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EAN : 9782072873904
224 pages
Gallimard (06/02/2020)
3.63/5   2717 notes
Résumé :
« Tu sais, ça ferait très plaisir à ta sœur si tu faisais un petit discours le jour de la cérémonie. » C’est le début d’un dîner de famille pendant lequel Adrien, la quarantaine déprimée, attend désespérément une réponse au message qu’il vient d’envoyer à son ex.
Entre le gratin dauphinois et les amorces de discours, toutes plus absurdes les unes que les autres, se dessine un itinéraire sentimental touchant et désabusé, digne des meilleures comédies romantiq... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (394) Voir plus Ajouter une critique
3,63

sur 2717 notes
Lorsque son futur beau-frère lui demande de faire un discours pour le mariage de sa soeurette, Adrien ne trouve rien à répondre à part "Oui, oui, bien sûr, avec plaisir". Quelle idée il a eue ! Déjà que de l'écrire, c'est pénible. Alors, le clamer haut et fort devant un parterre d'invités aux têtes inconnues... Faut dire aussi qu'Adrien n'était pas vraiment à ce que Ludo lui disait. Il avait un peu la tête ailleurs depuis qu'il a envoyé un texto à son ex, Sonia, qui, sans aucun signe avant-coureur, lui réclame une pause... Une pause qui dure déjà depuis 36 jours. Et, là, juste avant de se rendre à ce petit repas familial, même s'il s'était promis de ne pas la contacter, il lui a envoyé un SMS. le con ! Foireux, en plus, le SMS. Ainsi, entre l'éternel gratin dauphinois de maman et son gâteau au yaourt, entre le flot de paroles scientifiques et pompeuses de son beauf et les digressions interminables de son père, entre les différentes formes de discours qui traversent son esprit, Adrien, lui, espère et guette une réponse...

Fabrice Caro, alias Fabcaro, change de registre, une fois n'est pas coutume, et nous offre un livre sans image, autrement dit un roman ! L'auteur dépeint une soirée au cours de laquelle Adrien, quarantenaire un brin déprimé, attablé avec sa petite famille, imagine les discours improbables qu'il devra faire au mariage de sa soeur. Tout ça en attendant impatiemment ne serait-ce qu'un minuscule signe de vie de son ex et en déroulant les souvenirs de leur liaison. Ce roman doux-amer nous plonge dans une ambiance à la fois mélancolique, drôle et touchante. Adrien, loser patenté, désabusé, terriblement attachant, ne cessera, au cours de ce repas, de se poser mille questions, analysant l'amour sous toutes ses formes mais aussi les travers de ses proches et les siens. Un regard acerbe et caustique sur la famille et l'amour. Un sens de l'observation brillant et intelligent. Un roman pétillant, jouissif, parfois grinçant. Un Fabcaro qui manie à merveille l'art de la chute...
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Je m'étais dit en recevant ce roman de l'éponyme Fabcaro, zaï zaï zaï, ça va décoller, la banane et tuti quanti et puis, le soufflé retombe et ça donne un aïe aïe aïe...

Adrien, quarantenaire est en pause de tout. Pause avec Sonia et ça dure et ça dure. Pause avec son inspiration, qu'aller raconter de merveilleux au mariage de sa soeur Sophie. This is The question. En pause dans ses souvenirs qui s'étendent à rallonge.
En rumination perpétuelle sur ce fameux discours de mariage, Adrien épilogue sur ses vieux, son amour de Sonia qui ne répond pas à son « j'espère que tu vas bien, bisous », le tout avec des notes philosophiques, ironiques, acerbes, parfois pompantes et parfois drôles sur le jus d'orange, le gratin dauphinois, les tic tac et j'en passe.

On suit ici les ruminations d'un homme souvent désabusé, un brin déprimé, un peu fatigué, trop de pression, trop de non-dit, trop d'encyclopédies comme unique cadeau depuis des lustres, ça use les encyclopédies, ça use que personne ne se demande ce qu'il aime et qui il est dans le fond. Alors puisque le monde lui échappe autant abuser d'absurdité, de nonchalance et d'humour bien sûr. Avec l'humour, tout passe. Ou presque.

