Philippe Geluck

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Philippe Geluck
Philippe Geluck à Montreux/Suisse octobre 2022
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Philippe Geluck[1], né le à Bruxelles (province de Brabant) est un artiste belge. Particulièrement connu pour être l'auteur de la série de bande dessinée Le Chat, il est également acteur, écrivain, peintre et sculpteur et a participé à plusieurs émissions télévisées en tant que chroniqueur, notamment en collaboration avec Michel Drucker dans Vivement dimanche prochain et avec Laurent Ruquier, notamment en tant que sociétaire à l'émission Les Grosses Têtes sur RTL.

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfance et premiers dessins de presse[modifier | modifier le code]

Philippe Geluck naît le à Bruxelles[2]. Son père, Didier Geluck, est dessinateur de presse, sous le pseudonyme Diluck, et militant communiste. Il devient distributeur de films des pays de l’Est à partir des années 1960.

Sa mère Lucile a fait des études de chant classique au Conservatoire et a rencontré son futur mari dans une troupe de théâtre amateur. Elle est la première femme du royaume de Belgique à pratiquer la méthode de l’accouchement sans douleur en le mettant au monde[3],[4].

Geluck a un frère aîné graphiste et sculpteur, Jean-Christophe, né en 1947.

Son père et son frère l’initient dès son enfance à Sempé, Tomi Ungerer, Saul Steinberg, Chaval, Siné et Reiser, ainsi qu'à la revue Bizarre et au journal Hara-Kiri.

En 1969, il dessine avec son frère un journal qu'ils affichent dans les toilettes de la maison. Un jour, un laveur de vitres qui travaille à la maison découvre ce dessin humoristique et en parle à son ami Bob De Groot, rédacteur en chef de L’Œuf, journal humoristique. Philippe Geluck y publie ses premiers dessins[3], avant un petit recueil publié au Daily-Bul en 1974.

Débuts au théâtre et à la télévision[modifier | modifier le code]

En 1972, il s’inscrit à l’Insas, ce qui lui permet de monter sur les planches du Théâtre national de Belgique en 1975. Il y joue Roméo et Juliette (Shakespeare), L'Opéra de quat'sous (Brecht et Kurt Weill) ou encore Faust (Goethe). Il interprète en 1975, aux côtés de la comédienne Claudine Charles, Werther (Edgar Wibeau) dans Werther 75 de Ulrich Plenzdorf. Parallèlement en 1976, il monte avec d'autres comédiens de formation, dont notamment Alain Lahaye, le Théâtre Hypocrite, un cousin du Splendid[5]. En 1982, il crée un seul-en-scène, Un certain Plume, d'après le recueil Plume d'Henri Michaux, au Théâtre de Poche dans une mise en scène d’Andrej Burzinsky[6],[7]. En 1983, on le voit dans le film Benvenuta du réalisateur André Delvaux.

En 1977, il joue le rôle de Peters Jones, dans le téléfilm Le Scoop de Jean-Louis Colmant diffusé en France le sur FR3[8].

En , il fait ses débuts à la RTB dans l'émission pour enfants 1,2,3, J'ai vu où il joue le rôle du clown Célestin Radis[9].

À partir de 1980, il devient animateur ou participant à diverses émissions humoristiques à la RTBF : Electronix, Lollipop (avec Malvira), L'Esprit de famille, Le Jeu des dictionnaires, L'Empire des médias ou encore Les Imbuvables et Un peu de tout avec les comédiens du Magic Land Théâtre[10].

En 1982, il fait la publicité de l'attraction Sirocco de Walibi Wavre[11].

Création de la BD Le Chat[modifier | modifier le code]

Le , sur commande du quotidien belge francophone Le Soir, il crée Le Chat, personnage de bande dessinée qui le rendra célèbre[12].

Depuis sa première publication dans Le Soir, le son succès a dépassé les frontières de son pays natal, puis de la francophonie.

Parallèlement à sa carrière de dessinateur, Philippe Geluck poursuit sa carrière en radio et télévision à la RTBF dans les émissions de Jacques Mercier. Entre 1988 et 1999, il fait partie de l'équipe du Jeu des dictionnaires et de La Semaine infernale, où il crée son personnage du Docteur G.

En 1991, il obtient le Prix de l'émission télévisée la plus drôle au festival de la Rose d'or de Montreux, pour Un peu de tout.

Il devient à partir de 1992 chroniqueur dans plusieurs émissions radiophoniques et télévisées françaises, notamment Vivement dimanche prochain (1999-2006 ; 2007-2008), avec Michel Drucker[10], On va s'gêner (1999-2012), On a tout essayé (2000-2007), L'Émission pour tous (2014)[13], et il devient sociétaire de l'émission Les Grosses Têtes[14],[15], à partir de 2014, animée par Laurent Ruquier, avec qui il travaillait déjà dans l'émission On va s'gêner[16].

