Valaurie

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Valaurie
Valaurie
Porte des remparts de Valaurie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes Enclave des Papes-Pays de Grignan
Maire
Mandat
Christian Fau
2020-2026
Code postal 26230
Code commune 26360
Démographie
Gentilé Valauriens, Valauriennes
Population
municipale
703 hab. (2021 en augmentation de 19,35 % par rapport à 2015)
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 25′ 24″ nord, 4° 48′ 52″ est
Altitude Min. 80 m
Max. 290 m
Superficie 12,3 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Grignan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Valaurie
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Valaurie
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Valaurie

Valaurie est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Valaurie est située entre Donzère (à l'ouest) et Grignan (à l'est).

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Sites particuliers[1] :

  • Col de la Justice ;
  • Combe de Berre ;
  • Combe Léron ;
  • Val des Nymphes[2] (non confirmé par Geoportail).

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • la Berre (affluent du Rhône) ;
  • la Vence (affluent de la Berre) ;
  • le ravin de la Pigne ;
  • le ravin de la Riaille ;
  • le ravin des Écharavelles
  • le ravin des Temples ;
  • le ravin du Gournier ;
  • le ravin du Grand Vallat.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 842 mm, avec 6,2 jours de précipitations en janvier et 3,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Donzère », sur la commune de Donzère à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 826,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Valaurie est accessible par la RD 541 depuis Grignan et par la RD 133 depuis Montélimar.

Les gare TGV les plus proches sont celle d'Avignon et de Valence.

Les deux aéroports les plus importants sont ceux de Lyon et Avignon.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Valaurie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

La commune est hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (46 %), forêts (45,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,2 %), zones urbanisées (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %), cultures permanentes (0,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Carrière
  • Chabanas
  • Clavon
  • Crespias
  • Eyguebelle
  • Fangeras
  • Germanias
  • Jonchier
  • la Croix du Grés
  • la Grenoble
  • la Mégeonne
  • la Mine
  • la Sausse
  • le Bœuf
  • le Bréchet
  • le Colombier
  • le Devès
  • le Foulon
  • le Gournier
  • le Molard
  • le Plan du Fraisse
  • le Renard
  • les Blaches
  • les Brugières
  • les Combes
  • les Condamines
  • les Écharavelles
  • le Serre Rouge
  • le Soulier
  • l'Espérance
  • les Planes
  • les Sablières
  • les Traverses
  • le Travers
  • Passeras
  • Pigière
  • Plan Long
  • Salvador

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :

  • 1291 : Valauria (cartulaire de Montélimar, 33).
  • 1291 : castrum de Vallauria (Valbonnais, II, 59).
  • 1297 : castrum de Valle Aurea (Bibl. nat., mss. fonds lat., 9239).
  • 1298 : castrum Vallis Aureae (ann. d'Aiguebelle, I, 467).
  • 1352 : castrum et territorium de Valleaurea (Long, notaire à Grignan).
  • 1442 : castrum de Valloria (choix de docum., 279).
  • 1512 : locus Vallisauree (Long, notaire à Grignan).
  • 1525 : Valaury (correspondance de Lesdiguières, III, 18).
  • 1777 : Vallaurie (état de sections).
  • 1891 : Valaurie, commune du canton de Grignan.

Étymologie[modifier | modifier le code]

M. de Coston explique l'étymologie de Valaurie[réf. nécessaire] :

  • soit de « vallée d'or » (Vallis aureae) à cause de sa verdure et de sa fertilité ;
  • soit de « vallée venteuse » (aura) à cause des vents qu'une autre vallée perpendiculaire à la Berre, la vallée de la Vence, y entretient d'ordinaire ;
  • soit de « vallée de l'eau » à cause de la présence du radical *ur, *ura signifiant « eau, pluie ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Ateliers préhistoriques de taille[2].

Protohistoire[modifier | modifier le code]

Antiquité : les Gallo-romains[modifier | modifier le code]

Nécropole gallo-romaine[2].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie[15] :

  • Au point de vue féodal, Valaurie était une terre du patrimoine des Adhémar.
  • 1253 : une moitié appartient aux Decan d'Uzès qui en font hommage aux comtes de Valentinois.
  • (non daté) : l'autre moitié appartient aux Chambaud.
  • Vers 1590 : les Decan lèguent leur part aux Beaumont.
  • La part des Beaumont passe (par héritage) aux (du) Plan.
  • 1603 : la part des (du) Plan est vendue aux Escalin des Aimars.
  • Les Escalin acquièrent la part des Chambaud.
  • 1706 : le tout est légué aux Castellanne-Adhémar.
  • Vers 1723 : la seigneurie passe (par mariage) aux Villeneuve-Vence.
  • 1784 : elle est vendue aux (d')Hugues, derniers seigneurs.

Autre version : possession du capitaine Pollin (de la Garde-Adhémar) puis des seigneurs d'Uzès[2].

