette de piliers droits. « J'avais 19 ans. Comme moi, beaucoup ont pris de l'expérience depuis, se souvient le jeune “gaucher”. On avait moins d'un an de fonctionnement en commun. Aujourd'hui, on s'est renforcé, on se connaît tous et ça change tout. »

Trois ans et demi plus tard, le pack de l'Union Bordeaux-Bègles ne fait plus rire. Le recrutement lui a apporté au fil des saisons une densité physique supplémentaire. L'alignement poursuit son survol débuté lors de l'ère Delpoux - à savoir le meilleur taux de réussite en Top 14 (91 % et 26 ballons volés) et en Champions Cup (100 %). Sans être toujours dominatrice, la mêlée n'est plus dominée (seulement 8 ballons perdus en Top 14) et la tortue a été remise au goût du jour avec efficacité. « On a des automatismes, dit le talonneur Clément Maynadier. On a bossé et un vrai collectif s'est créé. »
« Il cherche, il essaie »

Derrière, dans l'ombre, la silhouette de Régis Sonnes. Arrivé de la sélection espagnole après une expérience difficile de numéro un à Narbonne, le Montois, de retour aux avants, a su redonner unité et consistance à un groupe d'avants sortant de six mois de jachère suite à l'accident de Laurent Armand. « Je ne sais pas si le volume hebdomadaire a augmenté, mais on a compris qu'il fallait faire des fondamentaux une priorité », dit le capitaine Matthew Clarkin.

La méthode Sonnes ? « Travail » répondent en chœur ses hommes. « Il est axé sur son job - la technique, l'organisation - mais il le fait à fond. Il est méticuleux, scolaire - ce qui est une qualité -, et est en permanence dans l'analyse » reprend l'ancien international aux trois Coupes du monde.

Sur le terrain, cela se concrétise par l'intensité des séances spécifiques, à grande majorité en opposition. En dehors, elle passe par « le souci du détail » dit Clarkin. Derrière le béret, les crocs, l'ancien troisième ligne toulousain s'est révélé glouton de vidéos, de statistiques, aussi, dont il se sert pour fixer des challenges et axes de progression à son groupe et à chacun. « Le lundi soir, on reçoit un mail où on a tout : les touches de la semaine, la tactique à adopter, les lancements, les entraînements, sourit Jefferson Poirot. Le lendemain, on ne peut pas dire qu'on n'est pas au courant et on ne perd pas de temps à se mettre en place. »

« Recherche », c'est l'autre mot qui ressort du pack au sujet du Landais. « La mêlée n'était vraiment pas son domaine mais il a bossé, est allé se renseigner à droite à gauche pour faire évoluer chacun, avance Clément Maynadier. On a une base fixe, mais on n'est jamais dans l'immobilisme. »
Groupes, touches et mêlée

Cartésien avant tout, Sonnes n'hésite pas à piocher des idées dans d'autres disciplines et se distingue à l'heure des GPS et des drones par sa faculté à coller des manches à balais ou à jouer des élastiques. « Il innove : il y a des choses bien, d'autres moins, sourit Jefferson Poirot. Mais il essaie et, en essayant, trouve des solutions. » « Il a ses idées. Tout n'est pas bon mais il va te demander des conseils à partir de ça. Au final, il y a toujours quelque chose qui va te servir », enchaîne Jean-Baptiste Poux.

L'échange n'est pas toujours une mer calme. Mais le technicien n'est plus seul dans la réflexion. Un groupe “mêlée” et un autre “touche” se réunissent deux fois dans la semaine pour débriefer les entraînements - tous filmés - et réfléchir aux stratégies.

La tradition veut ainsi que l'alignement participe à la création d'une touche « spéciale » chaque semaine. « Et lorsqu'on se réunit, tout le monde peut donner son avis », reprend Matthew Clarkin.

Le système permet de « provoquer l'adhésion, plus d'adaptation », souligne le capitaine. Il a aidé à révéler le leadership d'un Louis-Benoît Madaule, ou à utiliser toute l'expérience de Jean-Baptiste Poux très présent auprès des première ligne. « Le projet, nous le portons aussi » souligne Jefferson Poirot. C'est l'héritage qui restera en juin (1).

(1) Régis Sonnes a choisi de partir avec l'objectif de vivre une aventure à l'étranger et ne pas faire l'année de trop.

