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R.L. SEPTEMBRE 2012

M. Domenico Giovinazzo


Auboué. — Nous apprenons le décès de M. Domenico Giovinazzo, survenu le 31 août à Briey à l’âge de 90 ans.

Le défunt avait vu le jour le 20 mars 1922 à Gioia-Tauro, et avait épousé Francesca Corrone le 8 janvier 1948 en Italie. De cette union sont nés cinq enfants : Marie Jaman qui demeure à Aix-en-Provence, Guiseppe décédé le 1 er juillet 1950, Salvatore décédé le 2 mars 1974, Guiseppe décédé le 26 juin 1975 et César décédé le 26 janvier 2008.

M. Domenico Giovinazzo avait la joie d’être entouré de deux petits-enfants, Chrystelle et Laurent, et de trois arrière-petits-enfants, Louis, Gabin et Charles. Retraité de la sidérurgie, le défunt résidait au 2, rue Alphonse-Daudet.

Son corps repose à la chambre funéraire d’Homécourt. Ses obsèques seront célébrées lundi 3 septembre à 14h30 en l’église Saint-Jean-Baptiste d’Auboué, suivies de l’inhumation au cimetière d’Auboué.

Nos condoléances à la famille.


Samedi 1er septembre 2012

La reprise au self-défense


L’instructeur des cours de self-défense est Joseph Ragnatella, ceinture noire 6 e dan. Photo RL


Au Teisho-Kiai-club, le self-défense fera sa rentrée mardi 4 septembre au dojo de la salle des sports. Les cours pour les enfants auront lieu de 18h à 19h15, et de 19h15 à 20h30 pour les adultes.

La pratique de ce sport est possible à tout âge. Les débutants ont la possibilité de faire deux essais et ensuite de décider de prendre la licence annuelle. A noter qu’un certificat médical est obligatoire pour la pratique de cet art martial.

Le tarif annuel (licence club + assurances + licence fédérations) est de 130 € à partir de 17 ans et de 70 € jusqu’à 16 ans. L’instructeur est "Shihan" Joseph Ragnatella, ceinture noire 6 e dan Fekamt (Fédération européenne de karaté do et arts martiaux traditionnels), reconnue également par la IUMA (la prestigieuse


Université internationale des arts martiaux du Japon). Il est secondé par Jean Calvo, ceinture noire 3 e dan Fekamt.

En ce qui concerne le Teisho Kiai-club, au dojo Maurice-Pichon, les inscriptions sont possibles toute l’année, y compris pour les débutant(e)s.

Samedi 1er septembre 2012

La nouvelle école « est trop belle »


Samedi, de nombreuses personnes ont découvert en avant-première la nouvelle école Romain-Rolland. Un établissement dont le baptême du feu est pour demain. Photo RL


Il y avait comme un parfum de rentrée samedi matin dans les locaux de la nouvelle école Romain-Rolland ! Beaucoup de personnes avaient répondu à l’invitation de la municipalité pour la visite de l’établissement : bon nombre d’enfants, de parents et de grands-parents, sans oublier le directeur de l’établissement et quelques instituteurs. Le maire et les élus ont joué les guides en présence de l’architecte Jean-Pierre Collet.


A la question « Que pensez-vous de votre nouvelle école ? », les enfants ont été unanimes : « Elle est trop belle ! » Les couleurs gaies et lumineuses, les salles pleines de lumière donnant sur la verdure, les volumes, le nouveau mobilier… Chaque classe a une couleur spécifique. Les enfants n’ont pas perdu de temps pour rechercher leur nom sur les listes affichées à l’entrée des salles pour connaître leur couleur : la bleue, la jaune, la rouge…

Quant aux parents, ils ont été particulièrement attentifs aux explications sur les techniques utilisées, notamment le bois, et sur la sécurité des élèves (les véhicules resteront en dehors).

Ainsi durant deux heures, les enfants ont pris leurs marques dans cet univers neuf, coloré, plaisant à souhait. Déjà, leurs cris ont retenti dans la cour. Un avant-goût de demain ! Nul doute que dans cet établissement flambant neuf, tous se mettront au travail avec beaucoup de plaisir !


