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EAN : 9782844205681
157 pages
Editions Thierry Magnier (11/05/2007)
3.78/5   129 notes
Résumé :
Entre le dénuement à Mayotte et l’hyperconsommation en Métropole, Hugo vacille. Confrontation brutale de deux cultures, deux façons d’appréhender le monde et les relations amoureuses…

Les parents de Hugo partent enseigner pour quatre ans à Mayotte, ce petit bout de France perdu au coeur de l’Océan indien. Seul élève blanc de sa classe, Hugo a du mal à s’adapter à ce dépaysement : la misère des Mahorais et surtout des immigrés clandestins comoriens, la... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (36) Voir plus Ajouter une critique
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Avis mitigé sur ce roman dont j'ai apprécié la première partie et beaucoup moins la seconde. J'ai même eu l'impression de lire deux romans différents tant les événements racontés dans la première moitié m'ont semblé presque – je me sens obligée de nuancer tout de même – absents de la seconde. Tout bascule pour Hugo lorsque ses parents, enseignants à Béthune, obtiennent leur mutation pour Mayotte, autant dire « le bout du monde », titre d'ailleurs donné à la première partie de Tout doit disparaître. Les conditions de vie qu'ils découvrent sur place sont un véritable choc : la mère de Hugo peine à s'acclimater et rêve de retrouver la France tandis que son fils s'interroge, commence à développer son esprit critique, tout en prenant de la distance et en profitant de sa vie d'adolescent. Mais il s'égare et ses parents décident de le renvoyer en France. Là, c'est un deuxième choc : il ne supporte plus la société dans laquelle il doit vivre et en particulier la surconsommation permanente…
Tout doit disparaître a reçu six prix littéraires, ce qui n'est pas rien. En tant qu'adulte, j'y ai trouvé des problématiques intéressantes et, pour certaines, intelligemment développées, mais j'ai été gênée par ce que j'appellerais une absence d'unité. Je n'ai pas compris pourquoi l'un des événements majeurs du roman était à ce point passé sous silence par la suite. Était-il si utile ? J'en doute… Était-il destiné à émouvoir le lecteur ? Peut-être… En tout cas, moi, je n'ai pas été émue, l'affaire ayant été pliée en un rien de temps. L'évolution du personnage me paraît également un peu rapide et radicale, mais bon, pourquoi pas, après tout, tant que cela peut permettre aux adolescents de réfléchir à leur tour... Reste à savoir si ce roman pourrait leur plaire. À tester !

Lien : http://aperto-libro.over-blo..
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Les parents de Hugo sont enseignants à Béthune. Changement de vie radical : ils demandent leur mutation pour Mayotte. La petite tribu s'habitue tant bien que mal à ce nouvel environnement. Hugo y vit ses premières années d'adolescence, période à laquelle l'esprit critique est exacerbé. Les conditions de ce pays (chômage, misère, polygamie...) le font réfléchir sur notre société de consommation, sur l'acculturation induite par la colonisation puis par la mondialisation. Il porte également un regard lucide et teinté de culpabilité sur le sentiment de supériorité du "métropolitain" vis à vis des Mahorais, ressenti de part et d'autre. Il va se retrouver confronté du jour au lendemain à des responsabilités d'adulte, imprévues et particulièrement malvenues. Faute de pouvoir échanger avec ses parents, trop rigides, il va se confier à une amie de la famille.

Un roman très intéressant à partir de 14-15 ans : Mayotte, dégâts de la colonisation, amour, adolescence et ses questionnements, rébellion contre les parents, choix de vie, refus de se conformer aux diktats de l'économie capitaliste, de la logique consumériste... Tout cela présenté de manière sensible, pertinente.

De cet auteur, j'avais beaucoup apprécié 'Le Monde dans la main'.
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Tout doit disparaître, de Mikaël Olliver, est un livre avec une histoire originale et émouvante. le personnage principal, Hugo, fait preuve d'un véritable amour. Il ne comprend pas la société dans laquelle il est placé mais après, quand il rentre dans “son” pays, il se sent encore plus déraciné et déconcerté.
Ce livre m'a mis dans un tel état d'esprit que j'ai réflechis par deux fois à notre mode de vie quotidien. C'est un livre très philosophique qui décrit une étape de vie difficile d'un garçon qui devient un homme.
Le niveau de langue n'est pas extrèmement élaboré mais avec la lecture viennent beaucoup de pensées. le lecteur rentre plutôt vite dans l'histoire.
Le tout début m'a plu le plus mais les autres parties tiennent en haleine aussi et sont vraiment étonnantes. Une chose que j'ai moins aimée est qu'il y a des endroits un peu explicites qui se répètent quelques fois.