**le radis** Mer 4 Mai 2016 - 10:18

SUD OUEST Article abonnés Publié le 04/05/2016 par Nicolas Espitalier

UBB : la nouvelle vie de Régis Sonnes

Régis Sonnes, l’entraîneur des avants de l’UBB, avait annoncé en octobre qu’il partirait en fin de saison. Aujourd’hui, dans « Sud Ouest », il dévoile sa destination : un club irlandais

Régis Sonnes avait annoncé dès octobre 2015 qu'il quitterait l'UBB à l'issue de cette saison, sa quatrième comme adjoint de Raphaël Ibanez en charge des avants du club girondin. Aujourd'hui, dans « Sud Ouest », il dévoile sa destination, et elle est surprenante : il va quitter le rugby professionnel, alors qu'il y est un technicien reconnu. Hier, dans une sandwicherie de Bègles, il nous a expliqué son choix.

« Sud Ouest » Où serez-vous à la rentrée prochaine ?

Régis Sonnes Si tout se concrétise, je devrais être en Irlande, à Bandon. C'est un village de 6000 habitants dans le Sud-Ouest, à 30 minutes de Cork. Je serai le directeur rugby du Bandon RFC, en charge de l'équipe première et du développement du club. C'est un club amateur de niveau Fédérale 3, d'après ce que j'ai vu des structures. Il est engagé dans les compétitions provinciales du Munster et, d'après ce que j'ai compris, les meilleurs se qualifient pour un championnat national. Et je serai parallèlement directeur rugby de la Bandon Grammar School, où le rugby est intégré à la scolarité des élèves, qui ont de 12 à 18 ans. Le collège est en première division nationale. C'est du haut niveau, avec trois entraînements et un match par semaine.

Qu'est-ce qui vous plaît dans ce projet ?

Déjà, l'opposition de styles par rapport à ce que je fais aujourd'hui. Après, si on parle du fond, je dirais que je veux enrichir ma vie d'expériences, de rencontres, de découvertes. Je pars du principe qu'il faut vivre diverses expériences pour se construire, et cela ne dépend pas du niveau. J'ai entraîné à haut niveau, à plus bas niveau, je suis intervenu auprès de personnes handicapées au sein du Conseil général des Landes... En tant qu'homme, ce qui m'intéresse, c'est de rencontrer d'autres cultures, d'autres méthodologies. C'est un enrichissement pour le technicien, pour l'homme. Et pour ma famille aussi.

Pour combien de temps vous êtes-vous engagé ?

Deux saisons, plus une troisième en option. Et après, je vise l'équipe de France. Si, en 2019, il y a toujours un appel d'offres pour le sélectionneur, je serai candidat (il éclate de rire). Et comme je parlerai anglais, je pourrai faire du lobbying à l'IRB.

Allez-vous gagner beaucoup moins d'argent ?

Oui, mais je vais m'enrichir beaucoup plus.

Vous quittez un club de haut de tableau de l'un des plus grands championnats du monde pour un club amateur dont vous ne connaissez pas exactement le niveau. C'est difficile à comprendre...

Même pour les mecs du club, là-bas, c'est difficile à comprendre ! Mais c'est mon choix. Je pars pour vivre une autre aventure. Et parce que quatre ans, c'est long. Je suis exigeant, envers moi-même et envers les autres, et je pense que c'est le moment que je parte pour le bien du club, pour ne pas faire l'année de trop. J'ai besoin d'enthousiasme. Si je devais le perdre, je ne serais plus que l'ombre de moi-même.

Aviez-vous donc perdu cet enthousiasme ?

Non, parce que j'ai pris la décision de partir et que je l'ai annoncée tôt. Quelque part, ça m'a libéré et ça a libéré les joueurs par rapport à moi. C'est la qualité du travail qui m'importe. Si je n'ai pas la patate, si je suis moins bon que ce que je peux être, ça ne me convient pas. Je ne veux pas me parodier moi-même.

Quel regard portez-vous sur le métier d'entraîneur de club pro ?

Ce que j'aime là-dedans, c'est la recherche de l'excellence. A l'UBB, j'ai les moyens de cette recherche. C'est un épanouissement technique, j'adore ça. Ce que j'aime moins, c'est le rythme de la compétition. « The show must go on » (« Le spectacle doit continuer ») et c'est épuisant. Ça ne s'arrête jamais. Je pense qu'il faudrait se préoccuper de la santé des entraîneurs, physique, mentale, psychologique. Le coach est plein pot, ne décompresse jamais. Ce n'est pas une question de pression, il y a la même avec des pros, des amateurs, ou des cadets, c'est une question de rythme.

Auriez-vous eu la possibilité d'aller dans un autre club de Top 14 ?

J'ai eu des opportunités, mais je n'aurais pas pu, vu mon engagement ici, m'engager dans un club concurrent sans avoir un « sas » d'un an. Et puis, je voulais partir à l'étranger, j'avais fermé les portes.

Quel bilan tirez-vous de vos quatre années à Bordeaux ?