Lundi 03 septembre 2012

1944, année tragique


Les cérémonies marquant le 68 e anniversaire de la Libération de la ville d’Auboué se sont déroulées samedi en fin d’après midi. C’est à 17 h que le rendez-vous avait été donné place Leclerc. Des gerbes ont été déposées en présence d’élus, de représentants des associations patriotiques et des habitants : à la stèle du Tunnel, au monument des fusillés, au monument des deux guerres, à la stèle Géranaux et enfin à la stèle Dante-Pederzoli à Sainte-Marie-aux-Chênes, où un vin d’honneur a également été servi à la maison de retraite.

L’année 1944 fut dramatique pour plusieurs familles aubouésiennes. Le 2 septembre, les Allemands avaient quitté Auboué pour se regrouper sur le plateau à Sainte-Marie-aux-Chênes. Ce jour-là, une patrouille de reconnaissance allemande a essuyé des coups de feu place de la Poste, un Allemand a été abattu et un autre blessé. Auboué fut encerclée, 300 personnes furent enfermées dans une grange à Sainte-Marie-aux-Chênes. Trois Aubouésiens furent abattus en essayant de se soustraire à cette chasse à l’homme : Jean Wojtkowiak, Pierre Garus et Guido Fabbri. Deux stèles rappellent leur destinée tragique.

Dante Pederzoli, désigné comme coupable de l’attentat, devait se rendre pour que les otages soient libérés. Il fut pendu à un arbre du parc de Sainte-Marie-aux-Chênes. Auboué fut libérée le 6 septembre 1944, par la 3 e armée du Général Patton.


Mardi 04 septembre 2012

Auboué, sous leur nouveau toit


Rentrée sous le signe de la nouveauté, hier, à Auboué : au terme de plus d’un an de travaux, l’école élémentaire Romain-Rolland, deuxième du nom, a ouvert ses portes à une centaine d’enfants.


Beaucoup l’avaient découverte dès samedi dernier, lors d’une journée portes ouvertes, dans l’habit des vacanciers qu’ils ne sont plus depuis hier matin : les parasols de l’été ont replié leurs ailes, la cloche a sonné et les enfants de Romain-Rolland ont pris possession de leur nouveau cadre de vie. Un cadre verdoyant, celui du parc Alexeï-Leonov, où les murs de l’école primaire municipale ont poussé ces derniers mois. Au terme du chantier ? Un bâtiment flambant neuf, tout de bois vêtu, répondant aux exigences environnementales, et dans lequel six classes et une Clis (classe d’intégration scolaire) ont été ouvertes.

« On est un peu stressé, il va falloir du temps à chacun pour prendre ses marques, concède le directeur des lieux, Vincent Vehert. Mais l’ensemble est beau ; le plaisir est là. » Et hier, il était visiblement partagé. Pas de flaque de larmes et d’adieux déchirants à constater. Après l’incontournable cérémonie de l’appel, c’est une grande vague de sourires qui s’est engouffrée dans ce bâtiment percé par le soleil du mardi 4 septembre.




Cette date, Jean-Pierre Collet, architecte qui a conduit le projet, ne l’oubliera pas. Il était d’ailleurs sur place, hier, dans les pas des enfants. « C’est la rentrée pour moi aussi , plaisante-t-il. C’est un moment privilégié. » Comme le site sur lequel l’école Romain-Rolland a (re)vu le jour.

« Ces deux dernières années, les élèves du primaire avaient été redirigés dans les locaux de l’ancien collège », explique Michel Chechetto, adjoint au maire d’Auboué. Une parenthèse nécessaire pour raser des murs trop ridés et en reconstruire d’autres, assemblés et livrés aux premiers jours de l’été, un an après la pose de la première planche, le 24 juin 2011, par Fabrice Brogi, le maire.

Tout beau, tout neuf, donc… Ce qui n’a pas empêché certaines langues de manifester leur mécontentement ces derniers temps. En cause ? L’impossibilité de venir jusqu’aux portes de l’école en voiture. « Il ne faut pas exagérer, ce n’est pas la mer à boire, il y a une cinquantaine de mètres à faire à pied », souligne un parent. Le prix de la tranquillité et de la sécurité, deux notions essentielles dans l’approche municipale. « La majorité des gens l’ont compris, se félicite Michel Chechetto. La preuve, tout s’est bien passé aujourd’hui. »

Alors oui, en attendant le jour où il sera possible de déposer son minot directement dans la salle de classe sans avoir à couper son moteur, il faudra compter sur ses deux jambes pour rejoindre Romain-Rolland. Hier, il ne s’est pas trouvé beaucoup de monde pour s’en plaindre, surtout pas chez les premiers concernés, les élèves et leurs instituteurs.