Il contribue aussi à l'hebdomadaire satirique Siné Hebdo créé par son ami le dessinateur Siné (depuis le premier numéro paru le [17]), puis à Siné Mensuel (rubrique intitulée Geluck se lâche où il « dessine le plus souvent des horreurs, et j'aime ça ! »[18]).

En , pour le vingtième anniversaire du Chat, Geluck monte une exposition « monumentale »[19] à l'Ecole nationale des Beaux-Arts à Paris, à côté du Louvre : l'exposition occupe 900 m2 avec une scénographie de grande proportion. Elle comporte notamment un crayon géant de 30 mètres de long, dans lequel se trouve trois salles. Y sont exposés notamment des dessins du Chat et des aquarelles[20],[21].

Dès le , en duo avec Jacques Mercier, Philippe Geluck présente sur la RTBF et TV5 Monde un micro-programme de 90 secondes : Monsieur Dictionnaire, l'explication ludique d'un mot ou d'une expression[22]. En , il participe au spectacle de Jacques Mercier, Mercier: go home ! au théâtre de la Toison d'or (Bruxelles)[23].

Entre le et le , vingt statues géantes du Chat en bronze sont exposées le long de l'Avenue des Champs-Élysées à Paris[24]. Cette exposition, intitulée Le Chat déambule, est ensuite déplacée dans une douzaine de villes françaises et européennes[25]. Chaque statue, qui peut être fabriquée en deux exemplaires, est à vendre entre 300 000 et 400 000 euros[26],[27]. L'exposition rejoint Bruxelles en mars 2023[28]. À cette date, 25 statues environ ont trouvé acquéreur[27].

Vie privée[modifier | modifier le code]

Le , sur le tournage d’un court métrage, il rencontre Dany, scripte ; il l'épouse en 1980. Antoine naît en 1983, et Lila en 1985[3].

Antoine est chanteur sous le pseudonyme Antoine Chance (Geluck signifiant « chance » en néerlandais). Il a reçu le prix d'artiste de l'année 2015 en Belgique[29].

Lila a tenu le restaurant Les Tartines de Lila à Bruxelles entre 2011 et 2019.

Philippe Geluck et Dany ont quatre petits-enfants.

Œuvre[modifier | modifier le code]

Le Chat[modifier | modifier le code]

2022 Exposition de 20 sculptures en bronze du Chat à Montreux, Suisse

Le Chat apparaît pour la toute première fois en 1980 sur les faire-parts du mariage de son auteur, en compagnie de la femme du Chat[30].

Le Chat apparaît ensuite le sous forme de strips en noir et blanc dans le journal Le Soir.

Il connait sa première histoire pleine page — toujours en noir et blanc — dans la revue belge Pour vous, puis évolue une dernière fois avec la collaboration à la revue (À suivre) en passant à la couleur.

Le Chat fête ses quarante ans en 2023. Pour l'occasion sort le 24e album du Chat, plus épais qu'à l'accoutumée, après trois ans d'absence. Pendant les 40 ans écoulés, 23 albums ont été publiés avec un total de 15 millions d'exemplaires vendus. Les ventes varient entre 200 000 et 450 000 exemplaires par album[31],[32],[33],[34].

Encyclopédies universelles[modifier | modifier le code]

Albums de Philippe Geluck.

La série Encyclopédies universelles sont des encyclopédies parodiques présentant des mots, inventés pour la plupart, en leur donnant une définition loufoque.

  • Un peu de tout, Casterman, 1992
  • Made in Belgium, Casterman, 1994
  • Le Petit Roger, Casterman, 1998
  • Made in Belgium (Encyclopédie Tome 4), Casterman, 2007

Docteur G[modifier | modifier le code]

La série Le Docteur G. sont les enregistrements d'une émission radiophonique humoristique. Philippe Geluck y campe un médecin cynique et incompétent répondant de manière loufoque à des courriers plus ou moins fantaisistes écrits par des personnes fictives lui demandant des conseils, principalement sur leur santé.

  • Le Docteur G. répond à vos questions, Casterman, 1990
  • Le Docteur G. fait le point, Casterman, 1996
  • Cher docteur G., Casterman, 2002

Le fils du chat[modifier | modifier le code]

Il s'agit d'une collaboration avec Serge Dehaes.