L'histoire, en fait, n'a pas une fin distincte. On ne sent pas que le livre est fini mais on ne sent pas non plus un manque d'information à la fin. C'est un peu comme dans la vie, ce n'est jamais entièrement finie.
J'aime beaucoup ce livre puisque je le crois très honnête. Des fois, quand on lit des romans, on trouve que l'histoire n'est pas racontée comme elle “devrait” l'être (les personnages sont dits braves mais on a l'impression qu'ils ne le sont pas). Ici, chaque phrase a quelque chose à dire. C'est de l'émotion crue. Hugo ne cache rien de ce qu'il sent de nous. On peut observer un parfait exemple de cela même dans la première page: “Il y a des gens qui font ça très bien. Moi pas. Je rougis, je m'énerve et je boude.”.
Pour ces raisons, je crois que c'est un livre pour tout le monde. Chacun peut apprécier ce livre à cause de la façon dont le garçon raconte son histoire parfaitment honnêtement. Sa sincérité avec le lecteur rend l'histoire magique.

Tout Doit Disparaître, de Mikaël Ollivier, est un roman de fiction dans lequel le protagoniste, Hugo, devient un homme. Il fait un voyage mental et émotionnel, au cours duquel il grandit, apprend ce qu'est l'amour et découvre que le monde est loin d'être parfait. Grâce à la ville urbaine où il a vécu dans son enfance et Mayotte, une île tropique près de l'Afrique, il apprend qu'il existe plusieurs façons de vivre et qu'il n'aime pas la sienne. Il lutte pour choisir un mode de vie qui lui convient, mais il trouve que cela n'est pas aussi facile qu'il l'espérerait.
Pour raconter l'histoire d'Hugo, Ollivier utilise un niveau de langue courant qui est agréable et compréhensible. Ses phrases, ni extraordinairement belles, ni ennuyeuses, sont simples et lisibles, ce qui fait qu'on peut rentrer dans l'histoire facilement . Cependant, parce que c'est un livre plutôt philosophique qui entraîne la réflexion et la contemplation des idées évoquées, l'écriture contient peu de détails et semble vague. Elle n'est pas particulièrement précise, mais elle réussit à raconter l'histoire de manière directe. Il y a beaucoup de mots comme surconsommation, mondialisation, altermondialisation, métropole et commerce équitable, car ces mots sont essentiels pour l'histoire. Par contre, j'ai remarqué que ces mots ont souvent été répétés.
Une autre raison pour laquelle j'ai aimé ce livre est que le niveau d'intensité de l'histoire reste à peu près égal et stable au cours du livre, et il n'y a donc pas de climax fixe. le suspense est bien réparti dans le roman, ce qui fait qu'il y a très peu de passages fastidieux et désagréables à lire.
En revanche, le livre lui-même n'est pas débordant de suspense et ne tient pas le lecteur en haleine. Il donne plutôt un air calme, léger, tranquille et pensif, qui encourage le lecteur à penser aux mêmes questions que se pose Hugo. Aussi, la fin n'était pas prévisible. Il n'y a pas de moment précis qui conclut l'histoire mais elle semble complète quand même. Elle s'achève discrètement, mais celui qui lit sait que le livre est terminé grâce au sentiment de totalité qui se présente à la fin du roman.
Je recommande ce livre seulement à ceux qui aiment la philosophie et aiment réfléchir car je trouve que les idées et les sujets abordés par Hugo sont intéressants et dignes du temps qu'il faut prendre pour lire l'oeuvre. Même si les idées étaient un peu pessimistes et péjoratives, elles étaient captivantes et attirantes. J'espère que vous aimerez ce roman intéressant si vous choisissez de le lire!
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Un court roman déjà un peu daté dont la thématique reste néanmoins très actuelle : la surconsommation.
Ce texte s'inscrit dans la liste des récits de soi puisqu'il est écrit à la première personne. Hugo s'adresse directement à nous et se confie car il n'a plus beaucoup de personne à qui parler.
C'est en territoire français mais au bout du monde, à Mayotte, qu'Hugo fait son entrée en Sixième. Ses parents professeurs ont obtenu une mutation pour 4 ans. Les difficultés d'adaptation ne sont pas moindres et Hugo rentre en France un peu plus tôt que prévu suite à un problème. Curieusement c'est à ce moment-là que son mal-être s'amplifie. Il en prend conscience lorsque sa grand-mère lui demande de l'accompagner le premier jour des soldes.
Sans aucun doute le séjour à Mayotte a développé le sens de l'observation et le regard critique d'Hugo. Nous suivons son évolution progressive qui nous oblige à nous remettre en question nous-même face aux questions de surconsommation et de publicités invasives. Mais dans la première partie, celle qui évoque Mayotte, les thématiques liées à la discrimination, au racisme, à l'intégration et à la présence des expatriés sont également bien traitées.