« On est tous très contents de rentrer dans de nouveaux locaux, note Mlle Tritz, en charge d’une classe de CE2-CM1. Les gamins sont sous le charme ! » La maîtresse l’est aussi.

Mais pour elle, la découverte ne durera pas longtemps puisqu’un heureux événement programmé « fin octobre, début novembre » l’amènera très vite à céder son tableau et ses craies à un autre enseignant. Si celui-ci n’est pas réfractaire à l’idée d’user un peu ses semelles, il devrait se plaire dans sa nouvelle affectation.

Cédric Brout.

Mercredi 05 septembre 2012

Maternelle Henri-Wallon : sous le signe de la nature


La rentrée s’est bien passée pour les 46 bambins de l’école maternelle Henri-Wallon, au quartier du Tunnel à Auboué. Les enfants sont répartis en deux classes : les petits-moyens (21) pris en charge par Valérie Braussen et les moyens-grands par Virginie Strubel (25). Le projet de l’école porte pour la troisième et dernière année sur le développement durable : tri des déchets, respect de l’environnement et de l’être humain seront au menu. Les institutrices organiseront diverses actions comme des collectes ou du tri. Des actions seront aussi menées en direction de la nature par la confection de nichoirs et d’escargotières. Quant à la réalisation d’instruments de musique en matériel de récupération, elle ne devrait pas déplaire aux petits élèves !


Avec le sourire à l’école Joliot-Curie


L’école maternelle Joliot-Curie compte 46 élèves répartis en deux classes. Les petits-moyens et moyens-grands sont pris en charge respectivement par Mme Metayer et Mme Villa, cette dernière assurant également la direction.

Le projet de l’école porte cette année sur les quatre éléments. L’an dernier, l’air et la terre étaient au programme, cette année le feu et l’eau seront étudiés avec un travail approfondi au niveau du langage. Les autres actions seront peu à peu mises en place.


Vendredi 07 septembre 2012

Voir le bout du Tunnel à Auboué

Depuis 2002, plusieurs rues du quartier du Tunnel, à Auboué, subissent de surprenantes et spectaculaires déformations. Des expertises sont en cours pour déterminer les causes de ces dégâts.


C’est un dossier dont Fabrice Brogi se serait volontiers passé. Maire d’Auboué depuis 2008, l’élu socialiste a dû affronter de nombreux écueils depuis sa prise de fonction. Si la page marquante et malheureuse des affaissements miniers appartient désormais au passé, d’autres problèmes de mouvements de terrain sont venus polluer le quotidien des Aubouésiens depuis quelques années. Plus précisément ceux du Tunnel qui doivent composer avec des routes particulièrement abîmées. Les explications.

1. À quand remontent les dégâts ?

Comme l’expliquait Fabrice Brogi dans un courrier récemment adressé aux habitants du Tunnel, « des désordres, tout d’abord anodins, sont apparus en 2002 », soit deux ans après l’achèvement des travaux de réhabilitation du quartier. Puis, au fil des ans, et plus précisément à partir de 2005, ces dégâts sont allés crescendo, les rues subissant des déformations de plus en plus spectaculaires.

Voie la plus durement touchée, la rue Eugène-Vicaire – qui s’avère être également la plus fréquentée – s’apparente aujourd’hui à un véritable champ de mines. Pour les automobilistes l’empruntant, il n’y a pas d’autre possibilité que de rouler au pas sous peine d’y laisser des plumes au niveau de la carrosserie ou du pot d’échappement. Celui qui découvre l’artère pour la première fois a plutôt l’impression de se trouver sur une route dédiée au moto-cross que dans une rue menant à un quartier résidentiel !

2. Quels désagréments provoquent-ils ?

« Moi avec ma cacahuète, je saute !, s’amuse une habitante qui roule au volant d’une petite citadine japonaise. Plus sérieusement, c’est une vraie catastrophe cette route et en plus, cela se dégrade d’année en année. » Même son de cloche chez les autres habitants du quartier interrogés.