Avant 1790, Valaurie était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation de Saint-Paul-Trois-Châteaux et de la sénéchaussée de Montélimar.
Elle formait une paroisse du diocèse de Saint-Paul-Trois-Châteaux. Son église, dédiée à saint Martin, était celle d'un prieuré séculier (uni à la sacristie du chapitre cathédral de Saint-Paul-Trois-Châteaux) qui avait, de ce chef, la collation de la cure et les dîmes de cette paroisse[15].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, la commune est comprise dans le canton de Donzère. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Grignan[15].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie de Valaurie.

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 ?    
1995 2001 ?    
2001 2008 Jean-Paul Raba    
2008 2020 Luc Chambonnet DVG fonctionnaire
2014 2020 Luc Chambonnet   maire sortant
2020 En cours
(au 24 décembre 2020)
Christian Fau[16][source insuffisante]    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Valaurie est l'une des quatorze communes de la communauté de communes du Pays de Grignan[17].

La commune participe également à plusieurs autres syndicats intercommunaux :

  • le SI Valrousse, en partenariat avec le village voisin de Roussas, pour la gestion du groupe scolaire commun[18] ;
  • le SI de la Berre, pour l'aménagement et la gestion de la Berre[19] ;
  • le SI du Clavon', pour la gestion de la zone d'activité artisanale[20].

Elle a appartenu au SI Télévision (depuis fusionnée avec celui du département) pour la gestion de la réception télévisuelle sur le canton[21]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Valaurie est jumelée avec la ville italienne de Longare, en Vénétie. Le jumelage entre les deux villages date de 2001[22]. Plusieurs voyages culturels et sportifs sont organisés, chaque année[23].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 703 habitants[Note 2], en augmentation de 19,35 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
425359388501552604587572563
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
581609589607562545520503486
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
448423388325336330295304284
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
262269278365386508540531528
2015 2020 2021 - - - - - -
589692703------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Valaurie dépend de l'académie de Grenoble.
Les élèves de Valaurie commencent leurs études au groupe scolaire Valrousse, situé sur la commune de Roussas. Elle est composée de quatre classes de maternelle et primaire, pour un total de 94 élèves[28]. Elle est gérée conjointement par les deux communes, via le syndicat intercommunal Valrousse[29].
Les collèges et lycées les plus proches se situent à Saint-Paul-Trois-Châteaux, Pierrelatte et Montélimar[réf. nécessaire].

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête du printemps : les 9 et [2].
  • Fête patronale : le dimanche après le [2].
  • Les Nuits de Valaurie : illuminations et animations[2].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

L'église catholique de Valaurie dépend du diocèse de Valence, doyenné de Taulignan[30].

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : céréales, vignes (vin AOC Coteaux du Tricatin), lavande (distillerie), ovins, volailles[2].

  • Coopérative agricole[2].

Vigne : grignan-les-adhémar. le domaine viticole Rozel, famille de vignerons depuis 1464, est présent sur le terroir communal depuis 1920[31].

Marché : le dimanche matin (place de l'Église)[réf. nécessaire].

Industrie[modifier | modifier le code]

  • Distillerie Eyguebelle : confection de sirops et liqueurs[32].

Tourisme[modifier | modifier le code]

L'hébergement touristique est assuré par des hôtels, gîtes et chambres d'hôtes, camping à la ferme[33].

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Vestiges du château : remparts et tours[2].
  • Église romane (XIe et XIIe siècles) isolée (MH) : clocher-porche[2].
Église Saint-Martin des XIIe et XVe siècles (inscrit MH en 1926[34]).

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

  • Le musée de la distillerie Eyguebelle fait découvrir l'histoire entreprise locale. Ce tourisme industriel, montre la fabrication de sirops et liqueurs depuis 1711[35].
  • Centre artistique et artisanal : exposition et galeries[2].
  • Art : dans les années 1970, les artistes François Jullien (sculpteur alliant la terre, le verre et le métal) et Hannah (peintre) ont créé le collectif d'artiste é mouvances qui propose des expositions dans le village[réf. nécessaire].
  • La maison de la Tour est un lieu permanent d'expositions (peintures, sculptures, etc.) et d'animations culturelles (concerts, animations théâtrales) géré par l'association du même nom[réf. nécessaire].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • Falaises ruiniformes[2].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Valaurie possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c https://www.geoportail.gouv.fr/
  2. a b c d e f g h i j k l m n o et p Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Valaurie.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Valaurie et Donzère », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Donzère », sur la commune de Donzère - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Donzère », sur la commune de Donzère - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 401 (Valaurie).
  16. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  17. communauté de communes.
  18. Valrousse.
  19. SI de la Berre
  20. SI du Clavon
  21. SI Télévision
  22. Jumelage Valaurie - Longare
  23. Jumelage Valaurie - Longare.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. école publique de Valrousse
  29. Gestion groupe scolaire
  30. doyenné de Taulignan.
  31. Domaine Rozel.
  32. Distillerie Eyguebelle.
  33. hébergement touristique
  34. Notice no PA00117083, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. musée Eyguebelle.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]