J'ai été sensible au passage du séjour de Hugo chez son grand-père paternel, dans un village de la Beauce. Leurs échanges sont touchants.
Le roman offre ainsi un point de vue précis par le biais d'une expérience de vie particulière et je le trouve enrichissant. Chacun pourra se faire une opinion sur les questions soulevées.
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Voilà un roman qui permettra sans doute à nos adolescents de se poser des questions sur l'hyperconsommation dans nos sociétés dites "modernes" ou en tous les cas qui ne manquera pas de susciter des débats animés.
Hugo voit sa vie d'adolescent bouleversé par la mutation de ses parents, tous deux enseignants, à Mayotte. Or Mayotte a beau être une île française, rien ne ressemble là-bas à la métropole. Les Mahorais vivent dans la misère et le plus total dénuement, l'île accueille de nombreux immigrés comoriens, et il est le seul élève blanc de sa classe. Impossible pour lui de se faire des amis.
Les soirées entre expats ne se passent pas de manière très plaisante pour ses parents non plus, les plus anciens écrasant les petits nouveaux sous les conseils. de plus la mère de Hugo déprime tout comme lui de devoir passer quatre ans dans ce coin perdu de l'océan indien.
Ni la plongée sous marine, ni les plages paradisiaques, ni la vie rêvée ou l'enthousiasme de son père et de sa petite soeur, n'arrivent à combler le manque pour Hugo. Seule Françoise, la documentaliste du collège, est un soutien pour l'adolescent, elle l'aide à comprendre le monde qui l'entoure car elle vit ici depuis des années, et est mariée avec un mahorais.
Mais Hugo, déraciné et isolé, va tomber amoureux de Zaïnaba, et sa naïveté va lui faire commettre des erreurs : Zaïnaba se retrouve enceinte. Ses parents le rapatrient alors en urgence en France, où il va finir son année scolaire chez ses grands-parents en attendant leur retour...
Là, il va ressentir un véritable choc quand il réalise le contraste entre les deux cultures. Presque quatre ans ont passé, il a mûri et découvert une autre culture. Il pose alors un regard lucide et sans concession sur notre vie en métropole. Ici tout est trop, trop de slogans publicitaires, trop de monde, trop de modes, trop d'achats en tous genres d'objets dont personne n'a réellement besoin mais dont personne ne peut se passer. Les adolescents eux-mêmes sont les victimes toutes désignées de la société de consommation, ils pèsent une valeur marchande considérable et les marques savent comment les prendre pour cible.
Coupé du monde, Hugo s'enfonce dans une révolte d'adolescent au départ silencieuse et boudeuse, qui l'isole totalement des siens, puis après sa rencontre avec Charlotte, de plus en plus active quand il découvre que des groupes de résistance existent...

C'est un roman pour les adolescents qui aborde divers sujets : le dépaysement, le choc des cultures, l'ouverture aux autres et à leur mode de vie, même différent du notre.
Il porte sur les expats un regard sans concession. Ils vivent entre eux, s'offrent des loisirs très chers et inaccessibles pour les autochtones, afin de profiter au maximum des plaisirs faciles du lieu mais sans vraiment se tracasser pour les personnes vivant sous leurs yeux. Enfin heureusement il y a des exceptions !
Ce qui les amène dans ces contrées reculées, c'est avant tout le salaire supplémentaire qui leur est versé et leur permet lorsqu'ils reviendront en métropole de pouvoir s'acheter la maison de leur rêve, entre autre. C'est un peu caricatural bien entendu, mais c'est très bien décrit de l'intérieur. Est réaliste aussi, le racisme larvé et en tous les cas, le sentiment de supériorité qui les anime tant là-bas qu'une fois revenu en métropole.
C'est un roman qui suscitera beaucoup de débats sur l'hyperconsommation par contraste avec le dénuement total des habitants de Mayotte. Hugo est choqué de voir des gens se disputer violemment pour un vêtement ou un objet pendant les soldes et choqué par la façon dont ses proches vivent en métropole. C'est le sujet de la seconde partie.
J'ai lu ici ou là des critiques qui disaient que les deux parties n'étaient pas vraiment en lien. Au contraire pour moi, elles sont extrêmement reliées car Mayotte c'est la France.
Bien entendu, ce roman plaira aux ados car il est question de crise d'adolescence et de quête de soi, de premier amour et de sensualité. Ici, il y a des priorités différentes et les filles en particulier, même adolescentes sont plus libres car elles ont accès à la contraception et peuvent continuer leurs études en toute tranquillité ce qui n'est pas le cas là-bas. Il plaira aussi aux ados parce qu'il leur parle d'un adolescent qui cherche sa place dans le monde et doit se trouver alors qu'il se sent entre deux cultures très opposées.