Las d’attendre une éventuelle réparation depuis près d’une décennie, les Aubouésiens mettent tous en avant le caractère « dangereux » de ces impressionnantes bosses. Dangereux surtout pour les véhicules. « J’en ai eu pour 600 € de dégâts sur ma voiture parce que j’avais frotté, explique ainsi Valério, un retraité de la rue Eugène-Vicaire. Et l’assurance n’a rien voulu entendre. » À le croire, son cas serait loin d’être isolé. Pour Medjidi, qui réside aussi dans le quartier, la situation revêt juste un avantage : « Au moins, les gens ne peuvent pas rouler comme des fous ! » C’est déjà ça…

3. Comment expliquer ces déformations ?

C’est la question centrale à laquelle l’expert mandaté par le tribunal administratif devra répondre. Du côté de la municipalité, on a fait procéder à des analyses dès 2008 pour connaître précisément l’origine du mal. À l’époque, c’est la réalisation des routes (lors de la réfection du quartier en 1999/2000), et plus précisément l’utilisation de remblai de mauvaise qualité, qui était pointée du doigt. Un remblai qui aurait gonflé au fil du temps et des infiltrations d’eau. Voilà pour l’une des hypothèses les plus vraisemblables. Celle-ci devra toutefois être vérifiée et entérinée par l’expert mandaté par le tribunal administratif. Ses conclusions, qui ont déjà été maintes fois ajournées, pourraient être rendues au cours des prochaines semaines, espèrent Fabrice Brogi et son équipe.

4. Que fait la municipalité ?

Pour faire valoir les droits des Aubouésiens et obtenir une éventuelle réparation du préjudice subi, la municipalité a engagé une procédure judiciaire dès 2008 en saisissant le tribunal administratif. Mais depuis, les choses ont traîné en longueur, au grand dam des élus aubouésiens qui souhaiteraient donner un coup d’accélérateur à ce dossier. « On aimerait procéder à des premières réparations d’urgence dont un rabotage de chaussée, mais tant que le tribunal administratif ne nous a pas donné le feu vert, on ne peut rien engager », expliquent Fabrice Brogi et son adjoint aux travaux, Michel Chechetto.

Voilà pour la première phase, la plus modeste. Car pour une réparation complète des désordres recensés dans le quartier du Tunnel, c’est plus d’un million d’euros qu’il faudra sans doute débourser, selon une première expertise rendue à la Ville d’Auboué.

Inutile de préciser donc que la municipalité espère percevoir un important dédommagement financier avant de s’engager dans une telle aventure.

Fabien Surmonne.


Dimanche 09 septembre 2012
D 07 septembre 2012

Mme Léda Szczypawka


Auboué. — Nous apprenons le décès de Mme Léda Szczypawka, survenu le 10 septembre à Briey à l’âge de 82 ans.

Née Milani le 18 mars 1930 à Auboué, elle avait épousé Jean le 11 mars 1953, un époux qu’elle avait eu la douleur de perdre le 4 janvier 1998.

De cette union sont nés trois enfants : Nelly épouse Tosetti, Christian et Philippe, demeurant tous trois à Auboué. Mme Szczypawka avait la joie d’être entourée de trois petits-enfants, Angélique, Tiphaine, Janice, et d’une arrière-petite-fille, Loana. La défunte résidait au 8, rue Eugène-Vicaire.

Son corps repose à la chambre funéraire de Homécourt-Jœuf. Les obsèques seront célébrées jeudi 13 septembre à 14h30 à l’église Saint-Jean-Baptiste d’Auboué, suivies de l’inhumation au cimetière communal.

Nos condoléances à la famille.


Mercredi 12 septembre 2012
D 07 septembre 2012

Mme Rosine Bernardini


Auboué. — Nous apprenons le décès de Mme Rosine Bernardini, survenu le 14 septembre à Briey à l’âge de 87 ans.

Née Sparaventi le 1 er décembre 1924 à Fermignano en Italie, elle avait épousé Giuseppe Bernardini le 15 septembre 1949 à Fermignano, un époux qu’elle avait eu la douleur de perdre le 21 avril 1987.

