- Abjurations à Beauvoir (72) :
- 24/01/1686 baptême de Marthe Jeanne du Conseil autrefois de la Religion Prétendue Réformée (p. 17, acte relevé par Phlippe Gondard)
- 21/02/1699 Abraham MAINIEL (?) et Élisabeth CHALAMBERT (p. 60, acte relevé par Phlippe Gondard)
- Abjurations à Blèves (72) : 1685 cote 1 Mi 1249.
- 09/12/1685 Louis MENOU et Marthe BLIE ont abjurés la religion prétendue réformée (BMS 1680-1691 p142).(acte relevé par Élisabeth VEGEAS)
- 10/12/1685 Judic MENOU 17 ans et Marie MENOU 19 ans ont abjurés la Religion Prétendue Réformée (BMS 1680-1691 p143).(acte relevé par Élisabeth VEGEAS)
- Abjuration à Cogners (72)
- 28/09/1648 : Jacques BOUILLON, soldat, fils de Roland et d'Élisabeth AMIOT d'Alençon (registre BMS 1590-1660 p 217/308 acte relevé par Anthony Lachaud, aimablement transmis par Élisabeth VEGEAS)
- Abjuration à La Chapelle -du-Bois (72) :
- ??/06/1629 : René, fils de Benjamin Le Gendre, de la Religion Prétendue Réformée et de Gabrielle LeGendre, sa femme catholique (vue 81, acte relevé par Odile Daugy)
- Abjurations à Fresnay sur Sarthe (72)
- Abjuration à Mézière sous Ballon (72) :
- 03/02/1686 Louise du SOUCHÉ épouse d'Antoine COURTIN (BMS 1666-1699, vue 203, acte relevé par Robert Raffaelli et transcrit par Élisabeth Vegeas)
- Abjurations à Torcé en Vallée (72) BMS 1674-1699, cote 1 Mi 1106 M2)
- 27/10/1685 : Charles CRESPIN (acte relevé par Christian Havard) vue 158.
- 03/10/1698 : Marie Madeleine LEBLOND (acte relevé par Christian Havard) vue 312..
- Aillières (72) : le registre des BMS contient des actes protestants à partir de la page 296 concernant les années 1676-1684 sur le registre en ligne 2 MI EC 2_3-8 (communication d'Élisabeth Vegeas).
- Histoire du Maine et du Mans : Les premiers prédicateurs du calvinisme, dans le Maine, furent Henri Salvert, qui y vint de Tours en 1559, et Merlin, de La Rochelle, un des disciples de Théodore de Bèze. Les progrès de la nouvelle doctrine furent rapides : un an après, un consistoire était établi au Mans, et seize ministres étaient institués. Mamers devint bientôt l'un des plus ardents foyers du protestantisme dans cette contrée ; mais, la guerre ayant éclaté, les calvinistes s'emparèrent du Mans, qu'ils occupèrent pendant trois mois : les catholiques reprirent bientôt la ville, et y exercèrent d'atroces vengeances.
Ces cruautés rendirent plus tard inutile au Mans le massacre de la Saint-Barthélemy. L'édit de Nantes rétablit le calme dans ce pays, et un peu de tolérance à l'égard des réformés. Ils établirent au Mans un temple qui subsista jusqu'à la révocation de l'édit de Nantes : le lieu où il était bâti porte encore le nom de Chemin du Prêche.
d'après la France pittoresque.