Ce n'est pas un roman ni une bande dessinée. C'est un discours. Un discours qui m'a semblé interminable à certains moments, un discours qui part en vrille, qui décortique tout et rien à la fois. J'ai souvent souri et je reconnais une plume ironique bien maîtrisée mais la magie n'a pas opéré pour ce premier rendez vous avec Fabrice Caro.
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Ce livre aura une saveur particulière pour moi , puisque ce sera le seul trouvé lors du confinement donc...le seul acheté . Fort heureusement , mon abondante PAL m'a vraiment mis à l'abri de toute pénurie dans ce domaine et j'espère bien avoir retrouvé le chemin de la librairie avant épuisement de la réserve...Dans le cas contraire , chers amis , on est mal.....mais ...
Revenons donc à nos moutons , en l'occurrence ce fameux " discours " qui va tant perturber notre ami Adrien . Faire un discours pour le mariage de sa soeur , c'est un honneur ,un plaisir , un bonheur .Oui, mais voilà. Prononcer un discours pour un mariage alors qu'on est en pleine " pause " amoureuse , pas évident. Pas facile, non , chacun ou chacune d'entre nous ayant connu la douloureuse expérience du " largage" pourrait en témoigner ....Il est des moments où...Le problème, avec Adrien , c'est que ça ne semble jamais être vraiment..... le moment . Cruel dilemme que de se voir , malgré soi , projeté sous les projecteurs , de devoir " louer " le bonheur quand ce mot vous fuit en permanence , sans que jamais personne ne s'en aperçoive . Il faut reconnaitre qu'on va avoir sous les yeux un personnage qui aurait sans doute rédigé et lu un très bel éloge funèbre ... mais un discours de mariage....Un peu parano , notre héros , ceci expliquant peut - être cela ...Noir , c'est noir et si encore , comme disait Johnny , il restait l'espoir ...
Ce roman relate un repas familial avec toutes ses règles, ses conventions , portrait touchant d'une réunion régulière aux rites immuables , aux échanges courtois , aux discussions lisses , aux clins d'oeil faussement complices , des situations vécues par nombre d'entre nous , conventionnelles mais o combien indispensables au bon équilibre de la tribu...Et lorsque vient la " question qui tue " .....
J'avoue avoir beaucoup ri au début du récit, ri de bon coeur , ri " jaune " aussi , ri tant l'observation était fine , juste , délicate, empreinte de subtilité, une écriture comme j'aime , alerte , jouant avec les mots , pleine d'humour sous - jacent et de dérision...Et puis , peu à peu , mon intérêt s'est émoussé dans la mesure où j'avais l'impression de tourner de plus en plus en rond dans une réflexion qui , quoi qu'il arrive , n'aurait pas d'issue ....Les personnages se sont avérés de plus en plus caricaturaux , un peu trop à mon avis , et c'est finalement sans déplaisir, mais sans enthousiasme non plus , que j'ai abandonné Adrien à son triste sort en tournant la dernière page d'un roman vite lu , pas forcément vite oublié tant il regorge d'extraits désopilants de cruauté , mais....
Certains lecteurs ont adoré et c'est très bien , encore une fois , personne ne peut se targuer de détenir "la vérité " ; moi , je reste un peu sur ma faim même si je reconnais que l'exercice auquel s'est attaqué l'auteur est , me semble - t- il , d'une grande difficulté et mérite vraiment le respect.
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Tout débute par une demande faite à Adrien lors d'un repas de famille : « Tu sais, ça ferait très plaisir à ta soeur si tu faisais un petit discours le jour de la cérémonie. » Et c'est parti !
Adrien, la quarantaine, déprimé, un peu décalé, dans l'attente d'une réponse au message qu'il a adressé à son ex, Sonia, qui l'a quitté pour faire « une pause », est catastrophé par la requête de son beau-frère et cette demande va prendre des proportions démesurées.
Pendant cet interminable repas de famille basé toujours sur le même schéma, répétitif à souhait, s'ajoute, pour Adrien, l'interminable attente d'une réponse à son message…
Son discours, en fait, ce sera le récit de son regard sur le monde, un regard sans concession qu'il va écrire et réécrire intérieurement, tout au long du dîner.
C'est tour à tour tendre, drôle, mélancolique, souvent hilarant mais ô combien touchant ! Touchante est cette solitude que vit Adrien, cette solitude de chacun au milieu des autres.
Ce roman est un soliloque, le discours de cet homme isolé au milieu des siens. Il s'entretient avec lui-même, avec tout de même parfois quelques interférences avec les autres.
Le discours est un roman traversé par une mélancolie hilarante, à l'humour cinglant. Fabrice Caro, alias Fabcaro, célèbre auteur de bande dessinée, nous livre là un deuxième roman très réussi qu'on pourrait situer entre humour noir et autodérision, un texte dans lequel il conte vraiment bien l'absurdité des apparences.