  • Le Portrait de papa, Casterman
  • Le Soleil, Casterman
  • Rikiki, Casterman
  • Monsieur Casterman, Casterman
  • Mon papa Noël, Casterman
  • Les Vacances, Casterman
  • La Surprise du chef, Casterman
  • Papa j'ai peur !, Casterman
  • 24 décembre, Casterman

Les Aventures de Scott Leblanc[modifier | modifier le code]

Scénario et dialogues : Philippe Geluck ; dessin : Devig ; couleurs : Camille Paganotto

  • Alerte sur Fangataufa, Casterman, 2009
  • Menace sur Apollo, Casterman, 2010
  • Terreur sur Saïgon, Casterman, 2014
  • Échec au roi des Belges, Casterman, 2016

Autres livres[modifier | modifier le code]

  • Les Métiers oubliés, coll. « Les Poquettes volantes » no 45, éd. Daily Bûl, La Louvière, 1974 [lire en ligne (page consultée le 6 avril 2018)]. Opuscule illustrant divers métiers tels que « boucheur de coins », « couvreur de chefs » ou « diseur du soir » ! On y trouve déjà ce fin trait noir tremblé, caractéristique de l'auteur.
  • Oh toi le Belge, ta gueule !, Casterman, 2006
  • Geluck se lâche, Casterman, 2009
  • Geluck enfonce le clou, Casterman, 2011
  • Peut-on rire de tout ?, Éditions Jean-Claude Lattès, 2013 (ISBN 978-2709-636490)
  • Geluck pète les plombs, Casterman, 2018

Émission de télévision[modifier | modifier le code]

Une émission de télévision intitulée La Minute du Chat passe à partir de 2011 du lundi au vendredi tous les soirs sur La Une (RTBF) et sur France 2. On y trouve des versions animées des gags de Geluck, parfois en 3D, ou même en marionnette.

Philippe Geluck et son personnage Le Chat ont fait l’objet d’un documentaire de 52 minutes diffusé en 2008 dans la série Empreinte sur France 5, ainsi que sur la RTBF : Geluck, l’homme à la tête de Chat, réalisé par Bérengère Casanova et produit par la société Equipage.

Polémique[modifier | modifier le code]

En 2021 à Bruxelles, un futur musée dont le nom sera « Musée du Chat et du dessin d’humour », projet initié par Philippe Geluck, crée la polémique. Une pétition dénonce un « détournement d'argent public »[35] et une opération d'« autopromotion »[36]. Le bâtiment coûtera 9 millions d'euros à la Région de Bruxelles-Capitale[37]. Certains jugent le projet « trop commercial »[38]. Une des initiatrices de la pétition a reçu des dizaines de messages haineux et sexistes. Elle est victime de cyberharcèlement[39] et de piratage informatique[40]. Face à la polémique, Geluck, qui se dit blessé[41], se déclare prêt à abandonner son projet de musée du Chat[42]. Après que la première pétition a été signée 5 000 fois, une autre pétition, cette fois lancée pour soutenir le projet, atteint 15 000 signatures. Cette nouvelle pétition affirme qu'il est naturel qu'« un des porte-drapeaux de la culture belge » puisse avoir son musée « au même titre que Hergé par exemple »[43].

Philippe Geluck a eu l'idée de ce projet en 2008[44], et en 2015, il obtient le feu vert de la Région de Bruxelles-Capitale[45]. Le projet consiste en une installation dans un bâtiment abandonné, dans le centre historique de Bruxelles[46], avec la mise en place de trois sections : une pour le Chat, une pour des peintres, et une pour des dessinateurs. Les expositions de peintres ou de dessinateurs seront des « expositions hommages » temporaires[47],[48]. L'association qui s'occupera du musée doit être à but non lucratif[46]. Tandis que la Région de Bruxelles apporte 9 millions d'euros pour le bâtiment, Philippe Geluck doit faire un apport équivalent. Il propose 4,5 millions d'euros sous forme d'œuvres et 4,5 millions d'euros en numéraire, permettant de financer les aménagements intérieurs. Il rassemble 3,5 millions provenant de sponsors, et pour le reste vend des statues géantes à un prix situé entre 350 000 et 380 000 euros[49],[50],[51]. En 2023, le Parlement bruxellois en achète une faisant deux tonnes et demie. La statue coûte 370 000 euros. La polémique autour du musée est relancée. Le porte-parole du Parlement déclare que l'achat est réalisé dans le cadre d'un soutien au musée[52],[53].