De cette union sont nés trois enfants : Marie-Thérèse épouse Bernardini qui demeure à Metz, Maryse épouse Buszowski et Robert, demeurant tous deux à Sainte-Marie-aux-Chênes. La défunte avait la joie d’être entourée de cinq petits-enfants, Sabrina, Fabien, Laetitia, Alexis, Florian et de deux arrière-petits-enfants, Baptiste et Maëlys. Elle résidait au 7, rue Eugène-Vicaire à Auboué.

Mme Bernardini repose à la chambre funéraire Trentarossi de Homécourt-Jœuf. Ses obsèques seront célébrées lundi 17 septembre à 14h30 en l’église Saint-Jean-Baptiste à Auboué, suivies de l’inhumation au cimetière communal.

Nos condoléances à la famille.


Dimanche 16 septembre 2012
D 07 septembre 2012

Les chasseurs de retour sur leurs terrains

Bien qu’elle organise de petites chasses, la société de chasse d’Auboué doit se plier aux règles de la fédération. Et avec, dans le viseur, la sécurité.



AAuboué, la société de chasse existe depuis trente ans et est présidée par François Antonini depuis autant d’années, puisqu’il en est le fondateur.

La chasse ayant réouvert aujourd’hui, un petit point sur le mode de fonctionnement s’impose.

La sécurité. Elle est au cœur des préoccupations des adhérents à la société de chasse d’Auboué. Avant toute chasse, des panneaux indiquant "Chasse en cours" sont posés par les membres de la société de chasse et une vigilance de tous les instants est demandée aux usagers. Ainsi, la chasse se déroule fréquemment au bois de la Sarre à Homécourt (gros gibier comme le sanglier) ou sur le crassier du Tunnel à Auboué (petit gibier comme le lapin).

Une journée de chasse. En principe, le rendez-vous est donné à 8 h sur le terrain. Le président rappelle les consignes de sécurité avant de procéder au tirage au sort des postes que les chasseurs occuperont. Ensuite, chacun part prendre son poste avec un chef de ligne dont la responsabilité est de placer les chasseurs. La chasse se déroule toute la matinée. Au retour, les honneurs sont rendus au gibier qui est ensuite partagé entre les chasseurs.

Le plan de chasse. Il faut aussi noter que n’est pas chasseur qui veut et que la société de chasse est soumise au plan de chasse. « Car bien que nous ne fassions que de petites chasses, on fait de la gestion pour ne pas tirer n’importe quel gibier », explique Lorris Antonini, le trésorier de la société aubouésienne. Un exemple : un sanglier est tué, il est bagué. La fédération de chasse distribue les bagues en fonction de la population animale. Ces bagues sont données après comptage des animaux, en fonction des dégâts qu’ils occasionnent. Il y a un quota minimum à respecter et si ce quota n’est pas fait, la fédération donne une amende à la société de chasse.

Composition. François Antonini est le président de la société de chasse d’Auboué. Lorris Antonini est trésorier. Fabien Bertrand est secrétaire. La société de chasse compte une dizaine de membres. Cédric Cuny et Lorris Antonini sont gardes-chasse assermentés. Ces derniers circulent, surveillent, répondent aux questions. Ils peuvent aussi repérer les actes de braconnage et les bêtes malades.


Samedi 15 septembre 2012
D 07 septembre 2012

Auboué rêve de voir le bout du Tunnel…

Après les affaissements miniers, Auboué doit faire face à de spectaculaires déformations de chaussée dans le quartier du Tunnel.



A Auboué, commune de Meurthe-et-Moselle située sur les rives de l’Orne, on connaît sur le bout des doigts l’expression ne pas voir le bout du Tunnel… Après avoir connu – puis tourné la page – de la crise de la sidérurgie et des affaissements miniers, la ville a dû en effet affronter un autre phénomène inquiétant au cours de la décennie écoulée : d’impressionnantes déformations de chaussée dans le quartier dit du Tunnel, qui surplombe la cité.

Des déformations qui sont apparues dès 2002, soit deux ans après la fin des travaux de réfection complète réalisés de ce quartier. Anodins au départ – quelques fissures sur les routes –, les dégâts ont pris une ampleur totalement inattendue au fil des ans (dès 2005) au point de transformer certaines rues en véritable piste de BMX.