Lien : http://notre-jardin-des-livr..
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Livre étonnant, original que le discours de Fabrice Caro, un auteur très connu dans le monde de la BD où il s'appelle Fabcaro.

Tout part d'une demande de Ludo, son beau-frère, qui va épouser Sophie, la soeur d'Adrien, le narrateur. Nous sommes en plein repas de famille, chez les parents d'Adrien qui a d'autres soucis bien plus importants car celle qu'il aime, Sonia, a décidé de faire « une pause ». Il lui a bien envoyé un message mais la réponse tarde à venir.
Le repas dure et Adrien est torturé par cette demande de discours dont il nous gratifie de plusieurs versions différentes, allant de la tendresse à l'humour vachard. Pendant que les discussions meublent le temps, que le gigot est toujours aussi bon – même si Adrien n'apprécie guère – nous faisons connaissance avec les membres de la famille, avec les amours du narrateur qui imagine tout un tas de raisons au silence de Sonia.
« J'ai quarante ans et j'achète des Tic-Tac pour cacher à mes parents que je fume, voilà où on en est. » Déprimé à trente ans, le voilà à nouveau chez ses parents, dix ans plus tard alors que sa mère est à l'affût du moindre prénom féminin pour espérer caser son fils…
Pendant que le débat, à table, porte sur les avantages et les inconvénients du chauffage par le sol, Adrien nous fait part de ses soupçons car « la pause » de Sonia s'appelle sûrement Romain, un musicien, « un grand brun un peu ombrageux ».
Les thèmes habituels défilent avec l'habituel chapitre des cancers que chacun se croit obligé d'alimenter avec un maximum de cas. Adrien voudrait tant se confier, dire ce qu'il a sur le coeur mais c'est trop difficile pour lui car Ludo ramène toujours sa science et, de toute façon, sa mère lui proposerait aussitôt… un verre de jus d'orange !
Dans ce roman, Fabrice Caro manie l'humour avec talent, glisse un tas de réflexions très pertinentes sur la famille, l'amour, la fratrie, la vie… Autour de cette demande de discours pour le mariage de sa soeur et son problème de coeur avec Sonia, il m'a permis de passer de bon moments et de sourire souvent.
Au passage, le discours livre quelques informations très intéressantes sur plusieurs sujets mais, après le dessert – tarte poire-chocolat faite par Sophie à la place du sempiternel gâteau au yaourt de la mère – l'auteur aurait dû éviter le passage consacré à l'horoscope.

Au final, j'ai constaté que l'optimisme tenait à bien peu de chose, qu'un message sur un portable peut éviter une grosse déprime…