Prix et hommages[modifier | modifier le code]

Décorations[modifier | modifier le code]

Expositions personnelles[modifier | modifier le code]

  • La Grand Expo (Le Chat s'expose), Ecole des Beaux-Arts, Paris (2003)
  • Tout l'art du Chat, Galerie Huberty et Breyne, Paris (2014)[59]
  • L'Art et Le Chat, Musée en Herbe, Paris (2016)
  • Les frères Geluck exposent à Liège, Galerie Liehrmann, Liège (2021)[60]
  • Le Chat déambule, Avenue des Champs-Élysées, Paris (2021)[61] puis en tournée à Bordeaux, Caen, Genève, Monaco[62]...

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Son prénom est bien « Philippe » et non « Philip » comme il est parfois orthographié, à tort — voir son site officiel.
  2. « Geluck, Philippe - biographie - bibliographie - Photo », sur BD Gest' (consulté le ).
  3. a b et c Laurence Durieu, « Philippe Geluck », sur VSD, .
  4. Frédéric Potet, « Philippe Geluck : « Si j’avais voulu être notaire ou avocat, mes parents m’auraient tourné le dos », Le Monde, .
  5. Théâtre pour la jeunesse n°3, Éditions Lansman, , p. 7.
  6. Jérôme Colin, « Philippe Geluck dans le taxi de Jérôme Colin : L’interview intégrale », Hep Taxi, RTBF,‎ (résumé, lire en ligne [PDF]).
  7. « Un certain Plume, de Henri Michaux ; mise en scène Andrzej Burzynski : Théâtre de Poche », sur Archives et Musée de la littérature (consulté le ).
  8. Télé 7 Jours no 936, semaine du 6 au , page 39.
  9. (en) Kjell Knudde, « Philippe Geluck - Television career », (consulté le ).
  10. a et b Jean-Paul Billo, « L’esprit félin de Philippe Geluck », sur France Bleu, (consulté le ).
  11. Nicolas Anspach, « Guy Dessicy (Publiart, fondateur du CBBD) : « La BD, c’est mon lait, ma nourriture, mes racines ! » », sur ActuaBD, (consulté le ).
  12. Christophe Levent, « Philippe Geluck dévoile les petits secrets du Chat », Le Parisien,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  13. Claire Lavarenne, « Laurent Ruquier recrute Steevy Boulay, Annie Lemoine et Isabelle Motrot » sur Télé 2 Semaines, 15 décembre 2013.
  14. Philippe Geluck, liste des participations de l'humoriste à l'émission Les Grosses Têtes de RTL.
  15. Aurélie Parisi, « Laurent Ruquier très exigeant dans le choix des personnalités qui l'entourent sur le plateau des "Grosses Têtes": "Dans l'émission, il n’y a pas de copinage" », sur DHnet, (consulté le )
  16. « Voici les « Grosses Têtes » de Ruquier... », sur leparisien.fr, (consulté le )
  17. Rémy, « Philippe Geluck bientôt dans "Siné Hebdo" », sur labandearuquier.com, roné, (consulté le ).
  18. Siné Mensuel, « Siné Mensuel fait son Ciné avec Philippe Geluck », (consulté le ).
  19. Francis Cornu, « Le Chat est formel : un Geluck peut en cacher un autre », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  20. Francis Matthys, « «Le Chat» s'expose pour ses 20 ans », sur La Libre.be, (consulté le ).
  21. Guy Duplat, « Les vingt ans du Chat de Philippe Geluck », La Libre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Replay Pied de guerre - Monsieur dictionnaire », sur TV5 Monde (consulté le ).
  23. « Mercier, Go Home », sur demandezleprogramme.be (consulté le ).
  24. « 20 Chats de Geluck en bronze sur les Champs-Élysées », L'Écho,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  25. « Vingt statues du "chat" de Philippe Geluck exposées sur les Champs-Élysées », sur France Bleu et France 3, (consulté le ).
  26. Camille Moreau, « Les Chats de Geluck s'exposent en plein air sur les Champs-Elysées », Geo,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. a et b « Les photos des statues du Chat de Geluck exposées dans le parc Royal à Bruxelles », sur Le Soir, (consulté le ).
  28. Michaël Degré, « Expo du Chat : les statues de Geluck vont rester à Bruxelles jusqu’au 10 septembre », L'Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Philippe Papineau, « Fou, Antoine Chance », Le Devoir,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Jean-Michel Djian, « Interview de Philippe Geluck sur France Culture le 10/12/2013 », sur France Culture, (consulté le ).
  31. Charles-Louis Detournay, « Le Chat souffle ses 40 bougies », ActuaBD,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. Audrey Verbist, « Le Chat de Philippe Geluck: 40 ans et toujours impertinent », L'Avenir,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  33. Sébastien Bordenave, « Le Chat de Philippe Geluck fête ses 40 ans avec un album inédit », Europe 1,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Le chat de Geluck fête ses 40 ans et s’offre un 24e album », sur RTBF, (consulté le ).