Automobilistes excédés

L’artère la plus touchée, la rue Eugène-Wicker, s’apparente aujourd’hui à une véritable succession de dos-d’âne. Pour les automobilistes l’empruntant, il n’y a donc pas d’autre possibilité que de rouler au pas sous peine d’y laisser des plumes au niveau de la carrosserie ou du pot d’échappement. « Moi avec ma cacahuète, je saute ! », s’amuse une habitante qui roule au volant d’une petite citadine japonaise.

Le hic, c’est que malgré tous les efforts de l’actuelle majorité municipale, le problème ne semble pas encore près d’être résolu. Car avant de pouvoir engager des travaux de réparation, la Ville va devoir attendre le feu vert du tribunal administratif. Dès 2008 en effet, le nouveau maire, Fabrice Brogi, a engagé une procédure judiciaire et demandé des analyses pour comprendre l’origine du mal. Si l’expert indépendant diligenté par la Ville a donné ses conclusions rapidement (l’utilisation d’un remblai de mauvaise qualité qui expliquerait le gonflement des chaussées était pointée du doigt), l’expert mandaté par le tribunal administratif n’a lui toujours pas rendu son rapport.

En attendant celui-ci, Fabrice Brogi a donc demandé l’autorisation de pouvoir agir en urgence, en rabotant les bosses les plus volumineuses, mais aucune décision n’a été prise pour l’heure. Les Aubouésiens vont donc devoir s’armer encore une fois de patience, avant de voir le bout du Tunnel…

Fabien SURMONNE.


Lundi 17 septembre 2012
D 07 septembre 2012

Auboué : une école de foot pour les filles


L’Association jeunesse aubouésienne souhaite développer la pratique sportive féminine par la mise en place de centres d’animation féminins. Le but est de créer une école de football où les filles pourront jouer entre elles, avec un encadrement diplômé.

Pour ce faire, une journée découverte est organisée pour toutes les jeunes filles âgées de 6 à 12 ans. Cette journée aura lieu mercredi 19 septembre à 17h au stade Louis-Devoti à Auboué. Elle sera suivie de deux autres : les 26 septembre et 3 octobre.

À l’issue de la première séance, la jeune fille recevra un "pass foot" qui lui permettra de suivre les deux autres journées sans engagement. Si l’activité plaît, au terme des trois séances, une licence sera obligatoire afin de bénéficier d’une assurance.


Mardi 18 septembre 2012
D 07 septembre 2012

Les visages de la MJC

La reprise a sonné depuis quelques semaines déjà à la MJC, tant pour le centre de loisirs que pour le périscolaire. Deux nouvelles animatrices viennent de rejoindre l’équipe : Sophie (22 ans) et Laura (20 ans).

Toutes deux sont en contrat unique d’insertion et vont animer aussi bien du côté du centre de loisirs que du périscolaire.

A leurs côtés, des visages connus. Ceux de Chantal (périscolaire), d’Émilie (direction du périscolaire), de Camille en service civique, chargée du lien social avec les personnes âgées, et de Kadhidja, en périscolaire.

« Depuis le lundi 17 septembre, les activités proposées par la MJC ont repris également », indique Lionel, le capitaine du navire, qui travaille avec le président de la MJC Jean-Paul Sauvinet. Hip-hop, modern’jazz et danse classique, zumba, tai chi chuan, badminton, Scrabble, alphabétisation, Caméra-club, contes pour enfants, Détente loisirs… autant d’activités qui font la joie des adhérents.


Deux nouvelles animatrices, Sophie et Laura, viennent de rejoindre l’équipe de la MJC. Photo RL


Vendredi 21 septembre 2012
D 07 septembre 2012

« J’aurais aimé être élève ou instituteur ici ! »


Philippe Picoche, directeur académique des services de l’Éducation nationale, s’est offert une visite dans les locaux de l’école Romain-Rolland, rouverte à la rentrée après un an de travaux. Vu et approuvé.


Philippe Picoche ne s’était jamais vraiment arrêté à Auboué. Et il n’a pas regretté d’avoir pris le temps de le faire, hier matin. L’automne avait beau faire ses gammes, il flottait encore un parfum d’été à l’école Romain-Rolland lorsque le directeur académique des services de l’Éducation nationale a poussé les portes de l’établissement.