Lien : http://notre-jardin-des-livr..
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critiques presse (3)
Culturebox
26 octobre 2018
Fabrice Caro, c'est Fabcaro, l'auteur de BD qui nous a fait hurler de rire avec "Zaï Zaï Zaï Zaï". Il publie cette fois un roman, "Le discours" (Gallimard - Sygne), qui fait le récit à la première personne d'un déjeuner familial perturbé par un SMS suspendu à une réponse qui n'arrive pas… Un roman traversé par une mélancolie en forme d'humour cinglant.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Lexpress
24 octobre 2018
Il taquine à point nommé nos zygomatiques, franchement à la peine avec une tendance littéraire très portée sur des thématiques graves.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Lexpress
01 octobre 2018
Essayez de vous souvenir : quand avez-vous pouffé ou ri nerveusement pour la dernière fois en lisant un roman ? Il y a des mois ? Des années ? Nous avons une excellente nouvelle : Le Discours, de Fabrice Caro, est un petit livre irrésistible, loin, très loin, de toutes les lourdes machineries littéraires de la rentrée.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (197) Voir plus Ajouter une citation
Dans la vraie vie, on ne dit pas J’ai besoin d’une pause, ça ne se fait pas, ce n’est pas inscrit dans les codes sociaux. Lorsqu’on est invité à un repas, par exemple, on ne se lève pas soudain en disant J’ai besoin d’une pause, on ne prend pas son imper dans le vestibule et on ne claque pas la porte sans autre explication et justification que J’ai besoin d’une pause. On dit par exemple je suis désolé, ma mère a fait un AVC, je suis très inquiet, je dois vous quitter, ou bien je suis désolé, je suis vegan, je ne supporte pas la vue de ce gigot et de manière générale tout ce qui rappelle la souffrance animale, ce n’est pas contre vous, je suis hypersensible, excusez-moi, on ne dit pas J’ai besoin d’une pause sans rien derrière, sans rien autour.
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Je vais vous raconter un conte, l'histoire du petit tailleur de pierre...
Voilà, il était une fois un petit tailleur de pierre qui se plaignait en permanence de sa condition miséreuse, du matin au soir il répétait qu'il en avait assez et qu'il rêvait d'être à la place du roi... Un jour il croise la route d'un sage qui lui dit : D'accord, admettons que tu es le roi. Mais un jour le roi, à force de se pavaner au soleil, attrape une insolation et tombe gravement malade. Tu préfères être le roi ou le soleil ? Alors le tailleur de pierre lui répond Le soleil. - Donc tu es le soleil. Mais un jour le soleil est masqué par un gros nuage et on ne le voit plus jamais. Tu préfères être le soleil ou le nuage ? - Le nuage. - Bien, tu es le nuage. Mais un jour le nuage passe derrière une énorme montagne, et il disparaît à jamais. Tu préfères être le nuage ou la montagne ? - La montagne. - Alors tu es la montagne. Mais la montagne, heure après heure, jour après jour, année après année, se fait grignoter par le tailleur de pierre...
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L’année de mes trente ans, j’ai sombré dans une profonde dépression. Un chagrin d’amour, un de plus. J’étais revenu passer quelques jours chez mes parents, j’avais besoin de repli fœtal, de retour aux sources, quand bien même je n’avais plus rien de commun avec la source. Je me souviens qu’un soir, pendant que ma mère préparait le repas, debout dans la cuisine, j’avais essayé de lui parler de mon mal, la dépression, sans l’affoler, mais sans l’épargner non plus, j’avais besoin de partager ça avec elle, lui dire à quel point j’étais rongé, à quel point j’en souffrais, ce à quoi elle avait répondu : Tu dois boire du jus d’orange. Voilà. C’était ça la solution de ma mère, boire du jus d’orange.
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Le jour de mon premier rendez-vous avec Sonia, j'étais si stressé que j'avais préparé une liste de thèmes de discussion. L'éventualité d'un blanc me tétanisait, un silence qui s'invite à un premier rendez-vous me semblait synonyme de débâcle, il signifiait ça ne colle pas, vous deux c'est pas possible, en réalité vous n'avez pas tant de points communs que ça. J'avais la sensation de passer un oral décisif. J'avais donc pris une feuille et commencé à noter des thèmes en vrac, me fondant sur des sujets qu'on avait abordés par messagerie, pour pouvoir les recaser l'air de rien, entre deux gorgées de bière, le plus naturellement du monde, comme un interlocuteur passionnant et passionné pour qui la repartie serait une seconde nature. (…)