Il sera magnifique si on arrive à ce qu'on souhaite, mais il est déjà super. On a vécu des moments de bonheur intense, des moments de tristesse et de doute et, tout ça, ça m'a construit un peu plus. Il y a eu des moments forts qui m'ont fait murir. La relation avec le staff a été riche et saine, comme avec les joueurs et le président.

Comment situez-vous ce que vous avez vécu ici, par rapport à vos « vies » précédentes ?

Ce sont les émotions qui me portent. J'ai eu une joie énorme quand on a été champions de France de 2e série avec Campet-et-Lamolère, quand on a été champion avec Toulouse, quand l'Espagne a battu la Géorgie... Et une joie énorme, l'année dernière, quand l'UBB s'est qualifiée pour sa première Coupe d'Europe.

Dimanche en Pro D2, c'est le derby des Landes. Inutile de vous demander quel est votre favori...

Je suis pour Mont-de-Marsan. Mais si cela devait envoyer Dax en Fédérale 1, j'en serais triste pour le rugby landais. Je suis pour une équipe des Landes...

:clap:

Gahet Mer 4 Mai 2016 - 10:44

Peu de Monde connait ce "circuit" des Grammar Schools/école Privées. Peu de monde sait le nombre de Sportifs de haut niveau qui en font parti. Ce peut-être une magnifique opportunité pour lui et ses enfants. Bonne Route. Son départ mérite d'être fêté . vin

léopold Mer 4 Mai 2016 - 11:01

+1 ce garçon est super, il sort de l'ordinaire,sa façon de voir la vie est la bonne.
Va te regretter. :clap:

**hurluberlu** Mer 4 Mai 2016 - 11:33

Étonnant ! :clap:

Gahet a écrit:Son départ mérite d'être fêté .

+1
Juppé devrait décréter le port obligatoire du béret.

Gahet Mer 4 Mai 2016 - 12:52

mon jambon star a écrit:
Juppé devrait décréter le port obligatoire du béret.

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Dans ce Genre ? :chambreur:

Pat Mer 4 Mai 2016 - 16:41

Gahet a écrit:
mon jambon star a écrit:
Juppé devrait décréter le port obligatoire du béret.
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Dans ce Genre ?

Nan.... plus celui là ! :chambreur:

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Bon, ok... boulot un peu merdique, mais fait à la va-vite, j'ai pas que ça à foutre non plus... :chambreur:

**hurluberlu** Mer 4 Mai 2016 - 16:55

Gahet a écrit:
mon jambon star a écrit:
Juppé devrait décréter le port obligatoire du béret.
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Dans ce Genre ?

Pourquoi pas ? L'afghan fait toujours l'unanimité.
Surtout auprès du GIGN.
Surtout en ce moment.
Après tout, c'est une cible marketing comme une autre... :chambreur:

Gahet Mer 4 Mai 2016 - 23:35

Pat a écrit:
Gahet a écrit:
mon jambon star a écrit:
Juppé devrait décréter le port obligatoire du béret.
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Dans ce Genre ?
Nan.... plus celui là !

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Bon, ok... boulot un peu merdique, mais fait à la va-vite, j'ai pas que ça à foutre non plus...

Tant que c'est pas celui là : Suspect

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Gahet Mer 4 Mai 2016 - 23:39

mon jambon star a écrit:
Gahet a écrit:
mon jambon star a écrit:
Juppé devrait décréter le port obligatoire du béret.
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Dans ce Genre ?

Pourquoi pas ? L'afghan fait toujours l'unanimité.
Surtout auprès du GIGN.
Surtout en ce moment.
Après tout, c'est une cible marketing comme une autre...

afghan GIGN cible en 4 lignes ~~Chapeau~~ capet :clap:

Camiste Jeu 5 Mai 2016 - 0:04

Ouaip, bien joué M'sieur Sonnes...d'un club souriant on passe à un club...comment dire...je baille Sleep

. Après le départ du Che, la retraite D'Heini, voici un autre garant de la bonne humeur de la belle UBB qui s'échappe. L'important restera les résultats, pour le reste on oublie. Jolie choix que l'Irlande. Du temps pour sa famille et du temps pour vivre. Bien joué M'sieur Sonnes, un grand merci et joyeuse route.

Dans cet article on apprend que le président du club de Bandon, un certain Conor Slattery, est un ami de M. Clarkin et que ce même président a demandé l'avis de Bernard Jackman (rien ne vaut plus que l'avis d'un Irlandogrenoblois, isn't it?) avant d'embaucher R.S.....histoire de ragoter un peu Cool

http://www.independent.ie/sport/rugby/one-of-french-rugbys-best-coaches-is-moving-to-ireland-to-take-over-a-small-club-in-west-cork-34685342.html

**patrick** Ven 27 Mai 2016 - 9:34

Midol :

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