Au menu de cette visite guidée, la découverte du nouvel ensemble scolaire, construit sur les ruines de son prédécesseur et livré aux écoliers le mardi 4 septembre.

L’inauguration prévue le 24 novembre

Emmené par le maire, Fabrice Brogi, la délégation, qui comprenait aussi Véronique Lucietto, inspectrice de la circonscription de Jarny, Philippe Picoche est allé à la rencontre des enfants et en a profité pour recueillir leurs impressions sur leur nouveau lieu de vie. Et du CP au CM2, l’unanimité : Romain-Rolland, deuxième du nom, a été adoptée par ses pensionnaires. Ce que le directeur d’académie a compris sans difficulté.

Planté au milieu de la cour de récréation, au terme de son parcours à travers les classes : « La sérénité se


dégage de l’école et de son environnement. On se rend compte que la qualité des locaux joue énormément sur le climat de vie. Moi, j’aurais aimé être élève ou instituteur ici. Quand on entre ici, on n’a plus envie d’en sortir. Tout a été bien pensé, que ce soit pour les enfants ou le personnel. »

Peuplée par 127 enfants, placés sous la direction de Vinent Vehert, l’école Romain-Rolland sera officiellement inaugurée le samedi 24 novembre.

Samedi 22 septembre 2012
D 07 septembre 2012

Vandalisme à l’amicale des Pariottes

Hubert Contu, le président de l’amicale des Pariottes, à Auboué, est en colère. En arrivant sur le site de l’association, samedi, quelle ne fut pas sa surprise en découvrant la bâche lacérée de six coups de couteau ou cutter. Alertée, la police est venue sur les lieux constater les dégâts. Une plaine devait être déposée hier au commissariat de police par le président. A l’approche du mauvais temps, la bâche sera prochainement retirée afin que les dégâts ne soient pas plus importants. Le président est d’autant plus déçu que les compagnies d’assurances ne prennent pas en charge les sinistres sur les bâches.

Mercredi 26 septembre 2012
D 07 septembre 2012

Dimanche après-midi, la salle des sports Maurice Pichon, à Auboué, avait un air de salle des fêtes. En effet, les lieux avaient été quelque peu transformés pour accueillir le loto du club de basket aubouésien, le CSMA. Sol protégé, tables et bancs bien alignés : c’est dans ce cadre que les organisateurs ont accueilli quelque 120 joueurs. Une affluence correcte sachant que le soleil présent ce jour-là a sans doute détourné plus d’un amateur.

Nombreux gagnants - Stéphane Bochicchio, lui était bien là, micro en main, pour annoncer les numéros tirés tandis que d’autres bénévoles vérifiaient les cartons remplis et remettaient les lots. Les principaux gagnants ? 150 € en bons d’achat pour Mme Ferrer d’Auboué ; 100€ en bons d’achat pour Pascal Froment d’Auboué, 200€ en bons d’achat à Mme Wlodas d’Auboué ; 300€ en bons d’achats pour Mme Krammer de Marly, un autocuiseur a été emporté par Mme Leclerc d’Hussigny-Godbrange, ainsi qu’un GPS, un four micro-onde pour Mme Gerber de Mars la Tour et le téléviseur à M. Bernardini d’Auboué, une plancha pour M. Joly de Mars-la-Tour, un appareil photo et l’ordinateur portable pour Mme Janzem d’Hayange.

Et ce n’est pas tout : cinquante autres personnes ont elles aussi quitté la salle avec un petit quelque chose en ayant participé à la tombola !

De sacrés numéros !

Mercredi 26 septembre 2012
D 07 septembre 2012

Basket : Auboué dans l’arène

Après les nationaux – Jœuf/Homécourt recevra ce soir les Alsaciens d’Ilfurth en N3 –, c'est au tour des basketteurs régionaux de retrouver le parfum du championnat, perdu de vue depuis des mois.