J'avais révisé durant le trajet en voiture, manquant même de griller un feu rouge, et avais glissé la feuille pliée en deux dans ma poche, juste avant d'arrivez au rendez-vous. Si j'avais un trou de mémoire, je pourrais toujours aller aux toilettes relire mes antisèches.
(p. 31-33)
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Quand apparaît ce "Je me souviens", car il y a toujours un moment où il apparaît, à trois ou quatre reprises par repas environ, quand le vin a suffisamment échauffé son esprit, on se prépare à l'apnée. Il n'y a que ma mère pour l'écouter attentivement, l'air concentré, captivée, prête à le suivre, à relever des approximations narratives et à le relancer si besoin, et c'est peut-être ça la véritable définition de l'amour : écouter attentivement un "Je me souviens". Et chaque fois, j'ai envie de dire, "Mais maman arrête de le relancer, arrête de mettre du carburant dans le moteur sinon on va jamais s'en sortir", et chaque élément apporté par ma mère entraîne une reconfiguration du récit, y greffe de nouvelles arborescences, et des douleurs intercostales commencent à m'assaillir.
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Dans cet épisode, nous vous présentons des livres qui nous ont fait rire. Huit propositions de lectures pour différents âges : de l'humour, fin ou gras, des jeux de mots, de l'absurde, du comique de situation, de la satire sociales... Des livres que nous avons beaucoup aimés, auxquels nous repensons avec le sourire et que nous adorons mettre entre les mains des lecteurs. Une liste à garder précieusement, concoctée par nos libraires Laure, Rozenn, Nolwenn, Jérémy, Nicolas et Adeline !
Voici les livres cités dans cet épisode :
Un ours, un vrai, de Stéphane Servant et Laëtitia le Saux (éd. Didier Jeunesse) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23128786-un-ours-un-vrai-stephane-servant-didier-jeunesse ;
Horace. Tome 1, Cheval de l'Ouest, de Poirier (éd. Revival) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23359947-horace-tome-1-poirier--revival ;
Les Culs-reptiles, de Mahamat-Saleh Haroun (éd. Gallimard/Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22745328-les-culs-reptiles-mahamat-saleh-haroun-folio ;
Admirable, de Sophie Fontanel (éd. Seghers) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22540820-admirable-l-histoire-de-la-derniere-femme-ride--sophie-fontanel-seghers ;
Chroniques du Château faible, de Jean-Christophe Mazurie (éd. Fluide Glacial) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23032241-1-chroniques-du-chateau-faible-tome-01-jean-christophe-mazurie-fluide-glacial ;
Stella et l'Amérique, de Joseph Incardona (éd. Finitude) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23109474-stella-et-l-amerique-joseph-incardona-finitude ;
Le Rire des autres, d'Emma Tholozan (éd. Denoël) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23030426-le-rire-des-autres-emma-tholozan-denoel ;
Roman fleuve, de Philibert Humm (éd. des Équateurs/Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23286751-roman-fleuve-philibert-humm-folio.
Et quelques autres titres qui auraient pu faire partie de cette sélection de livres drôles :
Le Discours, de Fabrice Caro (éd. Gallimard/Folio) ;
Miracle à la tombe aux Aspics, d'Ante Tomi (éd. Libretto) ;
N'essayez jamais d'aider un kangourou !, de Kenneth Cook (éd. Autrement) ;
Je dénonce l'humanité, de Frigyes Karinthy (éd. Viviane Hamy) ;
Le Chien de madame Halberstadt, de Stéphane Carlier (éd. le Tripode) ;
Roulio fauche le poil, de Julia (éd. le Tripode) ;
La Vie est une corvée, de Salomé Lahoche (éd. Superexemplaire) ;
Idées noires, de Franquin (éd. Fluide Glacial) ;
#Les Mémés, de Sylvain Frécon (éd. Fluide Glacial).
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Les Éclaireurs de Dialogues, c'est le podcast de la librairie Dialogues, à Brest. Chaque mois, nous vous proposons deux nouveaux épisodes : une plongée dans le parcours d'un auteur ou d'une autrice au fil d'un entretien, de lectures et de plusieurs conseils de livres, et la présentation des derniers coups de coeur de nos libraires, dans tous les rayons : romans, polar, science-fiction, fantasy, BD, livres pour enfants et adolescents, essais de sciences humaines, récits de voyage…
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