Un roman à découvrir à partir de 14-15 ans.
Lien : https://www.bulledemanou.com..
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critiques presse (1)
Lecturejeune
01 décembre 2007
Lecture jeune, n°124 - Les parents d’Hugo partent enseigner quatre ans à Mayotte, emmenant avec eux leurs deux enfants. Le jeune homme s’adapte difficilement à ce nouveau monde. Il découvre l'île et ses habitants, les Mahorais, le climat tropical, la pauvreté et les métropolitains repliés sur eux-mêmes. Tout dérape quand Hugo s’ouvre à l’amour auprès de Zaïnaba. Elle tombe enceinte et Hugo est immédiatement renvoyé en France chez ses grandsparents. Ce retour est un choc pour l’adolescent. Il se sent en total décalage avec la société de consommation et les valeurs véhiculées en métropole. Au fil du roman, il fait face à ses responsabilités et affirme sa personnalité, à cheval entre deux univers, la métropole et Mayotte. Ces deux mondes se confrontent et se répondent, permettant à Hugo de devenir adulte. Enfin, ce roman permet d’aborder un sujet rare en littérature de jeunesse : les rapports entre la France et les D.O.M.-T.O.M. Sébastien Féranec
Lire la critique sur le site : Lecturejeune
Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
Au collège, je n’avais pas envie de me faire de nouveaux amis. Je me sentais étonnamment mal à l’aise avec les jeunes de mon âge. Aucun d’entre eux ne me rejetait ni ne me tenait à l’écart, c’était moi qui refusais de jouer le jeu. Car il s’agit bien d’un jeu, non ? Ces conversations enflammées sur des sujets sans importance, ces blagues et expressions à la mode, ces magazines qu’il faut absolument lire, ces programmes télé qu’il faut avoir vus… Tout me semblait ridicule, mais en même temps, je souffrais de ne pas en être, de ne pas parvenir à redevenir un adolescent ordinaire, de ne plus savoir apprécier ou me contenter de la vie de mes semblables. (…) trop immature pour Mayotte, trop mûr pour Béthune ? Je flottais entre deux eaux : ni triste, ni gai, ni en colère, ni résigné. Flottant. A côté de moi-même et des autres.
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- Quand on pense qu'on fait étudier Camus au lycée [à Mayotte] ! a dit mon père. Comment voulez-vous que des gamins d'ici y comprennent quelques chose ? Mais c'est le programme national !
- Le pire, c'est à l'école primaire, a expliqué ma documentaliste. Les gosses parlent à peine le français et on leur fait faire des dictées d'après des textes métropolitains. Ils ne connaissent pas la signification de la moitié des mots ! Simplement parce que ça leur parle de marronniers, de sapins, de faisans, d'écureuils et qu'ils n'en ont pas ici !
- On retrouve le même problème au collège, a dit mon père. J'ai un collègue qui a dû donner à ses élèves, pour le brevet, un sujet sur le Réveillon de Noël ! A des musulmans !
(p. 55-56)
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Le collège a repris deux jours plus tard et j’y suis retourné tel un automate, en me demandant s’il était censé se passer autre chose dans la vie que l’écoulement du temps. Si un jour, devenu sans même m’en rendre compte un vieil homme, j’allais jeter un regard en arrière pour constater que rien ne m’était vraiment arrivé, que j’avais oublié mes rêves, mes ambitions, que je m’étais résigné à seulement exister.
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Il y a deux façons de vivre, Hugo. En se laissant porter sans se poser de questions par le temps qui passe, ou en essayant de comprendre qui l'on est et où on va. La deuxième solution est certainement la moins confortable, mais de loin la plus intéressante. La seule qui vaille, pour moi.
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J'aurais aimé avoir le sens de la repartie. Dire ce qu'il faut sans hésiter, trouver les mots sans bafouiller, au moment précis où j'en ai besoin. Clouer le bec à mon interlocuteur, lui fermer sa gueule, calmement, pertinemment, spirituellement.
Il y a des gens qui font ça très bien. Moi pas.
Je rougis, je m'énerve et je boude. Dix minutes plus tard, une heure ou même le lendemain, la réplique qui tue me vient soudain comme une évidence. Toujours trop tard, quand il ne me reste plus qu'à me traiter de gros abruti, de nul, de tache, de bouffon. Quand il ne me reste plus qu'à me rejouer la scène, à me rêver audacieux et fort, à réécrire les dialogues en me donnant le beau rôle. Quand il ne me reste plus que des regrets.
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