En Prénationale masculine, Auboué ouvre à domicile, ce samedi, à 20h30. Le CSMA accueille GET Vosges, avec la particularité d’une préparation sans matches amicaux, ni challenges. Philippe Valsesia a dû se contenter de travailler halle Maurice-Pichon avec un groupe enrichi par plusieurs arrivées, comme Temmuz Karaoglan, Jimmy Lemoine, Yann Bénière, Mathieu Thomas, tous titulaires en puissance. Le coach aubouésien dispose d’un effectif étoffé de grande qualité. Il comptera aussi ce samedi sur Willy Linise, Romain Casarotto, Anthony Facci, Mamadou Sarr, pour renvoyer les visiteurs à leurs études. Dans une poule très homogène, il n’est pas pensable pour le club de Ciro Cernicchi de galvauder des points à domicile.

En Excellence, Jœuf/Homécourt B a de grandes ambitions sous la houlette d’Eric Bettiol et Jérôme Feireisen. On voit mal sa phalange juvénile rater son entrée en déplacement à Verdun. Du côté féminin, toujours en Excellence, apparition d’une entente entre Valleroy et Sainte-Marie-aux-Chênes, premier test demain, à 15h30, contre une autre union, Nilvange/Serémange.

Honneur. Les doublures aubouésiennes sont promues et devraient jouer un rôle intéressant dans le groupe B en raison de la richessse de l’effectif des Rouges où pourra puiser Stéphane Bochicchio. Elles reçoivent ce samedi, à 18h, l’équipe d’Aumetz qui vient de montrer son potentiel en amical à Joudreville.

Football

Quatre coupes au programme d’une riche journée dominicale. Tête d’affiche de ce 30 septembre, le 4 e tour de la Coupe de France, et la rencontre entre le CS Homécourt (DHR) et l’USB Longwy (PH), à 15h, au complexe du Bois de la Sarre. La formation de Sébastien Allieri, leader de son championnat et invaincue, a tous les atouts en main, à condition de ne pas mésestimer les visiteurs qui viennent de partager les points avec l’ES Jœuf. Les Joviciens, éliminés par l’ES Metz tout au bout d’un match homérique, entrent en Coupe de Lorraine (3 e tour). Pour se déplacer à Fontoy (1D), avec les faveurs du pronostic, le groupe de Pascal Léonetti récupère Yohann Giordano et Jonathan Thomas. Au même stade de l’épreuve, l’US Avril (D2) de Mohammed Lamtalsi fait déjà figure de Petit Poucet. Loïc Baldo et ses partenaires auront-ils les moyens d’en remettre une couche face à l’US Thierville (PHR) au stade de la Girafe où les Verts ont sorti Algrange (PH) ?

Coupe Brusco. Valleroy/Hatrize-Cons-la-Grandville : un match à la portée des équipiers de Thibault Djelloul et Kévin Maire. Giraumont/Doncourt-Ugny. Batilly-Beuveille.

Coupe Duhamel. Conflans C-Auboué B (13h). Crusnes B-Valleroy/Hatrize B (13h). Dany Gostner fait confiance à ses doublures vallerésiennes, nettement renforcées en effectif, et qui semblent à l’abri désormais de lourdes défaites. Godbrange B-Avril B (13h). Conflans B-Batilly B (13h).


Samedi 29 septembre 2012
D 07 septembre 2012

Auboué. — Nous apprenons le décès de M. Jean-Marie Ehrhardt, survenu vendredi 28 septembre à Auboué à l’âge de 75 ans.

M. Ehrhardt avait vu le jour le 14 août 1937 à Talange et avait épousé Éliane Froment le 17 septembre 1960 à Auboué. Le couple résidait au 3, rue Eugène-Jacquot. De leur union sont nés trois enfants, Philippe qui demeure à Pontivy, Patrick à Laringes et Fabien à Auboué. Ils lui ont donné la joie d’être entouré de l’affection de six petits-enfants, Fanny, Paul, Michel, Laurène, Pascal et Sean.

Retraité de la sidérurgie et ancien chauffeur de direction, le défunt était ancien combattant, ancien pompier, membre de l’association des Baraques, musicien et sportif.

M. Jean-Marie Ehrhardt repose à la chambre funéraire de Homécourt-Jœuf. Ses obsèques seront célébrées lundi 1 er octobre à 16h, en l’église Saint-Jean-Baptiste d’Auboué, suivies de l’inhumation au nouveau cimetière communal.

Nos condoléances à la famille.


Dimanche 30 septembre 2012
D 07 septembre 2012

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