  35. « Le futur musée consacré au Chat de Geluck crée la polémique en Belgique », sur RTS Info, .
  36. « Musée du Chat à Bruxelles: Philippe Geluck prêt à abandonner le projet », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  37. T. B., « Levée de bouclier contre le Musée du Chat à Bruxelles », L'Avenir,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  38. Mailys Chavagne, « Le Musée du Chat de Geluck, un projet trop "commercial"? », sur Le Vif, (consulté le ).
  39. Mélanie Geelkens, « Une sacrée paire de harceleurs : "Suce-moi, salope", tout ça pour s'être opposée au musée du Chat », Le Vif/L'Express,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  40. Camille Wernaers, « Débat autour du Musée du Chat: il ne manquait plus que du cyber-harcelement », sur RTBF, (consulté le ).
  41. Marc Fourny, « Blessé par la polémique, Philippe Geluck prêt à abandonner son musée du chat », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. « Philippe Geluck prêt à faire une croix sur le musée du Chat », L'Écho,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  43. « Le futur musée consacré au Chat de Geluck crée la polémique en Belgique », sur RTS, (consulté le ).
  44. « Feu vert pour le musée du Chat », sur RTBF, (consulté le )
  45. AFP, « "Le Chat" de Philippe Geluck aura son musée à Bruxelles », sur Le Point, (consulté le ).
  46. a et b Alain Franco, Andréanne Quartier-la-Tente, « Le futur musée consacré au Chat de Geluck crée la polémique en Belgique », sur rts.ch, (consulté le ).
  47. « Un musée pour le Chat de Philippe Geluck », sur BFM TV, (consulté le ).
  48. Michel De Maegd, « Non à la "Fatwa" contre le musée du Chat et du dessin d'humour (carte blanche) », sur Le Vif, (consulté le ).
  49. « Les statues du Chat de Geluck exposées dans le parc Royal à Bruxelles », sur RTBF, (consulté le ).
  50. Frédéric Sergeur, « Des chats en bronze vendus une fortune par Philippe Geluck pour ouvrir un musée », Capital,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  51. « Face aux critiques, Philippe Geluck prêt à abandonner le Musée du Chat de Bruxelles », sur Le Figaro, (consulté le ).
  52. Karim Fadoul, « Geluck sur la polémique de la statue du Chat achetée par le Parlement bruxellois : 'Je n'ai sollicité personne et je ne touche pas un centime' », sur RTBF, (consulté le ).
  53. « Le parlement bruxellois s’offre une importante statue du Chat de Philippe Geluck à 370.000 euros », sur Le Soir, (consulté le ).
  54. « Les infos : Question de prix », La Lettre - L'officiel de la bande dessinée, Dargaud, no 30,‎ , p. 6.
  55. Christian Missia Dio, « Philippe Geluck Grand Prix Saint-Michel 2013 », ActuaBD,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  56. Jacques Schraûwen, « BD : Prix Diagonale-Le Soir à Louvain-La-Neuve et tout un week-end d'animation », RTBF,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  57. Alamy Limited, « L'artiste belge Philippe Geluck (R) est honoré par le roi Albert II (2e L) et la reine Paola (R) de la médaille du Commandeur de l'ordre de la Couronne / Commandeur de Kroonorde en présence de sa femme Dany (2e L) au Palais Royal de Laeken à Bruxelles novembre 16, 2009. Reuters/Thierry Roge (Société royale belge Photo Stock - Alamy », sur alamyimages.fr (consulté le ).
  58. « Photos | Philippe Geluck a reçu les insignes d’officier des Arts et des Lettres », L'Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  59. « Philippe Geluck - Tout l'Art du Chat | Exposition | Huberty et Breyne », sur hubertybreyne.com (consulté le ).
  60. « Les frères Geluck exposent à Liège », sur Galerie Liehrmann (consulté le ).
  61. « Le Chat déambule », sur parisinfo.com.
  62. « Statues – Philippe Geluck – Le Chat » (consulté le ).

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Interviews[modifier | modifier le code]

  • Philippe Geluck (interviewé par Boris Henry), « Les invités : Geluck auteur-éditeur », La Lettre - L'officiel de la bande dessinée, Dargaud, no 68,‎ , p. 34-35
  • Philippe Geluck (interviewé par Jean-Pierre Fuéri), « Entretien : Chat bouge ! », Casemate, no 9,‎ (ISSN 1964-504X).
  • Frédéric Potet et Philippe Geluck (int.), « Un apéro avec Philippe Geluck : « Je pensais que la notion de second degré était acquise » », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]

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